Oh Meu Brasil...
Faut que je vous raconte ce qui mest arrivé, il y a deux semaines environ.
Jétais en vacances sur la côte depuis trois jours. Je reçois un coup de fil dun ami photographe professionnel qui me demande de lui rendre un service. Aller chercher à laéroport de Nice un top model brésilien pour une séance de shooting et le ramener à dans une villa louée par la production pour y faire les photos.
« -Tu verras, tu seras pas déçu
!? »
Comme je nai rien à lui refuser, jy suis allé. En route, il me met un SMS avec son nom. Surprise ! Cest un mec. Appelons le
Paulo. Finalement, jaurai pu men passer de ma pancarte. Dans la foule de ceux qui sortaient, il détonnait carrément.
Le flash ! Dans les 22 23 ans , 1,80 mètre, la peau café au lait, une masse de cheveux noirs ondulés, une barbe de trois jours soigneusement taillée, tee shirt de marque et jean déchiré de marque aussi. Mais ce quon remarquait tout de suite cétait son superbe cul et ses magnifiques yeux verts. Pas moyen de le rater.
« -Hello ! I am Jo. I have to drive you to your job
-I. No problem ! Okay ! » sourit-il de toutes ses dents éclatantes en me donnant laccolade !
Déjà, je vois se tourner quelques têtes
féminines mais un peu âgées quand même. La Côte, quoi. Il est super sympa, ouvert, curieux, super décontracté, toujours souriant. Je suis déjà complètement sous le charme. Il vient de Londres où il a enquillé une autre séance de shoot. Comme top model, il a déjà une certaine côte à linternational. Par contre, il na pas du tout la grosse tête, ni blasé, encore frais. On se parle en anglais, parce que mon portugais
Avec un peu de mal la circulation, déjà-, on arrive à la villa. Max, mon ami photographe, laccueille avec chaleur. Ils ont déjà travaillé ensembles.
« -Ca tembêterait de me donner un coup de main pour les éclairages ?
-Pas de problème ! Cest quoi les photos, cette fois ?
-Underwear et swimwear
-Wouah !
-Je savais que ça allait te plaire.
Le coiffeur maquilleur est parti préparer Paulo dans la salle de bain. La collection de slips et de maillots de bain haut de gamme-, est impressionnante.
« -On naura jamais fini aujourdhui !
-Non, cest prévu demain aussi. »
Paulo arrive, déjà en boxer. Sur le petit groupe Max, le coiffeur, le gars de la marque et moi-, il fait son effet. Cest impossible de ne pas être troublé par tant de beauté
Comme tous les tops, il a de beaux abdos, des jambes interminables, il est super bien découplé. Une épaisse ligne de poils file vers son slip. Max le met à laise par deux ou trois plaisanteries. Mais, Paulo, très pro, est très à laise.
Entre chaque prise de vues, Paulo change de slip dans un coin du salon, un peu à lécart, derrière le canapé. Cest le gars de la marque qui lui passe les vêtements. Paulo, en grand pro, se plie avec aisance à toutes les demandes de Max qui rafale à outrance. A un moment, il vient vers moi et me demande si je ne peux pas lui passer les vêtements
Je suis un peu surpris et gêné pour le gars mais je ne demande pas mieux ! Vexé, le gars me file le prochain slip à photographier. On se dirige vers le canapé et je le file à Paulo. Il se tourne légèrement et fait glisser le boxer au bas de ses jambes pour enfiler le suivant. Ca me permet dadmirer ses magnifiques fesses incroyablement rebondies. Je nai jamais vu une telle chute de reins avant. Il se tourne légèrement de trois quarts et tend la main pour que je lui donne le slip suivant, dans un grand sourire. Jai juste le temps dapercevoir le bout de sa bite qui dépasse de sa cuisse
En me regardant droit dans les yeux, de ses yeux rieurs, il se rajuste longuement la bite dans le slip.
« -Its okay, like that ?
-Im sure !! Wonderful !! ».
