La Saga Des Esclaves Au ... Special 300 Ème Épisode (2Ème Partie)
Lanniversaire du Marquis dEvans (2 ème partie) -
Le Maître tire sur la laisse de Thaïs en marchant à toute allure dans les couloirs qui mènent jusquau pallier. Elle le suit debout tête baissée, nayant pas eu le temps de se mettre à quatre pattes et ayant compris que ce nétait pas la position adéquate pour lallure du Maître qui est passablement de plus en plus énervé. Mais à peine Le Marquis Edouard dEvans arrive t-IL au sommet du grand escalier quIL trouve, lattendant à cet endroit précis, son compagnon, David, ainsi que la Marquise Aurore dEvans, qui a baissé la tête pour le saluer. IL commence à être étonné, et se dit que finalement, IL sest peut-être courroucé pour rien, car ils ne sont pas là à cet instant précis et dans cette tenue tout à fait par hasard. En effet, Son compagnon David, porte un costume bleu roy du même ton que son gilet et sa cravate, ainsi quune chemise bleu navy également assorti à son costume, mais juste en tons inversés.
Quant à la belle Marquise, la favorite de toutes ses soumises, elle porte une somptueuse robe à pans de soie, faite dans le même tissu que celui qui borde son veston et coupe son pantalon, qui est cintrée à la taille, puis ouverte jusquau sol sur le devant, le dos et les deux côtés, ce qui laisse le corps apparaître à chaque pas ou mouvement. Les quatre pans sont garnis de magnifiques roses brodées dans un fil bleu roy scintillant, dont les pétales sont remplies de perles paillettes nacrées qui ont été cousues à la main, une à une. Cette robe à balconnet laisse les seins apparents et dégagés, qui sont ornés de bijoux en or faisant comme une étoile garnie de perles fines avec des ronds concentriques dont le plus petit est positionné tout autour du mamelon qui se trouve tendu et gonflé ressortant juste du bijou lui servant dauréole. Ces deux bijoux de seins sont garnis dune fine chainette or qui rejoint celle qui, plus grosse et en maille palmier, enserre son cou, tel un collier de maillons entrelacés les uns aux autres, duquel pend un gros cur en or que Monsieur le Marquis dEvans avait offert à Sa Marquise, sur lequel IL avait fait graver ses Armoiries et les Initiales de Sa favorite avec un jeu de mots « A MDE » que lon pouvait aussi lire « à MDE » pour celle qui reste avant tout Sa soumise MDE favorite quIL avait choisi de nommer Aurore.
- A Vous voilà enfin tous les deux ! (annonce le Marquis Edouard dEvans dont le visage se décrispe à peine). Jai vraiment cru à mon arrivée quil ny avait plus personne dheureux de Me retrouver dans ce château. Même Walter sest éclipsé prématurément pour terminer ses préparatifs. Descendons car nos Invités ne vont pas tarder. Je suis si inquiet de savoir ce qui va se passer. Mais au moins, serons-nous déjà tous les trois présentables. A propos, je ne connaissais pas ces tenues, ni à lun, ni à lautre.
Le Marquis qui avait lâché depuis un bon bout de temps la laisse de Thaïs, prend la main de sa belle Marquise en vrai galant homme pour laider à descendre lescalier tout en ajoutant en se retournant vers David, et en lui adressant un clin dil.
- Cela ne te dérange pas au moins que je descende avec Aurore à mon bras. Tu nas quà toccuper de ma dernière petite chienne, Thaïs, pour te tenir compagnie dans les marches. Cela tapprendra à ne même pas venir me saluer quand je rentre au Château... (il ne faut pas oublier que David avant dêtre devenu le compagnon du Marquis était son ancien soumis et de ce fait, le Noble lui parle fréquemment sur un ton de Supériorité)
Personne ne relève les remarques piquantes du Marquis Edouard dEvans, car tous sont dans la confidence des préparatifs et des nombreuses surprises qui lattendent pour la soirée. La première ne tarde pas à arriver. A peine, le Marquis dEvans a-t-IL descendu les deux-tiers de lescalier se trouvant au palier intermédiaire le plus bas qui fait face à la dernière volée de marches droites conduisant au Rez-de-chaussée, quIL sarrête. IL venait de passer dans cette pièce, il y avait bien moins dune heure à son arrivée et navait constaté aucun aménagement et là, un décor somptueux est dressé.
