Sur Le Veux Lit De La Remise.
Sur le vieux lit de la remise
Le Maître.
Le temps était magnifique en ce début de week-end, et cest tout naturellement que je me décidai pour une maraude à la campagne.
Jétais parti dans la matinée de ma bonne ville de B., le nez au vent, bien décidé à profiter de toute occasion dassouvir les envies libidineuses qui me tordaient le ventre et ne me laissaient aucun répit ces derniers temps.
Il fallait que jassouvisse limpérieux besoin de sexe qui métreignait.
Je roulai un bon moment, mobligeant à ne penser à rien dautre quà profiter de ma balade estivale.
Je traversai le Lot-et-Garonne et bifurquai au sud-ouest vers le Gers.
Après un déjeuner sur le pouce, dans un petit bistrot de campagne, je repris la route.
Quelques kilomètres plus loin, le paysage dune beauté à couper le souffle mobligea à marrêter. Je décidai de faire une pause.
Je garai ma voiture à lombre dun tilleul et je remontai un petit chemin herbeux à flanc de coteau. Il faisait chaud en cette belle après-midi dété. Je me sentais bien, et dhumeur enjouée, titillé par un désir que je navais plus envie de contrôler, je métirai et me mis à me caresser le torse, le ventre, puis les fesses et le sexe. Je bandais et amorçai quelques mouvements de masturbation. Je baissai mon short ainsi que la culotte en dentelles que javais revêtue ce matin, comme jaimais parfois le faire et me caressai les fesses avec lascivité. Une pensée me vint, qui me fit minterrompre tout soudain. Et si je nétais pas si seul que je le croyais ?
Là où jétais, nimporte qui pouvait me voir
Non
ce petit vallon semblait absolument désert.
Le coteau était entièrement planté darbres fruitiers, notamment de pruniers sous lesquels se trouvait une invraisemblable quantité de fruits tombés qui embaumaient le val de leur parfum suave.
Jétais tenté et ne résistai pas. Je ramassai sous le premier prunier venu, une poignée de fruits et massis sur une grosse pierre bordant le chemin pour les déguster.
Derrière moi, un bruit de pas se fit entendre et une voix tonitrua :
Alors, on ne se gêne plus ! On vole mes fruits !
Je me retournai et vis un homme, les poings sur les hanches, lair furieux qui me toisait.
Il était de taille moyenne, trapu, très large dépaules. Son visage hâlé et buriné, ses yeux clairs dégageaient une grande énergie. Il était vêtu dun pantalon de toile et dun polo de prix, qui nétaient pas laccoutrement habituel du paysan.
Son regard semblait métudier. Jétais beau gosse, et je connaissais lintérêt que suscitait mon look androgyne chez certains hommes
je retrouvai chez lui, leur manière de mexaminer.
Je commence à en avoir par-dessus la tête, de ces touristes qui pillent mes vergers
déclara-t-il dune voix forte. Il criait presque et semblait très en colère.
Oh, Monsieur ! Je nai fait que prendre quelques fruits tombés
Sur une propriété privée. Ça sappelle du vol, et moi, le vol, je le punis ! Et je vais te punir
comme tu le mérites ! Ajouta-t-il avec un sourire qui me confirma que toute son attitude cachait dautres intentions
je décidai de jouer le jeu.
Il sécria:
Suis-moi, tu vas rester là-bas, en attendant les gendarmes !
Oh ! Sil vous plaît, pas les gendarmes, je nai rien fait de mal
Viens, je te dis ! Il me saisit par le bras, dune poigne de fer, et me fit avancer vers une bâtisse qui tenait à la fois du fenil et de la remise
Il ouvrit une porte grinçante et me poussa à lintérieur, où régnait une pénombre et une fraîcheur bienfaisante, entra à son tour, referma la porte derrière lui et en tira le loquet.
Nous nous jouions une comédie dont aucun de nous deux nétait dupe.
Sil vous plaît, pas les gendarmes
je le priais, et lui ouvrant tous les possibles: Je suis prêt à faire tout ce que vous voudrez
Il lattendait.
