Ma Première Expérience De Soumise Iii
Cela faisait un peu plus d'une heure que j'avais rencontré mon maitre, mais que d'émotions pour moi en une heure !!
Nous sommes arrivés devant un grand portail noir. Maitre Paul a tapé un code puis nous nous sommes engouffrés sur un chemin qui menait à une magnifique maison en pierre.
"Un grand terrain, tu pourras crier sans gêner les voisins !"
La chaleur me monta aux joues à l'évocation de cette idée.
Un sentiment d'angoisse me parcourut, là je ne pouvais plus reculer, si je franchissais cette porte, j'acceptais de m'abandonner et de devenir l'objet de mon maitre. Mais n'avais-je pas déjà accepté lorsque je l'ai sucé dans sa voiture à la sortie du train ?
Mon maitre prit ma valise et ouvrit ma portière. Il tira sur ma laisse pour me faire descendre. Il m'indiqua de marcher debout pour ne pas m'abimer les genoux.
Nous sommes entrés dans sa demeure et il m'a dit d'attendre à 4 pattes qu'il revienne.
Etait-il parti 5 minutes ? En tous cas cela m'a semblé interminable. Je ne savais pas quoi faire à 4 pattes dans l'entrée, j'observais, j'essayais d'écouter les bruits.
Ma pression mais également mon excitation montaient.
Mon maitre revint enfin avec une petite valise.
"A partir de maintenant, tu dois oublier tout libre arbitre, toute liberté de penser. Tu ne dois pas réfléchir quand je te donne un ordre, sans te poser de questions tu dois exécuter. De même, tu ne parleras que lorsque je te l'autorise ou que je te pose une question. C'est compris ma petite chienne ?"
Ces mots avaient vraiment un effet aphrodisiaque sur moi. Je sentais déjà ma chatte s'humidifier.
"Oui maitre, c'est compris. Je ferai tout pour ne pas vous décevoir".
Il m'ordonna alors de me redresser, ce que je fis sans tarder.
Il passa une main sur mes seins sous ma robe et l'autre sur le col. C'est alors, que dans un geste brutal, il arracha la robe pour l'ouvrir. Prise par surprise, je ne pus réprimer un cri.
"Je te veux nue tout le temps, sauf si je t'impose une tenue, je te veux prête à servir à tout moment." Il m'enfonça alors deux doigts dans la chatte qui neurent aucuns problèmes pour rentrer. Je laissais échapper un soupir et mon corps frissonna. Il m'embrocha le sexe et s'approcha de mon oreille pour me dire "Je te veux prête à assouvir tous mes plaisirs instantanément, je te veux humide comme tu l'es en ce moment." Je sentis son souffle chaud dans mon cou. Ses deux doigts effectuant des vas-et-viens, il me donna un baiser passionné. Il me mordilla la lèvre inférieure et poussa sa langue pour chercher la mienne. La combinaison de ces différentes sensations était parfaite.
Il a sorti ses doigts et me les a enfoncés dans la bouche pour que je les lèche. Ce que je m'appliquais à faire.
"C'est bien, bonne suceuse".
Il a empoigné fermement mes seins et a pincé fermement mes tétons. Il les faisait rouler et les serrait fort. La douleur m'arracha un cri.
"Tais-toi, je ne veux pas t'entendre".
"Oui maitre, désolée."
Une fois mes tétons bien durs, il attrapa la valise et en sortit deux petites pinces reliées à une chaine. Il ne perdit pas de temps et agrippa chaque pince sur mes tétons. La douleur mordante était si vive que j'ai dû me mordre la lèvre inférieure pour ne pas crier. Mes tétons étaient si sensibles que je sentais le sang pulser dans chacun d'entre eux. Mon maitre s'amusait à tirer sur la chaine pour me faire avancer de quelques pas.
Il m'ordonna de me remettre à 4 pattes et tira sur ma laisse pour me faire avancer.
"Viens je vais te faire visiter. "
Il me montra ma chambre collée à la sienne. "Je veux que tu dormes nue et que tu t'endormes les cuisses ouverts pour que je puisse te prendre sans difficultés si j'ai une envie nocturne".
Nous avons terminé la visite par la cuisine et le salon.
Il s'est assis dans le canapé et m'a ordonné de lui servir un verre de whisky.
Je pus me relever. La chaine tirait sur mes tétons à chaque mouvement. Même si la douleur s'était atténuée, l'hyper-sensibilité était toujours là.
