La Bourgeoise Et Les Jardiniers

- Bonjour madame, puis-je m’assoir s’il vous plait ?
- A quoi bon me demander, puisque c’est fait !
- Excusez mon audace
- Nous nous connaissons ?
- Un peu, après ce que j’ai vu de vous…. Vous faites ça souvent ?
- Montrer ma petite culotte ? ça dépend, je viens de le faire spécialement pour vous, vous vous êtes montré discret, sans éveiller la curiosité des autres clients de cette terrasse, et puis je vois que cela ne vous laisse pas indifférent ….
- Je réagis en homme, donc, vous êtes une habituée de ces lieux ?
- Ici, de temps à autre, mais dans le parc derrière vous, tous les deux jours, entre midi et deux ! j’y ai mon petit fan-club
- Vous êtes mariée je vois …
- Mon alliance ? bofff, ce n’est qu’un symbole qui justifie une signature au bas d’un document, on ne s’aperçoit de l’erreur que plus tard
- Votre mari n’est donc pas au courant ?
- Non, j’ai vainement essayé de lui en parler mais il ne comprend pas mes besoins
- Pourquoi m’avoir choisi pour votre petite exhibe
- Vous avez une physionomie qui met en confiance, pour l’instant je ne fais que me montrer mais je voudrais aller plus loin, toute seule c’est dangereux, avec quelqu’un comme vous a mes cotés, je me sentirais en sécurité
- Je suis prêt à vous aider …qu’entendez vous par ‘aller plus loin’ ?
- Dans un premier temps, sans petite culotte, mes ‘admirateurs’ apprécieraient beaucoup
- Parlez moi de vos ‘admirateurs’ ….
- Je m’expose sur un banc du parc, face à une cabane ou je sais que trois ou quatre hommes se masturbent
- Vous les laisseriez s’approcher ?
- Peut être, ou moi me déplacer …voulez vous me rejoindre a treize heures trente ?
- Je vous attends a l’entrée du parc …est-ce que je peux voir discrètement votre string avant de partir ?
- Regardez...… vous voyez la trace humide ?
- Vous mouillez beaucoup… à cet aprèm

Quand je suis arrivé elle était déjà là, habillée comme le matin, une tenue de circonstance, jupe évasée courte, et corsage opaque, les seins libres, bras dessus bras dessous nous nous somment rendu sur ce lieu retiré du parc, rien ne laisse supposer que des hommes sont tapis derrière le bosquet attenant a la cabane, espérant que le spectacle aura lieu pour se pignoler, je me suis assis à coté de la femme dont je ne connais même pas le prénom, elle croise les jambes très haut, en face ils doivent voir la culotte, au fait ? En a-t-elle changé ?

- Ils sont là, j’entends des bruissements

Décidé à profiter de l’aubaine, je passe un bras dans son dos et caresse le genou rond et lisse, ma main glisse vers la fourche, l’intérieur de la cuisse est doux, satiné, de plus en plus chaud, mes doigts atteignent le renflement sacré, elle s’abandonne sur moi, offerte, confiante, j’effleure la motte brulante, cette fois j’entends nettement les branches craquer, j’appuis sur le tissu qui moule la vulve et l’enfonce dans la fente, la cyprine suinte a travers les fibres, mes doigts dént sur le string devenu gluant

- Vous devriez l’ôter ….


- C’est exactement ce que j’attendais, que vous me donniez des ordres
- Levez vous face au bosquet

Les fesses rondes sont a hauteur de mes yeux, je passe mes mains sous la jupe pour agripper le string et tirer dessus, arrivé a mis cuisses il tombe de lui-même, elle lève un pied pour s’en débarrasser, c’est bien le même, taché et odorant du matin, je m’en empare et le porte a mon nez pour exciter les voyeurs, qui savent que maintenant la chatte est accessible

- Asseyez vous et écartez les jambes, laissez votre jupe remonter, fixez le buisson, montrez leurs que vous vous savez observée
- Mon dieu ! j’ai bien fais de vous faire confiance, jamais je n’aurais osé seule ! je dégouline !
- A votre avis, combien sont-ils ?
- Trois je crois ….
- Levez vous et suivez moi, nous traversons
- Vous …. Vous voulez que nous les rejoignions ?
- Si vous voulez vous faire toucher la chatte, c’est la seule solution
- Je vais les branler !!