Tout ce que je veux ? Tu es sûr
?
Il sapprocha, me prit les poignets, commençant à les tordre de sa poigne terrible.
Ce que je veux, cest ton joli petit cul, ma chérie ! Ton cul, ta bouche
cest ça que je veux
Et je suis sûr que tu adores ça ! Tu crois que je ne tai pas vu tout à lheure, quand tu te caressais comme une chienne en chaleur, hein ?
Je me collai à lui et posai ma bouche sur la sienne, laissant mes lèvres écartées, de sorte quil ne puisse résister à linvitation. Il menlaça, enfonça aussitôt sa langue dans ma bouche et la fouailla furieusement, minondant de sa salive, que jaspirai goulûment. Sa respiration se fit rauque et je geignais doucement sous son baiser brutal. Je sentis, contre ma jambe, une grosseur énorme !
Il sécarta.
Je savais que tu voulais
Oui
Oui, je veux
réussis-je à dire dans un souffle, lexcitation me faisant presque défaillir, Oui
Prenez-moi ! Oh ! Prenez-moi !
Toi, tes une chaude
montre ton cul, petite chienne !
Je baissai mon short de jeans, laissant apparaître la culotte de dentelles.
Je les ai vus tout à lheure tes petits dessous ! Tu as bien préparé ton coup, hein !
Il sapprocha et commença à baisser la petite culotte dévoilant mon sexe quil saisit entre ses doigts, je bandais à en avoir mal.
Oh, la jolie bite
Regarde !
Il dégrafa son pantalon de toile, baissa son slip et dévoila une bite monstrueuse et turgescente. Je navais jamais vu pareil engin !
Tu vas te la prendre dans ton petit cul et jusquaux couilles, tu demanderas grâce ! Montre-moi ta rondelle !
Dans un état dexcitation sans pareil, le cur battant la chamade, je quittais mon short et écartant les jambes, je me cambrai, dévoilant à son regard concupiscent, mon armille offerte. Je me soumettais, et dévoilai sans retenue, sans plus aucune pudeur, mon intimité à cet homme, qui me dominait.
Aah ! laisse-moi regarder ça ! sécria-t-il. Je vais te la baiser ta rosette ma coquine, mais avant, viens
Il me prit la taille et me fit me pencher davantage, il écarta mes fesses et dans un baiser impudique et salace, darda sa langue au fond de mon anus.
Cest alors que je jouis... J éjaculai entre ses doigts à longs traits, me contractant et gémissant à chaque décharge, alors quil me pénétrait de sa langue lubrique
Je lentendis grogner et quittant ma rosette, il se redressa et enfourna ses doigts englués de mon sperme dans ma bouche. Le goût âcre, que je connaissais, me fit me tordre de jouissance. Je me retournai et embrassai mon tortionnaire avec passion. Dans un feulement de plaisir, il me rendit mon baiser avec fougue, me faisant gémir.
Tout en membrassant avidement, il introduisit un doigt rugueux dans ma rosette quil se mit à branler, me faisant pousser des gémissements de plaisir.
Attends que je te mette ma salope ! Tas pas fini de geindre. Je vais te faire gueuler moi, tu vas voir !
Il me poussa vers un escalier de meunier qui donnait accès à létage.
Monte ! ordonna-t-il.
Je ramassai mon short et mexécutai, roulant mon postérieur afin de rendre ma démarche lascive pour mieux exciter mon amant
Quel beau cul tu as ! Un vrai cul de princesse !
Je sentis sa main me caresser, je marrêtai quand je le sentis écarter mes fesses pour un nouveau baiser humide et impudique sous lequel je me tordis de plaisir. Il sinterrompit et me poussa en avant.
Je montais encore quelques marches et débouchai dans une vaste pièce sous toit, aux poutres antiques, qui tenait à la fois du fenil, du grenier et dun invraisemblable bric-à-brac.
Viens ici ! me dit-il, se dirigeant vers un coin où se dressait un grand et beau vieux lit métallique aux barreaux rouillés, dont je garde l'image, sur lequel on avait posé un matelas à moitié recouvert dune courtepointe qui semblait usagée, mais propre.
