Julie Et Le Secret D'État (2Ème Partie)
SUITE DE JULIE ET LE SECRET D'ÉTAT (2ème partie)
Avertissement.
Les personnages et les situations du récit précédant (1ère partie de Julie et le secret d'état) et du récit à venir étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.
La totalité du récit (1ère et 2ème parties de Julie et le secret d'état) a été rédigée antérieurement au mois de janvier 2014. La 1ère partie a été publiée le 20 janvier 2014 sur HDS. Le personnage de Julie a été créé antérieurement au 24 juillet 2011, date de la publication du premier épisode relatant ses exploits et n'a donc aucun lien avec une actrice prénommée également Julie, faisant la une de l'actualité en ce mois de janvier 2014 en même temps que le président de la République. Le secret d'état qui sert de trame à l'histoire actuellement relatée ici est bien un véritable secret et non un secret de polichinelle à connotation amoureuse véhiculé à scooter sur le terrain de la rumeur.
A moins que je fus dans le secret des dieux ?
Julie, très fatiguée, mais satisfaite du devoir accompli, quitta le club échangiste vers cinq heures du matin. Elle n'avait pas pris la peine de se refaire une beauté avant de sortir. Elle était toute décoiffée, genre mise en plis faite avec un pétard. Son maquillage laissait à penser qu'elle venait d'affronter des bêtes féroces. Elle ressentait quelques douleurs sur son corps meurtri par les prouesses accomplies au cours de la nuit passée. Elle héla un taxi. Le chauffeur, plutôt beau gosse, avait les yeux écarquillés face à la tenue de Julie qui continuait à exhiber ses avantages.
Que vous est-il arrivé ? Vous avez été violée ?
Non, je sors du club libertin où j'ai eu un grand succès, et je rentre chez moi.
Julie s'engouffra à l'arrière de la voiture, sa poitrine complètement dénudée. Elle pris place au milieu de la banquette.
Ce matin-là, vers cinq heures trente, le Secrétaire Général de l'Elysée décida de réveiller le président de la République. C'est ainsi qu'il fut avisé du scoop qui faisait le buzz sur les chaînes d'info et sur les radios. Le président piqua une colère encore jamais vue. Il convoqua son conseiller spécial pour les affaires de sécurité. En fait, c'était un spécialiste des coups tordus.
Vous allez me retrouver cette pute. Elle doit payer. Cher ! Très cher ! Que j'en entende plus jamais parler. Vous avez carte blanche.
Le chauffeur de taxi matait Julie dans son rétroviseur. Visiblement il appréciait le spectacle.
Vous êtes très belle, très sexy. En fait vous êtes un vrai canon et vous me donnez envie.
Je comprends. J'aurai dû monter devant !
Je vous en prie.
Julie se leva et bascula en avant pour s'installer sur le siège à côté du chauffeur. La manuvre eu pour résultat d'offrir en totalité son magnifique cul rebondi. Le chauffeur de taxi ne pu s'empêcher d'y mettre la main. Elle enleva sa micro robe. Elle dégrafa le pantalon du chauffeur, pour faire apparaître une énorme queue, déjà bien raide.
Superbe ! J'adore les longues queues bien dures.
Elle prit le sexe en bouche et commença des allées et venues dont elle avait une parfaite maîtrise.
Le taxi roulait lentement. Quand il sarrêtait à un feu rouge, on pouvait assister à l'attentat à la pudeur permanent dont Julie était l'actrice, entièrement nue, à quatre pattes sur le siège passager avant, son cul contre la vitre latérale, sa fente bien écartée et son petit trou bien visible.
Arrivés à destination, Julie accéléra le rythme en même temps qu'elle offrait en elle plus de profondeur. Puis au moment qu'elle avait décidé elle abandonna la bite de sa bouche et s'employa à la branler des deux mains. Le chauffeur de taxi ne put résister longtemps. Sa queue cracha la purée par des jets puissants. Çà giclait partout dans l'habitacle. Il avait la bite encore bien raide. Alors Julie vint s'installer sur lui, s'empala sur le sexe au garde à vous, et commença à se donner du plaisir. Elle s'activait de haut en bas et de bas en haut. A chaque mouvement, elle se délivrait de la bite, puis y retournait pour se pénétrer avec force. Sa tête heurtait à chaque fois le pavillon. Une énorme jouissance l'envahit. Elle cria de plaisir. Elle pensa que c'était mérité.
