Ma Lettre Écarlate
Connaissez-vous la lettre écarlate ? Ce roman où une femme porte sur sa robe la lettre A en rouge signifiant « adultère » après avoir trompé son mari. Elle se fait haïr et insultée de traînée pour avoir juste commis le crime dêtre amoureuse dun autre. Je vous propose de revoir ce jugement en vous racontant mon histoire :
Ça fait près de quatre ans que je suis avec le même homme, gentil, aimant bref je nai pas à me plaindre de lui si ce nest quau niveau sexe. Jadore le sexe, jaime jouer au lit, prendre les commandes, les préliminaires, les belles tenues mais là est tout le problème, lui, il naime pas ça. Pas de préliminaires, pas de changement de position, un quart dheure ou vingt minutes pas plus et le tout en missionnaire. Je pensais my faire mais ça me manquais, je mennuyais et ne ressentait presque pas de plaisir de plus la fréquence de nos rapports ne dépassaient pas les une fois par semaine.
Depuis quelque temps, jai entamé un jeu avec un ami, plutôt minions, gentil et surtout aimant le sexe autant que moi. Le jeu se limitait à des échanges de sms, de photo coquine et de séances de cam via skype. Il jouait mon dominant et moi sa soumise et étonnamment jaimais ça, jattendais chaque soir quil me contacte. Jétais devenue accroc à ces échanges, et petit à petit je mattachais dangereusement à lui puis je me surprenais à rêver de lui, de ses lèvres sur les miennes, de lui faire lamour.
Cest ce vendredi que tout a basculé, il est presque deux heures du matin, je suis seule dans mon lit devant une comédie pour fille et jattends que Morphée vienne me prendre quand mon téléphone vibre ; cest lui. Il me demande dabord des nouvelles, puis on parle de tout et de rien avant quil mannonce quil est également seul chez lui. A la vue de ce sms, je sursaute, est-ce une invitation ? Je tâte de terrain afin de connaitre ses réelles intentions. Finalement il me propose de venir le voir, merde il habite à environs dune heure de chez moi de plus il est quasiment 2 heures du matin et je suis crevée.
Je cour sous la douche, je me rase les jambes le pubis le sexe, me sèche et me rhabille, je fais très vite, jai peur quil sendorme et que, par conséquent, je fasse la route pour rien. Je prends quand même soin de mettre un de mes ensemble de sous vêtement préféré, rouge à dentelle noir, pas le temps de me maquillé ni de bien mhabillé, je saute dans mon jean, enfile un t-shirt et part de chez moi, il est 2h03 et je mélance dans la nuit.
Je hais conduire dans le noir, de plus il pleut, je ne vois pas grand choses et il fait froid. Mon cur bat la chamade tout le long de la route, je mimagine mille scénarios, tout en gardant la peur quil se soit définitivement endormi. Étonnamment, je ne pense pas à mon conjoint, jai tellement envie de le voir, de passé la nuit avec, me blottir contre lui suffirais à faire mon bonheur. La route me parait durée une éternité, je suis fatigué, jai froid, mais je désir plus que tout le voir, il me manque, il dégage une sensation rassurante, avec lui, je me sens en sécurité, rien ne semble pouvoir matteindre.
Il est 3 heures du matin, jarrive enfin chez lui, il mouvre, il parait fatigué, mais toujours aussi attirant avec ses cheveux en bataille, sa repousse dune semaine. Je lui souris tendrement avant de le prendre dans mes bras afin de lui faire la bise. Quelque chose cloche, il est bizarrement distant. Il me regarde et lâche :
- Merde, mais ques ce que tu fous là ?
Mon cur sarrête, à ce moment-là je suis perdue entre un sentiment de gêne, dénervement et de tristesse. Je réponds bêtement :
- Bah cest toi quil ma demandé de venir
Ma voix est ridicule, je ne sais absolument pas ou me mettre, je me sens idiote, cest la première fois que je me déplace à une heure pareil pour quelquun. Il reprend :
- Je sais mais je ne pensais pas que tu allais vraiment venir pour moi tu trouverais une excuse ou tu ne viendrais pas tout simplement, je dormais moi.