Pour la sieste... Me lança-t-il.
Il sy laissa tomber et tapotant le matelas à côté de lui, mintima lordre de my asseoir.
Tout en me caressant, il déboucla sa ceinture et dégrafa son pantalon.
Son sexe faisait une grosse bosse dans son slip, il le fit glisser, dévoilant sa bite énorme et congestionnée, se débarrassa de son pantalon et à ma surprise, se pencha sur mon sexe quil se mit à sucer.
Je memparai de son énorme gourdin turgescent et me mis à le branler, en éprouvant la lourdeur. Plus épais que mon poignet et long dau vingt-cinq centimètres, il avait une forme de massue, saffinant à la base. Je ne parvenais pas à lenserrer totalement tant il était gros.
Il se redressa et mordonna de me déshabiller, lui-même ôta son pantalon et son slip, montrant un ventre de sanglier sous lequel tressautait son phallus turgide et pendaient dénormes couilles ; au comble de lexcitation, le souffle court, je lui tournai le dos et retirai, lentement mon sweater ; une fois fait, je me retournai, lissant mes cheveux. Il me prit la taille, mattirant à lui.
Il sétendit sur le dos, minvitant du geste à venir sur lui, à califourchon, en lui présentant mes fesses, ce que je fis.
Je me retrouvai face à son énorme massue de chair.
Suce-moi ! Vas-y ! Râla-t-il tout en écartant mes fesses.
Je sentis à nouveau la caresse, tiède et humide de sa langue sur ma rosette et fermai les yeux avec un gémissement de plaisir, non sans avoir encore jeté un regard sur la bite énorme qui se dressait sous son ventre.
La croupe tendue, offerte au baiser salace, je rouvris les yeux sur le vit tumescent . Jétais fasciné. Tremblant dexcitation, jempoignai la forte hampe et me mis à lécher le gland volumineux qui dégageait une odeur musquée, qui ne fit que mexciter davantage. Cela provoqua chez mon amant un grognement dapprobation, il appuya sur ma nuque pour menjoindre de continuer.
Je pris le gland en bouche, lèvres distendues, et me mis à le pomper avec avidité, imprimant de lents mouvements à la hampe que je sentais tressauter dans ma main, le faisant grogner de satisfaction. Sa langue continuait à me fouiller le fondement de sa caresse impure et délicieuse.
Soudain, je le sentis se raidir, alors que son souffle devenait plus court, plus rauque. Je suçais sa grosse queue avec ardeur, caressant ses couilles velues, écartant mes fesses pour mieux moffrir à son baiser vicieux.
Il se raidit encore dans une tension que je sentais saccroître à mesure que ses ahanements se faisaient plus puissants. Alors, tout son corps sarqua dans une brusque secousse et il déchargea en longues giclées tout son sperme dans ma bouche. Le flot était si abondant quil débordait par les commissures de mes lèvres et tombait en gouttes épaisses sur son ventre velu. Je me délectais de sa liqueur âcre et tiède alors quil râlait sa jouissance.
Viens, petite salope ! Ah ! Jai joui trop tôt, tellement tu mas excité !
Il mattira à lui et membrassa avec passion.
Tu sens lamour, petite vicieuse !
Il goûtait sur mes lèvres la saveur de son propre sperme alors que je reconnaissais dans son baiser le goût musqué de lanulingus. La charge érotique de ce que je lui avais donné effaçait sa morgue et sa hauteur
Jétais ravi.
Il me tenait serré par un de ses bras musculeux et je sentais contre ma cuisse son pénis recommencer à grossir. Il fouillait ma bouche de sa langue pendant que sa main caressait mes fesses et mon sexe. Je sentais la chaleur de son gourdin qui palpitait contre ma jambe, je me mis à le branler doucement.
Viens !
Je vais te baiser
Tourne-toi !
Je me mis à quatre pattes, écartai les jambes et tournai ma croupe offerte.
Il me prit par les hanches et mappuyant sur les reins, mobligea à me cambrer. Javais le souffle court, mon cur battait à coups précipités, je sentais le sang cogner dans mes tempes et mes oreilles bourdonnaient.
