La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°298)
Suite de l'épisode précédent N°297 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré
Le temps a passé très vite et une grande horloge sonne midi dans le Château des Evans.
- Déjà midi ! Que le temps passe vite. Je dois encore Vous préparer pour pouvoir Vous conduire toutes les deux jusquau salon pour 13h pile. Notre Maître, Monsieur le Marquis dEvans, a exigé que vous lattendiez sans bouger pendant le temps du repas, même sIL na prévu de venir que vers 14h ou plus tard tout autant car ce sera suivant son bon plaisir du moment. IL exige dans tous les cas que Vous preniez le temps de lattendre toutes les deux au moins une heure pour savourer lhonneur qui vous est fait dêtre admises en sa présence et davoir pu bénéficier dautant de privilèges et de quelques petits plaisirs excitants destinés à Vous échauffer lesprit et le corps. Sachez que les esclaves qui passent entre mes mains habituellement sont le plus souvent celles que Monsieur le Marquis dEvans offre à ses amis pour une nuit ou plusieurs jours, car IL tient à ce que ses cadeaux soit les plus présentables possibles pour lui faire honneur et mises en valeur pour le plus grand plaisir de celui ou celle à qui elles sont confiées. Beaucoup de soumises ici au château pourraient vous envier, moi la première, mais la jalousie et lenvie ne font pas partie de la panoplie des sentiments autorisés pour les esclaves que nous sommes, et il y a longtemps que je trouve bien plus de plaisirs à satisfaire le Maître quà risquer de lui déplaire.
Après avoir été coiffée, maquillée, fardée au niveau des mamelons et des lèvres dune rouge couleur framboise, Holly MDE est habillée dune guêpière noire qui marque sa taille fine faisant ressortir en la remontant sa poitrine dégagée et qui fait office de porte-jarretelles pour de fins bas noirs. Elle enfile de très hauts escarpins qui lui donnent une démarche gracieuse car ils lobligent à cambrer les reins, mais elle craint de tomber si haut perchée nayant pas lhabitude de se déplacer avec de si grands talons fins.
Thaïs, quant à elle est laissée nue, sans le moindre vêtement, juste vêtue de son collier de métal qui est scellé en permanence sur son cou et de ses deux bracelets. La soumise lui demande décarter les jambes et elle lui passe une ceinture de chasteté qui est munie de deux godes de tailles différentes mais bien conséquentes toutes les deux et quelle a imbibé largement, non pas de gel normal, mais dune pommade aphrodisiaque qui lui est aussi appliquée avec générosité sur lintérieur des grandes lèvres insistant sur le clitoris. La ceinture est fermée par une chaine de métal à gros maillons qui lui entoure la taille et qui est aussi reliée par un morceau de chaîne à son collier, tant sur le devant que dans le dos. Deux pinces à seins réglables en forme de mini étau sont posées sur ses mamelons attachés entre eux par une chainette résistante qui a été passée derrière son cou et qui a pour effet de maintenir sa poitrine redressée et tendue à lextrême. Ses deux mains sont attachées dans le dos par des menottes en croix qui ne lui permettent aucun mouvement. Sur ses yeux, on pose un large bandeau opaque qui la prive de la vue et la fait plonger dans un autre univers de sensations décuplées. Une très lourde chaine en acier poli dun mètre de long est accrochée à lanneau de Thaïs, ce qui la force rien quavec le poids du métal à pencher la tête pour tenter de limiter la tension sur son cou et ses épaules
Après avoir été conduite dans le Salon Privé de son Maître à lheure dite, soumise Thaïs MDE est installée à genoux au centre de la pièce.
Le silence
toujours le silence
Lattente est longue, et même presque douloureuse, pour les deux soumises contraintes de rester immobiles, mais paradoxalement, elle est terriblement excitante au fur et à mesure que les minutes passent, focalisant toutes les pensées sur larrivée tant désirée de Monsieur le Marquis Edouard dEvans que chacune Vénère intensément au plus profond de leur cur, de leur corps et de leur âme.
