Collection Pute. Grand-Mère Odette. Fin De La Saison Iii (9/9)

Si j’avais écrit un livre sur ce qui m’arrive, depuis le début de mes vacances prises pendant la fermeture du salon de coiffure de maman à Avignon où j’étais en apprentissage, il comporterait déjà plusieurs chapitres. ?
J’étais, car je propose ma vie, elle dispose de moi.
À la veille de retourner dans ma vie austère, la coiffure, que je subis plus que l’envie que j’en ai.
Je me vois mal les mains dans l’eau à laver des cheveux gras, middle ou sec jusqu’à la fin de mes jours.
Ma mamy fait une attaque et se trouve hospitalisée, ça change les plans.
Ma mère refusant de s’investir dans le bar à pute de celle qu’elle m’a toujours cachée, je suis dans l’obligation de prendre mes responsabilités et je me vois obligée d’assumer en restant

• Allo, la police, c’est Gladys.

C’est un peu comme cela que ça se passe après avoir su que Lala la barmaid de grand-mère Odette, aidé par Serge le comptable ait chamboulé son appartement afin de retrouver les lingots datant de la guerre mondiale.
Par chance avant de me rendre à l’hôpital, avec Sacha nous avions caché la totalité de ce magot dans la panière à linge de la salle de bains sous des culottes de mamy.
Qui chercherait quatre lingots d’or sous des culottes sales.
Allo la police pour qu’elle constate l’infraction et les malversations que le couple de truands a faites.
Mensonge pieux, car j’ai moi-même constaté que Serge le comptable a déserté son agence comptable avec sa grosse voiture grise venue d’Allemagne.
Jocelyne, nom qu’elle porte sur sa chemise de gendarmette, vient prendre ma déposition et faire les premières constatations avec deux collègues.
Lorsque je lui fais part de mes soupçons sur Serge, le comptable et Lala la barmaid de mamy, elle donne des ordres à ses adjoints qui quittent les lieux.
Elle s’isole avec moi pour qu’ils retournent au commissariat intercepter les fuyards.
Me tutoyant, elle m’embrasse comme s’embrassent des amants avant de me faire une confidence.


Elle est lesbienne et comme je lui dis être du Sud de la France, elle m’entraine vers ma chambre en attendant la police spécialisée dans les analyses de terrain.
Elle ouvre sa chemise de service et me montre une chose extraordinaire lorsque je commence à embrasser ses seins.

• Mais tu es tatouée et percée, tu caches bien ton jeu.
• Ça fait partie de mes problèmes, ici à la brigade, je dois les cacher.
• Pourquoi te les es-tu fais faire ?
• C’était juste après que je sois entrée dans la police, je suis allée à Lille et j’ai rencontré une jeune femme que j’ai aimé passionnément.
C’est elle qui me les a faits, elle avait une boutique et tout le matériel.
J’en ai ailleurs.
• Je peux les voir !

Elle déboutonne entièrement sa chemise.

• Tu es tatouée jusqu’en bas et ton nombril aussi elle te l’a percé!
• Tire sur mon pantalon, tu verras ce qu’elle appelait son œuvre d’art.
• Appelait !
• Oui, quand mon corps a été recouvert de tatouage, elle s’est tournée vers une autre fille et elle m’a fait comprendre que c’était terminé.

Je prends son pantalon que je lui enlève.
Jusqu’à ses pieds qui sont tatoués et surtout des boucles en métal sont fixées à ses grandes lèvres.

• Tu vois ce que je cache, deux princes Albert par grandes lèvres.
Je t’ai parlé du cap et de mon obligation de me cacher à Tournai.
Lorsque je le peux, je vais à Lille ou je connais plusieurs bars où les gouines se réunissent et je pratique comme les mecs le coup d’un soir.
• Et les mecs ?
• Depuis l’âge de 15 ans où on me disait un garçon manqué, je suis vierge de toute pénétration.
• Tu es vierge !
• Non, Adèle ma copine de collège qui était lesbienne elle aussi m’a doigté, m’a appris à me servir de gode et a fini par me fister.
Alors ma membrane, je l’ai envoyé aux calendes grecques depuis longtemps, j’ai 29 ans.

J’ai fait enlever les godes de mamy trouvée dans un placart, si j’avais dit à Sacha qu’elle les laisse devant le coffre, j’aurais pu aller en chercher.

Il me reste ma bouche, les godes auraient été des pièces à conviction s’ils étaient restés.
Ma bouche, à part la chatte de Sacha, elle est hors de notre affaire, mais quand je commence à prendre et a sucé un de ses princes Albert, je la sens mouiller jusqu’au cou.
Jocelyne m’appuie sur la tête.
Un par un, ma bouche les saisit jusqu’à ce que ma langue trouve son clito, merde, lui aussi est percé par une petite barre fermée par des petites billes.
Sa chatte est mise en valeur par un serpent, non deux, l’un montant d’une jambe, l’autre de l’autre.
Leur tête se cachant dans sa toison parfaitement taillée.

• Fait moi voir ton corps, donne-moi ta chatte.

