Ma Première Expérience De Soumise Ii
...
Après cette fellation de bienvenue, nous prîmes la route pour la maison de mon maitre.
Encore toute chamboulée par ce premier défi, mon corps était tendu d'excitation.
J'avais comme consigne de rester les jambes écartées pendant l'heure de route qui nous attendait.
Je n'osais pas le regarder ni dire un mot de peur de casser la tension sexuelle qui s'était installée;
Je sentais son regard se poser sur moi ce qui me rendait...je ne sais pas vraiment l'expliquer, excitée et anxieuse à la fois à l'idée de savoir ce qui allait se passer ensuite.
Mon maitre me caressa l'épaule, fis descendre sa main entre mes seins avant d'en empoigner un fermement. Je ne pu m'empêcher de laisser échapper un gémissement lorsqu'il me pinça violemment le téton.
Je me mordis la lèvre inférieur pour en pas crier lorsqu'il infligea le même sort au deuxième.
Mes tétons me faisaient mal tant ils étaient tendus.
- "Tu es tellement belle et ton corps réagit si vite..."
Je baissa les yeux à cette déclaration.
- "Regarde moi, cela te met mal à l'aise que je te dise que tu es belle ?"
- "..."
- "Tu dois me répondre lorsque je te parle"
- "Pardon maitre, c'est que...non je ne me trouve pas spécialement belle"
- "Tu n'es pas simplement belle, tu n'es pas consciente d'être désirable, tu n'es pas consciente du sex-appeal que tu dégages, je vais t'aider à en prendre conscience. A prendre conscience de ton corps, à ne pas avoir honte d'être magnifique, en pas avoir honte de ton corps."
- "Merci maitre mais je suis surtout là pour vous faire plaisir."
Il me regarda avec un sourire en coin, "bonne réponse mais mon but et de prendre du plaisir à te voir t'abandonner, à prendre conscience de tes capacités et de découvrir que tu peux les dépasser. Mon plaisir passe par le tiens également".
Je regardais le paysage défiler par la fenêtre, le soleil chauffait mon corps et mes pensées vagabondaient vers les dernières déclarations de mon maître Paul.
Je fut sortis de mes pensées pas sa main posée sur mon genoux et qui remontais le long de l'intérieur de ma cuisse.
Il remonta alors vers mon sexe. Il posa sa paume sur mon sexe gonflé et humide et une vague de chaleur déferla dans tout mon corps.
Il caressa mon sexe et effleura mon clitoris qui était déjà au garde à vous depuis son baiser sur le quai de la gare.
C'est alors qu'il enfonça deux doigts en moi, je serra alors l'accoudoir en poussant un long soupir de plaisir.
- "Huum mais tu es déjà trempée ma ptite salope. Tu aimes avoir mes doigts en toi ?"
- "Oh ouuiiiii maitre j'aime vous sentir en moi, je l'ai imaginé depuis tellement longtemps..."
Mon pouls s'est accéléré et j'avais de plus en plus de mal à garder mon sang-froid sous les va et vient des doigts de mon maitre.
- "N'oublie pas, tu n'as pas le droit de jouir sans que je t'ai donné l'autorisation !"
Plus facile à dire qu'à faire alors qu'il effectuait des petits ronds avec son pouce sur mon clito.
Devenant dangereux de conduire d'une seule main, il me quitta pour emprunter un chemin communal caché à la vue des autres automobilistes.
Il me fit descendre de la voiture pour me faire passer sur les sièges arrières.
Il m'embrassa l'intérieur des cuisses pour remonter jusqu'à mon sexe. Il me suçota le clito et enfonça deux doigts en moi ce qui me fit gémir j'ai du serrer les sièges pour ne pas crier.
-" Hummm tu es tellement trempée que mes doigts rentrent tous seuls." Et il en rentra un 3e.
La tête en arrière, les yeux fermés, ma lèvre mordue...je luttais pour me retenir de jouir tant que je n'avais pas eu l'autorisation.
- "Maitreee...j'ai..de plus en plus...de mal à me...retenir."
Tout en continuant ses va-et-viens il passa son autre main sous ma robe pour remonter sur mes seins. Il fit passer mon sein en dehors de mon soutien-gorge pour en attr mon téton avec les dents. Sa morsure fut comme une décharge dans tout mon corps "ahhhhh maitre".
Je sentais son érection contre ma jambe et je commençais à avoir le souffle court.
Tandis qu'il faisait subir le même sort à mon deuxième sein, j'ai perdu le contrôle. Ma tête s'est mise à tourner, j'ai perdu la notion de la réalité, mes yeux se sont troublés e je n'ai pas pu m'empêcher de crier.
Je mis quelques minutes à retrouver mes esprits.
Quand je me suis redressée, j'ai vu mon maitre devant la banquette, j'ai baissé les yeux, m'en voulant de ne pas avoir réussi à me retenir et attendre son autorisation pour laisser exploser ma jouissance.
