La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°293)

Suite de l'épisode précédent N°292 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –

Marie reprend son souffle, en profite pour retourner à ses fourneaux, tourner, avec une grande spatule creuse en bois, le plat en sauce qui mijote, sur l’immense gazinière, à l’intérieur d’un grand et haut faitout de cuivre qui est étincelant de propreté comme tous ceux qui pendent au dessus de la hotte qui recouvre l’ensemble des fourneaux. Le plat est destiné au repas de midi du Châtelain et à l’intérieur de la cocotte se mitonne un bon civet de lièvre que le garde chasse personnel du Marquis a été tué la veille. Marie se retourne, la cuillère encore dégoulinante de sauce bordeaux, qu’elle abat aussi sec sans la moindre délicatesse sur les fesses de Thaïs à plusieurs reprises, qui ont pris une teinte indéterminée entre les marques rougeâtres des impacts de la grande spatule en bois, et les traces de la sauce au vin qui imprégnait l’instrument et qui ont maintenant été se déposer de ci de là sur le postérieur de la soumise qui ne sait pas très bien ce qui lui arrive, à part de constater qu’une fois de plus sa croupe est un lieu de prédilection pour tout ce qui peut venir s’abattre dessus.

- Ces premiers coups, c’est pour t’apprendre que je ne tolère pas qu’un esclave se permette de parler, de gémir ou de se plaindre en ma présence. Je veillerai à ce que tu sois sévèrement punie par notre dévoué Majordome qui va se faire un malin plaisir à t’apprendre la leçon pour que tu ne l’oublies plus jamais, crois-moi sur parole. Moi, je n’ai pas le temps de m’occuper de cela aujourd’hui, la matinée est déjà commencée et il me reste encore plein de choses à préparer avant le repas. Et puis tu es attendue, à l’étage supérieur pour qu’on te prépare sur ordre de Monsieur le Marquis d’Evans. Mais voilà, à cause de toi, ma cuillère est toute sale, je ne peux plus m’en servir et cela fera une chose de plus à laver, sans parler de tes fesses qui sont vraiment dégoutantes et des éclaboussures sur le carrelage.



Marie se retourne en direction du chien servile e6942 qui est resté immobile et n’a pas bronché.

- Toi, le chien, je suppose que tu n’as pas mangé non plus ! Réponds !
- Non, Madame Marie, j’étais chargé de m’occuper de cette esclave-soumise et je n’ai donc pas pu monter prendre ma pitance habituelle à l’heure.
- Et puis, c’est quoi cette position ? Tu n’as plus besoin de faire le plancton maintenant que tu n’es plus chargé de tenir la laisse de celle que tu devais m’amener et que j’ai pris bien en mains. Faut-il te rappeler que, dans ma cuisine, quand ils y sont admis, les chiens se tiennent à quatre pattes, sauf quand ils sont chargés de faire la vaisselle, de la ranger, de faire le service, de laver les murs ou les placards. Et pour l’instant, tu vas commencer par me lécher le cul sale de cette femelle qui est rempli de sauce, cela te fera un bon petit déjeuner car je n’ai pas l’intention de perdre du temps à faire un deuxième service rien pour toi, misérable chien. Tu devras te contenter de cela et tout au contraire savourer la chance que tu as de pouvoir goûter un peu de la sauce du plat que ton Maître va déguster à midi. Mais avant tu vas montrer à cette femelle, comment un chien mâle se comporte en présence d’une chienne en chaleur, en lui reniflant le cul avec le nez, pour bien s’imprégner de ses odeurs intimes, cela devrait pouvoir t’ouvrir l’appétit…

