Un Agent Immobilier Très Entreprenant

Samedi 17 mai, il fait un soleil radieux sur Creteil. Bruno, j’ai 46 ans, marié, 1,85 pour 75 kg, poivre et sel. Je vis depuis 5 mois en célibataire la semaine, ma femme et mes s sont partis à Orléans à la suite d’une mutation professionnelle de ma femme. J’occupe notre T4 que j’ai mis en vente. Vide de tous les meubles sauf du minimum pour survivre, je fais un peu du camping. Les week end normalement je pars à Orléans mais ce samedi ensoleillé je le consacre aux visites pour la vente. Le premier rdv à 10h, se passe très vite. La jeune femme, la quarantaine semble intéressée mais sans plus. Elle veut une exclusivité, ce que je me refuse pour le moment. A 14h30, j’ai un rdv avec un agent très commercial au demeurant, très entreprenant, un bon quoi. Il m’a dit au téléphone quelques jours auparavant qu’il serait accompagné d’un petit stagiaire.
12h30, je me fais réchauffer un plat au microonde, je fais vite fait le tour de l’appartement bien qu’il soit vide et je range un peu ma chambre qui se compose d’un porte vêtement, des sacs de voyage, un lit, et une télé. Je zappe la télé rien à regarder alors je branche mon ordi et le relie à Internet pour aller voir un porno. Cela me détend et l’éloignement de ma femme a développé un besoin de me masturber bien plus qu’à l’ordinaire. Ayant un peu de temps devant, je ne prends pas de risque ; comme les pornos c’est toujours la même chose il ne faut pas longtemps pour que j’ai envie de me caresser et de me laisser aller à un plaisir solitaire. Une fois que je suis bien excité et que mes 18 cm le réclame, je vais dans la salle de bain et laisse mes désirs s’exprimer par de beaux jets de ma semence qui était stockées depuis une semaine. Je nettoie le lavabo, le miroir qui a reçu quelques projections, passes sous la douche et vais m’habiller.
14h30 tapantes, l’interphone sonne. Je suis au 2ème sans ascenseur avec vue sur l’escalier. Je vois un jeune homme pas 40 ans monté quatre à quatre les marches, je l’accueille sur le seuil de ma porte et avec un sourire commercial digne d’une grande marque de dentifrice, il se présente.

Il parle si vite que je n’ai pas le temps de retenir son nom. Il essuie ses pieds sur le paillasson comme on lui a appris à l’école et entre tout de go dans mon appartement. Surprenant même s’il fait beau, il est en bermuda noir, tee shirt échancré noir, lunettes sur les cheveux, petites baskets de toile. Très velu, ses jambes arborent une toison de poils et une touffe apparaît en haut de son torse. Surpris qu’il soit seul, il m’indique que le jeune stagiaire a fait faux bon. Je ne me formalise pas et l’invite à s’installer dans la cuisine où il y a une table et deux chaises.
Après avoir rapidement cerné le contexte, il commence une série de questions qui me surprennent au début. Il me dit
- Vous êtes mariés, des s, vous êtes seuls ici actuellement, vous travaillez dans quoi
Tout un tas de questions qui n’ont rien à voir avec le prix de vente de mon bien. Cela ressemble plus à une présentation de mon CV qu’autre chose. Ne pouvant même pas lui offrir un café je laisse continuer la litanie de ses questions et un peu agacé je lui dis
- Et vous vous êtes mariés, des s, quel âge
Pensant lui rendre la pareille et le déstabiliser tellement il entrait dans ma vie. Il me dit alors
- Divorcé, mais en couple maintenant
Je ne relevais pas et nous commencions à faire les mesures des pièces. Apres les chambres des s, la salle de bain où il se permit de me dire que j’avais un très bon gout pour les parfums, nous passions par les WC pour arriver à ma chambre qui était il est vrai un peu en bordel. A ce moment là mon portable sonne dans la cuisine, je m’excuse auprès de lui et vais répondre. C’était une autre agence qui me demandait si elle pouvait passer le dimanche vers 11h pour visiter. N’ayant pas de contraindre je lui donnais mon accord. Alors que je raccrochais je me rendais il est vrai sans bruit dans ma chambre où je l’avais laissé, sans qu’il ne me voit, je le surprends en train de renifler mes boxers mis au sale en attendant de les déposer au pressing.
