La Saga Des Esclaves Au ... Special 300 Ème Épisode (3Ème Partie)
Lanniversaire du Marquis dEvans (3 ème partie) -
Le Marquis dEvans rejoint enfin le Grand Hall de réception, ayant terminé la dernière photo par une ultime pause en compagnie de son compagnon, David, qui est resté tout ce temps là très proche. Une magnifique photo aussi avec Sa Marquise Aurore était des plus réussie. Entrant dans la pièce, IL ne semble pas reconnaître Son Château. Sur les encadrements des grandes fenêtres ont été tendues de grandes toiles bleues, des bouquets de fleurs lumineux garnissent la pièce, diffusant une lumière allant du bleu au blanc suivant léclairage quils reçoivent des immenses lustres à cristaux très anciens qui éclairent la pièce et doù pendent de nombreuses pampilles en cristal de Murano
Le Marquis aperçoit plusieurs de ses soumises qui sont habillées en soubrette pour faire le service de lapéritif, vêtues dun tablier blanc attaché à la taille et dun porte-jarretelles blanc en dentelle qui retient des bas également blancs. Les serveuses ont toutes les mains attachées dans le dos par des menottes, elles portent sur le visage un large loup noir en forme de papillon recouvert de plumes noires et autour du cou un large et épais collier de cuir noir bordé de chaque côté dun galon de dentelle blanche, duquel pend un médaillon rond estampillé aux Armoiries de la famille Evans, ce qui les rend presque toutes identiques et si uniformes. Elles sont perchées sur de hauts escarpins noirs ce qui ne facilite pas leur démarche, mais chacune sait quelle na pas intérêt à trébucher ou à heurter un des Invités de Monsieur le Marquis dEvans, car la sanction serait terrible. Elles portent également une jupe courte en voile et tulle noir, qui na de jupe que le nom, car elle doit faire tout au plus 20 centimètres et sa fonction est avant tout de garnir une ceinture en cuir qui tient lieu de support suffisamment solide arrimée à la taille de la serveuse sur lequel sont fixés deux coins des plateaux de service.
Les plateaux sont garnis de flutes en cristal remplies dun cocktail à base de champagne et de curaçao bleu, dans lequel baigne une fleur dhibiscus rouge qui déplie ses pétales en corolle au fond du verre. Les serveuses se déplacent de convives en convives pour les inviter à se servir. Chaque soumise-serveuse est particulièrement tendue à lidée de trébucher ou de se laisser distraire par une main qui lui passerait entre les fesses ou sur les cuisses, car elles savent toutes le prix élevé des verres en cristal taillé quelles portent tant bien que mal, non pas à bout de bras, mais presque à bout de seins, tétons meurtris par le poids des plateaux pesants lorsque les verres sont pleins. Elles appréhendent surtout, tant leur équilibre est précaire avec les mains attachés dans le dos qui ne peuvent servir ni de balancier, ni de contrepoids, lidée de renverser quelque chose en présence de Monsieur le Marquis dEvans. Mais cest avec une certaine fierté, une véritable condition acceptée de soumise docile, un entrainement conséquent pour améliorer lendurance, quelles sacquittent de cette tâche et du service qui leur a été assigné. Le Marquis regarde avec ravissement ses soumises évoluer avec grâce, reconnaissant lune delles à sa tâche de rousseur sur la cuisse, une autre au galbe de ses fesses, une autre encore à la forme de sa poitrine, car IL connaît par cur les particularités physiques de chacune. Le Marquis, confiant sa coupe à la Marquise Aurore dEvans qui se tient à Ses côtés, juste en retrait, tape dans ses mains pour demander le silence.
- Je pense que tout le monde a été servi et jose espérer que mes soubrettes nont oublié personne.
