Le Piège
Le piège, cest ainsi quon pourrait baptiser notre soirée. Jétais avec mon amante Lucienne répondant à une invitation dun copain. Il mavait dit :
- Cette soirée est placée sur le signe de la liberté. Vient avec ton amie, vous ne le regretterez pas.
- Cest sur ? Je me méfie de tes invitations.
- Sois sans crainte.
Cest pour ça que pleines despoir nous allons chez lui. Normalement il est de parole, je ne sais pourquoi je me méfie. Mais, Lucienne a toujours en tête une soirée particulièrement hot. Elle aime batifoler de droite et de gauche, se faire baiser par
. peu importe qui.
Mes doutes se confirment dès lentrée : un bel homme nu se promène devant nous : il nous dit un bonsoir rapide pour attr par le bras une fille aussi nue que lui. Si Lucienne est satisfaite, je reste sur mon impression de méfiance.
Ce nest pas que je naime pas baiser, puisque cest dans une soirée similaire que jai rencontré la femme de ma vie : Lucienne. Cétait l époque où je cherchais encore ma voie : homme ou femme. Quelques rare fois je trouvais une bite pour calmer mon envie de sodomie profonde.
Bref cette soirée qui devait être calme se révélait nêtre quune partouze organisée. Notre arrivée était saluée par les hommes présents : il manquait des femmes pour les contenter. Lucienne était vite en tenue, à savoir toute nue. Jhésitais encore avant de me déshabiller.
Quand jau vu que Lucienne était demandé par deux hommes assez bien montés je lenviais presque : javais brusquement envie de me faire enculer. Je surveillais Lucienne qui entrainée sur un matelas, était dabord pelotée par quatre mains, ensuite elle se laissait baiser sur un des hommes pour se retrouver avec une autre bite dans le cul.
Je lenviais un peu quand à mon tour, deux hommes venaient minviter, comme dans un bal pour participer à un nouveau jeu que davance je connaissais.
A mon tour sur un divan je devenais leur jouet du moment.
Je me trouvais prise sans lavoir désiré par ces deux copains qui avaient lair de sentendre comme larron en foire. Je devenais une proie consentante quand le premier est venu me coucher sur le divan : jécartais les jambes pour le recevoir. Sa bite était douce dans mon puits. Il me limait comme je ne lavais pas était depuis je ne sais combien de temps. Il me réconciliait avec les hommes : en me faisant jouir il me rendait heureuse de vivre. Il sest tourné pour que je sois sur lui.
Je sentais sur mon dos des caresses de son copain. Elles devenaient plus précises quand il me cajolait les fesses, surtout la raie. Malgré moi jouvrai mon fondement. Il est venu par derrière, sa bite bien raidie pour me sodomiser. Jadore me faire mettre pas cet orifice. Il devait aimer cette façon de faire puisquil est entré sans problème avec beaucoup de « professionnalisme ». Jai eu la chance de tomber sur deux amants qui baisaient à leur rythme propre. Pour mes deux trous cétait parfait. Je jouissais plus que dhabitude.
Je voyais que Lucienne était aussi prise par deux hommes à la fois, elle avait changé damants puisquelle se faisait baiser en suçant le second. Elle tenait dans sa main la base de la bite et avait lautre dans la bouche. Jétais un peu jalouse de la voir sucer un autre sexe que le mien.
Pour moi les choses tournaient bien : je jouissais sans entrave longuement. Jaurais souhaitais que mes deux profiteurs ne jouissent pas rapidement. Cétait le cas, ils me lont mise longuement, mais toutes bonne chose a une fin. Ils ont largué leur sperme dans mes trous.
Lucienne avait le clitoris libre, jen profitais pour aller loccuper avec ma bouche. Elle était baisée par larrière, par-dessus le cul. Javais la place pour passer ma bouche. Je prenais son bouton entre mes lèvres pour la lécher. Je ne sais si mon intervention la faite jouir plus vite, en tout cas elle est partie vers les étoiles du plaisir.
Jallais partir avec Lucienne quand mon copain est venu : il voulait faire lamour avec nous deux. Lucienne était daccord. Jétais réticente à cause de sa queue trop grosse pour moi. Je laissais Lucienne se faire baiser. Je les regardais faire en me masturbant. Lucienne en avait assez de se faire mettre couchée. Elle obtenait de venir sur le copain. Heureusement elle était bien placé pour se mettre cette énormité, il était monté comme un âne. Elle na pas pu tout se mettre dans le vagin : la seule partie était plus que suffisante pour la contenter. Quand elle sest débarrassée de la bite, le sperme coulait de son entrejambe.
Comme moi, elle était dégoutée de ce genre dhomme qui ne pensent quà leur propre plaisir.
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