La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°294)

L'esclave mâle servlyon au château (suite de l'épisode 224, écrite par chien soumis) -

Pourquoi son Maître, Monsieur le Marquis d'Evans l'avait-il abandonné aux mains du Marquis de Thorens ? Peut-être pour tester son obéissance ? … En tout cas, pépette avait à la fois peur de ce qui pourrait lui arriver, mais il se rassurait en pensant que son Maître Vénéré ne l'aurait pas laissé partir s'il n'avait pas entièrement confiance à son ami Thorens. Pépette avait les yeux bandés et les mains attachés derrière le dos. Il ne connaissait pas la destination finale, ce qui contribua à augmenter son angoisse, mais aussi paradoxalement une certaine excitation trahie par sa verge qui durcissait. Il avait été installé à l'arrière de la voiture par le chauffeur, et une fois que le luxueux véhicule était sorti du chemin forestier du Domaine des Evans et qu’il rejoignit la départementale, l’esclave était ballotté au gré des virages et des changements de vitesse, seule la ceinture de sécurité le maintenait bien en place. Personne n'adressa la parole à pépette pendant toute la durée du voyage… Une heure s'était écoulé quand ils arrivèrent enfin à destination. La pluie tombait drue, et la voiture stoppa devant un portail. Thorens libéra l’esclave de son bandeau et de ses menottes, et lui ordonna sèchement d'aller ouvrir le portail et de le rejoindre sur le perron. Habituellement, le portail s'ouvrait automatiquement mais le système électrique d'ouverture ne fonctionnant plus depuis le dernier orage de la veille au soir. La pluie, redoublant d’intensité, trempa immédiatement pépette et il faisait déjà nuit quand le soumis eut du mal à travers les phares à distinguer les lieux mais il réussit à pousser la lourde grille en fer forgé. Une fois la voiture passée il referma la grille, pépette pensa un instant à s'enfuir… mais où irait il ? Chassant cette idée de sa tête il monta l'allée bordée de grands châtaigniers pour rejoindre la demeure de Thorens qui lui parue beaucoup moins grande que celle du Marquis d'Evans, mais elle avait tout de même le charme des vieilles bâtisses en pierre… Pépette resta une longue semaine chez le Marquis de Thorens à être humilié en faisant uniquement des basses besognes serviles tout en étant traité comme un véritable chien.

Et c’est donc au bout de 8 jours que Thorens décida de le rendre à son vieil ami le Marquis d’Evans avec une lettre sans équivoque, qu’il demanda au chauffeur de donner au Noble en même temps qu’il ramènerait le soumis :

« Très Cher Marquis d’Evans, je vous rends cet esclave qui mériterai plus votre Savoir-faire pour le dressage, que le mien. En effet, je le trouve un peu mou à obéir même sous la cravache, c’est une véritable lopette à dresser mais pas très vaillant à la tâche. Certes, il y met de la bonne volonté mais je sais que vous avez toutes les dispositions pour un dressage efficace. Sachant aussi que vous êtes bien outillé en équipement équestre, je ne peux que vous préconiser de lui faire faire un peu d’exercice … Noblement, Votre ami, Marquis de Thorens »

Ramené donc par le chauffeur chez son Maître, Celui-ci après avoir lu la lettre de son ami, se moqua de la mollesse de l’esclave et l’informa qu’Il va lui faire faire un peu de culture physique afin de le rendre plus vif. Ainsi le Marquis d’Evans lui ordonna de suivre et d'obéir à Marie, la cuisinière perverse et sadique, qui se trouvait présente et qui le conduisit de suite à la douche en le tirant par la laisse et l’obligeant à le suite à 4 pattes. Madame Marie devait approcher la cinquantaine et avait un air très sévère, elle resta à proximité afin de surveiller le soumis. Pépette n’apprécia pas du tout l’eau froide de la douche car l’eau chaude lui était interdite.

- Tu es mou, dit-on et bien, je vais bien te réveiller, dit-elle en augmentant sadiquement le jet d’eau froide.

C’est en grelottant qu’il sortit de la douche sous l’ordre de la cuisinière et quand il voulut se rhabiller Madame Marie lui l’interdisant et lui donna une sorte de grande chemise de nuit blanche qui le couvrit de la tête aux pieds et qui était fendue du bas jusqu'à la taille.

- Jusqu'à nouvel ordre tu ne porteras que cet habit ...

Tirant sans ménagement sur la laisse, Marie conduisit pépette dans son cachot se trouvant dans les sous-sols du Château et sur ordre de son patron, elle lui permit de garder sa chemise fendue afin de se reposer sur une paillasse à même le sol froid, jusqu'au lendemain.
Une gamelle était posée dans un coin avec du pain sec mélangé avec une espèce de bouillie.

