Haute Fonction Publique

Adorable, mignonne, charmante, créature céleste, archange du ciel, avenante ; belle, adorablement sexy les synonymes manquent. D’où peut venir une telle création. Elle vient d’arriver en ville, seule encore pour le moment. D’après ce que je crois, c’est une fonctionnaire de bon niveau mutée en avancement. Merci aux responsables d’avoir envoyé près de chez moi un tel bijou. Le brun de sa chevelure ondulée longue cadre parfaitement à de grands yeux ovales bleus pâle. L’appartement à coté était vide, elle l’occupe. Nous nous croissons souvent : un ravissement. Si un autre locataire lui adresse la parole j’en deviens jaloux. Cette fois nous prenons l’ascenseur ensemble. Lieu magique de courtes conversations. Nous sortons de l’immeuble ensemble aussi. Je peux la voir de plus près. J’ai un coup au cœur : je la désire. Comment le lui faire comprendre, comment le lui dire. J’ai pris une grande décision je vais l’inviter en sortant à prendre un café au bistro l’à coté. Si elle accepte, la moitié de la partie est gagnée. L’invitation tombe mal, c’est elle qui m’invite chez elle le soir pour un verre en guise de gage de bienvenue. Je me fais beau, je me rase, mes cheveux sont peignés pour une fois.
Enfin 21 heures, l’heure demandée. Je n’attends pas une minute après le coup de sonnette. L’ange de l’accueil privé ouvre la porte avec son sourire encore plus grand. Elle possède une grande pièce pas encore aménagée : une grande table, deux chaises et deux fauteuils en sont les éléments. Le verre, un tout petit alcool écossais. La conversation nulle. A dire vrai je ne sais pas de quoi parler. Elle meuble heureusement. Elle s’assit en face de moi, part dans un grand monologue sur l’utilité des services publics, ce dont je me fous complètement. Elle s’emballe, avance sur le siège à tel point qu’elle découvre plus de la moitié de ses cuisses. Je ne peux m’empêcher de regarder ses magnifiques jambes. Elle suit mon regard, ferme les cuisses, se lève, sert un autre verre.