Le Marquis sen veut presque de ne pas avoir eu assez confiance dans toute sa maisonnée et IL comprend que tout a été organisé et presque manigancé pour quIL aille de surprise en surprise. Alors se voulant totalement confiant, IL descend les dernières marches, le sourire ayant à nouveau repris le dessus, dautant plus quIL aperçoit Walter, le Majordome qui lattend aux bas des marches.
- Mon cher Walter, savez-vous que pendant quelques longs moments, je me suis inquiété largement, croyant que vous naviez rien préparé de spécial pour mon anniversaire et pour la réception à venir de Mes Invités. Mais à propos, si je peux comprendre que Marie saffaire en cuisine et quelle a dû réquisitionner un certain nombre de petites mains parmi Mes esclaves pour laider aux fourneaux ou dans la salle de réception, pouvez-vous quand même me dire où sont tous les autres esclaves du cheptel qui semblent avoir déserté le Château.
- Monsieur le Marquis, je Vous avais dit que Vous ne deviez pas Vous inquiétez. Nous avons tous préparé de belles et nombreuses surprises pour Votre anniversaire, mais je ne peux pas Vous en dire plus puisque ce sont des surprises. Laissez-Vous faire et appréciez car tout le monde ici a mis la main la patte pour cette soirée que nous préparons depuis des jours et des jours. Quand à Vos chiens esclaves, ils sont tous sur le perron attendant larrivée de Vos invités. Si Vous voulez Vous donner la peine de sortir dehors, dailleurs cela va bientôt être lheure et je pense que Vos amis qui savent combien Vous appréciez la ponctualité ne devraient pas tarder darriver. Les gardiens du château sont tous présents ce soir. Ils se chargeront de récupérer les véhicules de chacun et de les conduire sur le parking aménagé. Nous avons tout prévu.
Walter tape dans les mains, et deux esclaves sempressent douvrir la grande porte dentrée à double battant du Château ancestral. Le Marquis sort sur le perron, suivi de la belle Marquise et de son compagnon David, quand Walter lui annonce larrivée aux grilles du Château de la première voiture. Le perron qui était nu et presque sombre à son arrivée, une heure plus tôt, est illuminé par de nombreuses bougies dextérieur qui diffusent une lumière rayonnante jaune dorée. Toutes les fenêtres en façade du Château ont été allumées, et le Marquis distingue sur les marches du grand double escalier ses esclaves. Enfin, IL imagine quil sagit bien deux, car IL ne les différencie pas vraiment, chacun étant courbé tête au sol sur la marche du dessus, les uns derrière les autres, offrant comme une rampe de fessiers relevés et obliques à la vue de tous ceux qui vont arriver, et monter les marches pour atteindre le perron où se trouve le Marquis Edouard dEvans. Le plus surprenant est que le corps de chacun semble recouvert dune pellicule métallisée, virant entre lacier et largent, ce qui donne un reflet très particulier à cette mise en scène brillante et même scintillante sous les éclairages extérieurs.
A larrivée de chaque voiture, toutes les plus luxueuses les unes que les autres, limousines, Rolls-Royce, Ferrari, Porsche, des gardiens en livrée ouvrent les portières pour permettre aux occupants de quitter le véhicule, orientant les voitures avec chauffeur vers le parking invité et prenant en charge pour les garer les autres véhicules laissés par les Invités du Marquis
David et la Marquise Aurore, sont descendus au bas des marches de lescalier pour accueillir dès leur arrivée les hôtes, tous amis de Monsieur le Marquis, le premier se chargeant de conduire ses Dames, Maîtresses Domina de renom, sur lescalier de gauche, et la seconde de conduire ses Messieurs, tous Maîtres de surcroit, sur lescalier de droite. Les Invités sont chaque fois pris en charge de manière à ce quils puissent monter sur la partie extérieure là où les marches sont les plus larges, mais avant tout au plus près de la fausse rampe métallisée des croupes des esclaves courbés du Marquis dEvans, que certains ne se gênent pas de toucher au passage, intrigué également par la couleur des chairs totalement peintes.