-Tient, ici c’est ta pitance et soit heureux de la savourer. Bien évidemment tu es obligé de la manger à 4 pattes … Au fond de ta cellule, tu as un cabinet à la turque. Et dort bien, car demain matin, je vais te faire faire un peu d’exercice comme me l’a demandé ton Maître...


Le matin, assez tôt, Marie vint réveiller pépette qui dormait d’un sommeil profond après une nuit à chercher son sommeil tant il était mal installé. C’est la fatigue, qui le gagnant, le fit s’endormir au petit matin. Le soumis s'agenouilla aussi tôt devant une Marie emplie d’autorité en le toisant de haut. Il croisa des poignets dans le dos et baissa la tête se livrant ainsi à cette femme hautaine qui se trouvait devant lui, et dont il ne connaissait rien, mais qu’il craignait déjà beaucoup par l’intransigeance et la sévérité qu’elle dégageait du haut de ses bottes de cavalière et de sa cravate qu’elle fit fendre l’air... Elle dit simplement ces quelques mots laconiques :

- Suit moi.

L’esclave tenta de se lever pour la suivre quand Marie fit de nouveau siffler l’air de sa cravache qu’elle abattit sur la croupe de pèpette, pour lui faire comprendre de la suivre à 4 pattes. C’est ainsi qu’elle l’emmena jusqu’aux écuries du Château par une petite porte dérobée du sous-sol puis un petit escalier en colimaçon de pierre qui écorcha les genoux du soumis. Escaliers qui devenaient une véritable coursière pour se rendre à cet endroit où l’esclave trouva une dizaine de pur-sang dans des box fort bien entretenus. Marie sans préambule équipa le soumis d'un harnais fait de bretelles de cuir, d’une courroie épaisse avec anneaux qui lui entourait sa taille, des bottes en cuir. Ensuite, il fut harnaché au montant d'une charrette à deux roues, et dans sa bouche Marie lui introduisit une sorte de mors attaché de part et d'autre des rênes. Au cou un épais collier muni de cinq grelots, elle attacha aussi à chaque mamelon une pince muni d'un grelot.


- Aie ! ça fait mal, ne put s’empêcher de crier pépette !

Pour toute réponse Marie la cuisinière le gifla d’un aller retour cinglant !

- Tu ne dis plus un mot, espèce de chien… Tu es un ponyboy et un ponyboy ne parle pas ! Compris ? ou tu veux goûter de ma cravache ?

Il hocha la tête et resta silencieux un peu sonné par la sévérité perverse de Marie qui aussitôt monta sur le siège de la charrette.

- Je vais commencer ta formation… et tâche d’avancer droit sans zigzaguer…Allez ! Hue cocotte ! … Hue…

Il sentit une brûlure sur les fesses suite au coup de fouet cinglant et compris qu'il devait avancer, les premiers pas lui demanda beaucoup d'effort tant ses muscles étaient engourdis mais par la suite, il fut le premier surpris par la facilité qu'il avait à tirer la charrette. En effet il était sur un relief tout à fait plat et le poids étant bien réparti et portait principalement sur les roues. Marie le fit sortir ainsi de l’écurie et le guida dans la vaste cour entourée de bâtiments de toutes sortes, elle lui fit faire une dizaine de tour en le guidant avec les rennes... le faisant passer de la marche lente à la course de plus en plus rapide, le fouet rythmant la marche, les grelots tintaient en cadence, pépette transpirait, bavait ... Au bout d’un long moment, la cuisinière arrêta en tirant sur les rennes, elle laissa souffler sa monture-esclave et le détacha de la charrette et le ramena dans l' écurie, l’esclave se déplaçant à 4 pattes sur les graviers blessants. Elle le guida vers un box vide à côté d’un magnifique étalon noir. Le soumis ne disait rien, se contentant d'obéir. Elle le déséquipa ne laissant que le collier qu'elle relia avec une chaîne reliée aux deux anneaux au-dessous du râtelier, le système permettait de se déplacer d'environ un ou deux mètres pas plus. Ses mains furent liées dans le dos.

- Tu vas te reposer là, où c'est ta place désormais, tu y seras plus au chaud que dans ton cachot, a exigé ton Maître … car si c’était que de moi, je t’aurai remis dans le cachot et sans chemise… Ton Maître est trop bon pour toi, soit en conscient ! Mais tout ça, ce n'est qu'un début, ton dressage continuera demain ! …

(A suivre …)

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