Arrêté Pour Manifestation
Arrêté pour manifestation
Cette histoire s'est déroulée il y a quelques années et c'est cet événe-ment qui m'a fait évoluer dans ma sexualité.
A l'époque j'ai trente-sept ans, marié et papa d'un petit garçon de dix-huit mois.
Je suis pour cinq mois en déplacement professionnel dans un pays étran-ger, européen où sa démocratie n'est qu'une façade.
Oui, je n'ai pas le vrai canon d'un mannequin, mais sans me vanter, d'après ce que l'on dit et surtout mon épouse je ne suis tout de même pas si mal foutu avec mon mètre quatre-vingt-cinq et soixante-dix kilos. Les cheveux châtains clairs et yeux gris-verts, sans compter que je suis que très peu poilu et quelques mois avant mon mariage, il y a une dizaine d'année, sur un corps légèrement dessiné et musclé par quelques heures de sport mensuel je m'épile le torse, les aisselles et les parties intimes.
Venons-en à ce qui s'est passé. Cette fois-ci, je rentre plus tôt, en fin d'après-midi, à pied, directement vers mon appart-hôtel. Sur une des avenues du "quartier chic" que j'empreinte pour atteindre la très belle rue perpendiculaire de mon hôtel. Un semblant de manifestation se meut je marche en hâtant le pas sur le trottoir lorsque d'un seul coup, je sens une main insérer fermement mon épaule et me tire en arrière. Il en est de même avec mon avant bras. Je suis surpris d'être encadré de deux personnes de la police étatique. Je suis dirigé et emmené vers un véhicule break noir qui vient de former une colonne avec les autres voitures qui démarrent avec avertisseurs et gyrophares.
A ma descente, me voilà mis avec un groupe d'hommes de tout âge, et toute condition sociale. Nous franchissons les marches d'un bâtiment cossu. En levant la tête, j'arrive à traduire, c'est, ce qui correspond à notre commissariat de police.
Le groupe de policiers, après nous avoir amenés et déposés dans ce vaste et impressionnant édifice, ressortent pour nous confier à de nouveaux policiers qui sont à l'intérieur.
Presque une heure d'attente et un policier vient me chercher, nous marchons quelques mètres d'un long couloir pour me faire entrer dans un bureau où trois autres policiers sont installés autour d'un large bureau, me voilà debout assez anxieux devant ces quatre hommes. Le plus gradé me fait asseoir pour me faire décliner mon identité. Entre deux réponses, je me permets de leurs demander pourquoi je fus emmené et que je me trouve dans ces murs. L'un d'eux me répond que je n'aurais pas dû manifester, c'était une insulte à leur Gouvernement. J'ai essayé de les contredire en leur affirmant que je rentrais seulement chez moi et que je n'avais pas eu connaissance de ce grand mouvement de foule. L'échange continue encore un petit moment, après un bref silence je pense que ce contrôle d'identité est terminé. Le plus petit des policiers m'annonce que c'était la phase administrative, maintenant il va falloir accompagner ces écrits de photos et autres contrôles. Il me fait lever pour me mettre le long du mur où mes différentes mensurations sont prises et ensuite la photo sur plusieurs plans en chemise et pantalon.
Le chef (son prénom -Hynek): Vous vous déshabillez s'il vous plaît ! !.
J'enlève chemise et tee-shirt, puis les chaussures et le pantalon. Je reste assez intimidé debout devant eux, et attends.
Hynek : (sur un ton sec) Je vous ai dit déshabillé il reste encore le slip !!
Complètement honteux j'enlève mon sous-vêtement et me voilà nu comme un ver devant quatre hommes en uniforme. J'observe leurs yeux écarquillés avec un regard profond et sombre. D'un coup, un flash me passe en tête et me doute le pourquoi, je suis rasé et épilé et n'ai aucun poil.
Thibor : S'il-vous plaît, mettez-vous face à la table penchez-vous en avant puis, vous écartez vos jambes
.. Bien !, je vous remercie.
Bohuslav Restez bien les jambes écartées et maintenant, avec vos
mains vous écartez vos fesses.
Je me sens complètement rougir et honteux, j'ai les jambes qui tremblent et la chair de poule sur tout le corps. Le chef interpelle le quatrième
Hyneck : Sobéslav, vérifie qu'il ne cache rien.
Ce quatrième policier s'approche et il me semble regarder et constater.
Sobéslav : Non, il n'y a rien ! Mais vous verriez sa rosette ! Comme elle
est régulièrement plissée ; je n'ai jamais vu un trou aussi beau
tout est bien lisse. Il n'a aucun poil, aucun duvet. Nous
n'avons encore jamais vu un si bel orifice ! un spécimen pareil
aussi net
Bohuslav : Alors qu'est-ce que tu attends ?
Et là, je sens quelque chose de chaud, c'est sa langue qui me lèche et qui tourne par saccades autour de mon trou.
Moi : Que faites-vous ? Vous me demandez d'être nu pour un contrôle,
Ce n'est déjà pas évident d'être comme cela devant vous. Mais là
ce n'est pas une vérification. Vous savez je suis marié et papa.
