J'Ai Joué Au Docteur ...

- Chérie, je dois prendre rendez vous chez Mireille, ta copine toubib, je dois avoir de l’exéma mal placé, ça me gêne, et ça me gêne aussi de devoir lui montrer mes fesses
- Ne soit pas gêné, je la connais, depuis le temps qu’elle me questionne en consultation, elle sera ravie de découvrir avec quoi tu me donne du plaisir, avec un mari pilote de ligne, toujours absent, elle ne doit pas souvent s’envoyer en l’air !

Lorsque je suis arrivé à son cabinet, malgré mes trente cinq ans, j’avais une trouille d’adolescent, montrer de but en blanc ma queue et mes couilles à cette belle brune et amie de ma femme n’est pas évident

- Bonjour Axel, je ne vous vois pas souvent, que vous arrive-t-il ?
- Hé bien … je dois faire de la tension
- Je vois ça, vous êtes tout rouge, mettez vous torse nu je vais vous ausculter, mais voyons d’abord la tension artérielle …hoooo vous êtes bien bâti ! allongez vous et tendez votre bras …dix sept- neuf ? effectivement, c’est trop élevé, vous êtes vite essoufflé ?
- Booof, non, pas plus que ça
- Ça m’étonne…je vais écouter votre cœur …ne respirez plus … il bat un peu vite
- J’ai courus en arrivant...
- Vous auriez dût le dire de suite, ce n’est surement que ça, je reprendrais votre tension dans un moment, vous êtes en pleine forme
- C’est que …..
- Quoi donc ? il y a autre chose ?
- Ça me gratte …
- Ou ça ?
- Sous les parties …donnez moi de la pommade ça ira
- Pas question, je veux voir de quoi il s’agit, ôtez tout finalement, quel vous faites ! ne pas vouloir me montrer ce qui fait rêver les femmes est un sacrilège !
- Nous nous connaissons, c’est pour ça que j’ai honte…
- Justement, je tiens à voir la verge qui fait tant de bien à ma copine Mathilde !
- Arrêtez, je vais encore rougir !
- Huuuummm le bas vaut largement le haut ! écartez un peu les cuisses Axel…

Je ne peux retenir l’érection qui monte, Mireille, de dos, me montre ses petites fesses qui pomment sous la blouse, ce doit être le seul vêtement qu’elle porte, à part sans doute des sous-vêtements !
Elle empoigne ma queue qui continue de grossir entre ses doigts, sans faire de commentaires, imperceptiblement, elle fait coulisser la peau qui couvre encore à moitié mon gland, que fait-elle ? Regarde-t-elle là ou ça me démange ? Ou bien mon gland maintenant à l’air, elle marmonne entre ses dents

- Sacrée Mathilde ….


- Pardon ?
- Rien, je disais que ma copine a de quoi bien s’amuser !
- Une belle femme comme vous ne doit pas être privée de sexe ?
- C’est ce que vous croyez … mon mari ne rentre pratiquement jamais a la maison
- Ah oui, c’est vrai qu’il est pilote
- Hé oui, heureusement pour lui, il a des hôtesses à son service ! …enfin, c’est comme ça … bon, je ne vois rien de grave c’est un échauffement dans les aines, dût a la matière acrylique du slip, je vais vous prescrire une pommade et pour quelques jours et jetez le sous-vêtement, c’est un vrai sauna a couilles ! laissez les respirer

Elle parle mais elle ne lâche pas ma queue qui est maintenant au zénith de sa forme, vu qu’elle me masturbe lentement, décalottant et recalotant mon membre, tirant sur le frein jusqu’à faire recourber mon bout, c’en est trop, advienne que pourra, je pose une main sur la blouse a hauteur de ses reins, au lieu de s’y soustraire elle recule vers moi et se penche pour gober ma bite
Ma main passe sous le vêtement et remonte, les doigts collés à son entrecuisse, je touche un fond de slip bombé et brulant, Mireille écarte les pieds, j’écarte la petite culotte …je plonge deux doigts dans ce volcan qui laisse couler sa lave, je la masturbe a la même vitesse qu’elle branle ma queue, elle suce, aspire bruyamment jusqu’a faire cracher mon foutre, et ne se relève que lorsque je suis bien essoré, aussi rouge que je l’étais en entrant dans son cabinet ! Une goutte de sperme coule au coin de la bouche