Je me sentais coupable.
- "Tu as aimé à ce que je vois...!"
- "Je suis désolée maitre, je n'ai pas réussi à me contenir."
- "Je te pardonne c'était tellement bon de te sentir vibrer sous mes doigts et sous ma langue !"
- "Mets toi à 4 pattes sur la banquette, la tête vers moi."
Je lui obéis et le vit alors ouvrir son jean, baisser son boxer et me présenter son sexe à moitié tendu.
Je compris vite le message, je m'approcha et commença par embrasser ses couilles lourdes. Je déposa ensuite un baiser sur son gland. Je lécha toute la longueur de son sexe du bout de ma langue puis je pris sa queue en bouche. J'entrepris de prendre sa queue en entier jusqu'au fond de ma gorge. J'ai du m'y reprendre à 3 fois avant de réussir. Les larmes me montaient aux yeux mais mon maitre me maintint la tête pendant quelques secondes pour garder cette position au fond de ma gorge.
J'entrepris ensuite des va-et-viens à des rythmes différents pour faire monter son plaisir mais ne pas le faire jouir trop vite. Ses gémissements m'indiquaient que la situation lui convenait. Pendant que sa queue ne cessait de gonfler dans ma bouche, il avait remonté ma robe sur mes fesses et me les caressaient.
J'attrapai ses fesses afin de le prendre le plus loin possible, j'étais concentré pour être appliquée et lui apporter le plus de plaisir possible. Je ne l'avais donc pas vu sortir un petit étui noir en satin.
Il se recula pour faire sortir sa queue, maintenant bien dure,et me mis dans la bouche l'objet en acier dans la bouche.
- "Suce ma belle chienne, suce bien" et il me gratifia d'une caresse dans les cheveux? Je me sentis vraiment comme un chien à cet instant.
Je commençais à comprendre quel été cet objet et sa taille me fit un peu paniquer. Je me souvins alors des conversations que j'avais eu avec mon maitre, que je lui avait dit que mon anus étais vierge et qu'il prendrait plaisir à s'en occuper.
Il ressortit l'objet et me renfonça sa queue dans la bouche. Je commençais vraiment à y prendre goût et comme un bonbon, je prenais de plus en plus plaisir à le déguster. Il continua ses caresses et fis rouler l'objet de mon dos à mes fesses. Il me demanda d'écarter un peu plus les jambes. Mon excitation était au summum mais l'introduction de cet objet m'angoissait. Mon maitre du le sentir car il attrapa mes cheveux pour les mettre sur le côté et me susurrer à l'oreille "respire, détends toi, n'ai pas peur bébé tu vas aimer". J'essayais de me concentrer sur ma fellation et redoublais d'efforts. "Ouhhhh oui c'est bien ma salope continue, tu es vraiment douée". Sur ces bonnes paroles, il cracha dans sa main et étala sa salive sur mon petit trou et y posa l'objet (un plug) à l'entrée. Tout en continuant à aspirer son gland et sa queue, je retins ma respiration quelques instants et il m'enfonça le plug petit à petit. J'ai eu tellement mal que si je n'avais pas eu le sexe de mon maitre en pleine bouche j'aurais crié. J'avais l'impression que mon anus se déchirait lorsque le plug arriva à sa partir la plus large. Il fit entrer le reste d'un seul coup. Il fit alors tourner le plug dans mon cul pour qu'il s'habitue à cet objet étranger. Je m'activa sur la queue de mon maitre pour essayer d'oublier cette douleur qui, bien qu'elle se dissipait, restait encore vive.
Il me demanda de le nettoyer et j'obéis jusqu'à ce que sa queue retrouve une taille normale. Il se retira de ma bouche endolorie et me gratifia d'un baiser en me félicitant. Il me donna une claque sur les fesses ce qui fit bouger mon plug et m'arracha un cri de surprise. Il embrassa mon plug et me dit qu'il était fière de moi que j'étais très prometteuse et que je progressais vite.
- "Merci maitre, c'est grâce à vous et j'espère aller plus loin".
- "Aller en voiture, j'ai une folle envie de te prendre mais je ne veux pas faire ça dans la voiture. Avant de reprendre ta place, voici un cadeau", il me mit un collier en cuir noir avec un anneau en fer autour du cou et il y accrocha une laisse. Il tira sur la laisse pour me faire descendre et me faire reprendre place à l'avant. "Maintenant tu marcheras à 4 pattes sauf si je t'indique le contraire, c'est bien compris ?"
- "Oui maitre, merci pour votre cadeau"
J'étais réellement devenue sa chienne soumise et le pire, c'est que je commençais à adorer ça !
A suivre (dites moi ce que cette histoire vous a procuré comme sensation et si vous voulez la suite de cette histoire vraie)...
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