Trixie Chap 26 - Le Pot De Départ
Je viens de recevoir un mail de mon petit copain Maxime, il me dit que j'ai oublié de vous narrer une soirée qui selon lui mérite que vous en preniez connaissance, il en a fait le récit, je vous le retranscris donc :
C'était la fin du mois de mars, Gérald, le noir avec lequel Trixie avait assouvi ses fantasmes allait partir, il avait trouvé du boulot ailleurs surement mieux rémunéré, nous nous dirigions après le travail vers le vestiaire ou il faisait sa petite réception pour son pot de départ.
« Je regrette de ne pas t'avoir écouté avant...me dit-elle. Les expériences avec lui ont été fantastiques, surtout celle du gymnase avec ses copains basketteurs...mais on va tourner une page ! Le dernier inventaire que nous avons fait tous les deux a été super chaud, et je vais lui faire un dernier cadeau... »
Je poussais la porte et m'effaçais pour la laisser passer, il n'y avait pour l'instant pas grand monde. Gérald se précipita pour lui faire la bise, leurs lèvres dévièrent et se frôlèrent, leurs mains se caressèrent discrètement, il l'attrapa par la taille pour la faire entrer. Elle accaparât aussitôt toute l'attention des mâles de l'assemblée. Elle était vêtue d'un gilet blanc en laine assez opaque, fermé par quatre boutons, le premier, celui du haut était positionné à la naissance de ses seins. Le chandail descendait jusqu'au tiers de ses cuisses. Elle portait aussi une jupe pi-graillée de motifs blancs, noirs et grenats, elle était assez ample à légers plis et dépassait à peine le bas du gilet. Des talons aiguilles soulignaient le galbe de ses jambes, qui étaient gainées par des bas noirs et, je le savais soutenus par un fin porte jarretelle de la même couleur. Elle raffolait des dessous de cette couleur, son string et son demi demi soutien gorge devaient être eux aussi assortis.
Gérald lui demanda, si elle pouvait lui donner un coup de main pour le service. Au fur et à mesure de l'arrivée des convives, elle ne ménageait pas sa peine, s'occupant des invités, distribuant gâteaux, petits fours et boissons, l'atmosphère de cette petite réception était pour beaucoup agrémentée par sa beauté, sa gentillesse et la nature de ses discussions aguichantes, mais pas trop.
L'heure s'avançait l'ambiance battait son plein, Gérald avait ouvert ses cadeaux, entre deux conversations, ses yeux se posaient sur Trixie et je voyais que son regard se remplissait de nostalgie...parfois en passant, de ses seins elle frôlait furtivement son bras. L'assistance se clairsemait de plus en plus, je les vis discuter tous les deux, elle acquiesça en souriant. Un moment plus tard elle vint me trouver, j'étais assis seul devant une petite table.
« Tu dois te douter du cadeau perso que je veux lui faire...Ça prend tournure...il vient de me demander si on ne pouvait pas rester tous les deux pour l'aider à ranger à la fin...depuis qu'il m'a dit ça, je pense savoir ce qu'il veut et je mouille comme une pucelle...et regarde mes nichons ! »
Elle se pencha en avant, comme pour débarrasser les verres, le gilet baillât, effectivement les pointes brunes dépassant hors des demis bonnets étaient érigées de presque trois centimètres...ses aréoles gonflées et couvertes de chair de poule...Je me dis que les noirs et Gérald en particulier lui faisaient vraiment de l'effet.
Je me remémorai l'extraordinaire soirée ou elle s'était faite baiser par les trois basketteurs noirs ensemble, sachant ce qui allait surement arriver, je fus moi aussi émoustillé.
Une demi-heure se passa avant que le dernier invité, ne quitte le local. Je cru que Trixie allait le pousser dehors, elle avait déjà tout rangé.
«Ouf, dit Gérald...nous voilà seuls !! Je dois à 20 heures 30 retrouver des copains au resto, il nous reste plus d'une heure ! Si vous voulez, allons dans mon bureau... »
Il prit Trixie par la main et l'entraina vers la pièce ou il travaillait. Une fois que nous fûmes à l'intérieur il ferma la porte à clef. Le dessus de sa table de travail était exempt de tout matériel.
