Chez Mon Chef
Après avoir raccompagné ma sur chez elle, je devais prendre la route vers chez moi, mais
je savais que javais une dette en cours. Direction : chez mon chef.
Jaccédais facilement chez lui, tellement facilement que javais la sensation quil mattendait.
Je rentrai tranquillement chez lui, et il était sur son balcon admirant les feux dartifice sur la ville, une coupe de champagne à la main.
Il se retourna, et me dit :
« Jespérais pas mieux pour une belle soirée, ma chérie »
Je me suis rapprochée de lui sans rien dire, en commençant à ouvrir mon chemisier déjà à moitié ouvert à la base. Arrivée près de lui, il me prit par les fesses dune main et me roula une pelle, son autre main mempoigna un sein fortement. De quoi me faire mouiller un peu mais
peu de temps après sa main passa de mon sein à lintérieur de mon short déjà déboutonné et il commença une masturbation très intense de mon clito, et je ne pouvais que maccrocher à la rambarde.
Je ne me sentais déjà plus et je lentendais juste : « Tu aimes ça cochonne, tu te sens plus
ce nest que le début » et il me retourna. Jétais face au paysage mais avec une main entre mes cuisses me doigtant et une autre main me pressant les seins.
Il était derrière moi, et si collé que je sentais sa grosse bosse. Jétais déjà ailleurs.
Plus on continuait, plus mon shorty glissait
il voulait que jécarte un peu plus, alors jai enlevé un pied de mon bas, mais mon string gênait. Il ne sest pas gêné pour me larracher et ma rentré deux doigts pour ensuite en ajouter un troisième.
Il me retourna à nouveau, et il me coinça
il savait quil avait le dessus ; il me faisait sentir que jétais à sa merci.
Il me prit la main pour que je caresse sa bosse, et je le fis alors quil membrassait avec une langue fougueuse qui me léchait le visage.
Alors que javais sa langue à mon oreille gauche, il défit son pantalon et lenleva
rien en dessous, javais sa queue toute tendue que je masturbais légèrement ; mais lui, il prit ma main pour un trou et y fit des va-et-vient.
Jétais à lui, il faisait de moi ce quil voulait... il me retourna à nouveau, je sentis son engin rentrer dans mes fesses, et à peine rentré, il me força dun coup, qui me fit pousser un cri assez fort.
Il me recula un peu et appuya pour que je cambre un peu
Je sentais bien son pénis dans mes fesses, et là, il commença à me pomper mon derrière. Il était passé de rien à une grande intensité en un rien de temps, râlant de plaisir pour ensuite me tirer les cheveux.
Je poussais des cris à chaque fois quil me la rentrait bien au fond, et il nhésitait pas à lâcher mes cheveux pour fourrer ses doigts dans mon vagin. Ça allait fort, ça allait vite
je navais plus rien en tête à part cette sensation dêtre pillée de plaisir.
Ensuite il calma le jeu ; il se retira tranquillement. Je repris mon souffle et me retourna, il revint membrasser, me lécher le visage tandis que je prenais sa queue pour la caresser.
Apres il me prit la main et memmena à lintérieur, on alla vers sa chambre très spacieuse.
A peine entrés, il me demanda de massoir sur le lit. Ce que je fis et lui, il ferma la porte à clé, prit avec lui un petit tabouret quil installa près de moi et sur lequel il posa le pied pour ensuite prendre ma tête et la diriger vers sa queue ; sa queue que jai prise directement en bouche, et qui, limite, me baisait. Et il râlait encore « humm, quelle bouche, une bonne belle salope », et il allait encore plus fort à men faire, par moment, des gorges profondes en maintenant ma tête avec ses mains.
Je maccrochais à ses cuisses, et là il arrêta. Il achevait de menlever le haut, ne gardant que mes talons, il me poussa sur son lit, et il vint sur moi.
Il me claquait les seins, et puis les dévorait tout en les pressant et puis me prit contre lui, en me fourrant bien fort sa queue au fond de la chatte, et enchainait des va-et-vient puissant me tapant bien en profondeur. Je hurlais de plaisir, et il narrêtait pas.
Je maccrochais à lui, lencerclant avec mes jambes et il me soulevait le bas du corps et me pilonnait comme un homme sur son manteau piqueur.
Il prenais du plaisir, il minsultait
tout lui était permis. Et il changeait de trou, à chaque fois sans prévenir pour revenir me coincer et pousser le plus loin possible sa queue au fond de moi.
Il changea de position ; on passa à la levrette. Il me colla une fessée pour me reprendre de plus belle.
Il aimait mentendre crier, quand je lui demandais encore, encore plus fort
Il aimait que je lui demande de me démonter. Et il finit par jouir au fond de moi. Je sentais son sperme chaud, et il resta en moi comme ça. On était bien ainsi. Il sallongea derrière moi sans se retirer, mais sa main revint sur mon clito pour machever. Il me fit du bien intensément pour que je puisse jouir à mon tour, et ensuite on se posa, lun dans lautre, accompagné de caresses.
Après quelques minutes de câlin, je lui annonçai quil fallait que je parte. Il membrassa encore en me pressant un peu les seins, et je me suis retournée pour bien jouer avec la langue, et lai poussé pour quil puisse être sur le dos, et lui accorder une petite gâterie.
Mais tant pis sil ne jouit pas à nouveau, cétait lheure. Je me levai toute nue et sortis de la chambre, mais javais du mal à me repérer. Mon amant me proposa daller chercher mes affaires le temps que je me recoiffe un peu dans la salle de bain.
Cest là-bas quil me rejoignit, mais il na pas pu sempêcher de venir me bloquer contre le lavabo et me rentrer à nouveau sa queue dans ma chatte.
Il gémissait à mon oreille, et y glissait encore sa langue par moment.
Il ressortit et memmena dans sa baignoire qui faisait aussi douche. Il fit couler leau et me poussa en dessous en disant « Magnifique ». Il revint me prendre par derrière, me pressant les seins très fort
Je criais des « Ha » à chaque coup alors que leau me rentrait dans la bouche et quil me tenait par lépaule. Il continuait encore et encore. Puis il arrêta leau et sallongea dans la baignoire, me tirant par la taille. Je me retrouvai allongée sur lui et il continua à me lécher et jouer entre mes jambes tandis que je le masturbais avant de le remettre dans les fesses.
Cest après quil me souleva et quil se remit à aller et venir en moi, me faisant crier et hurler par-dessus les toits, pour enfin me tirer dun coup vers lui et gicler tout ce quil avait.
On sest calmé, on a pris un bain ensemble avant que je ne reparte chez moi très fatiguée corporellement.
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