Les soumises ayant vidé leur plateau de verres, reviennent au milieu des convives portant cette fois dans les mêmes conditions, avec leurs deux mamelons toujours lestés des chaines qui supportent le plateau, garni cette fois de mises en bouches de toute nature, verrines colorées mousseuses, mini bouchées légères aux saveurs incomparables, fours chauds fondants dans la bouche. Certaines soumises sont restées dans la salle pour servir de plateaux-desserte et récupérer les différents récipients dans lesquels les bouchées apéritives avaient été dressées, ainsi que les verres vides. Les discussions commencent à aller bon train, beaucoup de gens se connaissant déjà, certains de longue date, heureux de se retrouver au Château, dautres ayant déjà eu loccasion de sapercevoir en participant à lune des fameuses soirées D/s organisées par le Marquis dEvans. Cest aussi le moment où chacun peut montrer et presque exposer le soumis ou la soumise qui laccompagne, dont la plus grande majorité se tiennent à genoux aux pieds de leur Maître et Maîtresse respectifs, qui parfois se promettent de faire des échanges le temps dune soirée ou dun Week-end. Les premiers verres alcoolisés servis à volonté ont déjà détendu latmosphère et les mains se font de plus en plus caressantes sur les chairs nues tentantes qui passent à proximité, ce qui inquiète de plus en plus les serveuses dont les moyens daction sont très limités. Et la catastrophe tant redouté finit par arriver quand une des soubrettes perd léquilibre se rattrapant tant bien que mal sur le mur pour amortir sa chute, mais ayant renversé son plateau par terre avec les bouchées préparées par Marie la cuisinière, avant de sétaler sur le parquet incapable de bouger et de se relever.
Entendant le bruit, Walter qui scrutait dun il de lynx depuis le début de la soirée, sest immédiatement approché, accompagné de deux soumises quil avait gardé à ses côtés, les chargeant de ramasser au plus vite la nourriture au sol, et de tout nettoyer.
- Monsieur le Comte, Cher Ami, je Vous en prie, ne Vous donnez pas cette peine, car cette malheureuse esclave ne mérite pas que qui que ce soit se baisse pour laider, et Vous moins que quiconque. Elle sera punie avec sévérité, je puis Vous lassurer.
- Monsieur le Marquis dEvans, ne levez pas Votre bras sur cette malheureuse. Cest moi qui lai faite trébucher, ma main sest égarée profondément dans sa caverne intime la distrayant de son service et comme sa croupe était vraiment trop attirante, je nai pas pu résister à fesser ce beau postérieur qui me faisait tant envie. Je suis désolée du souci que je Vous cause en cet instant.
- Très Cher Ami, ne vous tourmentez pas et ne soyez surtout pas désolé. Vous savez depuis fort longtemps que dans Mes Soirées, tous mes esclaves sont à la disposition de Mes Invités et donc quelque soit ce que Vous aviez envie et les gestes que Vous étiez tout à fait en droit de dispenser sur celle qui était autant là pour Vous sustenter que pour Vous tenter, ce nétait pas une raison pour cette misérable ne pas se tenir droite sur ses pieds... Mhummm !
Dailleurs cela va nous faire un petit divertissement avant de passer à table
Le Marquis se retourne vers Walter.
- Installe cette esclave qui doit être immédiatement punie au centre de la salle, à genoux tête au sol, entièrement nue.
Le Majordome défait le tablier et détache la ceinture de cuir qui retient le plateau cassé. Il att par le collier de cuir la soumise, la traîne sans ménagement comme on laurait fait dun sac de pommes de terre, lui délie les mains dans le dos pour la mettre en position, arrache en le déchirant le porte-jarretelles et les bas blancs de lesclave de plus en plus terrorisée et tremblante, qui sait très bien quelle doit supporter au mieux sa punition pour tenter de rentrer en bonne grâce auprès de son Maître. Le Marquis dEvans sapproche, dépose sur le dos de la fautive la cravache et annonce dune voix lourde et pesante.
- Chères Amies et chers Amis, cette misérable créature, qui a osé me faire affront en perturbant ma soirée, est à vous. Que celles et ceux qui ont envie de se divertir et de se dégourdir les doigts avant de passer à table ne se gênent pas. Je vous demande seulement de vous en tenir à cinq coups chacun pour quil y en ait pour tout le monde, surtout que nous nallons pas passer toute la soirée ici, il serait temps de nous approcher de la sainte table pour une collation plus substantielle et puis surtout IL me tarde de profiter de la suite des festivités
Monsieur le Comte, souhaiteriez-vous donner les premiers coups en mes lieux et place ? Ce soir, je veux juste profiter du spectacle !