Je lui apportais son verre et restais à ses pieds à attendre. Il m'observait sans rien dire, j'étais gênée, je ne savais pas quoi faire.
Il écarta alors les jambes "allez, au boulot, occupe-toi de moi".
Je compris le message et m'approcha de son entrejambe.
Je déboutonnais son pantalon et descendis son boxer. Sa belle bite, bien qu'au repos, avait déjà de belles proportions. Je n'étais toujours pas habituée, sa largueur me faisait encore peur pour la suite.
Je déposais un baiser sur son gland et commença à lui aspirer le gland. Ce traitement a dû lui faire de l'effet car son corps s'est crispé et sa main s'est refermée fermement dans mes cheveux.
Jai alors continué de plus belle et j'ai léché sa bite, qui commençait déjà à gonfler, sur tout son long. Je suis descendue sur ses couilles. Je les ai gobées en les faisant rouler dans ma bouche.
Jaccélérais, je ralentissais, j'engloutissais sa queue avec gourmandise. Il m'appuya fermement la tête pour me la coller à son bas-ventre. Je sentis sa bite taper contre le fond de ma gorge et j'ai eu un haut-le-cur. Il m'a maintenu solidement la tête et m'a donné des coups de bassin pour me baiser littéralement la bouche.
Il me libéra de son emprise. J'avais de la bave partout sur le menton.
Il m'ordonna de m'allonger sur le canapé sur le dos, la tête vers le bord.
"Ouvre la bouche, salope". Il se leva et monta à califourchon sur moi, la bite à hauteur de mon visage. Je le repris en bouche pour continuer ma fellation. Il poussait des râles de plus en plus puissants.
"Ouvre la bouche bien grande". Il fit alors descendre sa bite le long de ma gorge. J'avais l'impression qu'un serpent s'insinuait dans ma gorge. Elle me parut tellement longue. Je n'avais jamais fait de gorge profonde. Une fois mes lèvres atteignant ses couilles, il resta dans cette position quelques secondes qui m'ont paru interminables.
"Ouhhh oui ma salope c'est bon, tu as vraiment une bouche faite pour ça !". Cette phrase m'excita au plus au point et ma chatte était maintenant plus qu'humide.
Au bout de quelques minutes, je sentis son corps se crisper. Il bourra sa queue d'un geste violent au fond de ma gorge et se vida de 4 longs jets de sperme épais directement au fond de la gorge.
Il se retira de ma gorge que je léchais afin de la nettoyer. Il m'observait et bizarrement j'étais gêné d'être là étendue nue sur le canapé. Je mis alors par réflexe mes mains sur mon sexe et mes seins.
"Tu es mal à l'aise d'être offerte comme cela à attendre ce que je vais faire de toi ?"
"Oui maitre, je n'ai pas l'habitude de m'exposer ainsi."
Il s'agenouilla auprès de moi et me déposa un baiser. "Tu es magnifique, il faut que tu acceptes ton corps." Il prit mes poignets et les attacha avec une cordelette au-dessus de ma tête. Il entreprit de me caresser. De mon poignet il descendit jusqu'à mes seins où il tira sur la chaine pour faire bouger les pinces "ahhh...". Il continua le long de mon ventre posa sa paume sur mon sexe. Il titilla mon clito d'une main pendant qu'il m'enfonça deux doigts, puis trois dans ma chatte trempée.
"Mais on dirait que ça ta plu de me sucer!"
"Oui maitre j'aime vous faire plaisir."
Il commença les mouvements avec ses doigts. Mes petits gémissements le faisaient rire. Une boule de plaisir intense commençait à se former dans mon bas-ventre. Tellement intense qu'elle me faisait mal.
"Je vais bientôt jouir maitre." "Pas encore, pas encore retiens toi". Il accélérait ses mouvements et je haletais. Mon orgasme montait et j'avais de plus en plus de mal à respirer.
"Vas y, lâche-toi ma belle". Il n'a pas eu besoin de me le dire deux fois. Mon corps trembla et je poussai un hurlement de plaisir. Mon maitre souriait et je mis quelques minutes à reprendre ma respiration.
"Relève toi, les bras tendus et att l'accoudoir." Cette position faisait que j'avais le cul bien cambré.