« Il n'y a plus personne, mais soyons prudents...Si je vous ai amené ici c'est pour vous demander quelque chose. Vous m'avez tellement fait fantasmer presque tous les lundis lorsque vous veniez chercher des vêtements de travail propres, que l'on va récréer tout ça.
Il ouvrit la porte de communication à la vitre dépolie et nous nous retrouvâmes tous les trois dans le réduit attenant à la lingerie. Il est vrai que nous avions joué à des jeux érotiques devant cette porte, espérant secrètement que le grand noir assis au bureau nous apercevait à travers la verre dépoli et cela nous excitait énormément.
« Oui, dit-il, je devinais ce que vous faisiez...alors maintenant vous allez faire pareil...et cette fois c'est moi qui profiterai au final de Trixie...si tu veux bien...Et toi Maxime, Trixie m'a dit que tu étais le responsable de votre petit jeu, alors tu vas regarder le noir baiser ta copine sans intervenir. Ne vous inquiétez pas, j'ai fermé la porte principale de l'intérieur, nous sommes tranquilles ! Avant de commencer, peux-tu sortir ma queue ? »
Elle s'avança vers le grand noir, ses mains tremblaient légèrement d'excitation, elle dégrafa la ceinture du pantalon, et lentement tout en le regardant dans les yeux elle défit les boutons du jean's.
Ses doigts caressèrent la bosse qui se profilait sur la cuisse, elle écarta largement les bords de la braguette, il ne portait pas de slip. Sa main droite se faufila à l'intérieur et sortit en pleine lumière l'énorme rouleau noir. Je l'avais déjà vu, mais je fus encore impressionné. Elle baissa légèrement le pantalon sur les hanches pour libérer les testicules, puis soulevant la bite monstrueuse pour bien me la monter elle se tourna vers moi en disant.
« Qu'en penses-tu ? Elle est aussi grosse et longue que celle de Mandingo, non ? »
Elle aimait beaucoup fantasmer avec cet acteur porno noir américain, son sexe était donné pour 29 cm au repos et 32 ou 33 cm en érection. Nous avions visionné ensemble plusieurs fois des vidéos, et je ne l'avais pas regretté, la libido de ma jolie copine avait été décuplée !
« Oui, dis-je...il ne lui doit rien...ne sachant pas si j'allais cette fois bénéficier de l'effet produit.
- Bon, et si on commençait dit Gérald...Tu la déshabilles !! »
Il la repoussa gentiment vers moi. Je m'approchais dans son dos, mes lèvres se posèrent dans son cou, mes mains sur ses hanches...Son corps tremblait légèrement maintenant.
« Petite salope, je sais que tu mouilles...ton string doit être trempé...lui murmurai-je à l'oreille
- Oui, oui ça coule...
- On va vérifier... »
Mais mains descendirent le longs de ses hanches, passèrent sous le gilet blanc, remontèrent le long des cuisses sur sa jupe en suivant les lanières de son porte-jarretelle, je cherchais l'attache de la jupe et la défis. Je fis glisser le vêtement le long de ses jambes. Elle s'extirpa avec grâce de la corole qui entourait ses chevilles. Son gilet blanc laissait apercevoir la dentelle du haut des bas et les attaches du porte-jarretelle. Je passais mes mains sous ses bras et je déboutonnais le premier bouton à la naissance de ses seins, écartais les pans tout en laissant couvert ses aréoles gonflées et les mamelons érigés qui pointaient sous le tissu, je les je pinçais entre mon pouce et mon index, cela lui tira un gémissement d'extase. Je redescendis lentement mes mains le long de son corps le caressant à travers son tricot pour défaire la dernière attache du bas du vêtement qui se trouvait à hauteur de sa chatte, j'en écartais un peu les pans pour que Gérald qui ne perdait aucun de mes mouvements puisse apercevoir son string noir transparent. Mes doigts l'effleurèrent, il était trempé par son foutre.
Ma bouche se reposa sur son cou, je lui susurrais à l'oreille.