Ledit Comte alléché, malgré son âge avancé, par la vue impudique de ce corps nu et courbé, faible, frêle, fragile, immobile presque pétrifié de peur dêtre livré en pâture aux mains avides et insatiables, ne peut se retenir très longtemps avant de prendre en mains la cravache tentatrice, surtout que chacun sest mis en cercle autour pour profiter du premier spectacle impromptu de la soirée qui apporte un petit air D/s dans des conversations qui restaient encore trop mondaines et retenues. Sous les encouragements de quelques « allez-y » ou « nhésitez pas », et de nombreux brouhahas de commentaires divers et variés de Maîtresses et Maîtres qui dun petit ton narquois et pervers soufflent à loreille de leurs propres soumis ou soumises « regarde bien, je devrai te laisser quelques jours ici en dressage, cela te ferait le plus grand bien » ou encore « je me rends compte que je suis bien trop doux/douce avec toi quand tu fais une bêtise, cela me donne des idées pour la suite de ton dressage ». Lexcitation exaltée et frénétique libère les pulsions perverses du Comte, trop longtemps contenues, qui oubliant totalement sa galanterie précédente quand il avait voulu spontanément aider la pauvre fille à terre, se met à frapper si fort quil manque presque de tomber sous lardeur de son geste, marquant dune belle zébrure qui a par endroit fait perler quelques gouttes de sang. Un cri de foule retentit au premier coup fustigeant annonçant à voix haute « 1 », et puis peu après « 2 », reprenant de plus belle par des exhortations enflammées « plus fort » ou « un peu de nerf », mêlées dapplaudissements circonstanciés lorsque les volées laissent une belle zébrure sur la croupe rougissante. Une agitation certaine se fait autour, entre ceux qui veulent pouvoir sans tarder se défouler en jouant de linstrument sur les fesses de la soumise à terre qui paradoxalement mouille dexcitation car après la honte et la peur passe par une sensation beaucoup plus excitante pour elle quest la cravache, laquelle elle en jouirait presque si elle ne se retenait pas, dêtre fouettée ainsi aux yeux de tous. Les autres Dominants plus spectateurs passifs qui se contentent de compter les coups pour finalement en arriver à « 5 », tandis que le comte annonce presque comme victorieux et ragaillardi :
- Cela ma donné soif, un verre, je vous prie
. Et à qui le tour, maintenant ?
Plusieurs convives se défoulent sur le corps de la soumise qui ne peut retenir ses larmes et ses spasmes de plaisirs jouissifs , mordant sa main en silence pour ne pas crier, se disant quelle ne résistera pas si chacun des Invités décide de colorer un peu plus sa croupe qui lui semble nêtre déjà plus quun brasier que chaque coup de cravache enflamme un peu plus. Mais le jeu a fini par lasser les convives qui peu à peu se sont écartés pour reprendre leurs conversations personnelles autour dun verre de plus
. La chienne à terre laisse échapper en silence sa mouille dexcitation coulant sur ses cuisses, quand sous un claquement de doigts du Majordome, un esclave mâle relève par le bras la soumise pour lemmener se faire soigner la peau de ses fesses à linfirmerie du Château
Walter sest approché du Châtelain pour le prévenir que le repas était prêt et quIL serait servi quand IL le désirerait. Il lui précise que tout a été prévu pour que les esclaves mâles et femelles accompagnent chaque invité à sa place, lui expliquant en détail ce qui a été organisé. Monsieur le Marquis dEvans tape sans plus attendre dans ses mains pour demander le silence.
