Leslie Va10
Leslie VA10 Vacances - Avec Laure, suite
Il est resté longtemps sans bouger, moi allongée sur le ventre et pénétrée de son sexe au plus profond de moi, ce sexe qui ne voulait pas débander et qui, par de légers soubresauts, envoyait de douces sensations dans mes entrailles transies de plaisir.
Le temps nexistait plus. Quimporte le temps quil est resté au fond de moi, je venais de prendre un pied denfer, le premier depuis ma sortie de la maison de repos, la première fois où je me sentais redevenue la Leslie davant, alors sans réfléchir, je lui ai dit :
- Merci, mon chéri !
Il sest lentement retiré de moi, il bandait encore et je suis certaine quil était prêt à me reprendre à nouveau, mais il ma retournée sur le dos, et me regardant offerte il ma dit :
- Maintenant, à ton tour davoir du plaisir
Sur le dos au bord du lit, les jambes pendantes et grandes ouvertes et le sexe dressé, il sest agenouillé au bord du lit entre mes cuisses et, me regardant dans les yeux, il ma demandé :
- Tas envie ?
- Ohhh, oui jai envie ! Lui dis-je.
Je ne savais même pas ce quil allait faire, mais submergée par le plaisir, je me laissais guider par cet amant.
Il sest penché vers moi, approchant sa bouche de mon membre, et entrouvrant ses lèvres, il ma prise dans sa bouche pour madministrer une fellation.
Sa bouche chaude entourait mon sexe ; des sensations divines irradiant dans tout mon bas-ventre. Jean-Michel me suçait divinement bien, bien mieux que certaines de mes amantes du passé. Il savait y faire et je me laissais doucement aller. Allant même jusquà sentir, sous leffet de cet abandon, la jouissance de mon amant séchapper de mon illet et se répandre sur le bord du lit.
Pendant quil me suçait, il a introduit un doigt dans mon anus encore entrouvert par ses pénétrations précédentes, me faisant feuler comme une jeune-fille
Puis me sentant en bonne disposition, il a quitté mon sexe pour sallonger sur le dos près de moi, relevant les jambes et prenant ses mollets entre ses mains, il ma dit :
- Prends-moi !
Dans sa position, il me montrait son petit trou brun aux rebords légèrement boursoufflés, signe que je nallais pas être la première à lui prendre sa rondelle et quil avait lexpérience de la pénétration anale.
Je me suis redressée et je me suis placée près de lui, le sexe à la hauteur de son intimité, mais afin quil soffre encore plus et que sa rondelle soit encore plus offerte jai glissé un oreiller sous ses reins.
Ainsi disposé, il était dans cette position impudique du mâle viril attendant la pénétration de son intimité, ce qui dailleurs le faisait rebander et donnait encore un peu plus à la situation, un côté fabuleux.
Je me suis rapprochée de lui le membre tendu dexcitation, puis doucement jai posé mon gland contre sa rosette, le faisant frémir et gémir.
Puis lentement je lai pénétré, en douceur et sans problème il ma acceptée dun coup, le passage était fait et lhabitude de recevoir des membres était maintenant prouvée.
Pendant que je le sodomisais, lentement, Jean-Michel se mit à me parler :
- Tu sais, jen rêvais depuis longtemps, me faire prendre par une belle ambiguë de ton genre, et je dois dire que je suis gâté aujourdhui.
Sans marrêter de renter et de sortir de lui, je lui demandais :
- Ahhh, oui et pourquoi ?
- Tu es belle et tu es dotée dun beau sexe que plus dun mâle voudrait posséder.
- Et tu aimes te faire enculer ?
- Jadore autant que jaime prendre un petit cul serré !
- Alors tu as aimé le mien.
- Jai adoré, il était bien serré, chaud et accueillant. Dailleurs jy retournerais bien
- Et pourquoi pas, lui dis-je.
Ma réponse le fit bander de plus belle, mais était-ce le fait de mes propos ou de mon membre, allant et venant en lui, qui le fit réagir ainsi, je ne saurais le dire.
Tout en le pilonnant de mon sexe raide, je lui ai pincé le bout de ses seins, ce qui le fit gémir et sexclamer :
- Ohhh, petite vicieuse, tu tattaques aux points faibles.
Redoublant dardeur, jai pincé avec vigueur ses mamelons maintenant dressés en le pilonnant comme une sauvage, le faisant hurler.
- Ohhh, petite sauvage, petite salope, tu mencules comme jamais je ne lai été.
Ses propos eurent de leffet sur moi, il est vrai quà cet instant je me sentais sauvage et surtout salope, une petite vicieuse qui enculait un mec bien doté par la nature et qui tirait du plaisir de la situation.
Je lai enculé pensant un long moment, me retenant pour ne pas jouir trop vite et bien profiter de mon amant au petit cul accueillant.
Jean-Michel avait le corps recouvert de gouttes de sueur et prenait son pied ; sans dissimulation il jouissait du cul et il hurla de plaisir quand, me répandant en lui, je jouis en feulant de plaisir.
Nous nous sommes reposés un instant, puis, côte à côte, reprenant nos esprits et nous raccrochant à nouveau, jai repris son membre en main pour doucement le caresser et le branler. Il fut rapidement en état de reprendre nos ébats.
Après lavoir sucé un peu, il ma de nouveau sodomisée, allongé derrière moi, son corps collé au mien, sa poitrine contre mon dos, en guidant son sexe dune main il sest lentement introduit en moi, et une fois bien au fond de moi, il a pris mon sexe dans sa main.
Pendant quil menculait, au rythme de ses pénétrations, il me branlait en disant des mots doux au creux de mon oreille :
- Ohhh, petite Leslie, comme il est bon ton petit cul, je laime et ne vais plus pouvoir men passer, serré comme il faut et si accueillant.
Il me remplissait complètement et moi aussi je lui aurais bien dit que son membre épais me comblait, que mon petit cul aimait être possédé par un tel membre, mais il continua de me parler au creux de loreille :
- Je vais jouir en toi, te remplir de ma jouissance et je ne pourrais oublier cet instant.
- Cest trop bon, je te sens me remplir de ton sexe et jadore, dis-je.
Leffet fut immédiat, jai senti son sexe se contracter en moi et un flot de sperme chaud se répandre une nouvelle fois en moi ; nous avons crié notre bonheur ensemble, remplissant la chambre de nos cris de bonheur.
Peu de temps après, cest sous la douche quil ma reprise, menculant par derrière, mon corps collé au carrelage, il ma possédée comme une damnée, me faisant hurler de plaisir.
Puis après mettre rhabillée, nous nous sommes quittés. Au moment de sortir de la chambre, après mavoir embrassée, il a émis lespoir de me revoir en me disant :
- Tu reviens quand tu veux, ma porte te sera toujours grande ouverte et mon cul aussi
A suivre
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