La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1462)

esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode N°1455) -

Que cette érection me rappelle ce que je suis en train de vivre et ainsi de ressentir ma propre Nature servile… Les minutes passent, les heures peut-être, je n’arrive pas à dormir… Pourtant il le faut pour que je sois opérationnel pour le Maître, je me dois de ne pas Le décevoir… Et puis, j’ai une envie pressante d’uriner…je ne peux me lever… que dois-je faire ? Je me mets alors à crier…

- S’il vous plait, j’ai envie d’uriner… (Aucun bruit…je reprends plus fort) - S’il vous plait, j’ai envie d’uriner… y’a quelqu’un ?…

Aucune réponse, le silence complet…Alors il ne me reste plus qu’une solution… me pisser dessus. J’essaie de me tourner légèrement pour ne pas souiller la couverture, tant pour le Maître qui me l’a concédée, que pour moi, mais parfaitement attaché, mon mouvement est très limité … Alors, ne tenant plus, je pisse à me soulager la vessie… Mon dieu que ça fait du bien. Hélas, je n‘ai pas réussi à ne pas souiller la couverture, ni le sol… Et j’ai aussi le cul trempée de ma propre urine…Je finis tout de même par m’endormir dans l’humidité et l’odeur de la pisse… Une gifle me réveille brusquement... Quelle heure est-il ?

- Debout !

J’aperçois alors un homme grand, habillé en Majordome. Il a l’air sévère et détache mes pieds, mes mains et mon cou…

- Tu as 3 minutes pour nettoyer … me dit sévèrement cet homme au regard impassible

J’obtempère, un peu déstabilisé de faire cela devant quelqu’un… mais je suis un esclave et je dois perdre toute pudeur.

- Nettoie tes cochonneries…me dit-il laconiquement

Le Majordome me tend une serpillère et un seau… je m’empresse d’obtempérer…

- La prochaine fois, le chien, ce sera avec ta langue… Monsieur le Marquis n’a pas à user Ses serpillères pour cela…

L’homme a raison. Je repose la serpillère avec soin sur le seau, c’est un bien du Maître à qui j’appartiens totalement.

Et à quatre pattes, nu, le cul en l’air, j’ai honte de m’exposer ainsi mais je dois m’y habi, je nettoie ce qui me fait guise de lit et aussi le sol sur lesquels ma pisse à couler. Quand j’ai fini je reste à genoux baisse la tête et j’attends. Sans aucun commentaire, sans aucune félicitation, ce Majordome est visiblement un Dominant, il ne doit avoir aucun sentiment vis-à-vis d’un esclave...

- Prends ton seau et suis-moi. Mais ta couverture reste imbibée de ta pisse de chien. Tu seras puni pour cela.

Nous nous dirigeons ensuite plus loin dans les immenses couloirs des caves voûtées du Château qui ont dû voir passer de nombreux esclaves depuis sa construction. Nous traversons une crypte puis un immense chai et arrivons enfin dans une pièce toute carrelée. Je dois vider mon sceau dans un simple trou avec une grille sur le dessus, trou d’évacuation placé au centre de la pièce. Puis je dois me positionner le long d’un des murs entièrement carrelés comme le plafond de larges carreaux blancs. Le Majordome att alors un long tuyau enroulé qui ressemble à une lance d’incendie et il en déroule quelques mètres pour en ouvrir le robinet d’eau froide, bien entendu. L’eau me parait glacial et me fait frissonner de froid…L’homme sévère me décape de la tête aux pieds, sous tous les angles, puis me lance une serpillère pour me sécher.

- Inutile de te laver l’intérieur, tu ne seras pas utilisé…Suis moi, le chien…

Ensuite, nous repartons dans l’autre sens, nous dépassons le Cachot qui m’est attribué et nous arrivons dans une vaste salle toute équipée et où seul un tréteau est éclairé par un spot rouge, juste au-dessus, au plafond. Le Majordome m’y fait coucher sur le ventre et attache mes poignets et mes chevilles aux pieds du tréteau pour m’immobiliser… Puis, je sens une présence autre que les deux nôtres…

