La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°299)
Suite de l'épisode précédent N°298 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré
Le Marquis dEvans sapproche de Thaïs, ouvre le cadenas, défait la chaine qui lui enserrait la taille et qui retenait la ceinture en métal qui lui passant entre les cuisses la meurtrissait carrément à lentrejambe. IL sort les deux godes des deux orifices et libère enfin Thaïs dont les parties intimes sont dégoulinantes de cyprine. La prenant par lanneau de son collier, IL la tire jusque vers larrière dun fauteuil qui se trouve à proximité. IL force Thaïs à se courber sur le dossier, tête vers lavant posée sur lassise du siège, lui écarte les jambes pour bien faire ressortir son sexe exposée et suintant. IL en profite pour fourrer ses doigts dans lanus élargi par le gode, quil essuie sur les cuisses de la soumise exposée impudique. Et lui donnant une première tape sur les fesses, IL ajoute :
- Thaïs, Je pense que tu nas pas mérité pour linstant les caresses de ton Maître car je crois me souvenir que tu me dois un gage et je ne tai pas non plus offert ton cadeau. Tâche de ne pas bouger, tu vas peut-être sentir la morsure de la cravache sur tes fesses, mais je sais que ta sur aimerait largement mieux être à ta place car la punition que je lui ai imposée va lui sembler beaucoup moins agréable, jen ai la certitude.
Attendant le retour de Holly avec la cravache quelle porte dans ses mains et quelle présente en se courbant profondément devant le Châtelain, comme si linstrument était posé sur un plateau en argent, le Marquis annonce :
- Holly, la cravache cest pour toi. (Holly hoche la tête ne comprenant pas bien ce que son Maître veut dire puisque cest à Thaïs quIL a fait prendre la position offrant sa croupe aux coups, bien quelle sache que son Maître ne cédera pas sur la punition quil doit lui imposer). Cest toi qui va devoir administrer les 5 premiers coups, à titre de gage supplémentaire pour Thaïs, mais je veux 5 coups très appuyés de ceux qui laissent une belle zébrure.
Holly na jamais tenu de cravache en mains de sa vie et jamais elle naurait pu imaginer quil lui faudrait frapper sa nouvelle sur de soumission qui est justement punie par sa faute. Sa culpabilité la déborde, même si elle imagine que Thaïs pourrait prendre tout comme elle un certain plaisir à recevoir ces coups, sils étaient portés par le Maître Vénéré. Mais là, dans ces conditions, cela constitue pour elle une punition quelle reconnaît avoir mérité mais qui est bien plus dure à supporter que si cétait elle qui devait endurer les 5 coups de cravache sur les fesses. Sa main tremble, et elle ne sait pas du tout quelle force elle doit mettre pour satisfaire son Maître, pour ne pas faire durer le supplice avec des coups qui ne seraient pas validés, et à linverse pour ne pas frapper trop fort tant elle craint de martyriser carrément la pauvre soumise sous la violence de son bras. Cest donc un premier coup assez faible qui sabat sur les fesses de Thaïs qui na pas bronché, mais à la place le Marquis a relevé linsuffisance de limpact.
- Nul, beaucoup trop faible. Holly, tu dois mettre plus dénergie dans ta frappe. Ce sont des fesses sur une croupe dune belle chienne plantureuse et résistante, pas un vase en porcelaine.
Holly prend son courage à deux mains, elle voudrait pouvoir demander pardon à Thaïs pour ce quelle lui fait subir, et frappe plus énergiquement cette fois. Rassurée davoir entendu le Marquis dEvans prononcer 1, elle continue sur sa lancée jusquà 5, se disant quelle est vraiment faite pour être soumise et quelle ne comprend pas le plaisir parfois sadique que peut prendre Walter, le Majordome, lorsquil applique avec zèle tous les soirs les punitions collectées dans la journée par les esclaves du cheptel. Cette épreuve la vraiment remuée plus quelle ne laurait imaginé et elle ne peut sempêcher de regarder les fesses zébrées de sa sur Thaïs.