Mon amant écarta mes fesses et se mit à me lécher la rosette, dardant à nouveau sa langue dans mon intimité, me faisant à nouveau éprouver des spasmes de jouissance, marrachant râles et geignements.
Il déposa toute sa salive, en inonda mon fondement et après avoir à nouveau craché deux fois, il enfonça deux doigts dans non anus pour le lubrifier. Le cur battant, je mapprêtais à être pénétré, tendais ma croupe, moffrant encore.
Me maintenant la taille dune main, il avait saisi la hampe de son monstrueux gourdin et aboucha lénorme gland à ma rosette. Il poussa légèrement pour ajuster son pieu de chair à mon anneau et me reprit la taille des deux mains, mattirant à lui dune poigne irrésistible. Le vit formidable senfonça, distendant mes sphincters, marrachant un long sanglot de douleur.
Oh ! Chéri ! Vous me faites mal ! Oh, doucement
oh ! oui, oui, encore !
Je te lavais dit mon petit giton, grinça-t-il. Je vais te faire gueuler !
La poussée saccentua, intensifiant la douleur, mes sphincters torturés menvoyaient des ondes de douleur intolérables et délicieuses. Je gémissais, et mon bourreau continuait à mattirer sur son puissant mandrin. Entre deux hoquets de douleur, je le suppliai dans un chuchotement épuisé:
Oh, Oh ! Maître, Oh chéri ! Sil vous plaît ! A
arrêtez ! Mouillez-moi encore
je nen peux plus !
Ma petite chérie, tu as mal, hein ? Tu souffres, petite salope !
Il relâcha pourtant son étreinte et, curieusement, je ressentis un abandon, un manque à ne plus sentir la douleur que minfligeait la redoutable mentule.
Il se pencha sur mon fondement et mouilla à nouveau ma rosette.
Toi aussi ! menjoignit-il.
Je déposai ma salive au bout de mes doigts et enduisis mon anneau du liquide visqueux, jen fis pénétrer tout ce que je pouvais dans mon intimité et offris à nouveau mon fondement au pal de mon tortionnaire.
A nouveau, il accola limposant bourgeon de chair à ma ventouse et les deux mains tirant sur mes hanches, mattira sur celui-ci. Jaccompagnai son mouvement en donnant de brefs, mais intenses à-coups, davant en arrière à mon bassin, forçant mes sphincters à accepter le monstre. Mon bourreau mattirait toujours sur son vit, mais semblait me laisser cette initiative. Chaque poussée provoquait une onde de douleur qui me faisait gémir de souffrance, mais je ne pouvais marrêter, tant cette douleur saccompagnait dune sensation de plaisir qui allait grandissant.
Mon amant me maintenait toujours fermement sur son pal et tout en me laissant faire, accentuait lentement sa poussée. Jentendais ses soupirs rauques et devinai son regard braqué sur la progression de la pénétration.
Je me redressai, le dos collé à sa poitrine, et lançant un bras en arrière, tournant la tête du plus que je pouvais me coller à son visage. Il membrassa alors fougueusement, me faisant gémir de plaisir.
Il me lâcha et reprit sa position, mains enserrant mes hanches, mattirant à lui dune manière encore plus pressante. La pression de lénorme mandrin saccentuait et malgré les geignements de douleur que je poussais, je sentais, là encore le plaisir, menvahir insidieusement. Je le sentis monter encore et atteignant son apex, brusquement, il menvahit dans une déferlante de volupté et de stupre, me faisant me tordre sur le monstrueux vit qui mécartelait.
Alors, au paroxysme de lexcitation, fesses écartées, je creusai mes reins, tendant ma croupe et haletai à mon tourmenteur:
Oh ! Prends-moi chéri ! Vas-y !Oui !!!, maintenant ! Encule-moi
Je veux ta grosse queue en moi !
En même temps quun rugissement se faisait entendre, je sentis sa traction sur mes hanches saccroître impérieusement alors quil poussait son bassin en avant dun lent mouvement puissant.
