Fabienne En Plein Délire

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Le père Vincent a bouleversé sa vie. Elle rayonne. Sexuellement, elle s’éclate (quoiqu’il serait aussi judicieux de dire qu’elle se fait éclater…) et la bite de son amant la rend toujours folle de plaisir. Et les bites de ses potes de la belote…
Son mari lui-même lui est revenu : elle se rend compte qu’il avait dû chercher ailleurs ce qu’elle ne savait lui donner car maintenant… il la baise avec tant de fougue !
Il apprécie sa bouche et elle aime lui soutirer ce précieux nectar en fellations raffinées ou sauvages…c’est selon…
Et puis…et puis il y a ce curé qui vient chercher son dû. Celui là est une exception, mais une exception vicieuse… Le plaisir de soulever cette soutane, de découvrir cette belle queue au garde à vous… Se mettre à genoux devant lui, et laisser rabattre la soutane sur elle… Elle peut alors oser exprimer toute la passion que cette queue lui inspire.
Un plaisir centuplé par le goût de l’interdit, par l’exotisme de la situation….mesdames…sous la robe d’un prêtre… et lui sucer la queue…me dites pas que….surtout une si grosse queue, et qui lui baise la bouche de temps en temps…. Vous craqueriez aussi, non ?
C’est que l’homme d’église est un homme. Un sacré bonhomme même. Il faut voir quand il la pousse à quatre pattes et l’enfile royalement dans son petit trou… Les claques sur les fesses, les ahans de bucheron….
Elle se sent si faible sous sa toute puissance, elle jouit comme une malade ! Elle a même disposé une glace dans le coin du salon pour apercevoir pendant la sodomie celui qui la bourre de si belle façon, la soutane entre les dents !
Malade…oui ! Ses envies sont perpétuelles. Et elle provoque des réactions similaires parmi la gent masculine. Que de regards sans ambiguïté la suivent, la déshabillent.
Jusqu’à ses deux fils et surtout le cadet de 20 ans qui semblent la regarder comme une femme et plus du tout comme une mère.

Le cadet est hypnotisé par ses seins lorsque ses décolletés ne sont même plus protégés par un soutif. Il faut dire que les deux beaux globes sont fermes et sacrément tentants !
Elle a bien remarqué la bosse de son entrejambe…Et ça lui provoque des envies humides et coupables.
Elle fait un songe, seule dans son nuage :
Un samedi matin, elle monte apporter son petit-déj à celui qui dort seul là-haut. Elle le fait de temps en temps depuis si longtemps, mais là, la robe de chambre en soie laisse deviner des formes appétissantes, et elle n’a qu’une petite culotte en dentelles dessous. Inconscience ? vice ?
Elle entre, pose le plateau sur le sol et s’assoit.
Elle est attirée par cette bosse qui déforme le drap.
Ouuuuh… elle doit être bien belle sa bite se dit-elle.

Soulever le drap délicatement… agrandir les yeux devant la queue si imposante… elle ne retient pas un mouvement pour approcher, humer… voir de plus près, si près…
C’est alors qu’une main dans ses cheveux exerce une gentille pression, Hugo s’est réveillé.
Elle a un mouvement de recul mais la main insiste. Alors un bisou sur la tige, au beau milieu, pour sentir un tressautement de l’engin. Reculer mais…cette main qui insiste encore… retourner sur le membre, caresser les bourses si doucement … couvrir de baisers, encore ...encore… remonter….les doigts se sont refermés sur la chevelure et imposent maintenant…

Pas besoin de plus d’encouragements, le gland est engobé. « je le suce, quelle salope je suis » et le rouge de la honte ne l’empêche pas de continuer, de prodiguer tout son art…Et vous savez qu’elle en a. Et vous comprenez qu’à vingt ans… quelques petites minutes trop brèves suffisent et Hugo balance dans la bouche si douce son précieux nectar ! Il jouit comme un fou, se tend comme un arc… il murmure des « merci… » touchants…
Elle se relève, après avoir bien apprécié et avalé…. Son regard est trouble dans les yeux de son amant étonné.

Durant sa fellation, elle a mis le désordre dans la robe de chambre et un sein est là, sous les yeux du mâle. Il tend la main et caresse. Il ose… Et la douceur de ce sein, la chaleur de cette peau satinée…il glisse jusqu’au téton, passe et repasse, le voit réagir…Il le pince délicatement… reprend ses caresses…l’autre main rejoint l’autre sein…il se redresse, sa bouche s’approche de la bouche offerte et le baiser est si doux, la langue vient gouter…les deux langues se touchent… et le baiser dure …et devient passionné.
Il renverse cette jolie femme sur le lit, il est sur elle.

Fabienne, quand elle sent le poids d’un homme sur elle, devient folle de désir… ses mains griffent les fesses d’Hugo, elle s’ouvre, il bande comme un cerf, bien sûr, et il est là, aux portes de la grotte… il hésite une seconde mais le cri « Viens !! » de cette femelle le transcende.

Il s’enfonce dans cette chatte trempée de jus….il clapote dans un bonheur parfait…il la chevauche, bestialement.
Elle le calme « Doucement…profite… » et il parvient à ralentir, à jouir du moment…à la baiser comme elle aime…de grands coups de queue en s’arrêtant tout au fond de son sexe avant de recommencer… il a pris ses poignets dans ses mains… et il la baise…il la baise…il la baise… les seins tressautent à chaque coup de queue... c’est trop bon…il va se réveiller… mais non !

Elle est bien là, cette femme qu’il désire depuis presqu’un an, sous lui…il la besogne… elle va jouir …oui ; il la voit se mordre les lèvres, il la sent onduler, jeter son pubis contre sa queue… elle crie quand elle sent l’orgasme la submerger…il accélère alors et elle jouit encore quand il éjacule d’une poussée plus forte que les autres….
Il s’affale comme un arbre mort sur sa conquête et roule sur le côté. Toujours en elle… toujours raide…

Fabienne glisse et vient nettoyer la queue qui vient de la faire jouir si intensément. Surprise de sentir une érection qui ne faiblit pas alors que deux fois déjà il a exprimé son bonheur ?? Elle le suce, et sa main caresse le ventre de son désormais amant, caresse sa cuisse, ses bourses, l’apprend…elle pompe, elle le regarde et il rougit…mais il voudrait que cela n’arrête jamais : cette bouche qui lui a appris tant de choses, cette bouche le suce divinement.


Par reptation il arrive à caresser cette chatte qu’il a baisée, trempée… il enfonce deux doigts, il va et vient… Fabienne s’est ouverte…il active et son excitation est à son comble…
Il sent le bassin qui suit ses caresses…il sent la bouche aspirer sa queue… il sent….qu’il part… et jette encore une fois son sperme dans la bouche divine…
Elle suce tout et nettoie… avant de se tourner vers Hugo « Mon chéri, c’était si bon » et « oui ... Fabienne …» résonne dans la chambre….
Elle se rajuste, se lève et lui pose le plateau sur le lit « ton café va être froid mon bébé »
Et file sous la douche…
Fabienne… Fabienne… jusqu’où vas-tu aller ???? Réveille toi !! Tu n’y pensais pas quand même ??? Tout ça c’est du fantasme !

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