- Chaque esclave de Monsieur le Marquis d’Evans reçoit tous les jours dix coups de martinet pour lui rappeler sa condition.
Il doit compter et remercier le Maître de sa bonté de s’occuper de lui. Mais comme tu as l’interdiction de parler, tu es exempté de compter tout haut alors tu as pour obligation de compter dans ta tête et de lever un doigt pour chaque coup, et donc jusqu’à que tes dix doigts soient lever…

- Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag…

C’est cuisant, l’homme ne ménage pas ses coups mais c’est supportable… Je sens mon cul s’échauffer, la peau de mon fessier doit être bien rougie… Il faut que je m’y habitue… Puis le Majordome ne me détache pas :

- Maintenant, je vais te punir pour les trois fautes que le Maître a jugé bon de remarquer. Peux-tu les avouer ?

Je fais signe que non de la tête… car je ne vois pas vraiment…

- 1ère faute, tu as bandé sans ordre… 2ème faute tu as crié, donc parlé car tu voulais pisser. 3ème faute tu as souillé la couverture au lieu de te retenir de pisser. Avec les caméras de surveillance, rien n’échappe au Maître. Trois fautes punissables de 20 coups de martinet pour chacune…. C’est une punition, si tu émets autre chose que des gémissements, je dois reprendre à 0 à chaque fois…

J’incline la tête en signe de soumission

- Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag…
- Aïl !
- Je reprends à 0
- Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… Shlaag… etc …

J’ai tenu bon, j’ai reçu 60 coups de cravache plus les 10 précédemment … Le Majordome pose sa main sur mon cul qui doit être bien rouge…Est-ce un signe de compassion ? Est-ce pour vérifier son travail ?. J’entends le bruit d’un déplacement… Est-ce le Maître qui a assisté à ma punition ? Peut-être… Le Majordome me détache et me reconduit au Cachot (je ne dis pas mon cachot car je ne possède rien à moi tout est au Maître à qui j’appartiens.) Il dépose sur le sol une planche, des feuilles de papier blanc et un stylo…

- Le Maître veut que tu commences un récit et avec abondance.
Il veut que par le biais de la fiction, dans ton récit, au fil des suites, tu laisses exprimer ton vécu, tes expériences, mais aussi tes fantasmes et besoins les plus enfouis, les plus intimes. Il veut que tu te mettes à nu et même plus que tu te lâches dans l'écriture sans modération, sauf qu'il faut bannir zoophilie et pédophilie mais pour le reste, tu peux tout narrer, ce qui fait de toi, ce que tu es. Et tu auras 10 coups de fouet à chaque faute d’orthographe, donc il serait bon pour toi que tu aies bien travaillé à l’école…

J’incline la tête. Heureusement je maîtrise le français et son orthographe. Il remplit ma gamelle d’eau et quitte la pièce qu’il laisse allumée. Pas de nourriture solide… Je me mets alors au travail, le Maître se servira-t-il de mes écrits pour me soumettre, me dresser, détruire mon moi, m’utiliser, m’offrir… peut-être… mais pourquoi, Lui l’un des Grands Maîtres de la Domination, reconnu comme tel en France mais aussi dans le monde entier, a-t-il besoin des idées d’un pauvre esclave comme moi pour exercer Sa Nature innée de Dominateur? … Ou alors il n’a absolument pas besoin de mes idées, mais il veut que j’écrive juste pour mieux me connaitre et mieux me faire ressentir ma propre Nature servile en la laissant s’exprimer ouvertement, pour ensuite une fois qu’il connaitra mieux mes besoins de soumission, Il m’asservira sous Son Joug ?… J’opte donc pour cette deuxième hypothèse qui me parait beaucoup plus crédible et réaliste.

Et puis je réalise que je ne devrais pas me poser cette question. Le Maître ordonne… l'esclave obéit… Par ailleurs, je n’ai aucune notion de temps, je vide régulièrement ma vessie dans le seau pour éviter mon erreur précédente… Ensuite, je mets au travail sans tarder : Je vais essayer de réfléchir sur l’humiliation physique : L’esclave n'a pas le droit de ressentir des émotions telles que la honte ou l'humiliation, la pudeur ou cacher son intimité. S'il a encore ces sentiments, il doit apprendre rapidement à les supprimer, ou du moins à ne pas les manifester.
Bien sûr, il est tenu nu, n’est-il pas après tout qu'un animal domestique ! Son corps nu peut être soumis à tout moment à un examen minutieux et rapproché communément appelé doigté, alors aucune partie de son corps n'est exemptée d'inspections pratiques, même du type le plus invasif.