Se rassoit presque dans la même position.
J’engage la conversation vers les « problèmes » personnels. Elle y répond franchement. Oui, elle a eu des amants, même une amante il y a une éternité. Pour le moment elle ne se préoccupe pas tellement des choses du sexe, elle se satisfait fort bien seule des fois.
Comment aller plus loin avec une telle femme, maîtresse parfaite de ses nerfs. Je pousse maladroitement mes arguments pour des amours partagés. Oui, bien sur, c’est bien….. Autant prescrire de l’eau pure à un ivrogne. Je suis désespéré en revenant chez moi. Le lendemain soir c’est elle qui est chez moi. J’offre un verre. Elle le repose, vient vers moi, m’embrasse, me traite d’idiot avant de recommencer. Son baiser n’est pas feint. Il me laisse dans l’embarras. Et puis zut pour les bonnes manières. Je la prends totalement dans mes bras. Elle se frotte à moi, son ventre contre le mien. Elle cherche ma queue. Oui, je bande, j’ai envie d’elle, je voudrais la baiser.
Elle a vu derrière moi un fauteuil. Elle m’y pousse doucement. Elle passe ses cuisses sur les miennes. Elle commence à se frotter à moi. D’accord, elle veut que je m’occupe de ses secrets. Je vais jouer au chercheur de trésors. Elle en est remplie. Elle s’installe sur mes genoux, confortablement. Sa hanche droite est posée juste sur la bite qui enfle. Elle ne rejette pas ma bouche de son cou. Elle y est douce, y sent bon la femme, même le peu de sueur est agréable.
Je n’y tiens plus, je la veux. Elle remue sur moi, elle aussi voudrait, je ne sais quoi. Ma main sur sa jambe monte, monte. Sa cuisse s’ouvre. Elle me fait le passage vers son joyau. Je sens de près son humidité, sa chaleur intime.
- Oui, prends-moi.
- Où te veux ?
Je n’ai pas de réponse, sinon un baiser. Je passe deux doigts sous le slip, j’y trouve la chose cherchée. Ce qui me déplaît est qu’elle est rasée de ce coté ; dommage, j’aime la vérité. Tant pis pour moi, je passe et trouve ce que je cherchais un magnifique sexe de fille entièrement tapissé de cyprine.
J’entame les caresses d’usages. Je voudrais la faire jouir en avance sur moi. Ses yeux bleus se ferment. Elle attend l’acte final de la masturbation. Cette démission me plait dans son abandon. Je la caresse avec je dirais avec amour, je veux qu’elle se souvienne de cette première fois nous deux. Elle s’écartèle largement, se donne totalement. Je ne crois pas avoir connu une fille si confiante dans mes capacités.
Elle se laisse aller là où je la menais, elle jouit d’un seul coup, trop vite pour moi. Son sexe bouffe mes doigts. Ses lèvres mangent ma bouche. Mes doigts reprennent du service sur la chatte. Je fouille partout, j’entre dans tout ce que je trouve. Un vagin attend une suite, je la caresse, pas assez.
- Pends-moi vite.
Quelle « corvée » de la rendre heureuse. Elle se lève ôte son slip, me montre toute sa fente. Découverte pour découverte, à mon tour de me mettre plus à l’aise. Ma queue est déployée : je la montre en entier. Ce n’est pas une découverte que mon sexe. Elle le caresse fort bien en me branlant. Elle sait parfaitement comment faire. Je me retiens pour ne pas jouir, sinon je serais bêtement en panne dès le premier coup. J’ai droit à un rapide coup de langue qui essuie la gouttelette.
La suite se passe sur le lit. Elle s’est couchée, elle attend que je sois prêt. Ma bite est d’attaque. Je n’ai qu’à me mettre en position sur elle. Elle prend l’avantage en passant ses talons sur mes fesses. Nous ne formons déjà qu’un même corps. Je la pénètre doucement. Elle est affectueuse dans ses petits mouvements. C’est plus qu’une délectation de sentir le gland sombrer dans son attraction. Elle ferme et ouvre ses muscles internes pour son plaisir et le mien.
C’est une harmonie à deux corps fait l’un pour l’autre. Ses spasmes font échos aux miens. Nous nous faisons l’amour pour le plaisir. Les sentiments sont ignorés. Ma queue lamine nos autres envies, pas toutes quand elle me demande de penser à son anus. Je passe ma main derrière ses fesses.
Je trouve vite sa raie. Elle est un peu transpirée. Mes doigts glissent mieux. Je trouve son petit trou plissé. Le majeur entreprend la caresse osée. Il entre un peu dans ce cul qui réagit fort bien normalement, qui en redemande. C’est elle qui règle la cadence, le rythme de notre étreinte. J’ai la chance de la sentir jouir, j’arrive à attendre le deuxième spasme. Il est, pour moi énorme. Elle me pompe totalement. J’allais sortir d’elle, elle me dit merci.
Je me tourne pour profiter de ses odeurs fortes de cyprine, de la mienne aussi, celle qu’elle a gardé dans son vagin. Elle ouvre ses jambes, me laisse l’accès direct sur sa moule. Un chef d’œuvre artistique de sexe. J’ouvre toute la bouche, je mors presque ses lèvres et son clitoris. Je suis submergée de ses parfums. Mon nez se perd dans ce fatras de fille. Ma langue trouve ses instincts de prédatrice.
Je lèche doucement toute sa fente. Son clitoris glisse sur mes lèvres, elle gémit, ma langue patine sur le périnée, elle gémit plus fort. Je pose un doigt sur la pastille : elle le veut dedans. Ce n’est pas une femme, c’est à elle seule un harem : ça me plait.
Elle ne repart pas après, elle passe la nuit avec moi. Vers le matin c’est elle qui prend sa revanche en venant sur moi. Ses seins écrasent a poitrine son buste sur le mien Elle entreprend de me baiser, nous sommes quitte. Sauf que c’est dimanche que nous ne nous arrêtons que rarement pour prendre un instant de repos. Nous avons joui chacun une bonne douzaine de fois. Deux semaines plus tard nous sommes toujours accrochés au sexe de l’autre. Ce n’est plus une fonctionnaire de haut rang, c’est ma maîtresse attitrée

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