Le coiffeur vient lui vaporiser de leau sur le torse pour donner une impression de sueur. Et cest reparti pour une nouvelle rafale de clichés. Limage de marque de cette gamme de vêtements joue sur lérotisme à outrance et sur lambiguïté entre hétéro et homo, doù des demandes bien précises de Max sur les poses à prendre pour Paulo.
A chaque changement, maintenant, cest moi qui le rejoins et lui passe le slip suivant. Je me rends tout de suite compte que Paulo se retourne de moins en moins pour se changer, quune fois nu, il traine pour enfiler le slip suivant, se laissant de plus en plus admirer par moi, rien que pour moi. Son corps na ainsi plus de secrets pour moi. Sa touffe de poils est très fournie, une belle bite en arc en émerge. Un tout petit tatouage au pli de laine. Jai même limpression quil bande légèrement Du coup, il me revient en tête ce que mavait dit Max au téléphone comme quoi je ne serai pas déçu. Max connait mon penchant pour les hommes. Jai comme limpression quil est un peu homo sur les bords. Serait-il entrain de me draguer ? Est-ce que je lui ferai de leffet ? En tous cas, pour moi, je sens au creux de mon ventre, un petit nud que je connais bien
Les slips deviennent de plus en plus minis, pour ne pas dire micro. Max décide de faire deux séries. Lune avec les poils qui dépassent de partout et lautre sans. Ce qui suppose un rasage sur les côtés. Paulo est daccord. Il demande donc au coiffeur de le raser dans la salle de bain. Il me demande de les accompagner !! Max mencourage à y aller avec un clin dil complice et coquin. Paulo enfile le plus petit des slips et le coiffeur entreprend de le raser au rasoir mécanique, avec un peu de mousse. Jimagine quun nombre incalculable de femmes -et dhommes- rêveraient de prendre sa place !! Pendant tout ce temps, il me regarde et me sourit. Jai limpression que son slip gonfle légèrement
« -What a job ! No ?
-
Not so bad ! ».
Laprès midi touche à sa fin et on finit la série des underwear. Max voudrait profiter de la chaude lumière du soleil qui baisse un peu pour commencer la série des maillots de bain dans la piscine. Du coup Paulo doit pratiquement toujours être mouillé, ce qui fait quà chaque changement de maillot il plonge, nu, dans la piscine pour se remouiller, car parfois le maillot doit être sec avec seulement quelques taches deau.
« - Bon. Je crois que ça suffira comme ça pour aujourdhui. » lance Max.
-On a la villa à disposition. Ceux qui veulent peuvent dormir ici. On remet ça demain à neuf heures, okay ? ». On range le matériel à lintérieur de la villa. Apparemment, ça nintéresse personne sauf Paulo qui préfère ça à lhabituel hôtel. Passant près de moi dans le couloir, il me chuchote à loreille :
« -Can you stay here this night ? » en me jetant un clin dil coquin.
Plus de doute, cette fois, il me propose carrément de coucher avec lui !
« - I have to think about that !! » je lui réponds en riant, les yeux brillants.
Très vite les autres séclipsent. Max me souhaite une bonne soirée, en rigolant. Il a bien sûr tout compris. Je prétexte de boire un dernier verre pour rester un peu
au bout de combien de temps va-t-il me sauter dessus ? Je décide mentalement de faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Paulo est resté en maillot. Il me propose den choisir un et de le rejoindre dans la piscine. Exprès, je choisis un string ficelle rose.
« -Too small for your
material ! » rigole-t-il.
Pendant un bon moment, on enchaine les longueurs. Ca le détend de son après midi de travail. Il nage un très beau crawl, puissant, rapide. A un moment, il sort, ruisselant deau du bassin : superbe ! Il plonge et essaie de faire toute la longueur sous leau. A cinq mètres près, il y arrive. Pour se reposer, il sallonge sur le bord du bassin. Je nage vers lui et maccroche au bord, tout près de lui. Il ne bouge pas et fait mine de dormir. Je lasperge légèrement. Il pose sa main sur ma tête et menfonce sous leau.