- Mes amis, le repas est servi, si vous voulez bien vous donner la peine de passer à table. Comme Vous avez pu le remarquer en arrivant et en montant les marches du perron, les esclaves mâles du cheptel, en tenue dAdam argenté, portent un numéro impair pour la soirée marqué sur la fesse gauche et sur le sein droit également, même si vous navez pu encore apercevoir leur face avant. De la même manière, un numéro pair a été affecté à chaque esclave femelle, en tenue dEve dorée. Dans une grande corbeille à lentrée de la pièce, se trouve un certain nombre de boules numérotées dorées et argentées dans laquelle vous pourrez puiser à Votre convenance en ce qui concerne la couleur, pour connaître celui ou celle que le sort vous aura réservé. Cet esclave numéroté, mâle ou femelle suivant votre choix, est dès cet instant à votre entière disposition pour toute la soirée et la nuit, pour toutes sortes de grands délices ou de petits supplices suivant votre bon plaisir, sachant quaucun deux ne pourra se soustraire à ce que vous exigerez deux
.. Passons à table, maintenant, si vous le voulez bien.
Le Marquis Edouard dEvans tape dans les mains deux fois et la grande porte à double battants souvre sur limmense salle à manger où la table a été dressée. Une haie dhonneur a été formée par tous les esclaves affectés à cette partie de la soirée. Du côté gauche, les mâles qui se tiennent droit, de face, tous encagés et toujours plugués aux Armoiries du Marquis dEvans. Ils portent tous de manière identique un masque noir rigide qui leur couvre entièrement la face et la moitié de la tête, laissant juste des trous pour les yeux, les narines et la bouche. Leurs cheveux très courts ou leur crânes quand ils sont rasés ont été peints également en argenté comme lensemble de tout leur corps, sur lequel contraste le collier de cuir noir, la médaille de propriété aux Armoiries du Marquis dEvans et la laisse à gros maillons dacier qui pend sur leur poitrine. Ils sont plus immobiles que des statues fondues dans lacier, la tête baissée arborant sur leur poitrine leur numéro qui les affectera chacun au service particulier dun des invités. De lautre côté, les femelles resplendissantes en dorées des pieds à la tête, portent un loup en forme de papillon, recouvert de perles sequins nacrées opalescentes sur fond doré, qui recouvre tout le visage à lexception du nez, de la bouche et du menton peint de couleur or comme le reste du corps. Les papillons sont rehaussés de plusieurs grandes plumes de paon bleutées. Elles portent aussi autour du cou un épais collier de cuir noir, la médaille de propriété aux Armoiries du Marquis dEvans et une laisse faite de la même peausserie tressée. De leur cou partent quatre fines chainettes dor fin, qui se terminent pour deux dentre elles par des pinces à seins et pour les deux autres par des pinces posées sur leurs lèvres intimes, maintenues ainsi plus écartées. Tout comme les mâles, elles sont pluguées mais avec un rosebud en métal doré qui se termine par un cabochon transparent sur lequel on aperçoit les reflets or de leur peau saupoudrée de paillettes. Immobiles et tête baissées, statufiées, elles attendent de savoir qui sera lheureux élu ou élue à qui elles seront dévolues pour toute la soirée et la nuit, pour autant de douceurs et de douleurs suivant le bon plaisir de chacun.
Le Marquis Edouard dEvans traverse la tête haute la haie dhonneur avec délectation, prenant le temps de savourer la vue de son cheptel ainsi mis en scène en grand apparat dor et dargent, dont IL est si fier à cet instant, savourant le long et minutieux travail de dressage accompli avec chacun pour en arriver à ce stade de dévotion et de soumission. Ce nest quau bout de ce rempart humain quIL aperçoit le nouveau magnifique spectacle qui soffre à lui et quIL découvre avec un petit pincement au cur de ravissement. Lintendant de lElysée lui-même pourrait être presque envieux de la réception qui a été préparée par Walter le Majordome, si diligent, et par Marie la cuisinière, si dévouée, avec laide de tous les domestiques et de lentier cheptel qui ont dû mettre la main à la patte pendant de longues heures. La table semble être dressée en forme de V avec une base plus large qui au centre est garnie dun fauteuil, en bois sculpté, au dosseret et à lassise tapissés dun velours ras, qui tient plus dun trône que dun simple siège. A ses côtés, de part et dautre, deux chaises identiques à toutes celles qui garnissent sur les côtés extérieurs les deux parties évasées de la table. Tous les sièges ont été recouverts de garnitures en tissu bleu roy, assorti à limmense nappe qui recouvre la table. De larges dessous dassiette dorés à lor fin, pour linstant encore vides de tous mets, renvoient la lumière qui se reflètent sur le service en cristal taillé à la main de la maison Baccarat, qui a été installé dans un alignement parfait. Les couverts en argent massif et aux manches dorés à lor fin sont tous gravés aux Initiales du Marquis.