Je sentis son chibre énorme distendre mes sphincters et lentement pesamment dans une onde de douleur encore plus intense que les autres, je sentis le monstre senfoncer dans mon fourreau anal jusquau fond de mon ventre où il senfouit jusquaux grosses couilles velues qui vinrent sécraser sur mes fesses.
La jouissance était trop forte: jéjaculai dans un orgasme si puissant que je défaillis, balafrant la courtepointe de traînées de sperme.
Tu jouis ma chérie
! Tu jouis !
Il me maintenait enfoncé sur son pal, menvahissant de toute sa force.
Jémergeai de ma torpeur.
Oh ! Chéri ! Oh ! Vous mavez fait tellement jouir ! Que
Je
Jai
Je crois que
je suis tombé dans les pommes !
Il caressa mon cou dans un geste incroyablement doux.
Tu as bien joui, ma chérie
Tu me fais très plaisir !
Tes vraiment bonne, petite vicieuse. Viens que je te baise
Lentement, avec douceur, il se retira, sans ressortir entièrement sa grosse queue, ménageant mes sphincters distendus et douloureux, puis dun mouvement plus puissant, senfonça à nouveau, me faisant pousser un profond râle.
Il reprit ce mouvement et le répéta plusieurs fois de suite, intensifiant la force de la pénétration à chaque fois, provoquant en moi des ondes intenses de volupté.
Je le sentis alors se retirer. Le passage du gros gland me causa à nouveau une légère douleur, mais il me fit surtout ressentir toute sa puissance.
Mon amant me tira par une épaule.
Retourne-toi ! ordonna-t-il.
Je mexécutai et me retrouvai face à lui. Il se tenait jambes écartées, son gros sexe plaqué au ventre velu et me regardait, dominant, sûr de sa force. Il membrassa et me dit:
Suce-moi ! Et empoignant son sexe, il me prit par la nuque et me fit me pencher sur lui.
Je memparai de sa bite, distendant mes lèvres, je pris le gros gland en bouche, goûtant le parfum épais et le goût musqués de nos sucs internes mêlés, décuplant mes sensations érotiques.
Mon amant me releva et me lança :
Retourne-toi, chérie !Maintenant, je vais te baiser à fond et te jouir dans le cul !! Cest ce que tu veux, hein ? Allez ! Écarte les fesses, petite salope, que je défonce ta jolie rosette !
Oui... ! Oh
Encore, maître ! Encore !
Je me retournai, écartai les jambes, reins creusés, mon armille offerte au sacrifice.
Mon amant mordonna :
Mouille-toi !
Je mexécutai pendant que je lentendais cracher plusieurs fois dans sa main pour enduire sa mentule de salive.
Le cur battant la chamade, je me cambrai, écartant mes lobes fessiers pour accueillir mon vainqueur.
Il procéda comme il lavait déjà fait, agrippant mes hanches de sa poigne dacier, il mattira sur sa trique et me lâchant la taille de la main droite, il la dirigea sur ma rosette à laquelle il laboucha. Je fis effort pour respirer plus calmement, sentant mon cur semballer sous leffet de l excitation qui menvahissait
Oh ! Oui
Baise-moi, chéri !
Prends-moi! balbutiai-je, au comble de livresse qui memportait ; encule moi
Fort
Oui, ma salope, je vais te baiser comme tu le mérites !
Et mempoignant par les hanches, il mattira sur son pieu pendant quil poussait de toutes ses forces sur celui-ci. Le monstre enfonça ma rosette, la dilatant à lextrême. Je poussai un coassement bizarre qui se transforma en vagissement de souffrance quand le mandrin lentement, puissamment, senfonça au fond de mon ventre. Je haletais ma douleur en ahanements plaintifs, quand je sentis le chibre lentement refluer pour senfoncer à nouveau, plus fort encore dans mon fourreau, puis, à nouveau, encore, et encore.
Je perdais toute notion des choses, submergé par des vagues de douleur et de jouissance qui me jetaient dorgasme en orgasme, me faisant crier de plaisir lubrique.
