Leslie La06

Leslie VA06 – Vacances - Avec Laure, suite

Laure se leva avec un étrange sourire aux lèvres, elle ressentait encore en elle le plaisir qu’elle avait connu en pensant à Karl, tandis que Kevin entre ses cuisses la possédait sauvagement par derrière.
Elle avait pris beaucoup de plaisir, et elle allait le raconter à Leslie, elle embrassa son petit ami endormi et passa sous la douche. Elle se sentait heureuse.
Après une douche, elle réveilla Kevin pour lui demander de partir et aussitôt, prétextant qu’elle avait des choses à faire et après qu’il soit partit, non sans essayer de la convaincre de l’accompagner, elle enfila un de ses brésiliens préférés, un noir, tout en dentelle, que Leslie lui avait offert et qu’elle avait trouvé très craquant.
Cela moulait parfaitement son petit derrière et mettait en valeur ses hanches. Elle se regarda quelques instants dans la glace, prenant plusieurs positions un peu suggestives, puis enfila sur son corps presque nu une robe rouge.
Elle se maquilla un peu, puis s’empara de son sac à main et sortit.

Elle était un peu déçue, que Leslie ne soit pas avec elle, mais se consola en se disant qu’elle pourrait faire la surprise à son amie un soir dans une nouvelle robe, fallait-il encore en trouver une.
Elle parcourue les rues commerçantes de la ville et s’arrêta devant une vitrine ou trônait une jolie robe blanche, très décolletée ressemblant étrangement à celle de Marilyn dans le film « Sept ans de réflexion ».
Elle entra dans la boutique et fut reçue par une jeune vendeuse, très belle, moulée dans un jean serré et dans un chemisier assez décolleté et surtout suffisamment transparent pour laisser deviner les petites aréoles brunes de ses mignons petits seins.
Elle se prénommait Ambre, d’après le petit badge accroché au chemisier

Après avoir parcourue la boutique des yeux, Laure s’arrêta au rayon de la robe convoitée et demanda à la vendeuse de faire un essayage.


- Très bon choix, dit la jeune femme, c’est un très beau model.
La vendeuse entraîna Laure jusqu’aux cabines d’essayage et la vendeuse lui dit :
- Enlever votre robe afin de faire l’essai !
Laure, très naturellement ôta sa robe pour apparaître, nue en brésilien et quelque peu impudique aux yeux de Ambre qui la regarda faire un peu amusé, compte tenu que Laure était quasiment nue sous sa robe rouge.
Après avoir essayé la robe, Ambre demanda à Laure de la retirer et la prenant par la main, elle lui dit :
- Je dois prendre vos mesures, pour la robe, car il faudra certainement l’ajuster, elle doit être portée impeccablement si vous voulez avoir du succès.



Ambre sortit un mètre de couturière de sa poche et le déroula, avant de se placer derrière Laure. Celle-ci se tendit au contact du corps de la vendeuse, tout collé contre le sien. Elle sentait jusqu’aux durs boutons du jean et pressentait les petits seins appuyés contre son dos.
- Ne soyez pas aussi nerveuse, chuchota la vendeuse, ce n’est qu’une prise de mesures.
Laure sourit et se laissa faire. Le mètre fit le tour de sa taille, puis se posa contre ses omoplates pour prendre le tour de poitrine. La bande de plastique vint chatouiller la pointe de ses seins nus et les doigts de Ambre, qui lissèrent le mètre, passèrent sur sa poitrine avec douceur et précision.
Lorsque le mètre descendit, Laure s’aperçut que les pointes de ses seins étaient tendus et qu’ils étaient gonflés par un désir naissant, elle avala lentement sa salive, consciente de la réaction de son corps.
Ambre, en professionnelle, s’empara de ses seins pour les soulever et faire glisser le mètre, afin de prendre le tour du dessous de ses seins.
Laure ferma les yeux un instant en sentant les pouces de Ambre si proches de ses tétons dressés. Puis, Ambre se mit à genou derrière Laure et la fit se retourner. Lentement, la vendeuse étendit le mètre des pieds de Laure au haut de ses cuisses, pour la mesure des jambes.

Enfin, Ambre prit son tour de bassin.

Le brésilien que Laure avait choisi était sous les yeux de Ambre, qui dans un murmure d’approbation, fit rougir Laure, le mètre s’enroula autour de son bassin, juste au-dessus du brésilien, et Ambre nota la mesure.
Laure était figée, tétanisée. Puis, elle sentit une caresse sur sa culotte, la touche douce d’un doigt sur son intimité, presque imperceptible, puis une deuxième, et une troisième.
Puis la langue de Ambre, la quatrième fois remplaça son doigt sur la dentelle du brésilien noir, et Laure gémit.
Pour la petite vendeuse, ce fut comme une acceptation à continuer, une supplique se ne pas s’arrêter, alors, Ambre s’empara doucement des fesses de Laure, les pouces glissés aux portes de la raie de ses fesses, et commença à lui administrer une série de caresses avec sa langue en choisissant les endroits les plus sensibles, Laure se laissait faire, à peine consciente du fait que cette jeune femme créait en elle ce trouble qui la laissait sans réaction.