- Holly, tu mas lair bien tourmenté par un petit jeu qui na sûrement pas dû déplaire tant que cela à ta sur Thaïs. Ce nétait quun petit gage et jai été bien tendre avec toi dans ma sanction en ne timposant que 5 coups. Mais regarde comme tu las faite couler un peu plus, ses cuisses sont toutes collantes de cyprine dégoulinante. Et la belle chienne est loin dêtre au bout du compte, car jai décidé pour fêter larrivée de Thaïs au Château et aussi notre association professionnelle de lui offrir un petit cadeau de bienvenue très personnel dont je veux quelle puisse se souvenir très longtemps et même avoir un peu de mal à sasseoir pendant quelques jours. Après cette mise en bouche, cest à moi que revient la tâche de marquer Ma soumise à ma guise. Holly, tu continueras à compter à ma place.
Le Marquis commence dun geste régulier à abattre la cravache sur les fesses de Thaïs qui arbore au fil des minutes qui passent et des dizaines qui ségrènent une couleur de plus en plus rouge foncée. Les coups ne sont pas portés très forts, mais la cadence rapprochée qui laisse peu de temps à Thaïs pour encaisser les différents impacts ont fini par avoir raison de sa résistance physique et de son endurance. Pour ne pas crier, elle se mord la lèvre qui a fini par et ses larmes coulent sur ses joues, malgré le plaisir intense qui la ravage aussi de lintérieur, mêlant douceur et douleur de ce sublime cadeau de son Maître Vénéré. Holly continue toujours à compter de dizaine en dizaine, « 10, 20, 30, 40 » se demandant quand leur Maître décidera de sarrêter
. « 48, 49 »
. Le Marquis dEvans reprend la parole pour annoncer :
-
et 50. Cest bien ma belle Thaïs, je suis très fier de toi, car tu as su accepter mon cadeau sans broncher avec délice pour ce doux supplice qui fait de toi à part entière une esclave digne de rester au Château et de rejoindre mon cheptel
Je sais que les larmes ont coulé de tes yeux, le fauteuil sen remettra, car les larmes ne tâchent pas.
Le Marquis sest installé confortablement sur un des canapés du salon, regardant ses deux soumises avancer jusquà lui à quatre pattes se déplaçant en ondulant dune grâce animale, emplie toutes deux dun désir sensuel érotisé et dune appétence sexuelle évidente. Le Noble déboutonne son pantalon pour en sortir de son boxer sa verge déjà dressée. Puis il dévisage les deux chiennes tandis quelles sapprochent côte à côte, si différentes toutes les deux, Holly plus jeune, brune aux cheveux souples et longs et à la peau claire, Thaïs plus âgée, plantureuse et à la poitrine généreuse, blonde aux cheveux plus courts. Les deux soumises qui ne se connaissaient pas encore quelques heures auparavant se retrouvent affairées sur la même grosse verge déjà gonflée et dure du Marquis Edouard dEvans, tandis que lune prend le gland en bouche et le suce, lautre lui lèche les couilles, les prenant tour à tour à pleine bouche pour les gober, et puis remontant pour sucer toute la hampe, forçant très fraternellement lautre à lui céder la place pendant quelques instants pour inverser les rôles. Le Marquis dEvans ronronne presque de quelques « ah » ou « Cest bon » qui encouragent les deux soumises à poursuivre leur léchage et leur fellation.
- Je vais jouir mes petites chienne-salopes après ce que Vous venez de me faire. Reculez-vous vite, bien à genoux en face de moi, votre bouche ouverte et la langue de chienne bien tirée.
Le Marquis att sa queue fermement et poussant dun grand coup fait gicler, comme il laurait fait dun tuyau darrosage, le jet de sa jouissance sur les visages et les langues de ses deux chiennes quIL marque de sa Noble semence dans un dernier râle profond et guttural. IL se redresse pour faire sortir le maximum de nectar de sa queue quIL presse jusquà la lie et secoue pour en déposer délicatement les dernières gouttes sur les deux langues sorties et tendues, avant de saffaler sur le canapé le temps de se ressaisir et de reprendre ses esprits après une jouissance qui lui a apporté beaucoup de plaisir. Les deux soumises aux visages largement recouvert de sperme nont pas encore osé bouger ni refermer la bouche en rentrant la langue sur laquelle le nectar sest accumulé. Le Marquis dEvans se lève à nouveau pour attr une petite cuillère dans le petit meuble bar qui se trouve à proximité. IL racle à plusieurs reprises le visage de Holly qui est encore recouvert de la blanche semence et lui insère la cuillère pleine dans la bouche la forçant à rentrer la langue, en même temps quIL lui précise très dignement :
- Savoure le précieux nectar de ton Vénéré Maître, car il nest pas question den perdre la moindre goutte. Prends le temps de le garder en bouche avant de déglutir pour bien timprégner de ce que je viens de toffrir que je ne distribue quavec parcimonie à ceux et celles qui me sont les plus dévoués et les plus méritants. Cest donc un honneur dont tu dois avoir pleinement conscience.