« -Do you want to eat in a restaurant ?
-Why not ? ».
On se rhabille et on se dirige vers le port pour y trouver un restaurant. On trouve une table avec bougie en terrasse, tout près de leau.
« -Vamos a la playa ? » Tiens, il est repassé à lespagnol.
Cette fois, la nuit est tombée. On se balade côte à côte, à se frôler, mais sans se toucher. Mon désir pour lui nen est que plus grand
On marche un bon moment, à la limite de leau. Soudain, il se déshabille complètement et se jette à leau. Il me fait signe. Je le rejoins. Et là, pour la première fois, il approche son visage, ouvre la bouche et attend la mienne. Nos lèvres seffleurent, nos haleines se mélangent, nos langues se touchent
Jempoigne ses cheveux, me colle à lui et lui donne un long, très long et lent baiser. Je sens son sexe se dresser contre le mien, dans leau. On reste ainsi, collés lun à lautre, serrés par nos bras. Je descends mes mains le long de son dos. Jai trop envie de toucher son fabuleux cul. Il durcit ses fesses sous mes mains. Je voudrais rester ainsi jusquau matin. Il a glissé ses mains vers nos bites dressées et collées lune à lautre et les caressent doucement. Je malaxe ses énormes globes, je lui parcours la raie de mon majeur, lui titille un peu sa rosette. Il ondule. Puis je passe derrière lui, me colle à lui, fait glisser ma bite le long de sa raie, tout en le branlant doucement. Il a basculé sa tête en arrière, au creux de mon épaule et me mord le cou. Puis on regagne la plage. Il sassoit juste à la lisière de leau et du sable, appuyé sur ses coudes et semble attendre quelque chose. Je me mets à genoux entre ses jambes écartées et plonge vers son torse en le léchant. Je suis sa fabuleuse ligne de poils, descendant vers sa touffe. Sa bite se redresse, attendant la caresse. Je lui gobe le gland qui a le goût salé de leau de mer. Je le chatouille de ma langue. Il se soulève légèrement pour mieux soffrir. Je glisse mes mains sous ses fesses et lattire vers ma bouche qui lavale de plus en plus. Il a basculé sa tête vers larrière, les yeux clos, la bouche légèrement ouverte. Jai idée que cest sa caresse préférée, je men souviendrai. Je me mets à le pomper à fond, avalant toute sa tige. Il a posé une main sur mes cheveux et accompagne mon mouvement. Il gémit doucement. Jaccélère, je ralentis, je serre, je sors, je malaxe ses boules, je titille son trou. Bref, je lexcite à fond. Ca dure ainsi un bon moment.
« -Come ! Go to the villa to enjoy more and more ! » me souffle-t-il dans un râle.
On se rhabille sommairement et on part vers la villa, plus excités que jamais. De ce côté, la plage est déserte à cette heure et, tous les dix mètres, on se dévore à pleine bouche. Arrivés à la villa, il balance son jean et son tee shirt et vient sasseoir au bord de la piscine, jambes écartées, pieds dans leau. Son slip blanc se détache sur sa peau foncée dans lobscurité. Jai compris. Je me mets à poils, passe de lautre côté, plonge, traverse sous leau et émerge juste entre ses jambes. Jenfouis ma tête mouillée dans son brief blanc, qui dessine un arc parfait, tendu quil est par sa bite. Je le frotte, le mordille, glisse mes mains sous le tissu sous ses fesses. Il entrebâille le haut, je plonge ma bouche. Jy vais de bon cur, je sais quil adore. Sa bite a bon goût. Un goût de mâle, mêlé à un léger goût de sel. De la main, il minvite à remonter sur le bord, sallonge sur la margelle. Je me mets en position de 69, lui offrant ma bite à sucer aussi. On se fait ainsi un bien fou pendant un sacré bout de temps. Ses mains sont magiques, son imagination est sans limites. Je veux bien me mettre à croire que les Brésiliens sont doués pour lamour !