Je suis terriblement gêné, je massois et nose plus le regarder. Je fini par lâché un ridicule :
- Tu veux que je parte ? Je ne voulais pas te déranger
- Non cest bon je ne vais pas te faire partir maintenant tu restes combien de temps là.
- Euh
je ne sais pas je ne veux pas te déranger.
- Tu veux boire quelque chose ?
Non, je nai pas soif, tous les films que je me suis fait pendant la route se sont évaporé jai juste envie de disparaître tellement je me sens conne dêtre venue.
- Tu veux faire quoi, me lance-t-il
- Je nen sais rien, vas te recouché, je vais partir
- Bah non, tu ne vas pas repartir maintenant au pire monte on va se coucher.
Je le suis, jai terriblement honte davoir cru quil serait heureux de me voir à 3 heures du matin. Arrivé dans sa chambre, il se met en t-shirt boxer, je fais de même, dévoilant maladroitement mon ensemble de sous vêtement. A vrais dire, à ce moment-là, je ne pensais même plus à être belle à ses yeux, je voulais juste ne plus le déranger. Je lenjambe pour passer du côté du lit qui est contre le mur, et me colle à celui-ci pour éviter de croiser son regard, je me tiens à distance. Il est à côté de moi, il éteint la lumière et se met sur le dos, pas dapproche, rien
Quelle abrutie je suis ! Je me fais toute petite, jai envie de menfuir. Il reste distant, loin, froid, je fini par lâché dune petite voix :
- Je suis désolé, je ne pensais pas te trouver avec cette tête-là, aussi fatigué.
Je lentends bouger, il se tourne vers moi, il me chuchote à loreille :
- Tu aurais préféré me voir comme ça ?
Je sens sa main me caresser tendrement mes fesse, dès son contact sur ma peau, un énorme frisson me parcours, je nai rien connu de telle, une sorte de choc électrique qui a mis tout mon corps immédiatement en alerte. Je savoure ce doux contact si délicieux, puis, son autre main caresse mes cheveux, je lui lance avec une pointe dhumour :
- Cest ma tête ça !
Son autre main descend jusquà trouver ma poitrine, il la passe sous le bonnet et vient masser doucement mon sein gauche, il rétorque
- Et ça cest ta tête ?
Ouah ! Ce simple contact suffit à me rendre folle de lui, jai envie de son corps, je ne veux pas quil sarrête.
- Si tu arrives à décrocher celui-là franchement
Clic, trop tard, les agrafes cèdent dun geste expert de sa part et je me retrouve presque nue contre lui à savourer ses caresses, cest si bon de se sentir désirer comme ça, Je me tourne vers lui et sa bouche vient trouver la mienne. Enfin ! Depuis le temps que je rêve de ce baiser, il est à la fois brutal et tendre, nos langues sentremêlent, se caressent, je serre fortement sa tête contre moi, lui, il a une main sur mes fesse et lautre sur ma poitrine. Il me tire vers lui, si bien que je fini à califourchon sur son ventre, quand notre baiser prend fin, je nose imaginée comment je dois sourire bêtement.
Je me dresse sur lui, je le devine dans lombre, ses mains posés sur mes hanche, il fait de légers mouvements de bassin auquel je réponds pour mieux sentir son érection. Je veux lui faire plaisir, je descends plein sud, je caresse son boxer et y glisse ma main. Mon dieu, quelle érection impressionnante ! Je commence à le prendre en main et à le caresser, je passe ma langue de haut en bas de son engin et le prend en bouche. Il se crispe légèrement, je fais des allés retours avec ma bouche en tournant ma langue autour, ma mains branle le bas de son pénis. Il passe sa main dans mes cheveux, dabord pour les caresser puis pour les agrippe pour gérer lui-même les mouvements et senfoncer profondément dans ma gorge, je manque de métouffé, je suis saisi dun haut le cur. Il continu à se faire plaisir pendant un moment, tantôt je colle mes seins contre son sexe et le laisse bouger en lui léchant le gland, tantôt je le branle en lui suçant les testicules, laissant quelque fois un petit gémissement de plaisir séchapper de ses lèvre.
Je me redresse lentement, me repositionne sur lui, venant déposer un chaste baiser sur ses lèvres.
