Séminaire (3)

Je remonte ensuite dans ma chambre, Dylan est sous la douche. Je décide d’aller fumer une cigarette sur la terrasse pendant que la salle de bain est occupée. Je traverse donc les épais rideaux et me pose sur la terrasse ensoleillée. Je scrute le magnifique ciel de l’Ardèche pendant de longues minutes, le torse poisseux et les fesses encore rouges des secousses de mon cher rugbyman. Dans un étrange concours de circonstance, je retourne à l’intérieur au moment où Dylan sort de la salle de bain, nu ! Mais encore une fois, le jeune homme pudique effrayé et honteux cours dans la salle de bain enfiler une serviette pour cacher sa nudité. A travers la porte il me crie « je suis désolé Robin, je t’avais pas entendu revenir, je pensais être seul dans la chambre… ». « Ne t’en fais pas, t’es pas le premier homme nu que je vois… (« Aujourd’hui ! », pense-je dans ma tête) ». « Oui mais ça me gêne quand même ! » « T’inquiète pas, on est tous faits pareil ! » lançais-je alors que de ce que j’avais pu apercevoir avant qu’il ne court dans la salle de bain affirmait tout le contraire. En effet, il me semblait n’avoir jamais vu un membre aussi imposant au repos. Quoi qu’il en soit, le stagiaire ne semblait pas être une cible facile pour mon plus grand malheur…
Quand Dylan ressort, serviette à la taille, il enfile vite de nouveaux habits et quitte la chambre, encore très mal à l’aise. Je prends donc sa place dans la douche puis me sèche rapidement. J’enfile un short en jean, un t-shirt à col V et des New Balance puis descends dans le hall de l’hôtel pour y retrouver mes collègues. J’entrevois Dylan discuter avec un collègue et fuyant mon regard comme la peste. Ne sachant que faire pour occuper mon temps, je me rends au minigolf avec un ami et collègue, Julien. Il a 24 ans, d’origine latine, mesure 1.85m environ, et a un physique de footballeur, un torse bien développé et des jambes fines mais musclées. Il porte aussi une barbe très sexy. Son physique lui vaut la réputation du tombeur de la boite.

Il ne manque d’ailleurs jamais de raconter ses conquêtes au boulot pendant la pause. Nous arrivons donc sur le terrain de minigolf et rigolons plutôt bien pendant la partie. L’heure de l’apéro arrive et nous nous rendons au bar retrouver nos confrères. Nous buvons quelques canons puis Julien se rends aux toilettes. Ma soif de sexe n’étant jamais assouvie, je le suis pour voir par-dessus l’urinoir si le « tombeur » est bien équipé. Je le rejoins donc naturellement et me pose à l’urinoir voisin. Julien sifflote tranquillement et mes yeux dérivent sur son bassin. Une belle queue non circoncise s’offre à ma vue. De taille régulière, elle ne semble pas être extraordinaire mais elle en soutenue par deux énormes testicules poilus à souhait. Je meurs d’envie d’y gouter mais Julien s’aperçois de mon voyeurisme et remballe vite fait son attirail avant de retourner au bar. Voilà qui confirme la pure hétérosexualité de mon ami, à mon grand désespoir…
Plus tard dans la soirée, les employés ont prévu une sortie en boite dans une ville non loin d’ici. J’accepte directement et nous voilà tous partis. Inutile de raconter ce qu’il s’est passé dans cette boite, ce qui se passe après est bien plus intéressant. Nous sommes rentrés aux alentours de 4h du matin, la plupart d’entre nous bien alcoolisés, certains même trop, moi inclus. Je regagnai ma chambre non sans mal. Dylan dormait déjà dans le lit, je me glissai alors sous les draps et sous l’emprise de l’alcool, entrepris de caresser le stagiaire durant son sommeil. Le bel homme dormait à point fermé, la chambre était dans le noir complet. Ma main longea la cuisse du garçon doucement et je remarquai alors qu’il ne portait pas de sous-vêtements. Je me mis directement à bander dur. Je continuai à remonter ma main et sentis des poils caresser mes phalanges, j’arrivai à ses couilles, densément poilues. Je les palpais puis j’avançais ma tête pour venir les gober langoureusement. Toujours sans aucune réaction de l’intéressé, ma langue remonta sur sa hampe qui m’avait soudain l’air beaucoup moins grosse que ce que j’avais aperçu, sans doute était-ce la faute à l’alcool dont j’étais imbibé. Je m’affairai alors à sucer ce morceau de chair qui prenait de l’ampleur dans ma bouche au fur et à mesure. Je glissai un doigt dans le cul de l’étalon endormi espérant le faire réagir mais toujours rien, il dormait comme une masse. J’en profitai alors pour l’utiliser tel un gode. Je lui enfilai un préservatif et m’enfourcha presque directement sur lui, sans aucune réaction de sa part encore. Je me secouais au-dessus de lui et pendant une bonne dizaine de minute avant que je ne sente son organe de contracter. Je me retirai alors prestement afin de recueillir son jus en moi. Je le repris en bouche et avala les longues giclées de sperme qu’il m’offrait à sa propre insu. Je m’endormi ensuite à ses côtés. A mon réveil, j’entendais encore mon compagnon de nuit dormir de l’autre côté du lit. Je me retournai pour l’observer dormir et qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir Julien dans le lit. Je scrutai la chambre dans l’incompréhension la plus totale avant de réaliser que ce n’était pas la mienne. Je rassemblai rapidement mes affaires et quittait discrètement la chambre, heureux comme un fou d’avoir pu « essayer le jouet » de Julien. Je retournai dans ma chambre, Dylan était déjà descendu petit déjeuner. Je m’habillai pour la réunion et descendit déjeuner à mon tour. Julien arriva 20min plus tard et s’assit à ma table. « J’ai fait un rêve super bizarre cette nuit, tu me suçais et je t’enculais, faut vraiment que j’arrête ces somnifères que ma filé ma copine ! ». Je riais dans ma tête et lui disait à haute voix à quel point les rêves sont parfois étranges…
Apres la réunion, je remontai dans la chambre et aperçu que ma chemise était sale. Je descendis alors au service de pressing de l’hôtel situé au sous-sol… (À suivre)