« -Jo, fuck me, fuck me, please. Fuck me hard ! Moi de baise ! » souffle-t-il, en mentraînant vers la villa.
Arrivé dans la chambre, il farfouille dans son sac de voyage et en sort un grand tube de gel. On se jette sur le grand lit de la chambre. Il me tend le tube. Il sest mis en levrette. Avant de lui enduire le trou, jai envie de lui bouffer sa rondelle, de me perdre dans ses magnifiques fesses. Jécarte ses globes, il maide de ses mains, je lui lèche la raie et remonte vers son trou. Toute sa raie est rasée de près. Je salive, le titille du bout de ma langue, menfonce et recommence de plus en plus excité. Il râle de bonheur. Jai attrapé ses boules et les malaxe doucement. Puis, je lenduis copieusement de gel, menduis la bite et vient promener mon gland dans sa raie de plus en plus vite. Il glousse. Je le titille un peu avec un doigt qui passe à laise. Je présente mon gland et commence à pousser un peu. Il se retourne alors sur le dos, jambes écartées, offert. Il veut me voir. Je passe le gland sans aucun problème. Il pousse un petit cri et me bloque, voulant savourer linstant. Ses yeux rieurs me vrillent. Puis, des ses mains sur mes fesses, il me tire en lui tout doucement. Je réalise alors que je suis entrain de baiser un mec que des milliers de personnes rêvent davoir dans leur lit ! Et cest à moi que ça arrive ! Putain quil est beau ainsi offert, fou de désir contenu. Je le pénètre doucement. Je me sens menfoncer en lui, dans la chaleur de son ventre. Je fais mine de me retirer légèrement, il se crispe et me retient de toutes ses mains.
« -E bom, é bom !! Um mais !!» me crie-t-il.
Il sarcboute sur ses jambes repliées pour mieux soffrir encore. Mes mains saffolent sur son ventre, son torse, ses tétons, sa touffe, sa bite tendue vers le ciel. Je menfonce de plus en plus facilement dans son fourreau. Maintenant, je suis totalement en lui. Je fais corps avec lui. Depuis le temps que jattendais ce moment ! Jai le sentiment de le posséder, de le dominer. Je commence à le limer doucement. Il balance doucement sa tête de gauche à droite, les yeux fermés. Jaccélère un peu.
« -Mais rapidamente ! »
Jaccélère encore un peu. Cest trop bon ! Mais, je veux lépuiser dans toutes les positions possibles et imaginables. Je suis sûr quil na rien contre. Alors, je me retire et mallonge sur le dos, ma bite dressée attend quil vienne sempaler dessus. Ce nest sûrement pas à lui que je vais apprendre le secret des positions amoureuses. Il pige tout de suite. A califourchon sur moi, il cherche mon pieu. Cela me permet de branler doucement sa bite. Je peux y mettre mes deux mains, signe de sa belle taille. Son gland dégouline de mouille. Jenduis la paume de ma main et je lui fais lécher. Ca y est, il est complètement descendu sur ma queue et il commence son va et vient en sappuyant sur les mains. Il varie sa vitesse, resserre ou relâche son sphincter, décrit des cercles. Trop bon ! Maintenant, cest moi qui le pistonne. Lui sest légèrement relevé sur ses cuisses et attend mes coups de boutoir. La sueur commence a dégouliner sur nous, rendant nos corps luisants dans lobscurité et glissants. Jaimerais encore le limer dans une position que jadore. Je me retire, le relève et vient ladosser contre le mur de la chambre, passe mes bras sous ses cuisses et le soulève le long du mur. Il saccroche à mon cou et redescend lentement sempaler sur ma bite. Il adore cette position.
« -E bom ! E bom !! » grogne-t-il.