Il retire son caleçons, je me frotte doucement contre son engin, il est si chaud. Il allume sa lampe de chevet, fouille dans le tiroir de sa commode et en sort un préservatif. Cette fois sa y est on va passer à lacte, jen ai envie depuis tellement longtemps, je suis fébrile, il me tend le préservatif :
- Vas y met le, mordonne-t-il
- Euh
ça fait longtemps que je nen ai pas mis à quelquun jen utilise plus depuis des années, depuis que je prends la pilule et que jai fait les tests de dépistage
Je prends le condom et là lhorreur, je suis tellement pressé, perdu dans mes envie que jai peine à le mettre, je panique, jai peur de coupé son envie, je me sens ridicule bref je perds tous mes moyens et rigole nerveusement en bafouillant des excuses. Il finit par venir à mon secours, je suis gênée je ne sais plus où me mettre.
Une fois le préservatif mis, je reprends ma place sur lui, je reste sur élevée afin quil puisse guider son engin vers mon sexe, il le frotte légèrement contre moi avant de senfoncé lentement et doucement en moi. Ça y est, il me possède, je suis à lui, je savoure cette sensation, je suis remplie de lui, cest chaud, doux et dur. Il ne bouge pas, dans un premier temps, il se contente de senfoncer au plus profond de mon être afin de me faire comprendre à qui jappartiens, puis, il commence de petits mouvements de bassin, doucement et de plus en plus rapides jusquà ce que mon vagin soit habitué à ce corps étranger en moi. Puis, il y va de plus en plus fort et de plus en plus vite, il me pilonne dans un rythme infernal, sa bite cogne contre le fond de mon vagin, cest à la fois douloureux et si bon, je gémis de plaisir sous ses yeux qui me scrutent.
Il me dévore du regard, jai quune seule idée en tête, lui plaire sexuellement et physiquement, il ne fait jamais de compliment si je pouvais en avoir un ce soir, je ferais tout pour le décrocher. Je joins mes mouvements au siens, il pose ses main sur mes hanche pour magripper et géré mes coups de hanche, je gémis fort mes yeux sont plongés dans les siens et mes main posés sur son torse. Une douleur me mord brusquement la fesse droite, je laisse échapper un petit cri, Il vient de me gifler le cul ! Et clac une autre sur lautre fesse puis sur les deux, il samuse à me fesser tout en me pénétrant de plus en plus fort bordel cest si délicieusement douloureux et excitant.
Il me regarde avec appétit, cest si bestial :
- Retourne-toi, lance-t-il, je vais te prendre en levrette !
- Oui, tout de suite, répondis-je avant de mexécuter
Je me place devant lui, me met à quatre patte et lui présente mon joli petit cul en le remuant pour laguicher, ce à quoi il répond avec une violente claque. Il magrippe la hanche dune main, guide son engin de lautre et entre en moi dun geste précis et brusque de tel sorte que son gland viens trouver immédiatement le fond de mon vagin. Il reprend son rythme infernal, ses doigts senfoncent dans mes hanches, les claques tombent à intervalle régulier et de temps en temps il me pelote les seins en senfonçant toujours plus profondément. Jenfonce ma tête dans loreiller pour mes petits cris, mes jambes tremblent sous les multiple petit orgasmes et ma tête vient cogner de temps en temps le mur dans ses allés les plus violents. Il me baise à men faire perdre la tête, jai soif je regrette le verre deau que jaurais pu prendre au pare-avant. Dans un dernier coup de rein il sarrête et ressort :
- A toi de bosser maintenant reviens sur moi
Encore une fois, je suis sur lui, je prends appuis sur son torse, plie les jambes et monte puis descend le long de sa bite. Je commence doucement puis de plus en plus vite ajoutant des coups davant en arrière et dessinant parfois des cercles avec mes hanches. Il aime ça, il me regarde, cambre son corps pour aller plus loin, serre et malaxe mes fesse et mes sein avec fougue et quelque claque tombent quand il souhaite que jaccélère. Jai chaud, je fini par ralentir, mes bras tremblent, mes cuisses me font mal je fatigue, merde ! Pas déjà ! Je regarde discrètement lheure sur son réveil, 4H du mat !! Ouah ça fait déjà une heure quon senvoie en lair. Jhalète, je suis morte, il me regarde amuser :
- Alors ? On est déjà fatigué ?
