La Faute De Fanny
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Avertissement : Comme souvent, cette histoire est très largement vraie. La vidéo existe, je lai vue, mais je ne suis pas certain quelle soit en ligne. Les prénoms ont été changés, mais pour infos, je suis Jean ! Régalez vous
Fanny fut surprise de trouver la maison vide, à son retour du travail. Bruno aurait du être rentré avant elle. Sur la table du salon, une enveloppe marron attira son attention. Dessus, son prénom, écrit de la main de Bruno. Elle constata que lenveloppe nétait pas fermée et elle en sorti le contenu. Immédiatement, elle blêmit
Trois photos. Et quelles photos !!! Elle était nue, la première, à genoux, elle suçait une belle bite. La deuxième, en levrette, elle recevait les rudes assauts de la même queue. La troisième, agenouillée sur le canapé où elle venait de sassoir en sortant les clichés, elle écartait les fesses pour que le mandrin lui éclate le cul
Lhomme, nétait pas Bruno. Elle le savait bien ! Cétait son supérieur professionnel. Jean, un salopard qui lobligeait à baiser pour garder son job ! Enfin, il lobligeait au début. Puis, elle avait prit goût à ses coups de bites puissants
Comment Bruno avait il pu avoir ces photos, assez bonnes, dont elle ignorait la provenance. Merde ! Il y avait une feuille et un message : Comme tu vois, je suis au courant de tes infidélités ! Je ne peux pas, tu le comprends bien, ne pas réagir. Donc, tu vas, sans tarder, aller prendre une douche. Tu en profiteras pour raser (épiler serait mieux) ta chatte et bien nettoyer ton cul. Ensuite, tu sortiras nue de la salle de bain et tu mattendras (pas bien longtemps) sur le canapé. Si tu ne mas pas obéit, je ferrais ma valise et te quitterais immédiatement. Si tu exécutes mes ordres, sache que tu accepteras, implicitement, la suite, qui te feras expier ta faute ! Aucun moyen de reculer ne te sera offert
Bon, ben, il fallait se décider rapidement.
Elle se sécha et changea son tampon périodique. Elle était en fin de menstruations et elle savait que Bruno naimait cette période où il ne pouvait pas la baiser ! Puis, elle alla sassoir sur le canapé. Elle stressait grave. Il sécoula une petite dizaine de minutes avant que Bruno ne franchisse la porte. Il la regarda longuement, sans quelle nose bouger.
« Bien, je vois que tu acceptes dêtre punie et de payer ta faute. Cest bien, je lespérais sincèrement
Une dernière fois, je me permets de te demander si tu es tout à fait décidée à payer ta faute au prix que je lestime. Une fois que jaurais commencé, il ne sera plus possible de faire marche arrière et ce, même si tu penses que cest trop cher. Alors, tu acceptes ? »
Fanny nhésita pas plus de 10 secondes. Elle donna son accord complet. Bruno sorti du grand sac quil tenait à la main, deux paires de menottes. Il la fit se lever et lemmena près de lescalier. Il lui attacha les poignets à deux des barreaux de la rampe, bien au dessus de sa tête.
« Cest douloureux, hein, ma salope ? Mais ce nest que le début
Quand jen aurais fini avec toi, tu comprendras que ton avenir est celui dune chienne soumise et bien dressée
»
Il mit de petits poids au bout des pinces, ce qui étira les tétons et déclencha un petit cri qui fut réprimé par une nouvelle gifle.
