Ma Belle Soeur Qui Déprime
Dans mon dernier récit, je présentais ma rencontre avec ma femme et nos plus beaux souvenirs :
http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=18465
Malheureusement, notre relation n'était plus aussi croustillante. Après sa grossesse, Béatrice n'assumait plus du tout son corps et les rares fois où nous faisions l'amour, c'était assez plat.
Pour je ne sais quelle raison, surement le manque, je me suis mis a fantasmer sur sa petite sur. J'avais maintenant 28 ans et Sonia 23 ans. Elle était plutôt bien portante. Lorsqu'on dormait chez sa mère, celle ci descendait déjeuner dans son petit short. Il était plutôt distendu et une fois japerçus son string en dessous. Ses grosses fesses me faisait terriblement bander et je me masturbais souvent en y pensant.
Il fallait que je couche avec mais comment ? Et surtout sans créer une crise familiale !
Elle venait parfois dormir à la maison. Une fois, alors qu'elle passait la semaine chez nous, je rentrai plus tôt du travail alors que Béatrice y était encore. Sonia pensait être seule. Elle avait mis de la musique dans le salon et n'entendit pas la porte d'entrée. A l'époque on louait une maison dont une fenêtre de chambre donnait dans le salon. Du coup la chambre était sombre et il fallait impérativement allumé la lumière pour y voir clair. Par contre si le salon n'était pas éclairé on ne pouvait pas voir ce qu'il s'y passait. J'aperçus Sonia entièrement nue avec les cheveux mouillés. Sur le moment j'eus peur de créer un scandale mais avec le sexe gonflé à bloc dans man pantalon, le choix fut vite fait. J'ai donc observé Sonia pendant plusieurs minute avant de décider de partir comme si de rien n'était. Elle fut longue à s'habiller ce qui me permis de la voir sous tous les angles. C'est dans le garage que je me suis réfugié pour me finir...
Il fallait que je trouve un moyen de coucher avec Sonia !
Plusieurs semaine après ma séance de voyeurisme, une occasion se présenta.
Béatrice décida de l'inviter à passer une partie de ses vacances à la maison : 15 jours. Vu que Béatrice travaillait de nuit plusieurs jours, j'allais donc me retrouver seul avec sa sur.
Le premier soir, Sonia alla se coucher très tôt. Elle était tellement triste qu'elle prenait des anti dépresseurs. Béatrice ne voulait pas que sa sur se laisse aller et elle me demanda de lui occuper l'esprit en la laissant choisir des films de filles qu'on avait en stock.
Le deuxième soir, c'est donc sur le canapé que nous nous sommes retrouvés, après avoir couché les s. Au bout de quelques minutes de film, Sonia se mise à pleurer en silence. Il fallait que je lui remonte le moral.
Nelson : Oh ben non Sonia, faut pas te mettre dans cet état...
Sonia : Je suis désolé mais j'arrive pas à penser à autre chose...
N : Je sais que c'est pas évident mais je suis sur que tu trouvera quelqu'un... de mieux.
S : Oh arrêtes de dire ça. Qui voudrait d'une grosse dondon comme moi ?
N : Mais non, faut pas dire ça. Tu es bien comme tu es... (sur le moment j'avoue que je galérais pour trouver mes mots)
S : Si j'étais bien, alors il ne m'aurait pas jeter parce que j'ai pris du poids ! Et pour une maigrichonne en plus ! (Sonia était en larme, je l'a pris dans mes bras pour la consoler)
N : Ça memmerde vraiment de te voir comme ça, Sonia... Tu retrouvera un mec qui te mérite j'en suis sur.
S : Non... Faut que je maigrisse mais j'y arriverai pas !
N : Arrêtes Sonia ! Tu sais, il y a plein d'homme qui aiment les femmes avec des formes. Regardes, moi j'aime ta sur comme elle est. (Sonia se dégagea de mes bras pour bouder dans son coin)
S : Tu parles... Avant elle était plus mince aussi...
N : Et je suis resté avec elle malgré ses rondeurs ! Et je les aime ! Et c'est ta sur qui ne les aime pas, c'est pour ça qu'on couche presque plus ensemble ! Tu dois le savoir non ?
S : .
N : Alors tu vois, chez nous c'est l'inverse. On est ensemble et c'est presque comme si c'était pas le cas.
S : Je suis désolé mais même si vous faites pas l'amour souvent, au moins vous pouvez le faire. Vous vous connaissez trop bien pour vous quitter. Dans mon cas, qui voudrais coucher avec moi, hein ?
N : Ben plein de monde ! Il suffit de le vouloir aussi. Si tu fais la tronche, personne ne voudra. Tu es jolie en plus, je comprends pas que tu dises des trucs comme ça.
S : Tu dis ça pour me faire plaisir...
N : Ben non ! Tu as un joli visage déjà, et ...
S : Et tu n'as pas vu le reste alors arrêtes un peu...
N : Ben si justement ! (Je décidai de piqué Sonia au vif pour voir sa réaction)
S : Heu pardon ? Comment ça ?
