Sexe Et Histoire
Vers 1300 ans après le christ ma naissance fut fêtée à Montréal (actuellement Montréal dAude daprès mon traducteur) Je naissais de Peyre (Pierre) de Montréal et Fabrissa de Mazerolles. Près de ma mère se tenait Le Bonhomme qui veillait en cas de décès pour donner le consolamentum (Qui remplace chez les catholiques et le baptême et des derniers sacrements). Dès mon enfance ont ma appris à saluer le plus bas possible les saints hommes.
Dieu existe bien, le Démon, celui qui a créé la terre et ce qui est vivant règne en maître. Ainsi le mariage religieux dexcite pas. Si les couples se forment, cest sans bénédiction. Il ne métait pas interdit de me faire du bien, chose que jai connue très tôt daprès ma nourrice. Jaimais me masturber sans crainte de me faire gronder. Vers 16 ans je me suis amusée une fois avec la fille dun métayer. Elle me montrait comment elle se branlait, je lui montrais comment je faisais.
Elle se faisait du bien en caressant et le petit bouton et en mettant deux doigts dans le cul. Jétais tenté den faire autant. Devant elle jessayais. Je sentais un plaisir différent quavec le petit bouton. Je crois quon dit le clitoris. Je démon nous poussait, nous avons décidé de nous caresser à deux souvent. Vers la fin, un mois avant mon union prévue nous nous sucions le vagin. Nous avions enfin des orgasmes rêvés et jamais accomplis.
Le jour de lunion je rencontrais pour la première fois Gaudia qui devait devenir le père de notre . Pour moi, également jentrais dans ce monde inconnu du sexe masculin.
Le premier soir, nous allions dans le même lit. Nous nous mettions nus comme tout le monde pour dormir, sauf que ce soir je me déshabillais tellement lentement quil commençait à gonfler de son sexe. Je savais quand même que les hommes bandent pour baiser leur compagne. Je ne pensais jamais quil bande autant, que sa queue soit si grosse. Elle allait me faire mal en entrant dans mon ventre.
Pour me rassurer, il ma faite coucher au bord du lit.
Gaudia avait mon âge et il en connaissait plus que moi. Je ne sais pas comment il a fait, je suis partie dans une grande jouissance. Ce devait être mon destin, javais tellement aimé que je me proposais pour lui en faire autant. Un peu étonné il ma faite coucher comme il faut sur le lit, est venu à mes coté pour membrasser se la bouche, nos langues avaient lair de se connaitre depuis toujours. Cétait meilleur quavec mon initiatrice. Il ma demandé de venir sur lui, à lenvers. Je connaissais déjà la position, pas le nom. Lui le savait.
- Fais-moi un 69. Suce moi la queue ;
- Suce moi aussi, jadore.
Il venait pourtant de me le faire. Je venais sur lui à ma façon, je posais ma chatte sur sa bouche, jusquau moment où javais devant moi cette grosse bite. Je me demandais comment faire pour la prendre en entier dans la bouche. Je commençais par lécher à peine le bout. Je sentais une petite goutte de je ne sais quoi qui perlait. Avide de connaissance je la goutais. Cétait un peu salé, agréable enfin. Mes lèvres avaient beau sécarter, je narrivais pas à la mettre dans la bouche.
Linstinct féminin, sans doute me portait à le branler. Ma main le prenait en entier. Je faisais coulisser sa peau vers le bas, vers ses couilles. Je devais bien faire puisquil fermait les yeux. Je ne connaissais pas encore la fin quand dun seul coup il a fait partir quelques jets dun liquide blanc comme du lait. Javais gouté sa gouttelette, je voulais gouter son jus. Ma langue cherchait sur tout son corps toute sa sécrétion. Là le gout était un peu plus fort. Je men, régalais.
Jétais déçue de voir cette belle grosse que se dégonfler.
Jai senti mes chairs sécarter doucement. Cétait bon, sauf quand il a senti une résistance. Il a pour entrer cette masse énorme. Jai eu mal, je pensais que si tout lamour se faisait ainsi je nétais pas au bout de mes peines. Je la sentais aller plus loin. Il sest arrêté là avant de faire des aller et venues. Je sentais enfin que cétait très bon, tellement bon que jai jouis avec lui autour.
Quand il est sorti javais encore envie. Il ma retourné pour que mes fesses soient bien visibles. Il a donné un léger baiser sur chacune, puis une petite fessée. Jen mouillais encore plus.
- Je vais te la mettre au cul.
- Tu es trop gros pour ça.
- Ma bite ta baisé, elle va tenculer. Prends de ta mouille, mets la sur ton cul.
Je ne pouvais rien dire puisquil était mon « mari », quil avait tous les droits. Jacceptais quil me la mette à condition de changer de position. Je me mettais à quatre pattes, comme une chienne que je sens devenir.
Quand il est venu sur mon cul, je lavais trop serré. En me détendant devant la chose inévitable, il entrait doucement. Tellement doucement quil me semblait ne pas être entré. Pourtant je sens monter un plaisir étranger à ma culture. Je sens monter une autre plaisir, différent et tellement bon. Je percevais bien sa grosseur quand je jouissais. Mon cul entourait sa queue. Cétait tellement bon.
Sur le coup du plaisir je lui demandais de me faire une selle de cheval particulière doù sortirai une bite en cuir que je pourrais me mettre soit dans le con soit dans le cul quand nous sortirions à cheval pour aller visiter sa famille à Bram à deux lieux de Montréal.
Il était très satisfait de nos baises de mes orgasmes quil arrivait à faire fabriquer ce que je demandais.
Les mouvements du trot de la bête suffisamment pour les aller et venues. Cest lui qui na pas résisté en me donnant sa semence. Je crois que cest là quil ma mise enceinte. Je ne savais pas, jai jouis juste après lui.
Je suis venue sur ma monture, une douce jument marron. Au début, je montais normalement, devant mon pubis battait la fausse queue. Jai eu envie delle dans mon con. Je mavance un peu pour être à portée. Je ne bouge plus, je laisse faire les mouvements simples de la jument. Je suis heureusement bloquée par les étriers, sinon je serais tombée je ne sais combien de fois.
Revenus au château, nous attendent des gens peu recommandable. Des disciples dun nommé Dominique de Guzman. Ils chassent la fausse religion, la notre, daprès eux et le Pape. Je me retrouve dans ce quils appellent le mur de Carcassona. (Je crois quon dit de vos jours Carcassonne., alors que nous prononçons Carcasouno) cest dur ce mur. Nous sommes entassées les une sur les autres. Il nous faut répondre de notre « hérésie ». Chez nous la liberté est une des meilleures choses que nous donne notre bon conte Raymond V de Tolosa (qui se prononce maintenant Toulouse). Les croisés menés par un franciman ont pris Béziers, brulés les habitants, pris et brulé ceux de Minerve. Avant que Roger, viconte de Trencavel, possesseur de Carcasona et dAlbi ne soit obligé de se rendre sur une trahison de ses damnés francimans.
Jai eu la chance dêtre enceinte. Jai été condamné à être brulée avec surci. Je suis retourné chez moi à Montréal, déjà pris par un franciman de Normandie, je crois, obligé de partir sous la pression de mes ancien congénères.
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