Un Si Bel Été, Et Ses Suites (11)
Mais avant le mémorable vernissage de lexposition de Stoya, javais eu loccasion de revoir Agnès., la mère de Cyril, la femme qui mavait dépucelé cet été. Comme prévu, elle était de passage à Paris pour raison professionnelle, et nous avions convenu de nous retrouver le vendredi soir au bar de son hôtel. Dès que jarrivai, elle se leva et vint à ma rencontre :
« Ah, Nicolas, je suis si heureuse ! Javais tellement hâte de te revoir ! Jai tellement envie se
envie que tu
Viens, montons dans ma chambre. »
La chambre est sensiblement identique à la fois précédente. Sitôt entrés, Agnès métreint et membrasse :
« Viens vite, vaurien
»
Nous nous déshabillons mutuellement, fébriles, et roulons sur le lit. Elle se positionne immédiatement en levrette, croupe offerte :
« Oh, Nicolas ! Jai envie que tu
Prends-moi par derrière
»
Jai compris ce quelle voulait dire. Elle a dailleurs tout prévu et mindique le pot de crème, sur la tablette près du lit. Sans plus attendre, jaccède à sa demande et lubrifie son petit trou du cul. Dès que je my introduis, Agnès réagit par des frémissements, des soubresauts ; elle se laisse aller à plat ventre et étreint loreiller. Je suis directement allé à fond, mon ventre sécrase sur ses fesses et je la pilonne. Elle se déchaîne, étouffant heureusement ses cris dans loreiller où elle a plongé la face :
« Aaaah oui, putain ! Encule-moi, encule-moi ! Putain, oui ; ouiiii
»
Après un ultime sursaut, elle pousse un dernier cri et simmobilise tandis que mon sperme se répand en elle. Je me laisse aller sur son dos et nous restons ainsi, reprenant notre souffle. Je la libère ensuite de mon poids, et nous restons allongés côte à côte.
« Javais tellement envie que tu
que tu me refasses ça, tu sais. »
Je comprends quelle a du mal à utiliser le mot, trop cru, quand nous ne sommes pas en pleine action. Elle poursuit :
« Tu sais, jai demandé à Jérôme quon le fasse.
Elle rit gaiment, membrasse et reprend :
« Depuis cet été, tu me fais faire des folies !
-Dis donc, cest toi qui as commencé, il me semble !
-Cest vrai, tu as raison, petit vaurien.
Oh, il faut que je te raconte ! Ce matin, dans le train, jétais à côté dun homme, un retraité courtois, aimable, nous avons un peu discuté et puis il sest assoupi. Jai commencé à penser à toi, et jai eu envie de me caresser. Je ne fais plus ça depuis ladolescence
(Elle rit)
Enfin, plus très souvent ! Mais là, jen avais très envie. Jai posé ma veste sur les genoux et glissé la main sous ma jupe. Et puis voilà que je maperçois que mon voisin sest réveillé et a compris ce que je faisais. Quand je te dis que je fais des folies : Au lieu darrêter, je lui ai souri et jai continué à me masturber.
-Il a dû se trouver gêné
-Tu crois ? Au bout dun moment, il sest décidé. Jai senti sa main sur ma cuisse, puis plus haut. Ce nétait pas désagréable.
Jétais excitée de cette situation. Au bout de quelques minutes, jai repoussé sa main, je me suis levé et suis passé devant lui en souriant pour me rendre aux toilettes. Je ne me suis pas retournée, mais au moment de fermer la porte elle a résisté et il sest glissé derrière moi.
Nous navons pas échangé un mot. Jai retroussé ma jupe, écarté le bord de ma culotte, il a baissé son pantalon et sest assis. Je me suis assis sur lui, son sexe (il nétait pas très grand mais suffisamment dur) est tout de suite entré et jai fait le reste tandis quil me plotait maladroitement les seins par-dessus mo, chemisier. Ça a été vite fait mais ça ma calmée.
Quand on est sorti, tu aurais vu le regard réprobateur de la dame qui attendait devant la porte !
-Et après ? »
Elle rit :
« Il avait lair dun collégien qui a fait une grosse bêtise et on ne sest plus rien dit jusquà Paris.
Elle rit encore, vient sur moi et nous faisons lamour, par la voie la plus habituelle cette fois.
Je me suis endormi, la tête sur son sein. Quand elle me réveille, je veux la caresser, mais elle me dit quon na pas le temps, quelle ne peut être en retard. Nous allons tout-de-même ensemble sous la douche, où elle me fait une rapide fellation « pour patienter jusquà ce soir ».
Nous convenons de nous retrouver pour dîner dans le petit restaurant où nous étions déjà allés.
Pendant le dîner, je raconte à Agnès mon expérience de modèle pour artiste, expérience qui lamuse énormément.
« Moi aussi jai encore des choses amusantes à te raconter, mais retournons à lhôtel. »
Je tiens à régler laddition, je peux me le permettre puisque Stoya a tenu à me rétribuer pour mes séances de pose, et nous regagnons la chambre.
Nous sommes nus sur le lit, et Agnès, à plat ventre près de moi, commence :
« Figure-toi que Cyril a depuis la rentrée une petite copine, une gamine... (elle rit) enfin, pour moi cest une gamine, mais elle a votre âge. Bref, cest une fille très mignonne, un peu timide, sympathique. Elle reste parfois dormir à la maison et un dimanche matin nous nous sommes retrouvées seules au petit déjeuner, Cyril et Jérôme étaient partis courir. Nathalie était en chemise de nuit, je lai trouvée jolie et le lui ai dit. Elle a rougi, et ça ma ému. Je lui ai dit que jenviais sa jeunesse, quil fallait quelle en profite. Toute rouge, elle a bafouillé que moi aussi jétai belle, que je nétais pas vieille. Elle était vraiment craquante, et comme avec toi cet été jai cédé à une impulsion. Sans plus réfléchir, je suis passé derrière elle, jai posé les mains sur ses épaules, je lui ai répété quelle était belle, que Cyril avait beaucoup de chance, des choses comme ça. Je sentais son trouble et ça mexcitait.
Tu sais, je nai jamais eu de tentations lesbiennes.
Je me suis penchée, jai posé mes lèvres sur les siennes, entrouvertes, et jai cherché sa langue. De plus en plus rouge, elle ma rendu mon baiser. Nos langues se sont mêlées un long moment, et puis sans un mot je lai prise par la main et elle ma suivi dans la chambre. »
Tout en me faisant ces confidences, Agnès me caressait distraitement les testicules et me branlait de temps en temps, me maintenant ainsi en constante érection.
« Jai ôté sa chemise de nuit et la mienne, toujours sans un mot je lai attiré contre moi. Après quelques caresses, elle sest enhardie à poser la main sur mon sein. Et puis nous nous sommes toutes deux caressé partout, nous stimulant lune lautre. Et pour la première fois jai léché une chatte. Celle de Nathalie était toute petite, une motte ronde tapissée de fins poils courts, une fente serrée qui paraissait presque virginale, et un minuscule clitoris très sensible. Ma langue la faisait réagir immédiatement. Et puis nous nous sommes trouvés tête bêche et elle ma léchée à son tour. Nous avons fini par jouir, dabord elle, mais je lai suivie de près.
-Alors tu as aimé ça ?
-Oui, je ne peux pas dire le contraire ; mais tu vois, entre filles il manque quand même une chose essentielle. »
Disant cela, elle descend vers ma bite en ajoutant :
« Assez parlé, tu ne crois pas ? »
Je suis daccord, et comme on ne parle pas la bouche pleine
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!