Dans un premier temps, les branches craquent, les voyeurs fuient, une fois à l’abri dans le bosquet je place la femme devant moi et lève lentement la jupe, je sais qu’ils ne sont pas loin, il faut les appâter, elle sépare ses pieds, je passe une main entre ses cuisses, deux doigts glissent aisément dans le vagin, il n’en faut pas plus aux voyeurs pour revenir pas a pas, la femme renverse sa tête sur mon épaule et ferme les yeux afin de ne pas supporter les regards, ils sont bien trois , ce ne sont pas des mannequins de défilés, mais les queues qui sortent des braguettes sont de taille respectable
Audacieuse, elle tend les mains, comme par magie les bites sont là a portée de ses doigts, les leurs se ruent entre les jambes et sur les seins qui sont vite dénudés, trois mains différentes se fraient un chemin pour palper la moule dont les poils luisent de jus intime
En bons voyeurs disciplinés, les doigts se partagent les deux trous, l’un deux me glisse a l’oreille

- C’est votre femme ?
- …Oui…
- Elle est belle
- Vous voulez la baiser ?
- Ont peut ???
- Elle est là pour ça
- Alors nous allons entrer dans la cabane, j’ai la clé les gars !

Une clameur d’approbation accompagne la nouvelle, la femme se retrouve dépossédée des doigts et poussée vers la porte, une certaine obscurité règne, nos yeux s’y habituent vite, une tondeuse autoportée trône au milieu… juste a bonne hauteur pour qu’une femme courbée sur le capot puisse se faire prendre….


- Penchez vous là-dessus madame, vous serez juste à bonne hauteur
- Vous allez me pénétrer tous ?
- C’est ce que veut votre mari

Elle me jette un regarde de braise, soit d’euphorie soit de colère ! En tous cas elle s’exécute sans discuter, les seins écrasés sur la carrosserie fraiche, sa jupe est relevée sur ses reins, elle sépare ses pieds autant qu’elle le peut et attend….
Les hommes se repaissent de la vue un long moment, je ne m’en prive pas non plus ! La chatte en relief, légèrement ouverte, nacrée par la cyprine ne demande qu’à être comblée, celui qui possède la clé de la cabane s’avance le premier, arrivé au cul de la belle il défait son froc, le ventre gras et poilus en avant, je me place sur le coté afin de ne rien perdre de la scène, les deux autres compères attendent derrière la queue a la main
Elle pousse un feulement lorsque la pine s’enfonce aisément dans sa moule bien préparée, la tête de coté, tournée vers moi, elle me sourie et tend la main, je m’approche afin qu’elle puisse se saisir de ma bite, un genou sur la roue je me fais royalement sucer, les seins sont secoués comme des flans, elle semble prendre un pied d’enfer
Le gros trop excité décharge bruyamment dans le con accueillant, à peine sa queue retirée dans un bruit de gargouille il est remplacé aussitôt par une queue bandée

- Putain tu l’as vachement ouverte, je ne sens rien
- Ta gueule ! et magne toi, y’a pas que toi, le monsieur voudras surement prendre sa femme en dernier ?
- Ne vous en faites pas pour moi ….

Ça ne me dit rien de patauger dans ce marécage que devient cette moule…. En tous cas elle pompe très bien, je crois que je vais me laisser aller au fond de sa gorge….je préfère la prévenir au cas où elle refuserait d’avaler

- Attention je viens…..

Pour toute réponse elle s’accroche à ma queue comme a une bouée, quel soulagement de vider mes burnes dans cette bouche inconnue, de voir la femme avaler mon foutre fait décharger celui qui la besogne, deuxième service !

- A mon tour !.
.. Beurk ça coule partout
- Essuie là avec tes doigts, et ne fait pas le difficile, ça fait un bail qu’ont se branle en la matant sur le banc

Le gars ne se fait pas prier et enfonce son membre dans la caverne détrempée, soudain, une idée lui vient …

- Et si je l’enculais ?
- Demande à la dame avant par politesse
- Je veux bien, mais dépêchez-vous je commence à fatiguer
- J’ai une vieille couverture …. On va la prendre tous ensembles

C’est ainsi qu’elle se retrouve empalée sur le gros, sodomisée par un et octrois une fellation au dernier, je suis partis sur la pointe des pieds …

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