La bite de mon maitre était de nouveau bien dure et je me doutais de ce qui allait se passer maintenant. Il me laissa quelques minutes dans cette position qui m'ont paru une éternité. Je le sentis passer derrière moi et coller son bassin sur mes fesses. Je sentais son érection d'acier pointait sur ma raie. Le moment tant attendu de l'avoir en moi allait bientôt arriver. Il prit sa bite en main et la positionna à l'entrée de mon vagin. Il commença à pousser pour faire légèrement entrer son gros gland. C'est alors qu'il tira sur la chaine d'un coup sec pour enlever les pinces de mes tétons et me pénétra violemment jusqu'à la garde en même temps. La douleur vive de mes tétons libérés et de sa pénétration violente m'ont fait pousser un hurlement. La douleur était si vive. Mon maitre me caressa la croupe "chuuut ma belle, tu vas adorer". Il resta quelques instants sans bouger au fond de mon vagin puis il est ressorti pour s'y plonger de nouveau. La douleur a fait effectivement vite place au plaisir. Il entama des vas-et-viens puissants tout en me pinçant les tétons. Mes tétons étaient encore très sensibles et mon cri a fait rire mon maitre. Il me prit alors les hanches et commença à me pilonner violemment. J'avais attendu ce moment depuis tellement longtemps que je savourais ce moment. Mon premier orgasme est arrivé très vite. Mon maitre ne relâchait pas le rythme et ses mots crus ne faisaient qu'augmenter mon excitation.
"Hannn salope tu es vraiment bonne à baiser. J'ai envie de ce moment depuis que j'ai vu tes photos". Il me claqua une fesse et dans un dernier mouvement, agrippa mes hanches si fort que je sentis ses doigts s'enfoncer dans ma chair. Ses couilles ont claqué contre mes fesses et il se vida dans un râle viril. La jouissance commune était encore meilleure. Nous étions en communion. Sa bite toujours en moi, il s'affala sur moi et moi sur le canapé. Il pesa de tout son poids sur moi. Cette pression me fit ressentir bizarrement une sensation de sécurité. Il a attendu que sa queue débande et il est ressorti de moi. Je sentais son sperme couler le long de ma cuisse.
Je ne me suis même pas sentie partir. Jai senti des caresses passer de mon dos à mes fesses. Je fus tirée de mon sommeil par ce traitement en douceur agréable. J'ai ouvert les yeux pour me sortir progressivement de mon sommeil en m'attendant à voir le beau visage de mon maitre. Je me réveillai alors en sursaut lorsque je vis mon maitre en face de moi, me regardant avec un sourire à tomber. Mais s'il était à cette place, qui était en train de me caresser ?
Un moment de panique m'envahit car je n'étais pas préparée à ce que quelqu'un d'autre que mon maitre me touche.
Il s'approcha de moi, me déposa un baiser et me dis "ma petite soumise, je te présente Antoine et Gilles, mes meilleurs amis". Je n'avais pas vu le deuxième homme qui était de l'autre côté du canapé.
"Quelle belle chienne, avec des courbes pareilles, tu as dû t'amuser Paul", dit Antoine.
"Tu m'étonnes, ses seins sont hyper sensibles, sa chatte mouille vite et elle est bien serrée !".
Antoine en profita pour continuer ses caresses et jouer avec mon plug. Il s'amusait à l'enlever et le remettre. Je n'allais pas résister longtemps à ce traitement.
"Ma belle, je t'ai prévu une belle soirée avec nous trois. Tu vas être gentille et t'occuper de mes amis en leur donnant le traitement que tu ferais pour moi, c'est compris ?"
"Oui maitre, si cela peut vous satisfaire..."
J'avais à peine dit cela, qu'Antoine, Gilles et mon maitre Paul se déshabillaient. Ils étaient tous les trois très bien montés. Antoine avait une queue très longue et Gilles plus courte mais très épaisse.
Antoine me présenta sa queue. Je mappliquai à lui faire une fellation dont j'ai le secret. Je lui ai apporté le même traitement qu'à mon maitre et il jouit en quelques minutes seulement. J'ai voulu détourner la tête au moment de son éjaculation mais il m'a maintenu la tête pour que j'avale tout. J'ai alors dû enchainer avec la queue de Gilles. Elle était tellement épaisse que j'ai eu du mal à la prendre entière en bouche. Il m'imposa une fellation plus violente à coups de gorges profondes. Les larmes me montaient aux yeux. Je voyais mon Maitre qui observait tout en se masturbant. Antoine quant à lui, entreprit de s'occuper de mon sexe. Il posa trois doigts à l'entrée de mon vagin et les enfonça en tétant mon clito au garde-à-vous en même temps. Je n'ai pas tenu longtemps avec ce traitement et j'ai jouis sous ses doigts et sous sa langue en quelques minutes. Gilles éjacula au fond de ma gorge quelques minutes après.