L’esclave e6942 s’est immédiatement mis à quatre pattes, se positionnant derrière Thaïs et commençant à s’approcher presque jusqu’à pouvoir glisser son nez dans la raie des fesses de la belle. Thaïs a les joues en feu de honte et le bas-ventre encore plus à l’idée de se sentir dans cette situation si humiliante, avec quelqu’un qui est en train de la renifler et qui a été chargé de lui lécher les fesses et l’anus. Elle sent sa chatte se mettre à dégouliner de plus en plus, surtout que Marie vient de reprendre une louche pleine de sauce très chaude qu’elle a versé sur les fesses de Thaïs qui a été surprise de la chaleur soudaine presque inquisitrice quand la sauce s’est immiscée dans la raie des fesses, imprégnant son petit trou et finissant par couler sur ses jambes et son entrecuisse.
Mais par chance, Thaïs n’a pas bronché malgré la sensation cuisante, trop occupée dans sa tête à gérer et contrôler son excitation grandissante.

- Tient le chien, voilà largement de quoi te rassasier et peut-être même te faire bander de plaisirs (ajoute Marie d’un ton d’autant plus sarcastique qu’elle sait très bien que l’esclave mâle est encagé, mais il est évident qu’elle prend un malin plaisir sadique à malmener l’esclave qui lui donne un travail supplémentaire). Et surtout tu dépêches, car cette chose insignifiante aussi doit déjeuner après toi. Je lui ai préparé un petit traitement spécial de bienvenue… car pas question qu’elle ait l’estomac plein de choses lourdes à digérer qui finirait par vouloir sortir par l’autre trou alors que le Maître a réclamé sa présence pour la journée.

L’esclave toujours à quatre pattes, passe sa langue rugueuse sur toute la raie des fesses en lapant comme un véritable chien, l’enfonce comme il peut dans l’anus, avale et lèche aussi la chatte, aussi bien le clito, les lèvres intimes qu’à l’intérieur, Thaïs sent un grand plaisir mais ne le montre pas, pour ne pas se faire sermonner par Marie. Il a à peine fini de lécher toutes les traces de sauce dont il a fait son repas, qu’il reçoit de Marie une poussée du pied sur le flan destiné à le faire s’écarter de là sans ménagement.

- C’est bon ! Pousse toi de là maintenant, tu es assez repu comme ça. Va attendre là-bas au coin de la pièce, à genoux et les mains sur la nuque. Je t’ai assez vu pour ce matin, je te sifflerai quand j’en aurai terminé avec la femelle. Tu devras la conduire au premier étage dans la salle de soins. Une de ses sœurs de cachot l’attend déjà, le Maître a exigé qu’elles soient prêtent car il les prend avec Lui toutes les deux dans l’après-midi.

La cuisinière enjambe le corps de Thaïs ne voulant pas prendre le temps d’en faire le tour, laissant trainer au passage sa longue jupe recouverte d’un tablier sur le corps dénudé de la soumise, qui est tout d’un coup étonné de l’odeur forte assez désagréable qui imprègne ses narines, en provenance de l’intimité suintante de la cuisinière qui sent tout autant la sueur due à la chaleur qui règne dans ses lieux de cuisson que les odeurs corporelles féminines, fragrance d’autant plus prégnante que la cuisinière ne porte pas de sous-vêtements sous sa jupe.
Thaïs a bougé la tête de manière presque répulsive et son geste n’est pas passé inaperçue aux terribles yeux tyranniques de Marie, qui n’attendait pas mieux que de trouver un prétexte pour se donner le droit d’un petit plaisir.

- Et bien, la chienne, qu’est-ce qui te prend. Tu as envie de renifler que tu remues du museau. Toutes les mêmes, ces chiennes en chaleur, attirées par tout ce qui leur passe à côté des narines ! Tu voulais sentir et bien tu vas pouvoir goûter.