Les Invités sont accompagnés la plupart du temps de leur propre soumis ou soumise, voire les deux parfois, tous tenus en laisse. La diversité est telle que lon trouve des soumises élégantes parées de guêpière sensuelle et de bas noirs, ou encore de robe voile transparentes, dautres totalement nues enchainées, annelées et contraintes de diverses manières, des chiens ou chiennes à quatre pattes en laisse suivant le Maître ou la Maîtresse, de petites chattes félines dont les griffes ont été coupées mais qui semblent prêtes à ronronner, un mâle esclave noir colosse qui ressemblerait presque à un eunuque tant sa queue rabougrie et encagée de petite taille reste invisible, deux soumises jumelles qui sont contraintes sur le même collier rigide reliant étroitement leur deux cous et leurs mains les forçant à se tenir jointes accolées en permanence comme des surs siamoises devant marcher dun même pas pour avancer, un petit nain soumis qui ressemble plus au fou du Roi médiéval quà un véritable soumis mais qui est totalement dévoué corps et âme à sa divine Maîtresse.
Mais le plus beau du défilé de la soirée reste quand même les Invités du Marquis, tous sur leur 31, queue de pie pour certains Maîtres, costumes-cravate ou nud papillon pour les autres, tous aux smokings de grande classe, mais ce sont surtout les tenues des nombreuses Maîtresses qui sont époustouflantes, toutes en robe longue. Le plus surprenant pour le Marquis Edouard dEvans qui salue tour à tour Ses Amis et Amies, baisant la main des Dames et serrant chaleureusement la main des Hommes, est le fait quun dress-code, dont IL ignorait tout, semble avoir été donné à son insu, car toutes les personnes sont habillées de bleu, ce quIL navait pas vraiment noté au départ, mais qui ne peut être le fait du hasard sur lensemble des hôtes, des tenues allant du bleu clair au bleu foncé, en passant par tous les turquoises, bleu vif et bleu vert que la palette infinie des couleurs propose. Pour les hommes, ce sont souvent seulement les accessoires qui sont colorisés (cravate, pochette, nud papillon, ceinture). Le Marquis va de découverte en découverte, en saluant les Invités. Lui qui sattendait à un repas danniversaire en petit comité restreint avec les plus fidèles, tout au plus une dizaine de notables venant des environs, trouvent là tous Ses Amis, certains nayant pas hésité à faire le voyage depuis lautre bout de la France. IL retrouve aussi certaines sommités locales qui sont adeptes de ses soirées D/s et en particulier quelques institutionnels tel le commandant des pompiers et deux avec lesquels IL avait passé sa journée de travail, sans que quoique ce soit ne filtre dans les échanges, ajoutant avec un petit clin dil en les saluant :
- Vous ici, Monsieur le Député-maire, en compagnie de Votre épouse, Madame la Présidente, si javais su que je devais terminer la soirée en votre compagnie à tous les deux, jaurai été plus féroce cet après-midi dans nos discussions daffaires, mais soyez les bienvenus dans cette ancestrale demeure et puissiez-vous passer une agréable soirée à ma table. Je vois que Votre chienne-soumise ne Vous quitte pas dun pouce. Elle semble mieux dressée que lorsque vous veniez den faire lacquisition.