- Bonjour soumise Holly MDE (dit le châtelain dune voix posé mais tendre)
- Bonjour mon Vénéré Maître (répond aussitôt Holly MDE)
- Tu es particulièrement belle et toute à ton avantage dans cette magnifique tenue qui te sied si bien. Je suis content de te voir ainsi aussi désirable, je sens que tu vas me procurer beaucoup de plaisirs. Seras-tu ma bonne petite chienne en chaleur cet après-midi ?
- Oui, Maître, je ferai tout ce quil Vous plaira pour Vous faire plaisir et Vous satisfaire pleinement et je serai Votre petite chienne à Vos pieds dès quil Vous plaira de my appeler.
- Tu auras droit de me sucer tout à lheure, mes couilles sont pleines et il me tarde de pouvoir me vider. Je me suis retenu pendant le repas rien que pour toi, ma belle chienne.
Thaïs MDE a la gorge qui se serre en entendant les échanges entre Le Maître et Sa soumise Holly MDE, dans lesquels elle na aucune place, comme si elle nexistait pas, comme si elle nétait pas là dans la pièce.
Le Châtelain sapproche de la commode, se sert comme digestif dans un verre ballon tout de pur cristal ciselé, un cognac de grand âge et revient sasseoir dans un large fauteuil tapissé du même velours que celui des grands doubles rideaux qui encadrent chacune des hautes fenêtres de la pièce qui doit correspondre en hauteur à léquivalent de deux étages traditionnels. En effet cette pièce au haut plafond à la française avec de magnifiques poutres du XVII ème siècle dorigine est un des lieux historiques des Origines de la Saga (en 1784). Le fauteuil dépoque est sculpté au niveau des pieds courbés qui se terminent par des pattes de lion, et une tête de lion se trouve sculptée dans la partie haute de la boiserie du dossier de chaise. Aucune des deux soumises na encore osé bouger dun millimètre, même si le temps leur semble interminable dans les positions inconfortables quelles endurent toutes les deux depuis largement plus dune heure suivant les ordres de leur Maître. Il est évident quelles attendraient bien la fin du monde si leur Maître lexigeait tant IL peut compter leur soumission profonde et sur leur dévotion totale. Le Noble prend donc son temps de savourer le spectacle qui soffre à lui et qui lui procure de profonds sentiments de Domination de voir sous ses yeux ses deux dernières soumises immobiles, tête baissée, totalement offertes et à Son entière disposition. Dans ce lieu ancestral, rempli dobjet précieux de tous âges quIL affectionne, de livres anciens, de tapisseries brodées et de tableaux de grandes valeurs, accumulés au fil des générations par tous les Marquis dEvans successifs, le Marquis Edouard dEvans toujours assis dans son large siège, savourant tout autant son cognac à petites gorgées que son plaisir de Maître incontesté et adulé par toute Sa maisonnée et Son cheptel, rompt enfin le silence qui plane.
- Soumise Holly MDE, peux-tu me dire ce que tu tiens dans ta main et qui est le petit animal qui est à tes côtés. Il me semble ne pas lavoir déjà vu au Château. Serait-ce une nouvelle chienne que tu mamènes pour mon cheptel ?
- Mon Vénéré Maître, je tiens dans ma main la laisse de votre esclave-soumise Thaïs MDE qui espère pouvoir être présentée officiellement et accueillie ici par Vous dans Votre Noble demeure. Elle Vous prie par ma voix de lautoriser à se jeter à Vos pieds et à baiser le sol que Vous foulez.