Marie soulève le pan de sa longue jupe, att l’anneau qui pend au collier de la soumise, et la tire à elle jusqu’à placer le visage de Thaïs sur ses grosses lèvres poisseuses, se servant du visage de la soumise comme elle l’aurait fait d’un simple torchon pour essuyer son intimité trempée tant par la sueur que par les sécrétions rendues plus intenses par le plaisir sadique que prend la cuisinière à maltraiter l’esclave docile. Comme si à ses yeux la soumise ne valait pas mieux qu’un mouchoir sale, elle force de ses grosses mains, le visage à Thaïs à se frotter contre sa chatte. Puis elle impose l’immobilité du visage et oblige l’esclave femelle à lécher la chatte ainsi présentée. Thaïs n’a pas d’autre choix que de sortir sa langue et de lécher avec application les lèvres intimes de la gouvernante. Marie au bout d’un moment se met à gémir de plaisir, plaisir d’ailleurs qui monte encore plus au fil des minutes quand la cuisinière se met à jouir dans les narines de la chienne bien maintenue par des mains fermes aux risques qu’elle s’étouffe. Puis d’un coup, Marie lâche l’anneau du collier de Thaïs et sa prise qui s’affale aussi sec par terre, un peu étourdie par ce passage étouffant entre les cuisses de la cuisinière, dont elle garde les traces humides et collantes de l’orgasme de la Marie, sur tout le visage.

- Hummmmm tu es une bonne chienne… (dit-elle en remettant sa jupe et son tablier en place)… Bien allez … Dépêche toi maintenant de boire ce que je t’ai préparé. C’est bien parce que c’est un ordre express de Monsieur le Marquis d’Evans que tu y as droit, car sache à l’avenir que je n’aime pas ceux et celles qui viennent me déranger après l’heure pour un petit déjeuner qui est servi pour tous les esclaves en même temps, dans le réfectoire et normalement dans leurs gamelles respectives.
Alors tâche de m’en être reconnaissante. Je t’autorise à me dire Merci pour le petit apéritif que je viens de t’offrir sous mes jupes et pour ce que je t’ai préparé.
- M… Merci, Madame Marie (dit timidement Thaïs, qui est étonnée de savoir encore parler tant elle avait le sentiment que ces cordes vocables avaient disparues depuis qu’elle avait été contrainte à respecter un silence absolu, et qui n’ose pas non plus partir dans une plus longue phrase de peur de se voir une fois de plus rabrouée)
- Bon, c’est bien ! Au moins, tu sais déjà comment je m’appelle… Derrière toi, tu vas trouver deux biberons spéciaux à ta disposition. Tu les prends en bouche l’un après l’autre en commençant par celui qui est blanc et tu bois tout sans t’arrêter. Il y a dedans tout ce qu’il te faut pour te garder en bonne santé. Mais tu bois en restant à quatre pattes, juste avec ta bouche et tes lèvres qui vont travailler et cela bien sûr sans te servir de tes mains … (puis continuant d’un ton plus que sardonique) juste comme un petit chiot qui téterait sa mère, enfin ce ne sera pas vraiment cela !

Thaïs, qui s’était remise à quatre pattes se retourne pour apercevoir effectivement sur le mur en face deux récipients qui sont accrochés sur le mur. Mais ce ne sont pas à proprement parlé des biberons pour bébé puisqu’ils ont la forme de gros phallus accrochés à l’horizontale à hauteur de sa bouche, dont le gland n’est autre que l’équivalent d’une tétine, munie d’un très petit trou. La soumise ouvre la bouche pour faire entrer le premier pénis factice de couleur blanche, ou plus exactement la tétine-gland souple qui se trouve au bout. C’est une mixture homogène qui sort et qui lui rappelle presque les poudres toute prêtes de substitut de repas qu’elle a eu parfois l’occasion de goûter. Elle se met à téter heureuse de pouvoir se restaurer pour prendre des forces en se disant que finalement la journée ne fait que commencer, même s’il lui semble qu’il s’est déjà passé plein de choses. Le deuxième volumineux pénis factice est plus gros et couleur chair de la taille d’un phallus humain d’un Homme très bien membré, et contrairement au premier il ne possède pas en son bout de tétine flexible sur lequel elle pourrait exercer une pression quelconque avec ses lèvres et sa langue pour faire sortir le liquide. Elle a beaucoup de mal à téter et malgré des efforts assez conséquents rien ne semble couler du minuscule petit trou qui se trouve au bout. Marie intervient sur ces entrefaites.

