Leslie Va08

Leslie VA08 – Vacances - Avec Laure, suite

Après avoir pris notre petit déjeuner, nous avons été nous balader avec Laure, comme avant, comme si nous nous étions retrouvées. Je sentais Laure heureuse et cela me remplissait de joie, une page de ma vie allait certainement bientôt se tourner, oublier ma déception et repartir comme avant…
A un moment j’ai demandé à Laure :
- Alors, on va nager un peu ?
- Pourquoi pas ! Dit Laure.
Juste le temps de rentrer à l’hôtel se changer et nous voilà sur la plage, une brève installation sur le sable et nous sommes partie nous ébattre dans l’eau.

Laure devait penser que nous commencerions par nous caresser et faire quelques préliminaires dans l’eau, mais je pensais à bien autre chose, alors nous avons profité de la joie d’un bon bain de mer en nous racontant des bêtises, avant de décider de sortir. Laure sortit la première et alla ramasser une serviette.
Lorsqu’elle se pencha, je posais une main délicatement sur ses cuisses, en lui disant :
- Ne bouge pas !
Laure frémit au contact de ma main sur ses fesses, qui parcourut le derrière des cuisses de Laure, puis remonta sur les fesses par l’entrejambe et jusqu’à atteindre le rebord du maillot.
Laure tressaillit lorsque mes lèvres vinrent embrasser sa colonne vertébrale et la suivre en remontant lentement. Puis je collais mon bassin contre les fesses de Laure et commençais à onduler, envoyant des vagues de désir à mon amante par ces frottements érotiques.
Laure ne pouvait ignorer l’état dans lequel je me trouvais à cet instant.

Mes baisers sur son échine se transformèrent en une caresse humide de ma langue sur sa peau, et Laure sentit ses jambes flancher progressivement et ses seins gonfler de désir.
Cela faisait si longtemps que je m’étais pas faite aussi imprévisible, que Laure s’évanouir ce plaisir tant attendu.
Je passais le lien du maillot et continuais jusqu’à sa nuque, où j’arrêtais ma caresse pour chuchoter à l’oreille de Laure mes pensées intimes et mes désirs.


La caresse de mes mots dans le creux de son oreille était accompagnée du contact chaud et mouillé de ma langue sur son lobe.
Laure sentait son corps s’embraser et toutes ses résistances s’envoler et, lorsqu’une de mes mains vint se glisser entre ses jambes, un doigt suivant la raie de ses fesses à travers le maillot, l’autre main massant son intimité à peine dissimulée par son maillot trempé, autant de l’intérieur que de l’extérieur, Laure tomba à quatre pattes sur le sable.
Ses doigts s’agrippèrent au sable pendant qu’elle rejetait la tête en arrière pour gémir.

Sur la plage où nous étions il y avait peu de monde, un couple faisait l’amour près des cannisses de la plage et nous étions protégées des regards indiscrets par ses dunes de sable.
Derrière Laure, je m’attaquais au lien du haut de son maillot de bain, et il tomba au sol sans un bruit, laissant Laure les seins nus.
Je prends dans mes mains les deux beaux seins de Laure, tout en collant à nouveau mon bassin contre les fesses de Laure afin qu’elle sente mon sexe maintenant en érection et prêt pour s’introduire en elle. Dans ce même temps je commence à caresser ses deux beaux seins durcis de désirs, jouant négligemment avec les bouts tendus.
Laure poussa de petits gémissements et ferma ses yeux, s’abandonnant complètement aux caresses tant attendues et qui lui manquaient, se laissant aller et guider par tous ses sens en éveil.
Elle percevait à merveille mes doigts venir pincer ses petits bouts de seins, jouer avec du bout des doigts, tourner autour en un cercle pervers, pour la faire soupirer de désirs.
L’oreille tendue, Laure entendait que mon souffle se raccourcissait, preuve que je commençais moi aussi à prendre un grand plaisir au contact de nos bassins excités.
Longtemps nous nous sommes frottées, en prenant du plaisir au contact de nos corps enflammés de désirs.

Puis Laure sentit ma main se glisser sous son maillot, à partir de ses fesses tendues et nerveuses.
Un de mes doigts vint suivre le dessin de ses fesses, et la paume de mon autre main recouverte de salive vint se poser sur son sexe vulnérable.
Laure se tendit sous ce contact, mais son sexe fut moins protecteur et fit couler son désir dans ma main douce.
Détaché rapidement, le bas de son maillot tomba le long de ses cuisses et bientôt, Laure se retrouva complètement nue, le corps entier à l’affût de mes caresses.
Je me relevais et fit le tour de mon amante en tirant sur les nœuds retenant le haut de mon bikini, qui tomba auprès du bras de Laure, puis je fis de même avec le bas qui rejoignit le haut sur le sable de la plage sans un bruit.

Nue, le sexe tendu, j’avançais jusqu’à mon amante. Laure regardait mon membre avec une lueur d’envie dans les yeux, mon sexe tendu donnait à mon corps androgyne une beauté que Laure ne cessait d’admirer, surtout que mon corps était bien souligné par les jeux d’ombre et de lumière des rayons du soleil.
Laure avait relevé la tête, en restant à quatre pattes, jusqu’à ce que je vienne déposer son sexe tendu aux bords des lèvres de Laure.
Elle n’eut rien à dire et sa bouche s’entrouvrit tandis que mon sexe vint s’immiscer dans sa bouche avec délicatesse.
Laure, sans un mot, se mit à me sucer faisant monter en moi des ondes de plaisir, remontant en moi comme des vagues dans mon bas ventre et dans mes seins délicieusement agacés de désir.
Je m’étais emparée de la nuque de mon amante de mes deux mains, la forçant à aller plus profondément en elle, à la sentir disponible d’accepter toutes mes envies.

Laure me tenait les mollets tendus et tremblants et elle me sentait défaillir progressivement sous ses caresses précises.
Laure me suçait comme une damnée, rattrapant tout le temps perdu, et elle faillit me faire céder et jouir au fond de sa gorge.
Alors je m’échappais de son étreinte pourtant si délicieuse et me plaçais derrière Laure, offerte et ouverte, prête à m’accueillir.

Laure me regarda et d’un ton presque suppliant me dit :
- Je te veux, j’ai envie de toi.
En disant cela, Laure de ses deux mains avait écarté les lobes de ses fesses, me montrant sa vulve humide et son œillet frémissant.
Tout naturellement, mon sexe se glissa dans la vulve de Laure qui poussa un grand cri de bonheur. Puis en tenant Laure par les hanches je lui fis l’amour et ses seins se mirent à balloter au rythme de mes pénétrations.

De petits râles s’échappaient de la bouche de Laure, qui commença à jouir avant qu’un orgasme ne la terrasse, la faisant s’écrouler sur le sable chaud.
Laure, allongée sur le ventre, haletait encore, le corps recouvert de perles de sueur, quand dans un cri de plaisir je me répandis au fond de son ventre.
Puis m’allongeant près de Laure, nous sommes restées silencieuses côte à côte pendant quelques minutes.
Puis, tournant nos têtes pour nous regarder, Laure me dit :
- Tu m’as fait l’amour divinement, Leslie, tu m’es revenue, ce soir je t’offrirais mon corps, tout mon corps…
Je ne lui ai pas répondu, mais Laure était claire dans son propos, elle allait m’offrir son intimité secrète…

- Allez, allons-nous baigner ! Dit Laure.

A suivre…

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