« Ce nest pas la peine de crier, je sais que tu as mal
Mais cela ne me fait ni chaud ni froid ! Saches que, maintenant, je vais moccuper de ta chatte, plus précisément des lèvres, petites et grandes, si délicates
Tu vas avoir bien plus mal et tu vas fermer ta gueule ! Parce que si tu cries, je vais être encore plus méchant
Alors, retiens toi et pleures autant que tu le veux !!! »
Pour pleurer, ça elle pleurait
Elle comprenait toute la perversité de Bruno, lorsquil lavait incitée à payer sa dette. Bien sûr, il lavait mise en garde, mais elle naurait pas imaginé quil puisse aller si loin. Une fessée, tout au plus ! Déjà, il sagenouillait devant elle et il commença à poser des pinces à linge sur les lèvres de sa chatte. 5 sur chacune, la douleur était incroyable. Mais, en plus, il tirait sur les pinces. Elle se mordait les lèvres au sang, pour ne pas crier. Ses larmes lui inondaient le visage, faisant couler son maquillage. Il la laissa, ainsi, pendant de longues minutes. Il avait quitté la pièce. Fanny était à la limite de lévanouissement. Mais, le pire était que la douleur générait une excitation inconnue delle.
« Nous allons avoir une visite. Je vais lattendre pour continuer pendant quil filmera
»
Merde, il avait invité un autre homme ! Là, il allait très loin et elle pensa quelle ne survivrait pas à cet enfer
On sonna et il alla ouvrir. Fanny pâlit en voyant entrer son ex mari, accompagner par sa nouvelle femme. Ils étaient souriant et très à laise. Elle, cette salope, portait une jolie robe blanche, très courte, comme toujours, avec un décolleté mettant en valeur ses seins superbes. Julie avait à peine 30 ans. Belle, elle létait sans conteste
Un corps parfait et chèrement entretenu par du sport et des soins en tous genres.
« Vous pouvez vous mettre à laise. Comme convenu, Yves, tu vas filmer la séance. Toi, Julie, tu peux faire ce que tu veux et me donner des idées sil ten vient ! »
Julie esquissa un sourire et elle ôta sa robe. Son corps bronzé était nu. La pute ne portait aucun dessous. Elle saccroupie devant Fanny et tira sur les pinces. Puis, elle proposa, vu que cette garce avait ses règles, de lui fermer le con avec les pinces. Elle les retira sèchement provoquant une telle douleur que Fanny émit un grincement horrible. Ensuite, elle sappliqua à en remettre cinq, en enserrant les lèvres jointes.
« Comme ça, sa chatte est bien fermée à ta pute ! »
Contente delle, elle se releva et alla vers Yves, qui filmait. Elle sagenouilla et lui sorti sa queue. Ce salaud bandait ! Elle entama une pipe. Bruno se déshabilla. Il regardait le couple avec envie. Dun geste, Julie linvita à venir se faire sucer. Il ne se fit pas prier
fanny souffrait doublement. Son corps était au supplice, elle était humiliée par la présence de son ex et de sa poule et en plus, cette salope suçait Bruno !!! Bientôt, elle cessa de sucer et dit :
« Tu ne crois pas quil est temps de jouer avec ta chienne ? »
« Julie a raison, Bruno, tu devrais continuer à punir cette salope ! »
« Dis moi, tu lencules cette truie ? »
« Non, elle dit que cest trop douloureux ! »
« Nimporte quoi ! Tu as bien vu sur les photos que le vieux lui démontait le fion
Yves y arrivait de temps à autre ! »
« Cest vrai ça, elle me refuse ce quelle donne à son chef ! Faut quelle y passe
»
Fanny nen était plus à ça près ! Jean lavait obligée à se laisser enculer.
« Faut lui attendrir le cul
Laisse-moi faire, je vais le lui rougir ! »
Julie vint derrière elle et immédiatement, elle sentit un violent coup lui claquer les fesses. Elle utilisait une tapette à mouches. La douleur irradia le corps de Fanny. 9 autre coups suivirent. Fanny la suppliait darrêter et cette salope rigolait. Enfin, les coups cessèrent. Julie fit remarquer aux hommes quil était rare de voir un cul aussi rouge. Puis elle écarta les fesses de Fanny et fit glisser son index dans létroit passage. Elle fit quelques aller retour, avant de joindre son majeur dans lanus de Fanny.
