Les Filles De La Crèche - Part 2 (Fin)
Le soir suivant, je me rend à nouveau à la crèche, fébrile, excité et anxieux à la fois.
Il n'est pas dans mes habitudes de faire ce genre de chose, me faire sucer de cette façon, si soudaine, si gratuite, alors que je suis déjà en couple, je ne pensais pas pouvoir le faire, et pourtant..
J'ai passé ma nuit et ma journée à repenser à ces grands yeux vert, cette chevelure blonde, et cette bouche et langue habiles.
Ce qui me reste surtout en tête c'est cette gorge profonde au moment ou je venais, je crois que jamais je ne pourrais oublier cette sensation de mon gland butant au fond de cette gorge pendant que je me déversais dans cette bouche..
Ma copine est plutôt classique, elle n'avale pas, à une nette préférence pour le missionnaire, n'aime pas la sodomie, bref pour moi qui aime le sexe "débridé" un plutôt mauvais choix, mais bon, c'est comme ça, la vie est ainsi faite.
Ce vendredi donc, je m'en vais chercher mon . Céline n'est pas la ce soir, le vendredi elle est du matin. C'est un peu déçu que je constate cela, je bandais presque déjà à l'idée de lui donner autant de plaisir qu'elle m'en avait procuré.
Tandis que je prépare les affaires de Marie, une voix me fait :
-Bonjour
Je me retourne, c'est Mélissa. Très jolie brune, des yeux noisettes, un visage fin, des lèvres qui semblent douces.
-Euh salut, je rétorque, ça va ?
Je pose cette question, mais je sais qu'elle sait ce qui s'est passé hier soir, tout sourire elle enchaîne
-Alors, passé une bonne soirée hier soir ?
-Euh oui plutôt, d'ailleurs..
-Un excellent début de soirée en tout cas à ce que j'ai pu comprendre, dit-elle avec un petit sourire narquois ou coquin je ne serais le dire.
-Ah..euh comment dire, c'est à dire ?
-J'ai parlé avec Céline hier tu t'en doutes bien !
-HA ça..euh oui...et..euh.. ?
-Elle m'a tout raconté en détails, tous les détails !
Je sens que je suis pourpre et très gêné, comment réagir face à une jolie fille qui sait que je me suis fait sucé par un de ces copines hier soir
-.
-Elle m'a aussi dit que tu devais lui rendre la pareille..
-L'appareil génital oui, ose-je en un trait d'humour, qui visiblement ne passe pas
-Hin ? ha wé, fait-elle en levant les yeux au plafond, mais, reprend-elle, elle n'est pas là ce soir, et je me suis arrangé avec elle pour que ce soit moi qui soit la bénéficiaire de tes ...attentions.
Gros blanc, je suis dans l'incapacité de répondre, de réagir, ou même de réfléchir posément.
-Ha...euh..euh..ha..enfin..euh​.., je balbutie.
-Viens, me dit Melissa !
Quelques instants plus tard, je me retrouve dans cette même pièce que la veille. Immédiatement des souvenirs remontent en moi.
Un tour de clé est donné, et nous voilà seuls et isolés.
Nous sommes face à face, elle me regarde avec ces yeux noisettes, je regarde son corps que je devine sous ses vêtements. Elle semble plus mince que Céline, et définitivement plus fine que ma copine.
Je balbutie un truc du genre
-euh tu veux faire quoi ?
-d'après toi ?
Un petit sourire, et la voila qui vire ses chaussures, déboutonne son pantalon et se retrouve en culotte devant moi..et quelle culotte ! Un petit morceau de tissu noir et bordeaux, tout en dentelles qui laisse entrcevoir son entre-jambe.
Je m'approche, elle se raidit un peu, je me colle contre elle et je lui caresse les fesses, doucement.
Je fais le tour de ses hanches, elle ferme alors les yeux et s'abandonne au plaisir que je lui procure avec mes doigts.
Je me dis: quelle coquine celle-là, quelques caresses sur sa peau et elle est déjà partie.
Son souffle se fait plus intense tandis que je m'approche de sa chatte. J'effleure le tissu, j'appuie mes caresses, et je sens sa culotte qui s'humidifie sous mes doigts.
