Noémie 2
Le Jeudi matin, deux jours après mon aventure dans le RER, je me rendis comme tous les jours de la semaine, au Lycée. La journée commença comme une journée normale. Les cours du matin, me parurent très long, jusqu'à ce que je remarque que Noémie, une belle fille brune de ma classe, me jetait de frééquents et discrets coup d'oeil, ce qui eut le don de me donner des idées. J'avais déjà couché avec Noémie deux semaines auparavant, et elle avait beaucoup apprécié. Je pensais avoir de bonnes chances de pouvoir la re-séduire même si elle était assez timide. J'étais donc résolu à attendre la fin des cours et à aller la voir, persuadé qu'elle ne refuserait pas que nous couchions une seconde fois ensemble.
Néanmoins, je n'eus pas a à attendre jusqu'à la fin de la journée. Après le déjeuner, je me rendis à mon cours. Comme j'étais en avance, j'attendis devant la salle de classe. De longues minutes passèrent, et personne ne vint, ni le prof, ni aucun élève de ma classe. Je commençais à me dire que je n'avais peut être pas cours, lorsque soudain j'entendis quelqu'un arriver.
C'était Noémie. Lorsqu'elle me vit, elle rougit légèrement, et me dit :
"On a pas cours, de toute l'après midi, les profs font grève."
"Ah, dis je, ils auraient pu prévenir ! Y a pas de bus avant 15h, je vais devoir rester ici deux heures !"
"Oui je sais répondit elle, moi aussi. Tu veux qu'on aille à la bibliothèque ?"
Elle rougit en me disant ça, ce qui me fit penser qu'elle espérait bien plus qu'une innocente après midi studieuse à la bibliothèque... En passant devant les toilettes, j'eus soudain une occasion.
"Je vais aux toilettes me dit elle, tu m'attends".
Sagement, je l'attendis devant, mais quand elle ressortit, je la repoussai dans les toilettes, et entrai avec elle, refermant la porte à clé derrière moi. Elle poussa un petit cri de surprise, mais quand je l'embrassai, elle ne protesta pas, bien au contraire elle me rendit mon baiser avec fougue.
Noémie avait beau être mince, je fatiguai bien vite de la porter. Je me dégageai donc de son étreinte, la reposai par terre, et l'obligeai à se pencher, en se tenir sur le sigèe des toilettes. Elle se laissa docilement faire, et je la pris en levrette. La tenant fermement par les hanches, je lui assenai des coups de rein de plus en plus rapides et violents, comme si mon but était de l'envoyer au plafond à chaque mouvement. Afin d'enfoncer le clou, et de bien lui montrer qui était le patron, je n'hésitais pas non plus à lui des claques sur les fesses. Elle ne semblait pas se plaindre d'être ainsi démontée, et poussait des gémissements de plaisir. Encouragée par le plaisir manifeste qu'elle prenait, j'accélérai encore et en core, jusqu'à ce que finalement, je ne puisse plus me contenir et finisse par exploser de plaisir en même temps qu'elle.
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