Le Marquis dEvans recommence le même manège avec Thaïs.
- Ce soir, Vous naurez rien dautre à manger, juste de leau à boire à satiété, car je veux que Vous gardiez le goût de mon sperme en bouche, et puis je Vous ai personnellement nourrie toutes les deux dun plat qui vaut largement toutes les bouillies de Marie, notre cuisinière, sans que cela ne remette en cause ses talents de maitre-queux
Le Marquis sarrête un instant de parler, les observe un moment avec attention et reprend :
- Je dois partir pour plusieurs jours pour mes affaires. Je veux avant cela Vous offrir à toutes les deux qui me servez si bien, un petit plaisir jouissif. Vous allez commencer par Vous lécher le visage lune après lautre, puis les lèvres, mêlant vos langues, vos salives et ce quil reste de ma semence.
Le Marquis excité par les baisers échangés entre les deux femelles ne peut sempêcher de se mêler à elle deux, dans un baiser pluriel de bouches et de langues entremêlées. Thaïs navait jamais été porté sur les plaisirs saphiques qui, avant de devenir la soumise de son Maître Vénéré, navait jamais fait partie de sa vie de femme libre. Mais elle est prête à tout pour satisfaire celui à qui elle appartient et elle a surtout appris à faire tout ce quIL exige delle, le bon et le moins bon, le doux et le dur, le plaisant et le déplaisant, lui ayant fait don de sa vie, son âme, son corps, ses désirs et ses plaisirs. Elle laisse tout naturellement le Marquis bouger et pivoter à sa guise son corps qui se retrouve en 69 aux côtés de Holly. Elle comprend quelle doit lui lécher les parties intimes et le clitoris quand elle ressent la main de son Maître qui pousse sur sa tête pour la positionner face à la chatte glabre quelle découvre de sa nouvelle sur de soumission, tout en même temps quIL contraint Holly à sengouffrer entre les cuisses de Thaïs à la recherche de son bouton damour. Ne relâchant la pression quIL exerce sur les deux crânes que pour leur permettre à lune comme à lautre de respirer, le Maître mène de ses deux mains, appuyées avec fermeté, la suite de la partie de plaisirs charnels qui le fascine de voir les corps de ses deux femmes qui commencent sous les caresses buccales à se tordre, à onduler et à frémir.
- Vous me servez bien toutes les deux. Alors je vous donne le droit de jouir autant lune que lautre (ajoute le Maître dune voix tendre presque aimante, libérant également la maîtrise quIL leur avait imposé jusque là poussant sur leur deux têtes)
Il nen faut pas beaucoup plus pour que les deux femelles partent presque aussitôt dans un orgasme bruyant, chacune haletant et criant sous les coups de langue de lautre, prenant presque autant de plaisir à lécher quà être léchée. Ce nest que lorsque les jets de Thaïs, qui est une femme fontaine, se mettent à inonder le visage de Holly que celle-ci a un sentiment de dégout et un geste de recul car cest une sensation nouvelle pour elle, et elle a limpression que Thaïs lui pisse dessus, ce qui la choque profondément. Le Maître qui regarde la scène avec délectation ajoute :
- Ma belle Holly, tu ne crains rien. Ta sur est une fontaine et cest peu de le dire. Tu peux largement aller boire à la source car le liquide translucide quelle produit est plus que délicieux, sauf quen général, elle a tendance à tâcher tous les parquets quil faut ensuite remettre en état
. Bien, je dois maintenant y aller et vous laisser, mes affaires mappellent
Vous nettoyez tout le plus proprement possible, cela donnera encore un peu de travail à vos petites langues, si habiles à donner du plaisir
Walter va vous ramener dici peu dans vos cachots respectifs pour la nuit. Et sachez que je suis fier de Mes deux petites chiennes
(A suivre
..)
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