Je me dénude montrant à ma nouvelle amie que moi aussi j’ai ce qu’il faut là où il faut.
La différence entre nous c’est que je suis bi et loin d’accepter de refuser les bites au profit d’une simple chatte même tatouée et percée.
À partir de là, je connais, j’ai déjà fait jouir Sacha alors qu’elle me faisait jouir, elle aussi et nous nous en sortons toutes les deux avec les honneurs du jury.
Nous nous retrouvons dans les bras l’une de l’autre.
Ma main joue avec ses piercings vaginaux.
Nous nous embrassons avec passion et mes doigts commencent à la pénétrer.
Fister, je sais ce que cela veut dire et ça c’est nouveau pour moi.
Mais quand Jocelyne écarte ses cuisses, son baiser et surtout sa langue tournant dans ma bouche, mes doigts, ma main, mon poignet lui fait atteindre des sommets de jouissance.
Elle me met ses doigts quand elle a pris place près de moi, mais je les bloque, je dois reconnaître que la peur de rester difforme me travers.

Dans la position où nous sommes, je vois sur le sol, le ceinturon avec son arme et surtout la paire de menottes.
Je suis bien alors une idée me vient.
Je libère les bracelets du ceinturon et attache sa main gauche.
J’entends les cliques lorsque les crans se referment.

J’attache son autre main après les avoir passés derrière un barreau du lit.
Mamy a des lits à l’ancienne.

• Oui, attache-moi, j’ai été une vilaine fille, j’ai cambriolé ta grand-mère.

Le jeu me plait, sentir cette jeune femme bien plus forte que moi et lieutenant de police entravé me fait mouiller.
Je me hisse à la hauteur de son visage et je colle ma chatte sur ses lèvres.

• Lèche salope, tu as été vilaine, j’ai dû t’immobiliser.
Que vois-je sur ta chatte, tu t’es fait perforer les grandes lèvres sans mon autorisation ?
Tu sais que tu es une belle salope.

Jocelyne joue le jeu, mais je me soulève légèrement, car elle est dans l’impossibilité de parler mes cuisses enserrant sa tête.

• Oui, maîtresse, je suis votre plus grande salope, je suis la plus grande salope de la ville de Tournai !
Mieux de l’ensemble de la Belgique.
Je me prostiais pour toi, dans les lits en bas, veux-tu que je sois ta gagneuse ?

Je glisse sur le bas de son corps, admirant au passage les tatouages tous de couleur noire.
Je prends l’un de ses tétons en bouche et je tire sur le piercing la faisant frisonner lorsque je le relâche d’un coup sec.

• Tu reconnais que tu as été vilaine et si.

Je prends l’autre piercing dans les dents et lorsque je sens que la fraise peut lâcher, c’est moi qui le fais.
Idem pour celui du nombril plus difficile à prendre dans mes dents.
Jocelyne doit être très sportive et son ventre est vierge lui aussi de toute marque de graisse superflue, alors je me contente de le titiller de ma langue.

• Continue ma petite chérie, il y a plusieurs semaines que pour le service, un voyage à Lille m’est impossible.
Tous mes petits joujoux sont à toi.

Je me glisse jusqu’à sa chatte, passant une forme en spirale tournant autour de son nombril.

• Mais c’est qu’en plus d’être une affreuse voleuse, cette petite salope veut me donner des ordres.

• Non, je suggérais simplement.

Dominer, goutter à ce doux plaisir d’avoir l’autre à ma merci me plait beaucoup.
Comme je les fais pour ses mamelons, le premier prince Albert est dans mes dents.
Je le tire sentant qu’elle mouille tellement sa cyprine est présente.
Elle va tacher le couvre lit qui est resté en place tellement nous avions envie l’une de l’autre.
Chemise vers la porte, pantalon à deux mètres, ma robe et nos petites culottes avec le ceinturon tous près du lit.
Je domine celle qui domine les autres, je domine une femme de presque trente ans du haut de mes 18 ans.
Nous continuons nos jeux, mais tout à une fin.

• Gladys, la criminelle va arriver, détache-moi, les clefs des menottes sont dans la poche de ma chemise sous mon nom.

Elle a raison, je voudrais bien continuer, mais le devoir, l’appel.
Je me lève, j’enfile ma petite culotte et je saisis la chemise.
Rien dans la poche.

• Tu trouves, vite.
• Elles sont peut-être sous le lit.

Je me baisse rapidement, elle doit avoir une belle vue sur le haut de mes fesses, qui elle aussi sont aussi fermes que son ventre l’est.

• Merde, je me souviens, je les ai laissés sur mon bureau quand nous avons reçu ton appel.
• Je te passe, ton portable appelle tes hommes qui vont te les apporter.
• Et ils vont voir que je suis une gouine qui est entièrement tatouée et qui me fait dominer.
Trouve autre chose.

C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre...

Fin de la saison III, dans quelques jours, la saison IV montrera si j’ai réussi à trouver comment sortir Jocelyne de la position délicate où je l’ai mis en lui passant ses menottes.

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