Je ne dis rien et reviens sur mes pas pour retourner à ma chambre en parlant fort pour lui laisser le temps de reposer mes vêtements et ne pas le surprendre. Je suis vraiment très cool. Effectivement, le bruit lui a permis de déposer mes affaires mais je le sens troublé. En plus son bermuda noir, alors que je ne mate jamais les mecs comme cela a une forme des plus explicites, je pense qu’à ce moment là il a une érection. Ne cherchant pas midi à quatorze heures, c’est peut être son trip, je ne cherche pas à le mettre mal à l’aise.
Alors que nous quittons cette pièce pour nous rendre dans la salle à manger, sans aucune pudeur, ni même gène il me demande si il peut utiliser mes toilettes. Etant courtois et civilisé je ne peux lui refuser. Sauf que la pause aux toilettes me paraît un peu longue et j’avoue sans être choqué ou pudibond que la scène m’a quelque peu étonnée. En effet, bien que la porte soit fermée je pouvais entendre distinctement des râles. Interloqué et surpris par le temps qu’il mettait, je me racle la gorge pour lui demander si tout va bien. D’une voix chancelante, lui ai-je fait peur il me répondit que tout allait bien et d’ailleurs quelques secondes après il tirait la chasse d’eau. Je me suis dis alors qu’il avait du faire la grosse commission, ce qui me semble étrange quand on va chez des inconnus. Apres tout on voit de tout maintenant.
Revenus dans la cuisine il recommence ses questions plus personnelles qui n’ont rien à voir et me flatte quand je lui dis mon âge, il me dit
- Vous faites plus jeune, vous faites du sport
A ce moment là je n’avais qu’une envie celle de lui renvoyer des questions personnelles ou de l’envoyer chier et de lui demander si il voulait aussi connaître la taille de mon pénis. Je lui dis
- Merci c’est sympa et vous ?
- 36
- On a 10 ans d’écart, avant la quarantaine il faut en profites, des s ?
Je sentais que la question le gênait un peu mais en bon commercial il s’en sortait par une pirouette
- En fait je suis en couple mais avec un homme
- De nos jours c’est courant, il n’y a pas de honte à avoir
Je le sentais rassuré et libéré.
Nous avions oublié de mesurer une pièce qui sert de cellier. Je lui proposais de le faire avec lui car il était encombré. Inéluctablement nos corps se touchaient, plutôt se frottaient mais je ne pensais pas que cela entrainerait chez lui une telle pulsion.
Il me bloqua contre le mur et me posa ses lèvres sur les miennes ; tétanisé je fermais mes lèvres pas prêtes à accueillir la langue d’un homme. Tres vite il comprit que j’étais dans l’embarras et il passait une main sur mes parties. Même sous le jean et en boxer, je sentais une émotion montée en moi. Il sentait tres bon, étaient-ce les effluves du parfum, le manque de sexe, je m’abandonnais à lui. Il dégrafait mon jean et avec habilité, plaçait sa main sur mon boxer pour faire durcir mon sexe. Il me dit
- Pas mal foutu pour 46 ans, combien 17, 18, 20 cm
Je ne répondais pas. J’étais calé dans ce cellier de 2m2 en train de me faire toucher par un minot de 10 ans plus jeune. Il dégrafa son bermuda pour laisser apparaître un sexe, il ne portait pas de dessous et visiblement je lui faisais de l’effet. Il commença à me malaxer les bourses, puis à masturber mon pénis pour enfin venir poser ses lèvres sur mon sexe et le prendre en bouche. A ce moment là je me laissais aller totalement. En position inconfortable et étant allé déjà assez loin, de risque que mes voisins me voient avec cet homme dans ma cuisine, je lui proposais d’aller sur mon lit. Il aimait le risque et l’aventure et me dit
- Non il y a une table on sera bien là
Je refusais lui démontrant que des voisins pourraient se rincer l’œil. Nous allions finalement dans ma chambre et le temps de parcourir les 10 mètres il était nu. Je dois dire qu’il était vraiment bien foutu, très velu plus que moi, un corps bien sculpté, un sexe impressionnant, au moins 20 cm et surtout comme moi il avait un beau diamètre. Tout ceci était parfait mais mis à part des pornos, je n’avais rien fait avec un homme et même si je n’étais pas insensible à la fellation qu’il avait commencé, je ne voyais pas aller plus loin.
