Autour Des Chevaux...
Je me présente, Paul, 18ans, grand, brun, les yeux noisette tirant vers le vert pomme, et ma foi sans me vanter, plutôt bien fourni.
Je suis adepte d'équitation depuis mes 12 ans. Il y a 2 ans, j'ai effectué un séjour en colonie de vacances qui me permettrait de passer mon galop 5.
Etant homo depuis ma pré-adolescence, jespérais y rencontrer quelqu'un, mais ce n'était qu'un mince espoir à cause du grand nombre de femmes dans ce sport.
Arrivé le 1er à la colonie, reçu par la monitrice, avec laquelle je sympathise, je lui propose de l'aider à gérer les papiers administratifs des prochains arrivants.
Je commence alors à éplucher les dossiers des personnes avec lesquelles je passerait la prochaine quinzaine.
Comme je m'y attendait, une majorité de filles, et seulement 2 garçons: un petit de 13ans, qui ne correspondait pas du tout à mon style, et un autre de 1an de plus que moi, nommé Ambroise.
Ce dernier paraissait correspondre parfaitement à mon type de mec, mais malheureusement, le fait qu'il soit lui aussi gay serait une coincidence exceptionelle.
Ils finissent par arriver, et j'ai l'occasion de regarder plus en détails le garçon qui me plaisait. Un garçon grand, les cheveux noirs irrisés de reflets bleutés ( j'apprendrait par la suite que ces reflets étaient l'occasion d'une coloration ).
De grands yeux bleus très foncés marquaient son visage immaculé d'aucune imperfection, et son short plutôt court me laissait voir ses jambes musclées par des heures d'exercice physique sur un cheval ( petite parenthèse à ce sujet: on dit souvent que dans ce sport seul le cheval fournit un effort, mais le cavalier en fournit un lui aussi: essayez de passer deux heures sur un cheval à effec ce qui s'apparente à des flexions sans arrêt pour effec un trot correct), et une légère couche de duvet de poils les revouvrait.
Les chambres furent réparties le soir par ordre alphabétique, et par un heureux hasard, je me retrouvait dans la même chambre de deux lits que le garçon que je dévorait des yeux.
De rapides présentations furent faîtes et il me fit part de son envie de prendre une douche dans la salle de bain, celles-ci était heureusement indépendantes à chaque chambre. Pendant que ce bel Apollon assouvissait son besoin d' hygiène, je dressait les lits de notre chambre. Lorsqu'il sortit de la salle d'eau, entouré à la taille d'une simple serviette, il se rendit compte de mon travail de mise en place des draps, et m'en remercia.
Lorsqu'il s'assit sur son lit, il se dévétit de sa serviette. Mon regard put se poser sur son corps nu, ce dont il se rendit compte assez vite:
- "Pourquoi tu me regardes comme ça ? Ca te gêne que je soi nu ?
- Disons que j'ai pas l'habitude que les gens soient aussi peu pudiques devant les autres, mais ça me gêne pas: c'est ton corps t'en fait ce que tu veux."
Malgré mon discours, je continua à regarder minutieusement chaque parcelle de son corps, me révélant alors une verge de bonne taille, mais seulement au repos.
Il se rhabilla alors avec un simple boxer blanc, et se mit au lit.
Le lendemain matin, nous fûmes réveillés vers 7h30, et après un petit déjeuner nous avons enfilé nos tenues de cavalier.
- "Tu pourrais m'aider à mettre mes bottes s'il te plait ? me questionna mon voisin de chambre.
Le caoutchou avait rétréci avec la froideur matinale; je me leva alors, m'agenouilla devant lui alors qu'il était assis sur son lit, et l'aida à enfiler ses bottes. Le fait que je soi en dessous et juste en face de lui me donnait un plan magnifique sur la bosse que formait sa bite à travers son pantalon moulant de cavalier.
Après une journée de cours et de saut de barres, nous avons rentré les chevaux dans les stalles.
Notre monitrice nous demanda alors un petit service:
- "Ambroise et Paul ! Vous pourrez descendre du foin de la grange au dessus de la stalle et la mettre dans les mangeoires des chevaux après le repas ?"
Nous avons ascquiscé d'une même voix, et après avoir pris un repas plutôt bon, nous sommes allés ensemble et en rigolant, en direction de la stalle.
Après avoir fini, j'ai demandé à Ambroise de vérifier si nous n'avions rien oublié à l'étage. Au bout de quelques instants, j'ai entendu la voix de Ambroise qui venait d'en haut.
- "Tu pourrais venir m'aider s'il te plait ?"
Après avoir monté l'échelle, je rejoignit Ambroise.
- "Il y a un problème ?" demandais-je.
Là, il se retourna vers moi, me poussa par les épaules sur un tapis de foin formé par les mottes empilées. Il commença à retirer son T-shirt, révélant ses abdos finement sculptés et des pectoraux à la mesure de sa taille ( c'est à dire relativement bien développés ). Il s'alongea sur moi, me déposant de fins baisers dans le cou, puis remonta vers mes lèvres, pour finir par m'embrasser avec une infinie douceur.
Le voyant continuer à se déshabiller, je fis de même, jusqu'à ce que nous finissions tous les deux en boxer, collés l'un à l'autre, nos queues au garde à vous se frottant pour notre plus grand plaisir.
Après quelques minutes d'embrassades, mon amant commença à descendre ses lèvres vers mon ventre, puis vers ce membre de chair qui constituait tous ses désirs. Il baissa mon boxer, l'enleva, puis pris ma queue entre ses lèvres, et enfin la fourra profondément dans sa bouche. Sa langue me fournissait un plaisir immense, jouant avec mon gland, et avec mes couilles, je dus me retenir de ne pas lâcher mon foutre dans sa bouche après quelques minutes de ce traitement.
Je le pris par la suite par le bassin, et le fis rouler sur le côté, pour finir par me retrouver sur lui. Je lui descendit à mon tour son boxer, révélant une sexe d'une taille prodigieuse, que je pris plaisir à satisfaire de mes lèvres.
Il me manifesta son désir de me pénétrer par quelques paroles sensuelles, et trop content de le satisfaire, je m'exécuta. Je me leva, m'abaissa au niveau de son bassin, pour venir m'empaler sur son membre.
Après quelques minutes, il me fit me relever, m'embrassa, et me demanda de me mettre à genoux face à lui: il se masturba pendant quelques instants, puis lâcha son foutre contre ma joue, celui-ci venant couler à la commissure de mes lèvres. Ambroise s'agenouilla devant moi et me lècha son propre sperme dont il m'avait aspergé, pour ensuite m'embrasser.
Entendant au loin les appels de notre monitrice en quête de notre présence, nous nous sommes rhabillés en vitesse, non sans nous accorder un dernier baisé, avant de descendre du grenier et de rejoindre notre monitrice, qui nous raccompagna vers le dortoir.
Nous sommes par la suite rentrés dans la chambre...
Voîlà pour mon premier récit, faîtes moi savoir dans les commentaires si vous voulez que je retranscrive la suite.
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