« Vous voyez, elle prend deux doigts facilement ! Je suis sûre que je peux en mettre trois ! »
Après quelques mouvements rotatifs, Julie ajouta un doigt provoquant une tension du corps martyrisé de Fanny.
« Bruno, tu vas pouvoir y mettre ton chibre ! Elle est bien élargie ta traînée. Son vieux la assouplie !!! »
« Je ne vais pas me gêner. Dorénavant, je vais lui défoncer la rondelle plusieurs fois par jours
»
Les doigts se retirèrent et la queue de Bruno senfonça profondément en elle. Il la bourra comme un dingue, mais elle ne sen plaignit pas. Finalement, cétait très bon
En cinq minutes, il la fit jouir. Julie lui demanda de cesser et elle fit une proposition :
« Jai envie de me la faire cette salope. Je vais enfiler mon god ceinture et le lui mettre dans le cul. Toi, mon chéri, tu vas menculer et Bruno, tu vas la mettre à Yves. Il aime ça, mon mec !!! »
Elle prit un très gros god, dans son sac. Il était aussi imposant que la bite de Jean. Elle le fixa à ses hanches et senfonça dans le cul de Fanny, qui poussa un grognement. Yves se plaça derrière elle et la sodomisa à cru. Bruno, nhésita pas un instant, pour venir senfouir dans le fion dYves, qui ne broncha pas. Fanny ignorait que son ex était bi. Sûrement était ce cette roulure de Julie qui lavait perverti ! Les mouvements mirent un peu de temps à se coordonner. Mais, Fanny eut des sensations exceptionnelles car Julie fut assez douce pour que la douleur sestompe vite. Ce fut Bruno qui jouit le premier, suivi de peu par Yves puis Fanny. Julie restait sur sa faim et elle en fit le reproche aux hommes.
« Puisque cest comme ça, notre chienne va devoir me donner mon du ! Détache là, je veux quelle me broute et me fasse jouir !!! »
Bruno sexécuta. Fanny fut saisie par les cheveux et amenée près du fauteuil où Julie venait de sassoir, les jambes écartées, les genoux posés sur les accoudoirs. Elle reçu lordre de se mettre à quatre pattes et de bouffer le con de Julie. Jamais elle navait fait ça ! De toute façon, elle navait pas le choix. Elle se mit à louvrage, maladroite. Julie la gifla en lui disant quelle devait mieux faire si elle ne voulait pas recevoir une correction. Peu à peu, Fanny trouva les gestes. Julie avait une odeur et un goût agréable. Soudain, Fanny senti des mains écarter ses fesses, puis une bite forcer son cul. Cétait Yves et il semblait déchaîné
Julie eut un orgasme, mais Fanny reçut lordre de continuer. Le visage barbouillé de la mouille de Julie elle senti le foutre de son ex lui souiller le fond du cul. Immédiatement, Bruno vint lenculer. Elle jouit et ses deux « partenaires » la suivirent
Une heure plus tard, douchée et débarrassée des ses pinces, Fanny était allongée sur le canapé. Yves et Julie étaient partis et Bruno vint le rejoindre, nu et fraîchement douché.
« Voilà, tu as été punie et je suis fier de constater que tu as été héroïque. A partir de ce jour, tu deviens ma soumise totale et nous pratiquerons ces « exercices » assez souvent. Le film va être mit en ligne par Yves. Julie devient, officiellement, ta garde chiourme. Jai vu ce con de Jean. Il va te licencier, avec une jolie indemnité. Plus jamais il ne te baisera. Quand je serais au boulot, Julie restera avec toi et elle aura toute autorité sur toi
Fais lui confiance pour en user. Yves ne te baisera que très rarement, tout comme moi, je ne tirerais Julie quoccasionnellement. Par contre, comme tu peux compter sur moi pour te faire baiser et enculer par des tas de grosses bites ! Puisque tu es une salope, tu vas avoir la dose
»
Ainsi, pour avoir fauté, Fanny fut punie et devint un sac à foutre heureux !!!
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