- Bonsoir Monsieur le Marquis dEvans. Oui, nous étions dans la confidence, ayant pour mission de ne rien vous dévoiler de la soirée surprise qui Vous a été préparée, bien quen fait nous ne savons pas grand-chose de plus que ce qui était noté sur le carton dinvitation : « Grande réception D/s au Château de Monsieur le Marquis dEvans pour fêter son anniversaire surprise. Arrivée à 20 heures précises, Tenue de réception avec du bleu impératif en lhonneur de notre hôte. Une chambre au château sera mise à Votre disposition pour Vous retirer et Vous reposer dans la nuit. Vous êtes conviés avec Vos soumis et soumises qui participeront à la soirée festive suivant Vos indications et autorisations. Discrétion souhaitée auprès de Monsieur le Marquis Edouard dEvans, pour lui assurer une surprise totale »
Mais je dois avouer que Votre majordome nous a contacté par téléphone pour nous expliquer de vive voix ce quil en était, sans quoi nous nous aurions été presque tentés de Vous appeler pour Vous remercier de cette invitation, car nous sommes très heureux dêtre ici ce soir, sachant toujours combien Vos soirées sont réussies et succulentes tant au niveau du palais que de tous les plaisirs plus divins et tellement sensuels auxquels Vous nous permettez de participer
Walter, fait pénétrer tous les invités les uns derrière les autres dans le hall dentrée leur demandant de prendre la peine davancer car la nuit fraîche commence à se faire sentir et leur précisant quune première collation va leur être servie dans un petit instant. Monsieur le Marquis dEvans entre à son tour dans le grand hall, quand Walter sapproche pour lui dire quil a été prévu que chaque invité soit photographié en présence du Châtelain devant le décor préparé à cet effet, et quIL va donc être mis à contribution encore avant de pouvoir librement vaquer parmi ses Invités. Le Noble se prête volontiers à cette séance photo, comprenant maintenant la raison de cette grande tenture qui pendait du plafond. Mais juste avant de se retrouver sous les projecteurs, IL monte quelques marches pour prendre la parole, sur un ton ému.
- Chères Amies et chers Amis, Maîtresses Domina et Maîtres reconnus, je Vous souhaite à toutes et à tous une très agréable soirée dans Mes Murs historiques. Pour la postérité, je Vous remercie de bien vouloir Vous approcher les uns après les autres pour une photo souvenir avec Vos soumis/soumises ou sans comme il Vous plaira.
Immédiatement, sortie de derrière la tenture, six soumises viennent sinstaller près du Marquis dEvans qui a pris place devant le décor, deux se mettent droite de chaque côté de la scène, tenant lieu de colonnes humaines qui rappellent le décor de la tenture, les deux autres se positionnent prosternée aux pieds du Châtelain, la croupe dressée vers lobjectif, et les deux dernières se mettent juste derrière Lui, une de chaque côté, lui offrant leur laisse quIL tient en main. Les six soumises femelles sont entièrement nues, leur corps a été recouvert à linstar des esclaves dune peinture métallisée, mais si les mâles arboraient une couleur argentée, les femelles ont la peau de couleur or, recouverte de fines paillettes dans laquelle les lumières tamisées du Grand Hall dentrée du Château se reflètent à merveille. Elles sont presque comme des bougies vivantes légèrement phosphorescentes et dorées. Elles portent toutes un collier en métal avec autour du cou une médaille frappée aux Armoiries des Evans, une chaine qui relie deux pinces seins tombant en ovale sur leur ventre et sont garnies dun bijou danus constitué dun Plug en métal de couleur doré dont lembout nest autre, à lidentique des esclaves mâles, quune reproduction des armoires faite en émail sur métal.
Les Invités, tour à tour prenne place aux côtés du Marquis, seul parfois, ou accompagné de leur animal de compagnie humain
. Walter organise la rotation pour que cela dure le moins longtemps possible, sous lil avisé du photographe professionnel engagé pour la soirée (qui nest autre quun ancien soumis connu dans le milieu D/s), faisant par la suite conduire chacun par lune des esclaves-soumises du Château jusque dans le grand hall de réception, où lapéritif a été servi. Les soumises chargées dassurer les déplacements mais aussi celles qui se tiennent devant chaque porte, sont dans le même apparat que celles qui se trouvent aux pieds du Maître pour la séance de photo. De vraies statues vivantes que lon pourrait croire en or, toutes dociles, acceptant de se laisser peloter par les mains baladeuses de ceux quelles sont chargées de conduire, déjà excités par la soirée qui sannonce très chaude, voire orgiaque
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!