N : Sonia, je vais te dire un truc qui va peut être te mettre en colère mais ça sera toujours mieux que d'être déprimée !
S : Tu me fais peur là !
N : Il n'y a pas à avoir peur... L'autre fois où tu es venu chez nous, je t'ai surprise nue dans la chambre d'à coté. Je n'ai pas voulu te mettre mal à l'aise alors je suis parti pour revenir plus tard. Et je ne l'ai jamais dit à ta sur pour ne pas créer de malaise.
S : ...Heu...Ok... (Sonia ne savait plus quoi dire mais je ne la sentais pas en colère)
N : Tu m'en veux pas ?
S : ...Bon... C'était un accident alors non... ça va...
N : Donc tu vois que je sais de quoi je parle ! (Je tentais de la faire au moins sourire, ce qui semblait peine perdue depuis le début de la soirée)
S : Heu... Ahahah... Oui du coup on peut dire ça comme ça !
N : Et bien je suis content de t'entendre rire !
S : Nan mais c'est parce que je réalise peut être pas aussi !
N : Ben c'est pas dur à réaliser. Ton beau frère t'a déjà vu à poil et puis c'est tout.
Sonia ria de nouveau.
S : Et tu n'aurais pas pu faire plus de bruit avec la porte ? Et... sinon... tu es resté combien de temps ? (Cette dernière question me fit marquer un arrêt)
N : Je sais pas, je m'en souviens plus !
S : Non mais maintenant tu peux me le dire ! Qu'est ce que tu as vu ?
N : ... Tu veux vraiment le savoir ? (L'occasion était là !)
S : ... Oui maintenant je veux tout savoir en détail !
N : ... Ok alors... Je t'ai vu passer nue et j'ai marqué un temps d'arrêt... Je me suis rapproché pour mieux voir.
S : Ah ouais donc tu m'as maté quoi !
N : Tu voulais le savoir alors oui !
S : Et ça a duré combien de temps ?
N : Ben tu t'es penchée pour fouillé dans ton sac pour prendre tes fringues et tu t'es assise sur le lit un petit moment avant de t'habiller. Je suis parti quand tu as mis tes sous vêtements. J'avais peur que tu retourne à la salle de bain chercher un truc.
S : Ok donc tu en as bien profité ! Ok... (Sonia savait maintenant que j'avais tout vu d'elle : son cul, ses seins et même l'intérieur de sa chatte quand elle passa son string)
N : C'est pour ça que je me permet de te dire que tu es une belle fille, Sonia.
S : Pfff... Tu dis encore ça pour me faire plaisir !
N : Tu vas pas recommencer ! Qu'est ce qu'il te faut pour me croire à la fin ?! Si tu avais été ma copine je t'aurais sauté dessus pour faire l'amour !
S : ... Si c'est vrai... C'est gentil... (Je sentais que Sonia avait perdu ses défenses. Elle avait besoin de se sentir belle et j'allais lui montrer)
N : Sonia, je t'assure que tu es très belle. Tu plais aux hommes et.
S : Arrêtes...
N : Et je peux même te dire que depuis ce jour, j'ai vraiment espéré te voir nue de nouveau...
S : Quand même pas... Aller Nelson on regarde le film ?
N : Après t'avoir avoué tout cela, c'est plutôt toi que j'ai envie de regarder.
S : Non Nelson, dis pas ça tu es avec ma sur !
N : Je sais mais je fantasme trop sur toi depuis ce jour. Si tu es d'accord, laisses moi de prouver que tu es désirable. S'il te plais !
S : Mais tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Et Béatrice alors ?
N : Elle n'en saura rien, et si tu ne m'a pas dis clairement "non" c'est que ça te tente, non ?
S : ... C'est vrai... Mais non ! On arrêtes !
A ce moment, je retirai mon coussin et Sonia pu voir à quel point elle me faisait de l'effet. C'était ma dernière tentative avant que Sonia ne parte en courant.
N : Sonia, attends ! Écoutes je suis désolé de t'infliger ça. Je ne pouvais pas passer l'occasion de dire à quel point je te désire. Ça me fend le cur de te voir si triste et dur envers toi même alors que je rêve depuis si longtemps de toi.
S : J'ai compris le message mais je peux vraiment pas faire ça à ma sur. Tu comprends ?
N : Ce que je comprends, c'est que si je n'étais pas avec ta sur, tu aurais dit oui...
S : ... S'il te plais Nelson... Remets ton coussin et on oubli tout...
N : Je vais quand même te demander une dernière chose, s'il te plais. Si tu ne veux pas tromper ta sur je comprends mais est ce que je peux juste revoir tes fesses ?
S : Tu déconnes là ?
N : Et après je te laisse tranquille !
S : Mais je te plais à ce point ?
N : Tu peux pas imaginer !
S : ... Pas longtemps et putain t'a pas intérêt à faire de gaffe avec ma sur ! (C'est au bout d'une heure de discussion puis de négociation que mon objectif commençait à se réaliser !)