Je passe un doigt sous le tissu, et lui frôle le clitoris, elle vibre, sa chatte devient de plus en plus humide.
Elle se tend, et vibre plus fort, elle murmure à mon oreille :
- continu !
Je mexécute en bon chevalier servant. Mon doigt commence à s'activer en elle, d'abord en un mouvement de haut en bas, puis en un mouvement circulaire, puis je combine les deux actions.
J'écarte un peu sa culotte, mais je suis très vite bloqué et je ne peux pas rentrer plus de doigts.
Je la soulève, elle est sacrément légère, je la pose sur le plan de travail de la réserve, je lui retire sa culotte d'un geste ample et maîtrisé, et j'introduis d'un coup deux doigts en elle.
Elle gémit, jentends quelques gouttes de mouille faire des plics-plocs en tombant sur le sol.. C'est affreusement excitant.
Tout en continuant de faire bouger mes doigts en elle, je lui embrasse le cou, tendrement, sans me presser. Ma bouche frôle ses lèvres, je fais quelques bisous sur sa bouche, je sens que sa petite langue cherche la mienne, je léchouille vite fait sa langue, mais je ne souhaite pas lui donner cette satisfaction, ma bouche descend, alternant petits bisous et petites léchouilles.
J'embrasse ses seins au travers du t-shirt, ils ont l'air ferme et doux, les tétons pointent, je les mordille.
Je continue ma descente infernale, ses soupirs me guident, je remonte un peu le haut pour embrasser son ventre, il est fin, doux, sans vergetures, magnifique en somme.
Toujours je descend et maintenant ma bouche se trouve à la hauteur de son clitoris.. sa petite chatte est toute épilée, une vraie beauté, une fille pleine de surprises..
Je lèche avec passion la peau au dessus du clitoris, passe sur les cotés, longe les lèvres extérieures, et je remonte de l'autre coté. Ma barbe de 3 jours, râpe doucement lintérieur de ses cuisses, je continu à remonter, et enfin j'embrasse son petit bouton. Son corps est pris de tremblements tandis que ma langue s'active sur ce petit endroit si sensible.
Ses gémissements deviennent plus intenses, pas trop forts, mais plus "puissants", elle accompagne de son bassin les mouvements de ma tête. Sa main tient ma tête entre ses jambes
De lextérieur cette scène doit être d'un érotisme terrible, une jolie brune, ne portant qu'un t-shirt blanc au travers duquel on devine ses tétons, assise, à moitié couchée sur un plan de travail, les jambes écartées et posées sur les épaules d'un mec qui lui lèche avec passion son minou..
J'ai toujours deux doigts en elle, ma bouche, lèvres, langue s'activent sur son clitoris, son corps ondule, j'imagine que son plaisir doit être ressenti comme des vagues.. tout en ayant ma langue enfoncée dans son vagin, je ne peux mempêcher d'être vaguement jaloux.
Bien évidemment je bande comme un goret, voir cette chatte trempée, ouverte devant moi ne me donne que l'envie de la pénétrer et de jouir avec elle, mais ce n'est pas le "contrat", il s'agit de son plaisir à elle, pas du mien, je dois quand même faire de gros efforts pour ne pas flancher.
Ma main délaisse sa chatte et c'est les doigts pleins de mouille que je remonte sous son t-shirt pour lui caresser les seins..malheureusement, ces derniers prisonniers dans le soutien-gorge ne se laissent pas attr..
Je galère quelques secondes en essayant, elle rigole entre deux soupirs, se moquant un peu de moi et de mon incapacité typiquement masculine à gérer un soutif fermé sous un t-shirt.
Très légèrement vexé c'est 3 doigts qui se faufilent dans son vagin..un sursaut de sa part, elle ne s'y attendait pas..ma main tourne de 90° puis revient dans sa position initiale.. sa mouille commence à couler sur ma paume, ses gémissements deviennent des petits cris..je me retire d'elle, et couvre sa bouche avec mes doigts pleins de mouille.
Je sens sa langue lécher mes doigts, elle semble se délecter du produit de son corps.
-viens!
-maintenant ? ici ?
-viens, s'il te plait !
-ou ça ?
-ou tu veux, mais viens !
-sure ?