"Ohh la vache c'est une bonne pute que tu as là, Paul. Elle est douée et n'a pas froid aux yeux. J'ai hâte de lui défoncer la chatte et de lui casser son petit cul."
Ils éclatèrent tous les trois de rire.
Ces mots m'ont fait frissonner.
"Lève-toi ma petite salope et va te mettre devant la table de billard" me dit mon maitre.
Mon Maitre me suivit. J'attendais devant la table de billard les prochains ordres. Il arriva derrière moi et se colla dans mon dos. Il mattrapa les seins et jabandonnai ma tête contre le torse de mon maitre pour me laisser aller à ses caresses. Je sentais son érection pointer contre mes fesses. Mes petits gémissements marquaient mon plaisir.
Il mit une main sur mon cou et appuya pour que je me penche en avant. Mes seins reposent maintenant sur la table de billard ce qui donne mon cul en position offert. Mon Maitre en profita pour retirer mon plug. Je ressenti une sensation de manque vite comblée. Je sentis un doigt de mon Maitre au bord de mon anus. Mon pouls s'est accéléré, la peur montait en moi. Etant vierge de ce trou, la peur mais également l'envie m'envahissaient. Mon Maitre enfonça d'abord son doigt dans ma chatte pour prendre du lubrifiant. Il poussa ensuite sur mon anus qui laccueillit sans trop de difficultés. Je n'ai pas pu m'empêcher de lâcher un gémissement lorsque le doigt est rentré. Le deuxième a eu plus de mal à rentrer malgré le plug. Je bougeais mon cul pour essayer de faciliter le passage.
"Vas y ma belle prends en un 3e", je n'ai même pas eu le temps de réagir qu'il enfonçait le troisième en forçant un peu. Je fis une grimace car l'introduction du troisième était douloureuse.
Antoine et Gilles se sont approchés, la queue en main en se masturbant. Ils sont passés de l'autre côté de la table et d'un coup m'ont attrapé les mains. Ainsi, j'étais écartelée et à la merci de mon Maitre, je ne pouvais plus bouger.
Mon Maitre cracha alors sur mon petit trou et frotta son gland le long de ma raie. Il positionna son gland contre mon anus et força l'entrée. Je ne pus contenir un cri de douleur tant la douleur était vive. J'avais l'impression que mon cul se déchirait. J'essayais de me débattre mais les deux autres me maintenaient fortement penchée sur la table. Mon Maitre rentra alors sa queue plus profondément et entrepris de me défoncer le cul à bonne cadence. La douleur que je ressentais au début a laissé place à un plaisir immense, ren par les paroles de mon Maitre.
"Ouhhhh tu es vraiment une chienne, tu es tellement serrée. C'est si bon de m'enfoncer en toi..."
Au bout de quelques minutes de ce traitement, mon Maitre a jouis dans un hurlement de bonheur. Je dois l'avouer j'étais heureuse de lui avoir procuré ce plaisir intense.
"Je vous remercie pour ce dépucelage anal Maitre. Ma douleur s'est vite transformée en jouissance. J'aime vous sentir vous décharger en moi".
Les deux autres nen pouvaient plus. Gilles passa derrière moi et m'encula d'une traite. Malgré l'ouverture de mon Maitre, l'introduction de sa queue jusqu'à la garde me fit hurler car elle est très épaisse. Pour me soulager, Gilles s'occupa de mon clito tout en m'enculant. Voulant sa part du gâteau, Antoine me fit bouger pour que sa bite soit à hauteur de ma tête. Je compris vite le message et j'enfournai sa bite au fond de ma gorge au rythme de ma sodomie. Gilles fut le premier à décharger au fond de mon cul. Antoine ne tarda pas à décharger également. Nous nous sommes tous effondrés emmêlés les uns aux autres.
A suivre...
(Je vous remercie pour vos réactions. Mon Maitre surveille mes récits et les différents commentaires pour me récompenser ou me punir)
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