Il, Elle, Eux
LUI :
Avoir une paire de couilles. Découverte au moment de mon conseil de révision : tous en avaient. Plus tard à incorporation, pareil tous nus. Je pouvais regarder les autres aussi à poils que moi. Et ainsi de suite presque jusquà la fin de mon temps. Jétais logé dans une pièce à larrière de mon bureau. Le planton venait me réveiller bien après le réveil officiel. Vers la dernière quinzaine de mon temps, un copain venait passer de longs moments avec moi. Si au début nous ne parlions que de la quille, nous nous intéressions maintenant aux magazines coquins. Je bandais, comme lui à la lecture des histoires salées. Mais à force il me tardait quil parte pour me masturber. Comme il restait, que comme moi il bandait visiblement un jour jenlevais ce que je portais. Je me présentais donc nu en bandant. Il faisait comme moi. Nous étions deux spécimens de militaires excités. Je ne lui voulais rien : jai pris ma bite dans la main, jai commencé à me masturber. Je navais absolument pas honte puisque quelques jours avant je bandais devant lui aussi en prenant notre douche.
Il sortait lui aussi sa queue : un beau et gros morceau. Il sest mis à me parler :
- Je vais me branler, ça ne te dérange pas ?
- Non, vas-y.
Je voyais sa main sur son manche. Il sastiquait de belle façon. Je le laissais faire et javais moi envie connaitre la même jouissance que lui. Sa main allait vite, très vite : son sperme est parti très haut avant de retomber sur sa poitrine.
Cétait trop pour moi. Je prenais à mon tour la queue. Je la caressais très doucement, je faisais descendre le prépuce bien en bas en me caressant également les couilles. Je remontais ma main vers le gland. Je prenais de la salive pour enduire le bout. Avec le pouce et un autre doigt je caressais le gland, faisant ainsi durer et augmenter le plaisir.
Et lui me regardait. Il me semble que si je lui avais proposé de le branler ou mieux daller vers son anus, il aurait accepté.
Je continué un instant ma branlette quand je me suis décidé ;
- Tu veux que je te la mette au cul ?
- Oui, si tu me branle aussi.
- Non, tu te branle.
- OK
Il est venu sur mon lit, je lui ai laissé un peu de place. Je sentais ses jambes poilues contre les miennes. Javais ses fesses presque sur ma queue. Je trouvais agréable sa raie, alors jy ai mis ma queue.
Il sest encore approché de moi, il ouvrait ses fesses, il se tenait la queue. Et moi, jen ai profité ; Jai un peu force pour le mettre en levrette. Mais javais gagné un cul neuf je crois.
Jétais contre lui, mon bas ventre sur ses fesses chaudes. Ma queue allait facilement vers son cul. Jétais sur lui. Je sentais son anus souvrir doucement puis totalement quand je suis entré. Il était doux et chaud. Ma bite se sentait bien en lui. Je cherchais sa queue quil avait dans sa main. Je la lui ai prise, il me la donnée. Jentrais dans son cul, je le branlais. Nos mouvements étaient synchrones. Jétais au fond de son cul quand jai senti ses muscles avoir de drôles de mouvements. Je nai compris que plus tard quil venant de jouir. Son jet de semence partait vers le lit et le mien dans son cul
..
Nous avons souvent recommencé en nous cachant. La dernière fois il a voulu menculer à son tour. Jai accepté. Je nai pas pris de plaisir à cette chose naturelle chez lui. Jai du finir par lenculer une dernière fois. Je jouissais en lui.
Nous ne nous sommes jamais revu. Sil me lit quil pense que je regrette toujours son petit cul.
ELLE
Pendant quil faisait limbécile, je terminais mes études en pension. Ma meilleure amie était sur la couchette juste à côté de moi. Je lentendais souvent gémir, quand je lui posais la question de savoir pourquoi, elle me disait quelle se masturbait avec sa culotte quelle entrait à fond dans sa chatte. Elle me donnait lexemple un soir que nous étions seules. Elle se caressait un moment le petit bout de chair entre ses jambes avant de mette sa culotte en entier : elle la faisait bouger avec ses deux mains crispées.
Elle mentraînait à en faire autant. Nous nous masturbions en chur. Cétait merveilleux, pas autant que par la suite quand elle est venue me caresser. Je serais restée des heures entières à me laisser masturber. Il fallait bien que je lui rende le plaisir.
Cest pourquoi, presque tous les soirs nous nous masturbions lune lautre. Un jour je lui ai demandé de la lécher, ce quelle nosait pas me demander. Notre fin de scolarité cest passée en 69 sacrément relevés.
A peine quelques jours après le début des vacances, je lai rencontré, lui, celui avec qui je me suis marié. Il voulait me baiser et je voulais rester vierge jusquau mariage. Je ne voulais pas le priver de certains plaisirs. Après quil ma appris à le masturber je lui ai montré comment je me faisais jouir. Nous nous sommes branlés souvent à deux. Un jour il ma demandé de lui donner mon cul. Comme il avait pris lhabitude denculer un autre, je me suis laissé faire. Jai pris gout aussitôt à la sodomie
EUX
Il ne ma baissé que le jour des noces. Je recevais sa grosse queue ailleurs que dans le cul. Cétait aussi bon, sinon meilleur.
Des fois je sais quil lui manque un cul dhomme, je lui demande daller voir un copain à lui et moi je fais venir une copine avec qui nous aimons passer du temps à nous lécher les cons et doigter les culs.
Il est question de faire venir de nouveaux amis. Jai vu sa braguette : elle est bien garnie, je vais en prendre plein les fesses.
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