« Petite salope, quand on venait ici se changer, tu ne mouillais pas tant c'est de voir sa queue noire qui gonfle qui t'excite comme ça ? »
Je soulevais son gilet par derrière, attrapait la lanière du string sur une hanche et la faisait craquer, je répétais rapidement l'opération de l'autre coté, je brandis alors comme un trophée le triangle de dentelle, que j'envoyais en direction du grand black qui l'attrapa au vol.
« Mais tu mouilles autant que lors de mon premier doigté »
Lui dit-il en humant avec délice le petit linge trempé.
Je défis le second bouton du haut, en prenant soin de ne toujours pas dévoiler ses seins, je savais qu'elle désirait que je les expose à la vue de Gérald et que cela attisait son excitation que je ne le fasse pas. Elle tortillait les épaules pour essayer de faire glisser le vêtement.
« Attends, lui dis-je, ne sois pas si pressée...Je m'attaquais à la fermeture de son soutien-gorge qui ne me résista pas, remontant mes mains sous son gilet dans son dos nu je fis tomber une bretelle le long de son bras la fit passer par dessus sa main, l'autre côté subit à son tour le même sort, je lui ôtais le soutien gorge et l'envoyais en direction de Gérald. Le gilet n'était plus retenu que par un bouton, je n'avais pas encore dévoilé les seins fermes et durs, il baillait à partir de son nombril laissant apparaître en partie sa chatte qu'elle avait pris soin de raser, ne laissant qu'un triangle de poils bruns ras au dessus de son mont de vénus. Je dégrafais alors le dernière attache du vêtement et écartais les pans sur ses hanches dévoilant son sexe ruisselant entouré du porte jarretelle noir dont les lanières tranchaient sur la blancheur des cuisses. Les deux seins dévoilèrent à leur tour leurs aréoles et les mamelons gorgés de sang, elle se cambra en avant avec un gémissement comme pour les offrir à Gérald. Puis je fis glisser le sweater sur ses épaules, elle tremblait littéralement, elle n'avait d'yeux que pour le monstrueux pieux noir qui s'érigeait devant elle. M'ignorant complètement, elle fit un pas en avant et le saisit à deux mains, Gérald la plaqua contre lui, ses lèvres charnues se plaquèrent sur celles de Trixie, leurs langues se nouèrent en un baiser fougueux.
Elle se frottait le ventre contre la formidable bite noire tendue, comme il était grand le bout du gland arrivait juste sous ses seins. Il lui malaxait les fesses des deux mains, écartant les globes fermes, puis le majeur de sa main droite s'insinua dans la la vulve ruisselante. Il souleva ainsi la jeune fille, comme une plume et la déposa, la couchant sur le dos sur son bureau sous la lumière crue des néons. Il se recula...Trixie écarta aussitôt largement les cuisses, et levant le bassin offrit sa chatte largement ouverte à nos regards. Son index et son majeur y entraient entièrement jusqu'à la dernière phalange, après plusieurs aller et retour, en souriant au grand noir, elle les suça avec volupté.
Nous tournant le dos, elle se mit à genoux jambes bien écartées, sa main droite se mit à caresser ses fesses les écartant pour bien dégager son trou intime et sa fente rose brillante de moiteur. Elle descendit la main jusqu'à l'attache du porte jarretelle, la remonta le long de la cuisse nue tirant sur la lanière tendue la faisant claquer sur la chair dénudée. Elle ne cessait pas de regarder Gérald, lorsqu'elle vit qu'il commençait à se déshabiller entièrement, elle s'assit sur le bureau, se caressant les seins, tirant sur sur ses tétons comme pour les étirer encore, alors qu'ils devaient mesurer presque 3 cm, puis sa main se positionna sur sa chatte, elle écarta ses lèvres ouvrant largement le méat, ils entourèrent ensuite son clitoris, décalottant et calottant son clitoris plusieurs fois, elle le fit saillir en appuyant doucement de chaque côté et le titilla avec son index. Elle regardait langoureusement le grand noir, qui ôtait son pantalon.
« Je te veux... je te veux... je veux sentir ta grosse bite noire s'enfoncer en moi...je veux que tu me la mettes entièrement... » lui disait-elle tandis qu'elle suivait subjuguée le striptease de Gérald.