Lorsqu'elle ouvrit la porte de son appartement, Julie eut la surprise de se retrouver face à deux hommes plutôt « patibulaires » qui l'attendaient chez elle. Elle fit aussitôt demi-tour mais un troisième du même acabit la bloquait sur le palier. Brutalement, l'un d'eux lui installa un bâillon sur la bouche. Elle ne pouvait plus que gémir. Ils lentraînèrent dans le salon, pour la jeter sur le canapé. Une femme, très laide, très grande, très grosse fit son apparition depuis la cuisine. Elle se dirigea vers Julie et lui asséna une paire de claques d'une violence inouïe. Le visage de Julie passa du rose au rouge très vif puis au violet. Elle était complètement sonnée. La matonne se saisit de la robe de Julie, et la déchira comme s'il s'était agi d'une feuille de papier. Puis elle prit à pleine main ses cheveux et l'obligea à se mettre debout. Quand elle relâcha Julie, une touffe de cheveux resta dans sa main.
Alors petite salope. On s'amuse à propager des rumeurs. Tu vas le payer. Mais je doute que tu ais le temps d'avoir des regrets. Viens par ici. En attendant, on va faire de toi une chienne.
La grosse femme entraîna Julie vers un grand radiateur en fonte qui se trouvait dans la salle de séjour et l'y attacha avec une longue laisse et un collier autour du cou. Puis elle lui immobilisa les mains dans le dos avec une paire de menottes. A ce moment là, Julie n'était plus qu'une poupée de chiffon, totalement nue. Il lui restait ses escarpins aux talons vertigineux. Ses seins pointaient vers le haut. Sa fente était encore entre-ouverte.
Voilà. Tu es prête, chienne ! A genoux ! Suce moi la chatte.
La grosse releva sa jupe et retira le bâillon. Elle avait une chatte répugnante au milieu d'une énorme touffe. Et il était bien difficile de si sa fente, tellement il y avait de bourrelets. Julie tenta bien un mouvement de tête comme si elle voulait refuser, mais la femme la plaqua contre son bas ventre avec ses deux mains démesurées comme des battoirs.
Si tu cris je te saigne. Suce petite pute. Suce moi ! Sinon tu vas ramasser.
Julie dût se soumettre. Sa langue chercha l'ouverture et la trouva rapidement. En fait le trou était énorme. Malgré l'odeur de pisse qui s'en dégageait, Julie lécha, en haut, en bas, au milieu, c'est à dire de façon très professionnelle. Elle n'avait pas le choix.
Tu fais ça bien espèce de pouffiasse. Tu es bonne. On va profiter de toi. Allez y les gars. Elle est à vous.
Les trois hommes s'approchèrent, pantalon baissé, la queue bien dressée. Le premier releva Julie, la retourna et d'un seul coup l'encula. Julie ne s'y attendait pas et malgré son entraînement poussé dans cette discipline, elle eut très très mal. Elle ne put s'empêcher de crier sa douleur. Le deuxième individu l'embrocha par devant de façon plus classique. Le troisième monta sur un tabouret pour mettre sa bite à la hauteur de la bouche de Julie. Celle-ci savait ce qu'elle devait faire et d'initiative elle se mit à sucer la bite qui lui était présentée. Le viol se poursuivit pendant de longues minutes. La première éjaculation vint du sodomiseur.
Qu'est-ce que tu es bonne, salope. Tu as un truc, c'est pas possible. On dirait que tu es spécialement formatée pour prendre des coups de queue. Et puis, tu sais y faire avec ce mouvement interne pour enserrer au maximum la bite dans ton trou. Je suis sûr que tu as pris du plaisir ?
Oui, je reconnais que ça m'a fait du bien.
La réflexion ne plut pas à la grosse.
Je vais te punir immédiatement.
Les coups de cravache commencèrent à pleuvoir sur la croupe de Julie. Une dizaine en tout. Julie cria brièvement à chaque fois. Les traces sur ses fesses et le haut de ses cuisses démontraient que la sadique ne faisait pas semblant.
Voilà qui excita le deuxième violeur qui sortit sa queue du vagin de Julie pour se branler sur son bas ventre et éjacula une telle quantité de foutre qu'il s'en étonna lui-même.
C'est vrai que cette salope a quelque chose de spéciale. On dirait qu'elle a été programmée pour donner du plaisir. En tout cas je n'avais jamais éjaculé autant. Quel plaisir ! Et toi salope ?
J'aurais préféré que vous restiez en moi. C'était très bon.
La mateuse, une nouvelle fois, n'apprécia pas. Et ce furent dix coups de cravache supplémentaires sur les fesses de Julie mais aussi sur ses cuisses et sur son bas ventre. Julie hurla à chaque fois. Elle commençait à être sérieusement marquée.
Le troisième violeur tenait la tête de Julie par ses cheveux. A chaque coup de cravache et à chaque cri, l'homme l'obligeait à s'enfiler sa bite jusqu'au plus profond de sa gorge.
Putain de salope ! Elle est trop bonne.
Il jouissait comme un malade.
Avale, sale pute. Avale tout.
Il vidait son foutre au fond de la gorge de Julie qui ne respirait plus. Elle était en apnée. Son visage était rouge violacé. Ses yeux étaient révulsés. Pourtant des queues installées durablement dans sa gorge, elle en avait eu quelques unes. Mais il est vrai que le contexte n'était pas le même.