-oui viens
Je me redresse, la position dans laquelle elle est est juste géniale, mon pantalon ne tarde pas à tomber, ma bite fièrement dressée se présente devant l'entrée de sa chatte. Je la regarde, ses yeux pétillent et semblent m'implorer, je m'enfonce de quelques centimètres, sans aucun problème..
Son corps se tend, accentuant la pénétration, et voilà mon gland en elle.. Je me rend compte que j'ai oublié de me protéger, et au même instant elle fait je ne sais quoi avec son bassin, et me voilà enfoncé au plus profond d'elle, jusqu'à la garde..
Elle hoquette, lâche un long soupir de plaisir, je veux me retirer, je ne veux pas le faire sans capote, mais c'est déjà trop tard.
-arrête, je lui dis, arrête, je n'ai pas de..
Pas le temps de fini ma phrase, ses mains enserrent mes fesses, mempêchant de me retirer, et son bassin se met à onduler... elle me baise, se sert de ma bite comme d'un vibromasseur..
Les sensations sont indescriptibles, je sais que je ne veux pas, mais je ne peux pas marrêter, je comprend alors que je ne pourrais pas résister, et j'arrête de me battre.. son bassin accélère, nos bas-ventre se "cognent", le mouvement de va et vient devient bruyant tandis que sa mouille recouvre ma bite..floc floc floc...sa bouche gémit, floc floc floc... ses yeux sentrouvrent..floc floc floc..je l'embrasse..
J'essaye de contrôler la pénétration, de ralentir le mouvement, mais elle m'en empêche, je suis là pour son plaisir, floc floc floc floc, de plus en plus vite, les mouvements se font amples..
Je sens que ça vient, il ne me reste que quelques secondes de répit
-attend, lui dis-je, je vais..
Elle accélère, jamais encore on ne m'avait baisé, pas de cette manière en tout cas, quand elle sent mon corps se tendre, elle serre son vagin..évidemment, je ne peux plus résister et dans un rale guttural elle joui et moi aussi..
J'éjacule en elle, encore et encore..mon orgasme qui d'habitude ne dure que quelques secondes, se prolonge, pour un temps que je suis incapable de définir..
Je me retire, ma bite est recouverte de sperme et de mouille, de sa chatte je peux voir une petite rigole de sperme s'échapper, et je ne peux mempêcher de trouver ça magnifique.
Elle se rassoit, et d'un petit coup de hanche, retrouve le plancher des vaches.. dans cette position bien évidemment, la petite rigole de sperme devient vite un mini ruisseau qui s'écoule sur le sol..
Elle s'agenouille devant moi et entreprend de nettoyer ma bite avec sa magnifique bouche..elle ne continue pas très longtemps, juste après avoir joui, mon sexe est tellement sensible que ca en devient douloureux.
Elle se relève, m'embrasse, je sens sa mouille mêlé de sperme sur mes lèvres..
Elle me susurre un merci, je me rhabille, elle aussi... mes yeux ne peuvent pas se détacher de son corps si magnifiquement parfait.
Un petit coup de lavette plus tard, il n'y a plus aucune trace de nos ébats, ni sur le sol, ni sur le plan de travail, ni sur mes lèvres...
Elle me dit de sortir, je le fais... cette fois, personne ne nous voit, en passant devant moi, elle me met une petite claque sur les fesses, et m'accompagne chercher Marie.
Je pousse la porte, ma fille me raconte dans son langage à elle sa journée, et nous partons.
Nous n'évoquerons plus ce qu'il s'est passé avec les filles, simplement des sourires complices et des clins dils. Quelques mois plus tard, je déménage, et j'emmène avec moi ces magnifiques souvenirs.
Je recroiserais Mélissa presque 1 an plus tard, par hasard, dans la rue, juste à coté de la maison de mes beaux-parents. Je suis avec ma copine et ma fille, elle est avec son mec et son bébé de quelques mois en landau
Nous nous sourions, et durant les quelques secondes que durent notre bise je sais qu'elle n'a pas oublié notre aventure et une étrange pensée alors m'envahit, que peut-être elle l'a portée pendant 9 mois.
Après tout, 30% des s qui naissent dans le monde, ne sont pas du compagnon de la mère, 30% ...
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