- Si tu ouvres un peu plus la bouche pour le fourrer à l’intérieur, tu t’apercevras que cela marche mieux.

Thaïs se trouve d’autant plus obligée d’ouvrir la bouche à l’extrême que Marie qui a posé sa main ferme sur l’arrière du crâne de la soumise la propulse vers l’avant, la forçant à entrer le phallus sur une bonne longueur de plusieurs centimètres. Presque aussi instantanément, un liquide coule dans le gosier de Thaïs qui semble avoir le goût de lait nature, car la partie souple et flexible qui permet d’exercer des pressions se trouve au milieu de la hampe. Elle apprécie grandement de pouvoir s’hydrater mais semble assez mal à l’aise pour boire, ne pouvant gérer à la fois la déglutition et la respiration. Elle doit se reculer de nombreuses fois avant d’arriver à vider entièrement le contenu de cet énorme phallus et c’est presque essoufflée qu’elle se dégage enfin après avoir terminé, Pendant ce temps là, Marie était repartie à ses fourneaux pour s’occuper du repas en préparation, et tandis que dans les pièces dessertes voisines, plusieurs esclaves avaient été chargés de s’installer pour commencer l’épluchage des légumes et les préparations culinaires et que les autres vaquaient plus aux opérations quotidiennes de ménage. Voyant que la soumise venait de terminer sa collation, Marie ajoute :

- Bon, c’est pas mal pour une première fois. Il faudra apprendre à t’entraîner pour boire plus vite, mais la plupart du temps, ce sera dans ta gamelle que ton repas te sera servi dans le réfectoire. Chacun étant chargé à tour de rôle d’assumer le service, le nettoyage et le rangement de la salle. Tu n’échapperas pas aux corvées, soit en certaine, même si ce ne sera que les jours où ton Maître, Monsieur le Marquis d’Evans n’aura rien prévu d’autre pour toi.

Thaïs est plutôt contente de sentir que la voix de Marie s’est enfin radoucie dans ses dernières paroles, signe qu’elle n’a pas dû lui faire une trop mauvaise impression, ce qui la rassure un peu, car elle avait vraiment craint au début cette grande femme autoritaire presque à la carrure athlétique et maniant bien la cravache et le fouet de cuisine pour participer au dressage des esclaves du cheptel du Marquis Edouard d’Evans. Marie, d’un ton très directif cette fois, ajoute :

- Toi, le chien, approche sans perdre un instant, vient lécher de ta langue de petit cabot le carrelage pour nettoyer les éclaboussures de la sauce, et la femelle va d’ailleurs t’aider et après tu te dépêcheras de conduire l’esclave-soumise comme il t’a été indiqué.

Les deux esclaves à quatre pattes s’empresse en position de levrette de lécher les carreaux tandis que Marie prend un pervers plaisir à les fesser abondement à tour de rôle. C’est avec les fesses très rougies qu’ils finissent leur labeur quand Marie, laconique, tendant le bras horizontalement et montrant du doigt la sortie en donnant cet ordre :

- Déguerpissez tous les deux. J’ai à faire.

Marie pousse Thaïs d’un coup de pied ferme sur son arrière-train, en direction de la sortie pour bien marquer l’emprise qu’elle garde sur le territoire qui n’est pas à elle, puisque faisant partie intégrante du Château du Marquis d’Evans mais qu’avec les nombreuses années passées au service exclusif du Marquis d’Evans, elle a presque fini par considérer comme étant un peu son petit domaine à elle, ses cuisines et les offices annexes, où son plaisir pervers et sadique peut souvent trouver de quoi se satisfaire, avec le plein accord du Châtelain qui a toute confiance envers la dévouée domestique qui fait presque partie des meubles à demeure, connaissant en outre toutes les habitudes et tous les goûts de Monsieur le Marquis d’Evans.

(A suivre…..)

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