Il sempare de ma bouche, de mon visage, me mordille partout. Ma bite en feu le laboure de plus en plus sauvagement. Je suis excité par ses cris de plaisir. Il ruisselle de sueur. Je sens ses ongles qui senfoncent dans mon dos. Je me déchaîne de plus en plus. Il a compris que cest ainsi que je voulais jouir, alors il se donne à fond, accompagnant mes coups de boutoir au maximum. Je suis hors dhaleine ? Sa bite bandée me laboure le ventre. Je sens une vague de chaleur monter dans tout mon corps.
« -Paulo ! Paulo !! »
Jai joui en criant son nom. Une fois, deux fois, trois fois. Trois longs jets chauds de plaisir trop longtemps contenu. Il membrasse à pleine bouche. Il repose ses jambes au sol. On reste ainsi, imbriqués lun dans lautre contre le mur. Jessaie de récupérer mon souffle. Je lèche la sueur sur son front, ses joues.
« -I also enjoy doing ! » me supplie-t-il.
On ne peut pas résister à une telle demande de la part de quelquun comme lui. Bien sûr que je vais essayer de le faire jouir aussi, et du mieux que je peux en plus. Je crois deviner comment il voudrait ça. Ca ne manque pas. Il sallonge à moitié sur le lit, les jambes repliées sur le sol, la bite offerte à ma bouche
Je vais le pomper, le branler et lenvoyer au ciel. Je lui dois bien ça. Jessaie de déployer tout mon savoir faire mais, en fait, je me laisse emporter par ses cris, son excitation qui monte de plus en plus, les mouvements de son bassin qui deviennent de plus en plus incontrôlés. Jalterne les mouvements de branle et de succion de plus en plus vite. Il a empoigné mes cheveux et menfonce la tête sur son pieu. De mes deux mains superposées jempoigne sa bite et le branle de plus en plus vite
« -Meu deu !!! » a t-il le temps de crier en jouissant sur mon visage. Je le laisse un peu récupérer et je rampe vers lui pour coller mon visage plein de son sperme contre le sien. Il me lèche tendrement comme le ferait un chat.
« -Obrigado ! Thank you for the paradise !! ».
Exténués tous les deux, on ne va pas tarder à sombrer. Moi, collé à son dos, une main sur sa bite, dans une forte odeur de sperme.
Au milieu de la nuit, jémerge de mon sommeil. Il est là, allongé à côté de moi, dormant sur le ventre, les jambes écartées, un bras replié sous lui. Sa bouche légèrement entrouverte laisse entrevoir ses deux incisives, sa chevelure encadre son visage dange tombé du ciel. Il est inouï de beauté. Je ne veux plus me rendormir. Je veux me gaver de ces instants fabuleux, les graver dans ma mémoire pour la vie. Son magnifique CUL, je ne peux men lasser. Je le regarde, le regarde. Bien sûr, le désir revient. Mais, je ne veux pas le violenter, je voudrais que ce soit très doux, presquà son insu
Jeffleure du bout de mes doigts très très légèrement ses fesses. Il frémit à peine. Je continue en descendant un peu vers ses couilles. Il remue un peu plus mais je sens quil dort encore profondément. Peut-être est il entrain de commencer un rêve érotique. Voilà, cest ça que je voudrais. Quil ne sache pas sil est dans un rêve ou dans la réalité. Va falloir que jy aille tout en douceur. Du bout de mon index, je parcours très lentement sa raie, soufflant très légèrement un peu dair chaud sur son trou. Il grogne un peu, remue ses jambes et les écarte encore plus ! Merci ! Jenduis copieusement mon majeur de salive et commence à lui chatouiller la rondelle très très doucement. Jalterne avec de tous petits coups du bout de ma langue. Je regarde un peu sur le côté et je vois que sa bite est raide, mais peut être létait elle déjà avant