Avec le temps, l’esclave doit devenir immunisé contre les doigtages et exposera son corps (qui ne lui appartient plus) dans les positions qui lui seront exigées, même les plus perverses. Il fléchira ses muscles et les durcira pour mettre en valeur son physique, comme par exemple dans une position d'affichage universellement appréciée par tous les esclaves qui reste le « pencher en avant et écarter le cul de ses mains » pour afficher le trou du cul pour un examen public. Chaque fois qu'un esclave se fait doigter, il sait inévitablement que l'ordre lui sera donné et trouvera du plaisir à être traité et considéré de la sorte, comme un simple trou à remplir...

Par conséquent, il écarte immédiatement ses pieds, se penche à la taille en avant et tend les bras en arrière pour écarter le plus possible ses fesses de ses mains. En attendant d'être pénétré par un doigt intrusif, il brûle d’envie, car la honte est de fait bannie de sa condition, en coopérant et tortillant son cul en arrière pour le rendre plus accessible. Puis il attend qu'un doigt taquine la chair tendre et plissée de son anus avant de forcer un passage à travers son sphincter serré pour sonder les profondeurs des recoins les plus intimes de son corps de pute…

Un bruit, le Majordome fait son entrée et m’exige de me coucher…Je vide à nouveau ma vessie devant lui… cela ne le trouble pas, car pour lui c’est d’une banalité quotidienne… Je m’allonge, il me fixe solidement de nouveau sur ma couche et avant de me recouvrir. Ensuite, il prend ma nouille de chien et la recouvre d’une cage de chasteté métallique.

- Le Maître a décidé de t’aider à ne pas bander…

Puis le Majordome récupère mes premières lignes… Le Maître sera-t-il satisfait ? Il éteint la lumière, sort et verrouille la porte... Serait-ce la deuxième nuit que je passe seul ? C’est avec ma nouille encagée que je m’endors assez facilement, pas de tracasserie cette fois d’uriner, pas de choses à prévoir… Je me laisse guider par celui qui sait ce qui est bien pour moi afin que je le serve quand il veut, comme il veut et toujours au mieux de mes possibilités…. Un bruit de porte, la lumière s’allume… Combien de temps s’est écoulé depuis que je me suis endormi… Est-ce un nouveau jour, le deuxième ?, ou sommes-nous en pleine nuit ?… Mais cela n’a pas d’importance… Je n’ai plus et pas à me soucier du temps…On le fait pour moi.

Le Majordome me désentrave afin que je puisse me lever… J’ai réussi à me contenir et je me vide dans mon seau, il me tend un balai et une pelle, je fais le ménage de ma « chambre » puis direction des douches… Durant le jet d’eau froide, il insiste sur ma queue encagée, il faut bien la nettoyer puis séchage et direction de la même vaste salle de la veille…Les dix coups de martinet quotidiens. Ai-je déplu au Maître ? Il ne semble pas car le Majordome me ramène au cachot, dépose à côté de ma gamelle d’eau au sol, un autre récipient contenant, je ne saurai bien définir : une purée, une bouillie, des légumes, des fruits, de la viande, des féculents ? Tout cela semble faire partie de cette mixture nutritive et caloriques.

- Mange, c’est ton petit déjeuner, préparé par Madame Marie, la sévère cuisinière de Monsieur le Marquis. Tu t’habias à force au goût. Mais tu ne dois pas te servir de tes pattes pour manger, tu te mets à quatre pattes et tu lapes ta pitance comme un bon chien….

Puis il me tend de nouvelles feuilles de papier…

- Même exercice, le chien...

Le Majordome repart… Je m’approche de la gamelle et me positionne pour manger… Une bonne pâtée certes, mais épaisse alors je me force, car le Maître a exigé de tout manger. Alors, je lape beaucoup d’eau pour faire passer… Je suis animalisé et j’avoue que j’en éprouve une véritable excitation mettant en exergue mes pulsions serviles …

(A suivre …)

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