Le Châtelain laisse passer un long moment de silence avant de reprendre la parole, sachant très bien les émotions que tout cela suscite chez les deux soumises frémissantes qui se demandent si le silence du Maître nest pas le signe manifeste dune réponse négative, et qui sinterrogent ment pour savoir ce quelles ont bien pu faire de mal pour déplaire à leur Dominant. Thaïs se demande si son cur ne va pas défaillir car le mutisme de son Maître pèse sur elle plus lourd quun chargement de plusieurs tonnes dans la nuit de ses pensées. Que deviendrait-elle si le Marquis dEvans décidait tout dun coup de la renvoyer et de ne pas laccepter à Ses pieds ? Elle a sacrifié toute sa vie pour Lui, lui a même cédé le fruit de plusieurs années de son travail, cest à dire lentreprise quelle a créé jour après jour laborieusement et quelle gérait, sa maison est occupée par celui qui a aussi pris possession de son siège de dirigeant dans ses bureaux pour un temps indéterminé, elle nen a même plus les clefs quelle a remise sur lordre de son Maître dans la boite aux lettres en quittant Orléans. Elle na plus rien, ni papiers, ni argent, ni vêtements, ni liberté de mouvements, sétant délesté de tout dans la plus grande confiance en celui quelle souhaite servir jusquà la fin de sa misérable vie. Le chaos à nouveau sinstalle dans sa tête, lui faisant encore plus ressentir la douleur de la position à genoux quelle tient toujours mais presque tremblotante maintenant. Elle essaye de ne pas se laisser submerger par ses émotions qui envahissent ses yeux de larmes quelle ne peut retenir mais quelle cache en penchant la tête un peu plus. Elle se rend pourtant compte que cest aussi cela quelle avait envie de vivre, ce moment où elle lâche prise et sabandonne à ne plus vouloir, ni pouvoir, réfléchir et penser à son passé, son présent, son avenir, ne cherchant même plus à espérer, se laissant totalement guider et maitriser par Celui qui tient sa vie entre Ses mains. Cest à ce moment-là précisément, comme sIL avait pu lire dans ses pensées, que le Châtelain ajoute :
- Ma soumise Thaïs MDE, je suis ravie de taccueillir dans Mon Château ancestral et de pouvoir te retrouver à Mes pieds
Approche jusquà celui qui est ton Maître Vénéré, mais qui est aussi votre Maître à toute les deux...
Dun signe de la main, IL fait comprendre à Holly MDE quelle doit avancer jusquà lui, conduisant Thaïs MDE qui est encore dans la nuit de son bandeau et qui sest concentrée pour savoir où était positionné son Maître en se référant au son de sa voix. Le Marquis dEvans demande à Holly de se mettre à genoux juste à côté du fauteuil, lui précisant quelle peut même se mettre assise sur le côté si elle le souhaite, car ses pieds et ses jambes ont largement été mis à contribution. Holly ne se fait pas prier pour sinstaller plus confortablement, son corps touchant la jambe de son Maître et sa tête reposant sur son genou, suivant une position que le Marquis à lui-même rectifié. Pour Holly, cest un vrai moment de bonheur, pour la soumise quelle est, de se savoir concrètement et réellement aux pieds de son Vénéré Maître, prête à tout pour satisfaire le moindre de Ses désirs.
Thaïs pendant ce temps là, comprenant quelle doit se trouver juste devant son Maître Vénéré, sincline profondément, jusquà toucher le sol de son front et de ses lèvres. Toutes ses inquiétudes ont disparues et elle sait quelle a enfin retrouvé sa place, la seule à laquelle elle a toujours aspiré, celle dêtre physiquement aux pieds de son Maître. Cest un vrai plaisir cérébral qui sempare delle, ren par le plaisir charnel quelle ressent à nouveau, prenant conscience quelle est toujours pénétré par deux godes, que ces zones sensibles sont dans un état dexcitation comme jamais, que ces mamelons serrés depuis des heures sont devenus très sensibles même si le serrage était loin dêtre au maximum, mais surtout quelle imagine le plaisir de son Maître à la savoir à ses pieds qui la transcende et la met dans une extase plus forte que les fois précédentes où elle avait retrouvé le Marquis dEvans dans divers endroits neutres. Elle comprend que là précisément, ce haut lieu, qui est la Propriété du Marquis dEvans, est très chargé de symbolisme et que toute la mise en scène depuis son arrivée au château a été programmée pour la préparer à cet ultime instant qui lui semble presque magique et surnaturel. Le Noble att la lourde chaîne qui pend au cou de sa soumise Thaïs MDE, tire dessus un petit coup sec juste pour lui faire bien ressentir quIL la prise en mains et quIL ne la lâchera pas de sitôt. IL lui ôte le bandeau, pose sa main sous son menton pour la faire se redresser légèrement, et dune voix très tendre ajoute :
- Ma belle chienne, bienvenue dans Ma Noble demeure et à Mes pieds. Ouvre tes beaux yeux bleus que je vois ton visage et que je puisse savoir sils rayonnent de la joie de te retrouver aux pieds de ton Maître Vénéré.