Mon bourreau me dominant de toute la puissance de sa terrible mentule, se délectait dentendre mes cris et pendant quil lançait les coups de boutoir qui marrachaient ces cris, il maugréait des mots crus, dents serrées:
Tiens salope ! Tiens, petite salope ! Prends-la ma grosse queue. Ah ! tu gueules, hein ! Je te lavais dit ! Tiens
! Tiens
!
Oh !
Oui
Oui !
Oh ! chéri. Oh, mon Maître ! Encore
Encore !
Jaccompagnai maintenant les mouvements du bassin de mon seigneur et maître et enfonçais mon fondement sur son énorme chibre, allant au-devant des assauts quil minfligeait. Les ondes de jouissance se succédaient, éclatant dans mon ventre, me submergeant de volupté lascive et endiablée.
A un climax succédait un autre. Jétais balayé dorgasme en orgasme, affolé de plaisir lubrique.
Alors, je perçus un changement chez mon amant, et je sentis un raidissement de tout son corps, les pénétrations se faisaient plus lentes, plus crispées, seulement accompagnées par des feulements rauques de plus en plus prolongés.
A un moment, je le sentis se retirer presque entièrement puis dans une étreinte brutale, il mattira à lui, menfonçant jusquaux couilles sur son pieu avec un râle puissant. Il jouit longuement, déchargeant à longs jets spasmodiques tout son sperme dans mon ventre.
La sensation de ses jets de semence qui giclaient en moi me provoqua un tel émoi lubrique, que jéjaculai à mon tour. Je me relâchai, et tombai en avant, croupe levée, épuisé. Mon amant restait immobile, sa queue toujours plantée en moi, laissant sachever sa longue éjaculation., jouir
Puis il se laissa tomber sur le côté. Il mattira contre lui et me dit:
On a joui ensemble
Jai aimé
jai beaucoup aimé!
Moi aussi, chéri ! Vous mavez fait affreusement jouir. Je vous aime
!
Petite vicieuse, tu mas fait jouir, toi aussi. Viens !
Il mattira contre lui, menlaça et membrassa lascivement.
Cet après-midi là, sur le vieux lit de la remise, il me baisa cinq fois.
Un peu plus tard, dans la soirée
Nous venions de terminer nos ébats, exténués et comblés.
Je sentais mon anneau palpiter, se contracter spasmodiquement, encore endolori par les coups de boutoir sauvages de mon tortionnaire. Lové dans les bras de mon bourreau, je me laissai caresser et embrasser des façons les plus vicieuses.
Nous échangions à voix basse des propos libidineux.
Entre deux phrases, mon amant enfonçait sa langue dans ma bouche, se repaissant de ma salive alors que jaspirai la sienne avec volupté
Je caressais sa grosse queue, la branlant doucement, et malaxai ses couilles volumineuses. Il bandait et jéprouvai la lourdeur de son pal, lui imprimant un doux mouvement de va-et-vient.
Jai eu beaucoup de plaisir avec toi, me chuchotait-il, tes vraiment une belle petite vicieuse comme jen avais encore jamais eue
jadore te baiser.
Moi aussi. Vous mavez fait jouir comme je navais jamais joui
Je pris son poignet et poussai plus avant ses doigts dans mon anneau. Je fermai les yeux et soupirai sous la caresse.
Quelle salope ! Ten as jamais assez, petit vicieux
cest un compliment que je te fais . Allez, maintenant, il se fait tard, je vais rentrer. Je temmène. Tu restes avec moi ce soir
je nen ai pas fini avec toi !
Cétait sans réplique.
Nous nous rhabillâmes. Il me fit monter dans une camionnette brinquebalante et démarra. Après avoir fait un détour pour me permettre de garer correctement ma voiture, nous repartîmes.
Au bout de quelques kilomètres sur une petite route de campagne idyllique, nous débouchâmes dans une cour de ferme où trônaient de vieux bâtiments ancestraux et une belle bâtisse de pierre. Nous fûmes accueillis par les aboiements dun molosse, saluant le retour de son maître.
Mais, là commence une autre histoire, que jaurai, peut-être, un jour, loccasion de vous conter.
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