Je récupère de la mouille sur mon gland et lenduis très doucement toujours. Jessaie de passer mon petit doigt. Il pourrait passer mais je ne veux pas le réveiller trop vite. Jai pourtant trop envie de le pénétrer ainsi. Jinsiste encore un peu et tout à coup le voilà dedans ! Cette fois, il a encore remué. Jattends sans bouger. Jentends sa respiration qui saccélère légèrement. Est- il encore endormi ? Je commence à le limer très très très lentement. Il remue un peu plus. On dirait que ses fesses se mettent à onduler très doucement ! En tous cas, sil ne dort plus, il fait très bien semblant ! Maintenant, mon petit doigt coulisse parfaitement, alors je décide de changer de doigt. Encore un peu de mouille et hop, je passe un peu le majeur. Doucement, langoureusement, je le dilate. Ses fesses bougent très légèrement en cadence. Je vais tenter le grand coup
Doucement, je change de position pour venir présenter mon gland au contact de son trou. Il tressaille
Tant pis, jen ai trop envie. Je pousse un tout petit peu. Encore, encore
Jy suis ! Je ne bouge plus et lobserve. Il remue un peu les fesses comme sil en voulait encore plus. Encore un centimètre
Trop doux ! Trop cool ! Et cest alors que je vois ses deux mains bouger dun seul coup, mempoigner les fesses dans un éclat de rire et me tirer vers lui ! Le salaud ! Il faisait semblant de dormir ! Mais depuis quand ? Du coup, jempoigne le tube de gel et en verse copieusement sur ma tige et je le pénètre doucement. Il a relevé ses fesses pour mieux offrir son trou à ma bite. Il se cabre encore un peu plus, presquen levrette. Je suis à nouveau à fond en lui, dans la douce chaleur de son ventre. Je le sens qui contracte à plusieurs reprises son sphincter. Je commence mon va et vient, lentement. Il ny a pas encore très longtemps, il dormait profondément, alors il est encore dans un état un peu comateux mais je sens quil sanime petit à petit. Dailleurs, il se retire, se retourne sur le dos et cherche mon dard. Il passe ses longues jambes sur mes épaules, puis vient enserrer ma taille. Je le lie ainsi pendant un bon moment. Soudain, il se redresse et vient se coller contre moi, toujours empalé sur ma bite. Il me sussure à loreille :
« -I want to fuck you
-Its my best wish ! »
Il séclipse un moment dans la pièce et bientôt on entend de la musique brésilienne. A loreille je crois reconnaitre Gilberto Gil ou Chico Buarque. Il me fait changer de position. Jai limpression que je vais avoir droit à un festival ! Il mallonge sur le ventre, juste en bordure du lit et fait plonger ma tête vers le sol et mécarte fortement les jambes. Puis il sallonge entre mes jambes et commence à me lécher la raie. Du bout de sa langue, il magace de plus en plus ma rosette. Trop trop bon ! Je ne sais pas si cest la position qui veut ça, mais jai limpression davoir encore plus de sensations que dhabitude avec cette caresse. Il sen donne à cur joie et me donne des sensations incomparables. Il se redresse un peu sur ses genoux pliés, senduit copieusement de gel et vient me titiller du bout de son gland. Je vais bientôt sentir sa queue en moi, depuis le temps que jen rêve
Je sens sa tendre poussée sur mon trou. Cest cool ! De temps en temps il sécarte et me passe un doigt pour me dilater. Jai senti son gland passer, cest un des moments que je préfère avec le pilonnage à fond. Il progresse très doucement. Je la sens qui avance et je sais aussi que ça va être un sacré morceau ! En même temps, il sest allongé sur mon dos et me couvre complètement. Jadore. Il progresse lentement, se recule et reprend sa progression. Je sens la chaleur de son membre, je le sens parfaitement bien. Quil est doux dans son approche ! Ca y est, je sens ses couilles, il est complètement en moi. Jai limpression que mon ventre est plein de lui. Doucement, lentement, il commence à me limer. Son va et vient est lent mais il saccélère un peu plus à chaque aller retour. Jadore le sentir ainsi fouiller mes entrailles de plus en plus vite, sentir son souffle saccélérer dans mon cou, sentir son corps se durcir contre le mien. Je suis à sa merci. A un moment, il sarrête de me pilonner, reste complètement en moi et me serre à me broyer. Il na pas encore joui mais je pense quil a une autre idée en tête.