Thaïs obéit immédiatement, trop heureuse de pouvoir apercevoir et regarder son Maître dans les yeux, ne fussent que quelques secondes. Des larmes de cristal démotion sortent de ses yeux brillants qui viennent étinceler dans le sourire radieux quelle offre à son Dominant. Le Marquis dEvans lâche le menton de la belle qui comprend aussi sec quelle doit à nouveau baisser les yeux et la tête, mais elle garde à jamais en mémoire la magie du moment merveilleux quelle vient de vivre.
- Levez-vous maintenant toutes les deux que je vous vois un peu évoluer. Chacune va enlever à lautre lun des vêtements ou accessoires quelle porte, lune après lautre, commençant par celui que vous voulez, à lexception bien sûr de Vos colliers respectifs qui portent Mes Armoiries et qui montrent Votre appartenance et que dailleurs Vous ne pouvez retirer sans la clef que je détiens sur moi. Je vous regarde me faire ce déshabillé en tandem et je compte sur toute votre sensualité pour quelle sexprime et me séduise. Cest toi qui débute Holly et tu nas pas le choix, car tu dois commencer par ouvrir le cadenas qui enferme les mains de ta sur, sinon elle ne pourra pas têtre dune grande utilité pour que tu puisses te retrouver nue devant Moi.
Holly délivre donc les mains de sa sur Thaïs qui apprécie largement dêtre soulagée de cette première contrainte et de pouvoir ramener ses bras dans une position plus naturelle. Holly essaye du regard de faire comprendre à Thaïs que ce dont elle aimerait pouvoir à son tour être libéré le plus vite possible. Ce sont les escarpins sur lesquels elle ne tient plus, tant sa plante des pieds lui semble en feu. Thaïs a tout de suite saisi le signe de tête et le clin dil de Holly et elle sempresse de se baisser pour la faire descendre dun cran retirant délicatement les deux escarpins. Le Marquis qui a vu le manège entre les deux femelles sempresse de rectifier le tir :
- Noubliez pas que Votre Maître voit tout. Javais dit un accessoire à la fois. Il me semble Thaïs que tu as pris deux escarpins en main. Tu auras donc un gage tout à lheure. Quand à toi Holly, comme tu sembles avoir cherché à tricher et à influencer ta sur pour quelle te libère de ton perchoir, tu mériterais que je te fasse remonter sur tes échasses, mais jai une bien meilleure idée, je pourrai te priver du droit de sucer ma queue, cela serait une très bonne punition plus pédagogique pour ta formation.
Holly a baissé la tête comprenant trop tard son erreur et sa faiblesse. Elle voudrait pouvoir se jeter aux pieds de son Maître pour implorer son pardon, mais pour ne pas le décevoir davantage et pour que la punition ne soit pas la privation de ce à quoi elle aspire si fort, elle continue en sappliquant de son mieux, détachant maintenant la lourde chaine qui servait de laisse à Thaïs, qui à son tour défait lune des pinces qui mordait le téton de Holly, passant la main dessus en même temps pour réduire lélancement, car elle sait à quel point le reflux dans la partie comprimée est dautant plus douloureuse que les mamelons sont restés pincés pendant un long moment. Le jeu se poursuit sans autre incident notable jusquau moment où Thaïs na plus sur elle que la ceinture de chasteté munie des deux godes. Le Marquis dEvans interrompt la partie deffeuillage.
- Holly, Laisse, cela cest à moi de le lui ôter et dailleurs tu nen as pas la clef. A la place, tu vas aller chercher une cravache, tu en trouveras dans le tiroir de la commode ventrue Louis XV, juste à ta droite... Nous allons passer aux choses sérieuses
(A suivre
..)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!