Thibor : Tu as fini de te plaindre. C'est comme cela ici.
Pendant ces paroles l'autre continue toujours de me lécher le trou et parfois arrive à insérer le bout de sa langue à l'intérieur. Ce qui me procure une sensation complètement inconnue; Les trois autres regardent (je pense vicieusement) et parlent entre-deux à voix basse. Sobéslav, a posé ses mains sur chaque globe de mes fesses et rentre un peu plus sa langue tournoyante sur et dans ma rosette. Ces sensations sont très intenses. Je ne me suis jamais fait toucher d'une telle manière par un homme.
Hyneck : Alors ? Trop timide ? Tu peux si tu le souhaites
Avec toutes ces questions que j'ai eu du mal à traduire instantanément vu mon état d'excitation. je me demande bien ce que celui-là veut, car pour un contrôle d'identité, tout dégénère. Je n'ose pas trop les contrarier, car dans ce pays la police à presque tout pouvoir. Ce policier apparemment d'une cinquantaine d'année, met sa veste d'uniforme sur le porte-manteaux. Bohuslav s'approche de Sobéslav et je sens certains mouvements. Lui aussi voudrait-il me lécher la rondelle? Je n'en peux plus. En retirant sa langue voilà que Bohuslav me crache sur mon petit trou. Sans m'y attendre, ce "salaud" me plante sa verge en moi. Je pousse un hurlement, car il l'enfonce d'un seul coup sans ménagement; Quelle horreur. Moi papa, voilà que je suis sodomisé. Quelle honte ! Mon Dieu ! si ma chère femme apprend cela. Et Bohuslav commence des va et vient lent sur toute la longueur de son sexe qui (j'ai su après) fait presque vingt-deux centimètres avec un diamètre de plus de cinq. Mon cul semble éclater malgré tout le travail de préparation avec cette langue pendant pus de trois-quarts d'heure. Au fur et à mesure du burinage, je me surprends à prendre du plaisir. Je pousse des gémissements, jusqu'au moment échappe un c'est bon, c'est bon. Je suis sucé en même tant que sodomisé. Après avoir eu mal, très mal, la douleur s'estompe pour faire place à un plaisir intense. Par moment cette belle queue avec son gland touche ma prostate en me procurant presque de l'extase.
A un moment je lance à Sobéslav,
Moi : Continuez de sucer, plus profond, c'est bon, c'est bon oui, oui ! !
Il ne se le fait pas dire deux fois, il accélère ses sucions qui font un bruit pas possible avec la salive qui lui coule le long de la bouche, et pendant ce temps Bohuslav fait des va et vient plus ample qui percute ma prostate à plusieurs reprises ce qui me fait maintenant crier de plaisir. Ma respiration est de plus en plus courte ce qui accélère mes battement cardiaque. Même aux grands moments de l'orgasme avec ma femme je ne me suis jamais conduit comme cela. J'évacue des mots crus, des onomatopées, jusqu'aux cris "continuez, continuez" "allez-y, allez-y" La bouche cogne contre mon pubis tout lise tellement les va et vient sont devenus rapides et violents, et le bas-ventre et les testicules de Bohuslav frapper et claquer mes fesses.
Alors que j'étais honteux il y a deux heures me voilà participant à cette partie sexuelle imprévue et intense en découvrant un réel plaisir en compagnie de ces hommes vicieux aux corps sublimes de l'Est et bien montés pour me donner ce plaisir inconnu. Je sens une grand plaisir venant de mon cul lors des coups de butoirs sur ma prostate au même moment où ma liqueur intime monte le long de membre viril qui semble éclater. Bohuslav lâche ses jets de foutre qui me remplissent et coulent sur l'intérieur de mes cuisses au moment où je lâche des litres de semence comme cela ne m'était jamais arrivé tout dans la bouche de Sobéslav en poussant plus qu'un cri, mais un hurlement prolongé et rauque quand mon corps se met immédiatement à trembler avec des soubresauts répétitifs et intenses accompagnés de sons de plaisir et soulagement.
Ces policiers ont eu la correction de m'essuyer pour enlever tous ces amas et grumeaux de jute réciproque. Après ce moment de saillie et fellation j'ai signé le procès verbal et très gentiment deux de ces policiers m'ont raccompagnés à l'hôtel. Nous avons pris l'apéritif au bar de celui-ci en expliquant que je n'avais rien fait avant avec des hommes. Ils me dirent que si j'avais aimé, mais surtout si j'avais vraiment trouvé du plaisir il fallait de nouveau réitérer ce genre d'exercice sexuel. Ils me proposèrent de nous revoir. A chaque fois j'apprécie cette nouvelle jouissance due notamment au massage de la prostate et de leurs savantes fellations. Jusqu'à la fin du séjour de mon déplacement ils m'ont procuré de nombreux orgasmes agréables.
Je suis toujours marié, car j'aime mon épouse. Nos rapports se sont un peu espacés et j'ai maintenant des aventures et rencontres avec des hommes de mon âge qui me procurent ces échanges de plaisir masculin
Je ne regrette rien.
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