Belle-Fille (Suite). La Mère Aussi ...!
Enfin loccasion de passer une nuit avec la mère de ma petite salope de belle-fille.
Ce fut trop long d'attendre mais si simple une fois lopportunité survenue.
Je la vois descendre de son train, toute simple, toute menue
et son grand sourire en me voyant.
Cest que Lyon cest la grande ville inconnue.
Et cest là que nous allons nous amuser comme des jeunes fous.
Quelques pas pour sortir de la foule de la Part-Dieu et dans le couloir du parking
un baiser de feu.
Accompagné dun paluchage en règle
Quoique je fasse, tout est accepté, encouragé.
Elle serait capable de me laisser la trousser là, dans un recoin
Complètement en chaleur
en manque.
- Cest si bon ! Ce mariage était si magnifique !
Elle se laisse aller à exprimer cette fièvre de notre soirée !
- Tu as aimé ? Tu es prête à tout ? Je te veux toute entière ! Tu vas tout me donner !
- Oui !!! oui !!! prends !!!
Mes mains palpent ses fesses, les triturent.
Jai tellement froissé la robe dété
ses cuisses sont à nu et je pelote cette chair si soyeuse.
Nimporte qui tournerait la tête, il verrait cette femme se faire lutiner en plein milieu de ce couloir tellement fréquenté !
Nos langues sont folles, je fais plus que lembrasser, jexplore sa bouche, je la possède
.
- viens, jai faim de toi !
Lydie est docile, elle me suit, sa main dans ma main.
Dans la voiture, je ne peux mempêcher de découvrir un sein et de le manger
Aspirer ce téton
goulument. Lui faire sentir cette fougue
En même temps que ma main glisse entre ses cuisses
sous la culotte
oh
quelle est trempée cette chatte
mes caresses ne font que rendre la situation encore plus liquide
. Lydie se liquéfie sous mes doigts
.
- Mets- toi à genoux sur le siège !!
Je relève sa jupe, écarte ses cuisses et ma bouche vient essayer de récupérer cette mouille quelle laisse échapper honteusement
.
- Quelle salope tu es, Lydie, tu sens comme tu es trempée ?
- Jai tellement envie de toi !
- Nempêche que tu es une chienne ! Jai envie dappeler les gens qui passent pas loin ! Venez donc voir ma salope qui mouille
- Tais toi, jai honte
- Dis moi plutôt que tu veux être ma salope à moi. Que tu veux que je te baise à fond. Que je fasse reluire ta chatte !!!
- Pourquoi tu me parles comme ça ?
- Parce que tu vas en prendre plein le cul et la chatte et que tu vas en redemander !!!
Je le sais ! Et ta fille dirait pareil si elle te voyait !!!
Et je fesse un peu fort cette belle partie charnue
Et lautre !!!
Avant de me gorger de sa cyprine et de lui faire chanter son plaisir
pour redemander
elle redemande !! Elle semble adorer mon langage si cru et si surprenant de ma part.
Je lui bouffe la chatte un bon moment, même si la position nest pas très confortable, mon nez reluit de ses sécrétions si savoureuses
- Suce-moi, ma petite salope, suce moi, vite
pendant que je nous emmène dans un lit
Elle a plongé pour sortir ma queue, pour lengober comme une morte de faim.
Je conduis mais jai du mal. Sa langue, ses doigts, ses lèvres, la chaleur de cette bouche
oh putain !
Sa robe est toujours impudemment relevée, japerçois un conducteur se rincer lil , éberlué
et son pouce vers le haut me félicite !
Feu rouge, il est à côté.
Je baisse la vitre en appuyant sur la tête de Lydie.
- Elle suce bien tu sais !
- Veinard !!
- Et regarde-moi ce cul ! dans un quart dheure je lencule !!! fais-je en soulevant la robe pour ne rien cacher de létat ruiné de sa culotte en dentelle
.
- Oh la salope ! elle est trempée !
- Pompe moi bien, arrête pas surtout ! dis-je à Lydie qui essayait de se dégager, confuse
Mon doigt vient coulisser, tantôt le long de son sillon, tantôt dans sa chatte et
titillant son petit trou de temps à autre
.
On traverse Lyon comme ça. Longeant un bus par ci ou un 4x4 par là.
Des voyeurs doivent sen payer une tranche !
Je dois dire que ma queue aussi, se régale. Et ma main caresse la tête qui me suce si bien.
Avant de retourner farfouiller entre ses cuisses.
On approche de lhôtel et il faut bien que Lydie se réajuste un minimum !
Dans la chambre, je la jette sur le lit et maffale sur elle, sentir mon corps qui pèse la rend folle
son baiser est fou damour, de désir.
Je la déshabille rapidement, on est nus. Et un 69 de rêve nous plonge ( !) dans le bonheur.
Je veux son petit trou.
Tout de suite.
Mon doigt, puis deux doigts parviennent à préparer ce passage pour ma queue qui me supplie de lui donner ce cul à enfiler !
Lydie se retrouve à quatre pattes.
Ma main enfonce sa tête dans loreiller, ma queue glisse le long de sa chatte et, bien mouillée, se pointe devant son anus.
Je force un peu et le gland est entré.
- Chérie je vais tenculer , caresse toi ! (vous me direz que le loup est déja dans la bergerie...)
- Prends tout ; je suis à toi !
Je pousse, je vais et je viens
de plus en plus loin. Ah que cest bon, que cest étroit.
- Jaime baiser ton cul ! jaime tenculer !
- Ahhhh
.
- Je vais te défoncer ma petite !
Et nattendant pas de réponse, je me mets à marteler de coups de queue toujours plus fort, toujours plus vite dans le cul de ma jolie mère de famille.
Et progressivement, la belle sent venir des sensations nouvelles, fortes, si fortes
extrêmes
!
Et elle mencourage, envoie son cul vers ma queue qui la laboure.
Elle crie quand lorgasme survient. Elle crie encore et encore
Elle jouit comme jamais.
Et me fait penser à sa fille, si expansive dans ses orgasmes !! Je peux pas lui dire, dommage !
Je suis sur mes pieds, accroupi sur son dos, façon canine
Et je pelote ses seins, caresse son ventre, son clito avant de la saisir aux hanches à nouveau pour des myriades de coups de queue.
Jen veux encore, jen veux plus, je veux la sentir totalement assouvie.
Et je me rends compte quelle est épuisée dainsi subir mes assauts de barjot !
Alors je lui demande de préparer sa petite figure de femme sérieuse à recevoir ma giclée de sperme !
Et je me présente pour conclure de ma main en crachant tout sur sa petite face de mère modèle.
- Ah ! que cest bon
. ! ahhh
suce moi, nettoie ma queue, salope, allez !
Et Lydie me suce goulument, folle de remerciements, folle de ma queue, folle delle-même.
Toute la nuit on a baisé, elle en avait jamais assez. Au matin, la frénésie devenait incroyable.
Et mes couilles commençaient à vraiment être vides !
Cest en parlant dans un moment de calme que jai compris que cétait lidée de la fin de ce plaisir, de cette nuit qui lui donnait cette fringale.
Jai encore dévoré sa petite chatte pour son plus grand plaisir. Et les yeux cernés, après une nuit homérique, on a pris un petit déj copieux
Je lai raccompagnée à la Part-Dieu, elle avait les larmes aux yeux. Jai pourtant promis quil y aurait une suite. Et rapidement !!!
Vous voulez savoir ?
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