La grosse sale pris la parole. Visiblement elle était la chef.
Bien messieurs, chacun a eu droit à sa part de gâteau. Vous allez me la ficeler comme il se doit et me la lester avec des parpaings, et « plouf ». Les ordres viennent de très haut. Ils ne sont pas discutables.
L'homme sodomiseur se permit une réflexion : « c'est dommage de gâcher une telle marchandise ».
Son compère d'en face, celui qui s'était approprié la vulve de Julie, renchérit : « c'est vrai que la marchandise est d'une qualité exceptionnelle et que ça mérite réflexion ».
Le troisième approuva : « j'en reprendrais bien un coup de cette traînée ».
Ne commencez pas à me faire chier. Vous savez d'où viennent les ordres, messieurs ! Alors on les exécute, sans état d'âme. Je vous vois venir avec vos gros sabots.
Après lui avoir remis le bâillon, les trois hommes s'attelèrent à ligoter Julie Ils en faisaient un paquet cadeau, à l'image d'un bondage sado-maso. Telle qu'elle était immobilisée elle donnait à nouveau envie aux trois violeurs. A priori, la scène ne laissait pas la grosse indifférente. Elle regardait ses acolytes en train de procéder, vautrée dans un fauteuil, les cuisses écartées et caressant son énorme trou ventral.
Bon, on se la prend une autre fois à chacun notre tour et après à l'eau !
Julie avait un regard paniqué. Ça ne se passait pas comme prévu. Elle aurait voulu se réveiller après un cauchemar. Elle était entièrement nue, allongée au sol, ligotée de partout sauf que les amateurs de bondage avaient bien calculé de laisser libres ses parties intimes.
Viens jusqu'à moi sale putain ! Tu vas me sucer à nouveau. Vas y, rampe ! Comme une
traînée.
La grosse appréciait le spectacle de Julie rampant vers elle. Elle apprécia encore plus lorsque Julie entreprit de la sucer. Julie se dit qu'il fallait faire ça consciencieusement. Tant que la grosse et ses acolytes avaient envie d'elle, la survie était possible.
La grosse se mit à lui pisser dessus. Julie ne dit mot. Il fallait tenir.
Bon, on va épargner cette petite pute. Au moins momentanément. Elle est trop bonne. Aller. On l'embarque chez nous. Déficelez-la. Habillez-la de façon à ce que l'on passe inaperçu jusqu'à la voiture.
Les trois hommes s'exécutèrent. Ils encadraient Julie, désormais vêtue d'un imperméable à peine boutonné, et toujours ses escarpins, puis quittèrent l'appartement, allant vers leur voiture. Julie se laissait aller. A peine si ses pieds touchaient le sol. Brusquement Julie se détacha de ses deux tortionnaires qui ne l'a tenait qu'avec un seul bras de chaque côté. Elle se jeta sur une voiture qui passait. Elle rebondit sur le capot puis tomba sur la chaussée. La fine équipe des services très spéciaux ne demanda pas son reste. Tous les quatre sengouffrèrent dans leur voiture, démarrèrent et disparurent.
Julie était toujours habillée comme la veille, toujours avec rien, sauf que le rien était désormais un imperméable qui laisser apercevoir sa poitine et son ventre. Allongée sur la chaussée, elle paraissait entièrement nue. Curieusement elle se releva. En fait le choc, spectaculaire, avait été moins violent que ce que l'on pouvait supposer. Sa roulade sur le capot l'avait sauvée. Elle avait quand même quelques ecchymoses ici ou là. Mais sans plus. Ses années de pratique du judo au cours de son adolescence lui auront servi à quelque chose.
Le jeune couple qui se trouvait dans cette voiture providentielle était très ennuyé, mais rassuré voyant que Julie se portait pour le mieux.
Que peut-on faire pour vous ?
Emmenez-moi ! N'importe où ! Chez vous ? Ailleurs !
Montez !
Julie s'installa à l'arrière de la voiture des jeunes gens. Ils avaient compris que l'accident n'était pas fortuit. Julie se trouvait très fatiguée, et surtout courbaturée de partout à cause de l'accident volontaire, mais aussi à cause de la séance de sexe extrême et de violence organisée par ses tortionnaires. Elle se rassura en pensant à ce jeune couple. Elle trouva la fille bien foutue et son mec pas mal du tout. En ce dimanche matin, la voiture roulait lentement dans Paris. Le conducteur expliqua qu'il prenait la direction de leur domicile. Julie, toujours en quête d'aventures, osa leur demander l'hospitalité. La réponse fut très favorable. Visiblement ils avaient une idée derrière la tête. A un feu rouge, la fille se déshabilla complètement, sortit de la voiture pour s'installer à l'arrière à côté de Julie. Elles se caressèrent et s'embrassèrent et firent l'amour.
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