Antoine Et Sophie
La première fois
Sophie ne se sentait pas très bien. Aujourd'hui, elle allait franchir un cap quelle sétait toujours refusé de passer. Pourtant, Antoine la harcelait depuis si longtemps et elle devait bien reconnaître quelle le trouvait très attirant. Mais, tromper son mari, dont elle restait très amoureuse à 40 ans, ne faisait pas partie des options envisageables. Il avait fallu plus que les demandes dAntoine et ses attentions touchantes. Beaucoup plus ! En fait, cétait son mari, lui-même, qui lavait conduite à accepter ce RDV
Oui, cétait son merveilleux époux qui, en la délaissant pour des raisons professionnelles quelle comprenait mais qui la frustraient, avait provoqué une montée du désir en elle. Antoine, au courant du sur bookage du mari, avait accentué la pression. Le dernier WE, il lavait coincée dans la cuisine et il avait réussi à lui mettre une main dans le tanga. Elle avait faillit se laisser aller et cétait la voix de son futur cocu qui lavait rappelée à lordre. Mais, Antoine avait constaté quelle mouillait et, plus ou moins, menacée de le dire au mari si elle continuait à refuser de baiser avec lui. Cétait les mots dAntoine et son ton très persuasif, directif, même, qui lavait conduite à céder. Ce dimanche soir, avant de partir, il lui avait dit :
« Je tappelle demain pour fixer un RDV »
Sophie était restée bouche bée. A ce moment là, elle sentait quelle ne pourrait pas résister. Et, le lundi vers 8h, il lavait appelée sur son portable.
« Mercredi à 14h tu viens me rejoindre à lhôtel IBIS. Je tattendrais dans le hall.
Sois bien à lheure et habille-toi sexy. Si tu me fais faux bond, jenverrais un message à ton mari pour lui dire que tu mas fait toucher ton tanga, dimanche, et que tu mouillais comme une cochonne
Et, crois moi, il me fera confiance ! »
« Mais, je ne peux pas. Je bosse mercredi après midi ! »
« Les RTT que tu dois prendre sont faits pour ça ! Je sais, cest toi qui me las dis, que tu peux en poser quand tu veux, en ce moment
Donc, mercredi 14h et jexige que ta chatte soit lisse !!! »
Il raccrocha sans lui laisser le temps de répondre.
Mais, en ce mercredi, à 13h55, elle avait une boule au ventre. Elle portait une mini jupe (très mini) en jean. Un top moulant qui dessinait, trop, ses seins magnifiques.
Des Dim up noirs qui mettaient merveilleusement bien en valeur ses superbes jambes , galbées par le port descarpins à talons très hauts. Un très joli ensemble soutien gorge et tanga, noirs aussi, quelle avait reçu à Noël
Cependant, elle avait envie de pleurer en pensant à lacte ignoble quelle allait commettre !!!
Antoine était là. Toujours aussi sûr de lui et beau comme un dieu. Il suffisait de regarder la femme à laccueil pour se convaincre quil plaisait. Elle le dévorait des yeux et elle fit une grimace en le voyant prendre la main de Sophie. Sans rien dire, il la conduisit vers lascenseur et appuya sur le bouton du deuxième étage. Les portes refermées sur eux, il la plaqua contre la paroi et sempara de sa bouche. Quelque chose craqua en elle. Elle engouffra sa langue dans cette bouche et lui rendit un baiser fougueux et prometteur ! Une fois dans la chambre, il la fixa un instant puis lui dit :
« Mets toi à poil ! Tu ne gardes que les bas et les chaussures. Je veux que tu fasses acte de soumission !!! »
Sophie se sentit déstabilisée par cet ordre et le ton très impératif. Antoine ne serait pas un amant contemplatif. Il allait la faire plier et ravaler sa fierté de femme. Oui, il voulait devenir son maître. Cela leffrayait, mais lexcitait aussi
Elle retira, donc, sa jupe, son top, puis ses sous vêtements.
« A genoux et suce
Ne fait pas semblant ! »
Elle sexécuta, prit la bite dans ses mains et eut bien du mal à gober le gland, qui lui remplissait la bouche
Il grossissait et durcissait et elle devait bien admettre que cétait agréable. Quand il voulu une gorge profonde, elle cru et paniqua un peu. Mais, il ne lui fit grâce de rien et, finalement, elle en fut plus excitée
Il la fit mettre en levrette sur le lit et il plaça son gland à lentrée de sa chatte, qui était très humide. Elle lui demanda de mettre une capote et elle reçu une grosse claque sur les fesses.