En effet, lentement on se décolle et il memmène vers le mur de la chambre. Il me fait mettre à un mètre du mur, me bascule en appui, à loblique sur le mur, bras et jambes écartées au maximum. Comme pour une fouille par la police américaine (une coutume de son pays aussi ?). Il me glisse sur les yeux un de ces trucs quon donne dans les avions pour dormir. Je ny vois plus rien. Puis il sapproche par larrière et, sans crier gare, me transperce dun seul coup dun seul de sa longue bite. Il a agrippé mes épaules en passant sous mes bras et il commence à me pilonner ainsi le plus sauvagement quil peut. Le changement est radical avec avant, mais jadore ça.. Il se déchaine ainsi de plus en plus férocement. Je ne le reconnais plus, lui que je pensais si doux ! Il a raison. Une fois encore, je trouve que la position dans laquelle il ma mis me soumet encore plus à son désir, à son plaisir. Ca mexcite grave ! Du coup jécarte encore un peu plus les jambes, offert totalement. Je lentends perdre son souffle à mesure quil me pilonne de plus en plus fort. Comme jaimerais voir son visage dans ces moments là !!
Mais, une fois encore, ce nest pas ainsi quil a décidé dexploser. Là encore, il sarrête brutalement après s être retiré de mon ventre. Il me prend la main et mentraîne vers lextérieur, vers la piscine je pense. Je lentends qui déclenche la douche extérieure. Il me glisse dessous et vient se lover contre moi. Il membrasse longuement et me retire doucement le bandeau. On est revenu à une phase douce. Il me caresse. Leau tiède nous apaise un peu. Cest trop trop bon dêtre ainsi collé à à lui, sous la douche, dans la nuit, avec la musique de Chico Buarque en fond sonore
Cest sûr, ça restera un grand souvenir de ma vie. Je me mets à chantonner doucement :
« -Oh Brazil, tropical
» Il rigole de toutes ses dents.
Pendant tout ce temps, nous nous noyons dans les yeux lun de lautre, chavirés. Il mentraîne alors vers la piscine. Je crois bien que cest là quil a décidé de jouir. Leau est très douce, pas du tout froide. Il me place le long du mur, de leau jusquaux tétons. Il mécarte les jambes et sa bite cherche mon trou. Facilement, il entre. Cette fois, je vais voir son plaisir sur son visage. Il reprend son va et vient, lentement dabord. La caresse de leau tiède rajoute encore à notre excitation. Je sens bien son membre chaud qui me laboure tendrement. Son dard qui me fouille, je resserre mon sphincter sur sa bite. Il aime. Jai empoigné ses fabuleuses fesses et jaccompagne son mouvement. Il soulève mes jambes, je viens enserrer sa taille. Leau nous porte, cest vachement bon. Son visage est rayonnant. Il se lance dans un baiser fougueux tout en me trombonnant. Ma bite dressée frotte contre son ventre. Je lempoigne et me branle en cadence. Il a encore accéléré les mouvements de son bassin. Il a pris ma main et me branle aussi. Il accentue encore son coup de bite. Il cherche son souffle. Ses yeux sagrandissent, il est rayonnant. Je le sens pas loin du tout de lexplosion.
« -Oh ! Deu ! » cri-t-il.
Ca y est. Il se raidit. Je sens une décharge et son sperme chaud se déverse dans mon ventre. Je me déchaîne sur ma bite car je voudrais jouir en même temps que lui, ou presque. Jai empoigné sa main et je mastique comme un forcené
« - Paulo ! Paulo meu !! ».