Il reprenait son ouvrage sur mon sexe et je comprenais mieux pourquoi il était venu seul, pourquoi il avait tant insisté pour que je sois seul, je lui demandais
- Le p’tit jeune c’était un faux plan,
Il quittait mon sexe et d’un regard malicieux me dit
- J’ai craqué sur votre voix au téléphone et vous me plaisez beaucoup
- Vous avez beaucoup de clients comme moi ?
- Non mais là c’est du bon choix
- Merci
Il poursuivait alors une fellation de rêve, aussi bien que ma femme. Je me laissais aller totalement et me surpris à pousser sa tête pour qu’il gobe encore plus mon sexe. Apres quelques minutes, je lâchais 6 giclées puissantes, qu’il avalait. Il termina en me léchant le gland rosi et en essuyant le sperme qui avait un peu débordé de sa bouche au moment de l’éjaculation. Il était nu sur mon lit, je reprenais mes esprits. J’étais passif et il attendait que je m’occupe de lui. Sauf que je lui dis alors
- Je n’ai jamais fait ça avec un homme, on fait quoi
- Ben faites moi une bonne bouffarde
Je portais ma bouche sur son énorme sexe en érection, je poussais le prépuce pour tenir entre mes lèvres son gland bombé de sang et je commençais avec maladresse à faire des va et vient. Son insistance à pousser ma tête sur son sexe faisait que son sexe tapait sur mon palais et j’avais une énorme envie de vomir. Pour ne pas aller plus loin, j’arrêtais et lui proposais de le finir à la main car je n’y arrivais pas. Je finis de le masturber et il lâcha de superbes giclées sur son torse velu. Il respira fort, étala sa semence et me demanda de me coucher sur lui. Son parfum se mêlait au mien. Je me levais et il donnais une serviette pour s’essuyer. Il revint dans le couloir ramassa ses affaires, se rhabilla. J’allais chercher mes affaires dans le cellier, il était de nouveau assis dans la cuisine comme si rien ne s’était passé. Il fermait son ordi, rangeait ses affaires et avant de partir me dit
- Ce soir vous êtes dispo ?
- Eh oui, comme tous les samedis quand je suis là
- Ça vous dit 20h, on se fait une pizza et une bonne baise
- Allons pour 20h
Je le raccompagnais, il passait sa main sur mes parties à travers mon jean et me dit
- Pas mal pour 46 ans, vous avez des préservatifs
- Non car avec ma femme c’est nature
Il sourit et d’un signe de la main levait son pouce
- J’amène ce qu’il faut
- A tout
- A plus
Reparti, je remettais mes idées en place. Je culpabilisais de m’envoyer en l’air avec ce jeune homme dont le prénom et le nom m’échappaient. Nous n’avions pas reparlé de la vente non plus.
10 mn après je recevais un SMS : prenez une douche et des forces on en a pour la nuit
Par précaution j’envoyais un texto à l’agence qui devenait venir le dimanche pour annuler. J’appelais ma femme et allais prendre une douche tonique après tant d’émotion.
La suite bientôt

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