« Tu rigoles ? Je vais te baiser comme une salope et sans capotes
Et, cest bien dommage que je ne puisse pas tengrosser
Parce quainsi, le cocu serait encore plus humilié !!! »
Jamais on ne lavait autant remplie et il la défonçait sauvagement ! Ses coups de queue la faisait crier et cela lui plaisait tellement, quelle en était troublée. Elle qui avait toujours cru que la douceur lui convenait parfaitement, elle se rendait compte que la bestialité dAntoine la rendait folle de plaisirs
Sa vie était en train de basculer. Comment pourrait elle se passer dune bite comme celle-ci ? Amoureuse de son mari, elle allait devenir accro au sexe dun autre homme
Le premier orgasme vint si vite, quelle ne s'en rendit pas bien compte. Mais, Antoine ne marqua pas le moindre temps darrêt et continua à la labourer tout en lui claqua le cul et en la traitant de chienne et de salope, voir de pute
A plusieurs reprises, elle cru sévanouir
Puis, vint le moment où il lui glissa un doigt dans le cul, alors quelle atteignait son quatrième orgasme en moins de 30 minutes. Elle sursauta et il lui dit :
« Reste tranquille, je vais te préparer pour pouvoir te péter le fion ! Jen ai envie depuis la première fois que jai vu ton cul sur une plage.
Sophie ne pratiquait jamais la sodomie sans de très longues préparations et après de, non moins, longues négociations. Son mari ny était parvenu quune poignée de fois depuis le début de leur relation. Mais, Antoine avait une si grosse bite, quelle excluait quil puisse lenculer ! Elle lui dit que ce nétait pas possible. Il lui colla une énorme claque sur le cul et enfonça un deuxième doigt dans létroit passage, la faisant hurler de douleur.
« Ferme ta gueule ! Tu ne seras pas la première à qui je défoncerais du cul et comme les autres, tu vas ty faire ! Et il vaut mieux, pour toi, que tu sois plus détendue et résignée, sinon, tu vas morfler sévèrement !!! »
Sophie pleurait, mais il venait de limmobiliser à plat ventre sur le lit et écartait ses jolies fesses, rougies par les claques. Il fit longuement coulisser ses doigts dans la grotte, élargissant sensiblement, lorifice. Elle sentit le moment où il posa son gland sur létroit anus. Une nouvelle fois, elle le supplia de ne pas le faire, mais il donna un violent coup de rein qui fit pénétrer le gland de quelques centimètres. Il se retira, alors quelle venait de crier et elle cru quil allait renoncer. Bien sûr, il nen fut rien. Et il remit son gros gland en position, pour lenfoncer un peu plus, en forçant un peu moins. Trois fois, il se retira et replongea. Chaque fois, elle cria et supplia. Enfin, il donna un deuxième coup de rein après avoir planté son gland et sa queue entra de moitié dans les reins de la douce Sophie. La douleur était moindre quelle ne laurait imaginé. Il fit une pause avant de donner le coup de grâce. Maintenant, il était profondément dans son cul et il lui dit quil adorait y être.
Commença un va et vient de plus en plus rapide, qui lui déclencha un ensemble pervers de douleur et de plaisir. En 5 minutes, il jouit abondamment au fond de son cul. Elle navait pas eut dorgasme, mais elle du reconnaître quelle aurait pu jouir sil avait tenu plus longtemps.
Essoufflés, ils restèrent un bon moment allongés sans rien dire. Puis, Antoine exigea quelle lui nettoie la bite avec sa langue. Sophie, sexécuta, consciente que dorénavant, elle était sa chose sexuelle
Comme il se remit à bander, il lui ordonna de venir sempaler sur sa queue. Elle se fit un plaisir de le chevaucher et il la laissa jouir une nouvelle fois. Après quoi, il lencula de nouveau. Son foutre du aider à une pénétration plus facile. Il lui conseilla de se branler le con pendant quil lui bourrait le fion et elle obtint un orgasme très intense. Il voulu quelle le finisse avec sa bouche et elle exhaussa son désir, comme la bonne petit chienne quelle allait être.
Ils allèrent prendre une douche. Antoine lui dit quelle devrait venir chez lui le samedi à 14h, pour une nouvelle séance. Elle ne protesta pas et jura quelle ne porterait pas de culotte pour ce RDV. Quand ils passèrent devant la fille de la réception, Antoine la fit sarrêter et dit :
« Tu vois Karine, cette femme vient de recevoir sa première leçon de soumission et si tout va bien, elle sera parfaite pour nos jeux dans quelques temps. Jespère que tu tes régalée en nous regardant sur le circuit de surveillance interne
»
« Oui, cétait sympa. Elle me semble très douée et je te fais confiance pour la dresser !!! »
Sophie nen croyait pas ses oreilles. Cette fois, le piège se refermait définitivement sur elle
Lexistence même dune vidéo sous entendait quelle pourrait faire lobjet dun odieux chantage. Mais, ne le souhaitait elle pas ???
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