Un long jet jaune remonte à la surface. On met un certain temps à récupérer de nos ébats. Paulo a déjà commencé de crawler sur une ou deux longueurs. Puis, on regagne notre lit. Il nest que quatre heures. Paulo sendort presquinstantanément, lové contre moi, sa main sur ma bite. Le rêve
8h30, son portable se déclenche. Il faut se secouer, les autres arrivent à 9 heures. Vite, une douche câline à deux, un rapide petit déjeuner. Paulo a réenfilé son brief vermillon qui le moule à ravir. Il est superbe là dedans. Il décide de rester ainsi vu quil va passer sa journée en maillot de bain. Pour sauver les apparences, et sa réputation, jenfile mon short long. Max arrive le premier. Quand il voit la tête de Paulo, il pousse un cri :
« -De deux choses lune, ou il a passé une très mauvaise nuit, ou une excellente
! » lance-t-il en me souriant, preuve quil ne men veut pas.
« - Va falloir que le maquilleur nous arrange ça ! Dommage, hier ça aurait pu le faire avec les underwear mais aujourdhui, cest plutôt limage saine et sportive quil va falloir donner. »
« -What he say ? » me demande Paulo
« -No problem ! » jose lui répondre.
Et cest reparti pour une longue séance de shoots. A plusieurs reprises, jai eu envie de rire car Max avait replacé Paulo pratiquement aux mêmes endroits que cette nuit, dans la même position. Paulo me souriait dailleurs, il devait penser la même chose que moi. Malgré tout, Paulo reste toujours aussi enjoué, attentif aux demandes de Max et disponible. A sa place, jen aurai déjà eu marre depuis bien longtemps. Pas lui. Comme hier, je lui passe les différents maillots. A un moment, Max me dit :
« -Tu devrais peut-être enfiler un maillot toi aussi, ça serait plus pratique pour lui passer les vêtements
-Okay, si tu veux. »
Vers 11h30, la séance se termine. Cest alors que Max a une idée.
« - Jai envie dessayer un truc. Ils en feront ce quils en voudront. Mais ça pourrait être un angle intéressant. Tu vois, dit-il en sadressant au gars de la prod, cest un truc super ambigu au bord dune piscine entre deux mecs. Ca pourrait coller avec limage de vos underwear
- Je saurai jamais faire ça, lui dis-je.
- On va essayer
»
Et me voilà à prendre des poses au bord de la piscine, pendant que Paulo me lance des illades suggestives. Trop rigolo, vu la nuit quon vient de passer et que Max soupçonne aisément. Mais, cest loin dêtre évident, surtout pour moi qui nais pas lhabitude. En fait, il faut faire attention à tout, tout en paraissant le plus naturel possible !
« -Max, tu sais que Paulo a un avion à 13h30
-Oui je sais, allez on arrête. »
En remballant le matériel, il me glisse à loreille.
« -Je t en ferai une série en double, ça te fera des souvenirs
» Sacré Max !
Lheure du départ approche. Mon cur commence à se serrer. Jamène son sac daffaires à Paulo que se rhabille dans la salle de bain. Lui aussi me regarde gravement. Tout à coup, il enlève son slip vermillon, emballe son parfum dedans et me tend le tout.
« -For you, my dear
». Je sors avant déclater en sanglots.
Comme à laller, cest moi qui le ramène en voiture à laéroport. On a du mal à se parler. Il pose sa main sur ma cuisse et la glisse lentement vers mon entrejambes. Je fais de même, conduisant dune main. Je voudrais quil y ait des embouteillages denfer, quil rate son avion, quon ait un accident
Je ne sais quoi pour retarder la séparation. Juste avant de descendre de la voiture, il membrasse interminablement. Ses yeux se brouillent. Un dernier regard à travers la vitre de la salle dembarquement. Nos doigts se touchent de part et dautre de la vitre. Je me sauve dehors. Je mécroule sur le volant, narrivant plus à arrêter mes larmes. Je veux encore respirer son odeur. Je déballe son slip et le respire. Sur son flacon de parfum, il a écrit au feutre son 06
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