Elle se mordait l’intérieur de la lèvre en geignant, puis se redressant la vendeuse alla fermée la boutique et en revenant elle dit à Laure :
- Viens suit-moi !
Elle entraina Laure dans l’arrière-boutique et la poussa dans un confortable canapé dans un coin de la pièce. Laure gisait sur le dos, les jambes un peu pliée et écartée, nue, avec son brésilien recouvrant son intimité humide, offerte, les jambes écartées, le ventre parcouru d’envies.
Ambre s’agenouilla et se plaça entre les jambes de Laure en disant :
- Je vais te faire du bien.
Ambre remonta sur son corps et vint l’embrasser, leurs langues vinrent jouer ensemble, puis se séparèrent en dégoulinant de la salive de l’autre. Ambre redescendit vers le brésilien et recommença ses caresses sur la dentelle.
Laure ne cessait se tortiller en geignant de plaisir, les petites caresses de Ambre étaient douces, excitantes, mais la condamnait à de simples petites étincelles de plaisir.
Elle allait supplier Ambre d’en faire plus lorsqu’elle sentit les doigts de la vendeuse écarter l’entrejambe de son brésilien et venir poser ses lèvres sur son sexe.

Laure crut qu’elle allait jouir à l’instant, mais elle parvint à se retenir. Ensuite, la vendeuse vint lécher son intimité, se délectant des gouttes de plaisir qui venaient à perler sur son sexe.
Les mains de Ambre rampèrent le long des côtes de son amante et vinrent agripper les seins de Laure durcis par le plaisir, sans arrêter ses coups de langue divins.
Laure, rendue folle de désir par des caresses si abouties, finit par accompagner de ses propres mains les massages de Ambre sur ses seins. Leurs doigts se croisèrent un temps sur les seins, puis la vendeuse décida de retirer définitivement le brésilien noir, offrant toute entière la fente humide de Laure à s bouche.
- Tu es délicieuse, dit Ambre dans un souffle.
- Tu m’excites comme une folle, répondit Laure.
Elles s’embrassèrent à nouveau et Laure glissa sa main entre les jambes de Ambre et entama de déboutonner le jean et aida la jeune vendeuse à le retirer et se laissa caresser tout en continuant de l’embrasser, mais elle tressaillit lorsque la main de Laure vint se poser contre son string blanc.
L’autre main de Laure suivit la colonne vertébrale de la vendeuse et vint s’emparer de la ficelle qui protégeait les fesses de Ambre.
Avec une vigueur suggérant toute son excitation, Laure tira sur les deux côtés du string et Ambre dut lâcher les lèvres de son amante pour pousser un cri de surprise mêlé de plaisir. Laure continua à tirer et se délecta des gémissements de plaisir de la vendeuse. Laure connaissait le plaisir que de telles caresses pouvaient provoquer chez une femme, souvent elle avait joué avec ses culottes lorsqu’elle se sentait trop seule et avait appris à se donner du plaisir en faisant glisser le bout de tissu entre ses lèvres intimes.
Puis, elle relâcha sa prise et glissa sa main dans le string, flattant le sexe devenu poisseux de la vendeuse.

- Eh bien, ça te plaît, on dirait ? Dit Laure.
- Petite chienne, tu veux que je te dise comme tu mouillais tout à l’heure, répliqua Ambre.
Elles s’embrassèrent à nouveau et Laure aida Ambre à ouvrir son chemisier, puis à ôter son soutien-gorge, les petits seins de la vendeuse excitaient Laure, qui se mit à embrasser ses seins. Ambre la laissa faire et lorsque Laure enfonça un doigt dans l’intimité de Ambre, celle-ci gémit.
- Oh, que c’est bon, continue !
Laure n’avait pas besoin d’une telle supplique pour continuer, mais elle accentua sa masturbation. Le bassin de Ambre bougeait sous ses caresses saphiques, mais Ambre cherchait avant tout les lèvres de son amante. Puis, Laure fit glisser ses mains jusqu’aux côtés du string de Ambre, dernier élément de tissu qui les séparait, et la vendeuse fit en sorte de s’en extraire, avant de se placer face à son amante.
Elles emmêlèrent leurs jambes de sorte que leurs sexes se touchent et laissèrent leurs bassins répondrent à l’appel de la chair. Leurs cuisses s’activèrent, leurs intimités communièrent et, la main sur le sein de l’autre, elles furent assaillies de plaisir jusqu’à ce qu’elles jouissent ensemble en un chœur de cris sensuels.

Ambre hoqueta en jouissant, avant de se retirer de l’entrejambe de Laure, puis vint glisser contre elle. Elle lui déposa un baiser sur les lèvres en disant :
- Il me faut rouvrir la boutique !
Dur réalité de la vie qui venait à cet instant reprendre le dessus, Ambre se rhabilla très vite et quand Laure revint habillée dans la boutique Ambre l’attendait et lui dit :
- Voici mes coordonnées, viens après-demain soir chez moi, la robe sera prête, je l’aurais avec moi et si tu le désires, nous pourrons passer la soirée ensemble.
En prenant le bout de papier Laure dit :
- Je viendrais !
En se quittant, elles échangèrent un nouveau baiser plein de promesses…

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!