En sapprochant un peu plus, le Marquis dEvans, remarque que la forme de la table nest pas vraiment un V, mais presque un M évasé, lettre quIL affectionne particulièrement en tant que Marquis mais aussi en tant que Maître incontesté. Tout a été installé pour quil sagisse dun véritable repas spectacle et donc il est plus quimpatient de découvrir ce qui a été prévu. Les convives entrent peu à peu dans la salle à manger, leur nom est annoncé cérémonieusement à haute voix par le Majordome qui connait chacun personnellement et ne pouvait prendre le risque dune erreur en confiant cette tâche à un subalterne. Il précise à la suite du nom le numéro que chacun tire au sort sur le pas de la porte. Lesclave numéroté sempresse de suivre celui à qui il a été attribué par le sort, sinclinant profondément à son passage. Lun après lautre, les esclaves dont les numéros ont été annoncés précisent, avec le plus grand respect dû à Celle ou Celui quils sont chargés de conduire « Monsieur, Madame,
suivi des titres et noms afférents
si vous voulez bien me permettre de vous accompagner jusquà votre place ». Tous les esclaves ont du apprendre par cur la liste des 30 invités et le plan de table (15 personnes de chaque côté du grand M ouvert) qui a été dressé de concert entre Walter, Marie, mais également le compagnon du Marquis, David, qui connaît bien les affinités de chacun, ainsi que les règles de préséance. Les derniers à rentrer dans la salle sont justement David et la Marquise Aurore dEvans, qui prennent part pour le premier à droite du Marquis dEvans, et pour la deuxième à sa gauche. Les soumis et soumises des convives ont été menés, sauf désirs contraires de chacun, à leurs pieds mais vers lintérieur de la table, ouverte à lexception du retombé de la nappe, et ce comme on laurait fait dun chien dans un restaurant que lon glisse sous la table pour le faire disparaître le temps du repas
Le Marquis commence à sapercevoir que la table est certes constituée de deux plateaux rectilignes, mais que plusieurs grandes barres métalliques ont été installées régulièrement réparties sur toute la longueur munies chacune dune base circulaire dau moins 80 cm à hauteur de la table, reposant en partie sur celle-ci. Sur ces barres sont enroulées des guirlandes lumineuses bleues qui se sont éclairées, une fois que les invités ont tous été placés. De chaque côté extérieur du grand M, se trouvent deux soumises agenouillées, courbées, bras vers lavant, positionnées en diagonale orientées vers le centre du M et le centre de la pièce. Leur rôle est de tenir carrément lieu de chandelier car sur leur corps de nombreuses bougies ont été placées qui sont pour linstant intactes, mais dont il y a fort à parier quelles sont là pour être allumées et pour laisser la cire sétaler peu à peu sur les deux corps qui servent de support.
Le Marquis Edouard dEvans constatant que chaque convive a rejoint sa place, sassoit. Les esclaves mâles et femelles que le sort navait pas désignés sont venus sinstaller pour linstant derrière le Châtelain, en attendant dêtre affectés à une autre tâche. Comme dans les plus grandes réceptions officielles des fastes années dantan, chaque esclave se positionne derrière une chaise quil repousse tandis que la personne sassoit
Le somptueux banquet des Maîtres et Maîtresses en honneur du Maître des lieux va pouvoir commencer ainsi que la perverse soirée D/s qui laccompagne
(A suivre
)
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