Sonia se leva et fit descendre son pantalon et son slip en même temps. Sa chatte était en face de moi. Elle se tourna. Ses fesses étaient énormes et j'avais envie de les embrasser mais Sonia ne voulait pas aller trop loin. Ce n'était pas assez pour moi alors je demandai à Sonia de faire un petit effort.
N : Sonia, est ce que tu peux te mettre à genoux sur le canapé pour que je vois mieux ?
S : ... Tu fais chier...
N : S'il te plais...
Malgré sa réponse, Sonia s'était mise à genoux sur la méridienne du canapé, la tête dans ses bras et les fesses bien en l'air. Sans qu'elle ne me dise quoi que ce soit, je l'avais aidé à écarter les jambes en lui attrapant les chevilles. Je m'étais glissé derrière elle en me tenant sur mon coude droit. Ma main gauche avait gagné l'intérieur de mon caleçon. Je me masturbais et Sonia était obligée de le savoir car mon poignée touchait son mollet. Cette situation a continué durant 5 (longues) minutes avant que je me décide à explorer avec mes doigts cette chatte qui me tendait les bras. Sonia sursauta.
N : Sonia, je te promets que ça restera entre nous ! Je peux plus résister là ! Oublies ta sur, je t'en supplie !
Aucune réponse de ma belle sur ne se fit entendre. Seul un geste de sa part m'invita à continuer : elle écarta ses fesses avec ses mains. Ni une ni deux, j'approchai ma tête pour lécher ses orifices avec gourmandise. Ma langue passait aussi bien sur sa chatte que sur son anus. Mes doigts travaillait à la fois dans sa fente et sur son clitoris. Sonia s'était abandonnée au plaisir. Elle bougeait le bassin au rythme de mes caresses et sa respiration accélérait de plus en plus.
Mes mains se posèrent sur ses épaules pour l'aider à se retourner. Je la fixai un instant du regard et je l'embrassai à pleine bouche. Sonia passa une main derrière ma nuque pour insister de plus belle. Son autre main avait gagnait mon sexe qu'elle masturbait avec vigueur. J'étais aux anges ! Sonia qui ne voulait rien faire en début de soirée se déchainait maintenant comme une trainée. Sur le moment, je pensais que sa honte l'obligeait à se dépêcher.
Lorsqu'elle se pencha sur mon sexe pour me sucer lentement en me regardant dans les yeux, je me dis finallement que c'était tout simplement une cochonne.
N : Et ben ! Pour quelqu'un qui ne voulait pas tromper sa sur, tu fais pas les choses à moitié !
S : Tais toi et prends moi !
Sonia se redressa et se mit au dessus de moi pour s'empaler sur mon sexe quelle avait pris soin de bien lubrifier. Avec sa salive plus sa mouille, elle neut aucun mal à faire disparaitre mon sexe dans le sien. Elle se pencha pour m'embrasser de nouveau puis elle me glissa une phrase à l'oreille qui réveilla mes sens de plus belle.
S : Maintenant fais moi jouir, s'il te plais.
J'étais donc concentré sur ma partenaire. Celle ci me donna ses seins à sucer et "mordiller" comme elle me le dit. Cela me rappelait étrangement les habitudes de sa sur. Elle se faisait jouir en frottant son clito sur mon bas ventre et en se faisant pénétrée le plus profondément possible. Je reproduis ce traitement sur Sonia et elle finit par jouir au bout de quelques minutes, accompagné d'un "aahhh" discret. Je sentais mon sexe inondé par sa jouissance.
S : Oh purée... ça faisait longtemps...
De mon coté je me contentais d'admirer son corps en sueur en me retenant de jouir dans sa chatte. J'avais d'autre projet pour le bouquet final : sa bouche.
S : Et toi t'as jouis ? (les mêmes paroles que sa sur... intéressant)
N : Non, je me suis retenu pour te donner un maximum de plaisir.
S : ... Ah... Merci ! ... Tu veux que je te suce ?
N : Tu lis dans mes pensées !
Sonia se mit accroupie sur le sol tandis que je restais allongé sur le canapé. Elle pris mon sexe en bouche sans aucune hésitation bien que celui ci était recouvert de sa mouille. Elle prit soin d'utiliser sa langue pour nettoyer les petits morceaux blancs qu'elle avait déposé sur ma queue. C'était la première fois que je voyais une femme faire cela sans sourciller. Sa fellation était magique. Elle me branla à toute vitesse dans sa bouche jusqu'à me faire jouir dans sa bouche. Ce qui me plus en particulier, c'est quelle sarrêta net dès les premières goutes partis. J'aime qu'on me laisse jouir tranquillement pendant une fellation et c'est comme si elle l'avait deviné.
S : Je vais prendre une douche.
N : Ok. Et... ça va mieux ?
S : Oui... Tu te lavera aussi, que Béatrice ne se doute de rien ok ?
N : Je peux venir avec toi ?
S : Une autre fois...
N : D'accord !
Sonia parti dans la salle de bain. Elle était toujours honteuse mais je compris d'après sa réponse que nous allions encore prendre du bon temps durant son séjour.
Ce sera l'objet d'un prochain récit.
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