- Ça va mieux ?
- Ça va merveilleusement bien ! et vous ?
- Ouf, excusez-moi …je suis tellement en manque
- On parle toujours des médecins hommes qui profitent de leurs patientes consentantes mais jamais du contraire !
- Ça existe aussi ! la preuve ! c’est mon fantasme de me faire ausculter par un confrère, mais je ne connais que de vieux schnoques
- Passez-moi votre stéthoscope et déshabillez-vous !
- Mais c’est une riche idée ! je suis sûre que Mathilde serait d’accord et puis une queue pareille ne s’use pas !
- Ôtez votre blouse madame et allongez-vous
- Je garde mes sous-vêtements ‘docteur’?
- Un médecin n’ pas de la situation voyons, gardez les !
- Bien docteur, faites votre travail …
- Ou avez-vous mal ?
- Là.
.. au ventre, c’est atroce …
- Je vais d’abord retirer votre soutien-gorge pour effec une palpation mammaire et écouter votre cœur
- Il bat si fort que ça soulève mon sein
- Pas de prothèses ? … non, ça c’est du nichon pur et dur !
- Docteur !
- Excusez-moi … vous avez des fuites urinaires ?
- Non, c’est ma mouille …
- Votre tangua dessine bien votre vulve, les lèvres sont bien visibles, épaisses, comme je les aime … c’est très mouillé, vos glandes de Bartholin fonctionnent à merveille !
- Hoooo monsieur s’y connais en vagin ! retirez ma culotte, c’est désagréable, ça colle a ma chatte !
- Permettez ? c’est moi qui décide, je vais d’abord l’écarter …avancez vous au bord de la table, ramenez vos talons a vous, posez vos poings sous vos fesses, vous serez plus accessible au toucher…

J’écarte la culotte, j’adore découvrir une vulve et un anus ainsi, les poils sont déjà agglomérés par paquets grâce a la cyprine, la fente est entrebâillée, je repousse une lèvre, elle reste reliée a sa sœur par un filet épais, j’enfonce un doigt la doctoresse se raidi sur sa couche

- Mettez en plusieurs, j’adore être e

D’office j’en rajoute deux, j’enfonce le plus loin possible en tournant et gratte les parois trempées

- Hooooooouuuuiiiiiiii encore ! encore !

Cette fois c’est les quatre que je lui mets, je m’arrête a la fourche du pouce, le plat de ma main écarte la moule en largeur, je provoque des clapotis sonores, un liquide glauque suinte entre mes doigts, je lui ravage la chatte, plus je lui secoue les muqueuses plus elle se tord, plus elle se tord plus elle pisse sur la table

- Je t’en supplie baise moi, BAISE MOI !!!! J’ai envie de ta queue raide
- Avant je vais te baiser avec mon avant bras, t’es assez ouverte pour avaler ma main
- Va-y écartèle-moi, sert toi du flacon de lubrifiant qui est juste là

Elle n’a plus que ses épaules et ses talons qui touchent la table, je fais couler du liquide sur mon poignet et sur les lèvres déjà étirées, par petites pressions, de centimètres en centimètres j’enfonce ma main, arrivé au passage critique, j’accentue la pression, la chair blanchie tellement je fais fuir le sang, et puis c’est la descente ! Ma main est avalée par ce trou qui ne ressemble plus à un vagin

- HAAAAAOOOOOUUUUUUIIIIIIIIII ! Tu m’ouvre en deux ! pistonne-moi à fond !

Avec précaution, pour ne pas blesser ses chairs intimes, je replis mes doigts pour transformer mon poing en un énorme gland, dés que je commence à bouger en elle Mireille devient hystérique, elle se lance sur mon avant bras absorbé jusqu’au poignet, faisant jaillir en force une mouille incroyable, sous son clitoris son méat urinaire est ouvert, j’ai juste le temps d’éviter une giclée dorée

- Salaud ! Jamais mon mari ne m’a fait ça, tu me rends folle !
- Jouis salope ! ta chatte est trop ouverte, dés que je ressors ma main de ta chatte, je t’encule !
- Regarde mon anus, il n’attend que ta queue

Dans un ‘flop’ de bouteille débouchée j’extrais ma main, son vagin se vide sur le carrelage du cabinet, elle pose ses jambes sur mes épaules

- Va-y directement Axel, cogne moi fort, je suis une chaudasse habituée à y fourrer mes jouets intimes, je vais guider ta queue

Elle empoigne mon gland et le positionne sur son œillet défripé, je n’ai plus qu’a donner le coup de rein qui me propulse entre ses reins

- C’est quand même mieux que du silicone non ?
- J’en ai un qui possède une belle paire de couilles que je remplis de lait tiède, je les presses fortement lorsque je veux jouir, c’est super !
- Les miennes ne te donneront qu’un peu de foutre, mais c’est pas mal aussi

Mes mains agrippées à ses cuisses, Mireille se tient à la table qui est autant secouée que ses seins, je lui donne tout ce que j’ai, la queue serrée dans ses intestins, après cinq minutes de ramonage intense je ma lâche, elle se raidi et hurle de joie tandis que sa moule expulse un dernier jet de cyprine
Ma bite débande rapidement et sort du tunnel béant d’où suinte un filet de sperme qui s’évacue entre ses fesses, je m’essuie le nœud avec le rouleau de papier avant de m’habiller, encore essoufflée, elle reste allongée

- Axel, passe toi de la pommade dans les aines pendant trois jour et revient me voir ……
- Nous jouerons encore au docteur ???

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