Elle s'était rapprochée du bord de la table, jambes largement ouvertes.
« Viens dit-elle, j'ai envie de ta queue dans ma bouche... »
Le monde semblait maintenant ne tourner qu'autour de ce sexe noir immense que Gérald lui présentait d'une main. Il s'était mis de côté, je ne sais pas si c'était pour me permettre de profiter entièrement du spectacle et de la chatte palpitante offerte, du foutre coulait sur le bureau. Mais apparemment je n'existais plus pour Trixie. Elle s'appliquait à lui faire une fellation, c'était surement la dernière...Ouvrant au maximum la bouche elle commença à lui mordiller le gland couleur chocolat, puis sa langue parcouru plusieurs fois la totalité de la hampe raide, tandis qu'une de ses mains malaxait les testicules. Elle commença a avaler doucement, Gérald lui saisit la tête comme pour l'aider, en lui appuyant doucement sur l'arrière du crâne, elle ne pouvait pas tout avaler c'était impossible ! Effectivement arrivée un peu plus loin que la moitié du phallus noir, malgré les encouragements de Gérald sa gorge rendit grâce. Tenant fermement la verge raidi d'une main elle fit des succions extrêmement rapides avalant la moitié de celle ci, Gérald se cambrait de plaisir.
Je ne sais pas comment ils se retrouvèrent tête bêche sur l'épais linoléum du sol. Trixie au dessus de Gérald avait toujours le gland dans la bouche et elle branlait rapidement le phallus noir. Je fis le tour du couple et me mis à genoux à coté de la tête de Gérald, sa langue rose entrait profondément dans la chatte dont les parois étaient écartelées par les pouces. Il devait se délecter du nectar qui coulait de la chatte en fusion, la jeune fille se tordait de plaisir lorsque les lèvres lippues aspiraient son clitoris.
Il se releva, la coucha à nouveau sur le bureau, sa queue tendue qui se balançait, était vraiment impressionnante. De sa main gauche, il l'attrapa la cheville droite et lui écarta la jambe, elle en fit autant avec sa jambe gauche, il approcha le bout turgescent de son imposant gland de l'entrée du vagin, qu'il avait auparavant enduit de salive, je me disais qu'avec l'inondation du conduit se n'était pas la peine. Il poussa...
« Ouiiiiii.....doucement....c'est bien...doucement....je veux sentir ta grosse bite noire m'envahir.... Je veux la sentir m'écarteler la chatte....putain qu'elle est grosse....putain que c'est boooonnn...oui, ouuuiiiiiii...continue comme ça.....oooohhhhh.... »
Je regardais émerveillé l'énorme bite noire entrer et sortir, disparaître un peu plus profondément à chaque poussée. Chaque fois qu'il la sortait entièrement pour mieux la faire pénétrer, elle me semblait plus longue et plus grosse. Gérald s'appliquait à suivre les directives de Trixie.
« Caresse moi les seins...pince mes tétons...ouiiiii....c'est ça !! tire les...embrasse moi....va un peu plus vite avec ta queue....ouiii....ooohhhhhh....c'est bon, je l'aime ta grosse bite noire....
- Tu crois que je peux l'enfoncer entièrement ? »
Je me remémorai la séance inoubliable ou les deux copains de Gérald l'avaient pénétré ensemble...elle avait adoré...
Il ne devait manquer que cinq ou six centimètres pour que les grosses couilles noires entrent en contact avec les fesses de Trixie. Il sortit presque entièrement son immense phallus, visa bien et cracha un jet de salive, Tixie eut l'air de comprendre ce qu'il voulait faire, il se retira, elle étala la salive dans son vagin, écarta les parois, il enfila son pénis colossal et lentement sans s'arrêter il l'enfonça entièrement. Trixie haletait de plaisir, se tordait sur la table, des cris d'extase s'échappaient de sa bouche. Gérald accéléra la cadence, enfonçant à chaque poussée son sexe jusqu'à la garde, du foutre de Trixie s'accumulait à la base de sa queue et faisait un dépôt blanc visqueux, c'était la preuve de l'immense plaisir qu'elle devait ressentir.