- Non ça va aller, ça fait longtemps que lon ne mavait pas fait lamour aussi longtemps
- Ben il faudra ty faire car cest loin dêtre fini allé tournes toi !
A ces mots il me met une grosse claque sur la fesse aïe ! Là jai crié et eu mal. Il me renverse, lève mes jambes, les poses sur ses épaule et me baise. Ses testicules claquent contre mes fesse, je me cambre je veux quil me pénètre au plus loin, quil me fasse mal, quil me remplisse et me possède.
Je fini par reprendre les rênes une fois encore mais cette fois je me place sur luis mais dos a lui, je passe mes jambe sous les sienne, me cambre et monte puis descends dans de longs mouvements. Je le domine totalement à ma manière, il se laisse aller et je savoure ce moment de plaisir que je lui offre. Ça ne dure pas, il se redresse dun coup pour mattr les seins, quil malaxe et tire les tétons. Il donne de longs, doux mais profonds coups de hanche de tel sorte que les mouvements de son sexe en moi me fait leffet dune douce caresse.
Il se penche, ne faisant basculer en avant et on se retrouve dans ma position favorite ; la levrette. Il reprend les choses en main mais de manière plus douce ; Il me caresse le clitoris au rythme de ses coup de hanche et il dépose de doux baisés dans mon dos, à chaque contact de ses lèvres sur ma peau me procure un frisson de plaisir. Il caresse mon corps avec passion et délicatesse ; mes bras, mes jambes mon corps entier monte en température et jimplose dans un orgasme éprouvant.
Je meffondre sur le lit, je suis prise de spasmes et je sais très bien que mon partenaire na pas son compte. Je le fait sallonger sur le dos et retire la capote, le branle dabord doucement, puis, je le prends en bouche, je le suce fort en branlant la base de son engin avec ma main gauche. Son érection est telle quelle me donne mal à la mâchoire, jaime le sucer, il adore ça et je men donne à cur joie, il cherche mes cheveux, du moins, une bonne prise pour me les choper. Il saisit ma tête à deux mains et me baise la bouche, je pose mes deux mains sur le lit pour me maintenir et le laisse faire en tournant ma langue autour de sa queue. Il se raidit, va de plus en plus loin dans ma gorge et fini par jouir en longs jets dans ma bouche.
Il se laisse tombé sur le dos, je le regarde, la bouche toujours pleine de son sperme, il finit par mautoriser à aller me rincer la bouche. Jai peine à me tenir sur mes jambe tant je suis courbaturée et prise de spasme, une fois dans la salle de bain je me regarde dans le miroir ; Merde ! Quelle gueule ! Je suis épuisée, vidée. Je me passe de leau froide sur le visage et part rejoindre mon amant, Je mallonge à côté de lui ; il est 5H deux heure de sexe intense et inoubliable.
- Tu devrais tendormir, me dit-il
- Et toi alors ? tu ne dors pas ?
- Je viendrais te rejoindre dans le reste de la nuit ne tinquiètes pas.
Sur ces mots, il se lève et descend, Je me glisse sous les draps imprégner de son odeur et en une fraction de seconde, je tombe dans un profond sommeil comblée et heureuse, la tête remplie de sensation et dimage de cette merveilleuse soirée. A lheure où jécris ce texte, je donnerais nimporte quoi pour revivre cette nuit, retrouver son corps, ses lèvre, son étreinte, tout de lui me manque en fait, il semblerait que je ne sois pas prête à lâcher cette perle rare quest cet homme
Alors messieurs, dames ? Bien que je mérite ce A en rouge sur mes vêtement pensez-vous que cet acte tel que je vous lai décrit mérite un châtiment tel que les insultes, lhumiliation et la haine des autre ?
Si vous pensez que non, je suis heureuse de voir quil y a encore des personnes ouvertes en ce bas monde et qui comprennent mon point de vue et les sentiments quimplique cette relation avec cet homme. Après sont-ils réciproque ? Je ne sais pas
Quen pensez-vous ?
Et si vous pensez que je suis quune vulgaire traînée, que je ne mérite pas lamour que lon me porte, vous avez peut-être raison mais laissez-moi vous dire quelque chose : Je vous emmerde vous et vos jugements je fais ce que je veux !
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