Rupture

Cet ete la, dans un station balneaire du sud de la France, je viens d'arriver, de poser mes valises ....
Je suis seule, sans mec, et decidee a le rester.
Je veux passer des vacances paisibles, reposantes, esperant quand meme, en secret, me faire draguer, esperant me faire remarquer, accoster.
J'aime seduire....., j'aime qu'on me seduise, j'aime sentir que je plais et que l'on a envie de moi.
L'annee qui venait de s'ecouler avait ete tumultueuse, bizarre : j'avais fait n'importe quoi de mon corps, je l'avais offert , sans retenue comme une prostituee, comme une automate, a des hommes qui pour certains etaient des amis a qui je tenais, d'autres des inconnus. En ayant eu cette attitude de devergondee , j'ai tout gache ou tout perdu.
Je venais de vivre ma premiere rupture, rupture douloureuse car je me separais de celui qui avait partage ma vie pendant plusieures annees, celui qui, pour la premiere fois m'avait penetree....
Avant lui, j'avais certes eu des aventures mais c'etait reste au stade des baisers langoureux et des erections ressenties a travers les jeans ... Certains meme, n'arrivant plus a se contenir a force de caresses, a force de me prendre la bouche, a force de me malaxer les seins, a force de me toucher, la, en bas, a travers ma culotte, ejaculaient dans leur calecon,.laissant sur leur pantalon de jolies traces.
Ils etaient en erection : leur sexe, que je ne voyais pas, etait dur et plein d'envie... De mon cote, mon sexe, doux,.que quelques poils recouvraient, etait en panique, humide, se contractant par envie d'accueillir en moi, les bites de ces garcons en rute.....
Mais non, je n'etais pas encore prete a franchir le cap. Je preferrais imaginer, fantasmer a la facon dont ca se passerait le jour venu.
En attendant, le soir, dans ma chambre,.je me caressais .je me masturbais, j'enfoncais mes doigts au fond de ma chatte,.humide et chaude. C'etait agreable. Parfois quand l'exitation etait trop grande, j'allais et je venais sur des objets que j'assimilais a des sexes d'hommes.

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je prenais du plaisir, seule avec mon fantasme, qu'un jour, on penettrerait mon sexe encore vierge.