Il la fit ensuite mettre à quatre pattes sur le bureau, comme il était très grand il y posa son pied gauche, docilement Trixie abaissa son bassin en écartant les cuisses, il envahit aussitôt la féminité offerte. Il la pénétrait à toute vitesse sans ménagement, elle hurlait de plaisir. Il monta à son tour sur la table, pour avoir une pénétration plus profonde, chaque fois que sa bite était enfoncée entièrement il stoppait tout mouvement attendant que Trixie ondule son bassin de gauche à droite ou d'avant en arrière. Une légère transpiration faisait luire le corps noir.
« Sodomise moi...prends moi par derrière...l'autre fois ta grosse queue m'a faite exploser de plaisir...!!
- J'attendais que tu me le demandes, répondit Gérald... »
Il se releva, tourna la tête vers moi et comme pour me faire admirer son énorme bite, il l'étira. La tenant d'une main ferme il dirigea le gland vers l'ouverture anale, son bassin s'abaissa lentement, l'ampoule rectale de Trixie ayant acquis une certaine souplesse lors des précédentes sodomies se retourna sous la pression, la tête couleur cacao disparu dans le trou intime. Il l'avait déjà sodomisée, il savait qu'elle accepterait sans coup férir toute la longueur de sa bite, il la besogna doucement par petits coups pendant un moment, puis avec deux ou trois mouvements plus amples, il enfonça le pieu noir jusqu'à la garde. La main de Trixie ruisselante de foutre caressait sa chatte, titillant son clitoris...son bassin se soulevait pour aller à la rencontre du monstrueux poteau noir qui pourfendait ses entrailles. Il l'enfonça entièrement, puis lorsqu'il fut bien calé en elle, il les fit pivoter pour qu'elle se retrouve à cheval sur ses cuisses face à moi.
« Écarte bien pour faire profiter du spectacle à Maxime... »
Elle obéit, prenant conscience que j'étais là et que je les matais depuis le début, cela eut l'air de décupler son désir. Les talons hauts bien à plat sur le bureau, elle se levait et descendait le long de la hampe raide et énorme, j'apercevais le gland sortant de son anus puis elle se laissait retomber engloutissant d'un seul coup le mandrin noir. Elle se mordait les lèvres, les yeux révulsés par l'extase, sa poitrine, aux mamelons durs et pointus, se soulevait à un rythme rapide. Une main de Gérald passa devant, il se mit a lui caresser le clitoris avec de petits cercles concentriques, elle hurla de plaisir. Il me sembla que cela dura une éternité, des gémissements, des grognements des cris de plaisir émanaient des deux corps enlacés.
« Je....je crois...que je vais éjaculer dit Gérald
- Non, non attends...je veux ton sperme de noir dans ma chatte...au fond de ma chatte... »
Il se retint, elle se mit rapidement sur le dos, il lui positionna les fesses juste au bord et enfila son phallus prêt à exploser dans le conduit vaginal, j'étais dans tous mes états moi aussi, je me masturbais, j'allais éjaculer. Je m'approchais pour ne rien rater. Il fit cinq ou six aller et retour enfilant entièrement sa bite, ses couilles se contractèrent, il se cambra.
« Tiens salope, tiens le sperme du noir, tu aimes te faire baiser par des noirs...tu aimes qu'ils éjaculent dans ta chatte, tu aimes leurs grosses bites....oh putain que c'est bon... !!
- Oui...ouiiiiiii...je jouiiiiiiiiiiis.....va bien au fond...déverse ton sperme... »
Elle cria, j'éclatais à mon tour... Il retira un peu sa bite pour finir d'éjaculer à l'entrée de la vulve écartelée, son liquide séminal visqueux coula dans l'anus béant de la précédente sodomie. Elle l'enfonça avec deux doigts tandis qu'il se dirigeait vers sa bouche pour lui faire aspirer le sperme qui restait dans le méat de son sexe.
« Ooohhhh putain que c'était bon....dommage que tu partes...j'espère que l'on pourra se voir à nouveau, je regrette de ne pas avoir écouté Maxime avant...au fait mon petit chéri, ça t'a plu ? »
Me dit-elle avec un clin d'il...
A suivre....
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