Fais Un Choix
On avait grandis "ensemble",
Je veux dire plutôt qu'il faisait partie des grands de notre village et moi des petites, arrivée à 18 ans, j'ai commencée à aller en boite.
On à commencés à vraiment se connaitre à partir de là et devenir proche.
On se parlait souvent par message, on se voyait, de temps en temps on squattait sa voiture juste pour parler, rien ne se passait entre nous et nous ne le cherchions pas.
Je lui racontais mes déboires amoureux, qui était toujours fort cours, et lui ses histoires qui étaient toujours plus nombreuses...
Dans la pensée, nous étions tous les deux complètement différents.
Moi, je voulais une histoire sérieuse, lui voulais des histoires d'une nuit ... Je pense que c'est de là que nous avions jamais pensés à se mettre ensemble.
De plus, il était protecteur comme un grand frère, c'était chouette !
Mais petit à petit, je ne sais pas comment on à commencés à se rapprocher, il à fallut plus d'un an !
On est pas sortit ensembles, mais on s'est échangés des baisés plusieurs fois... Lui, ne voulait pas aller plus loin, moi non plus...
En soirée, on finissait toujours par s'embrasser mais lui repartait avec une autre fille...
Au début, j'en rigolais, je lui disais : "moi tu me respectes, elle pas ..." mais peu à peu la jalousie à prit sa place, une énorme place !
Alors, j'ai moi-même embrassée d'autre mecs, mais rien n'y faisais et un jour, un peu saoule et enragée à l'idée de savoir qu'il allait partir avec une fille encore,
je partis moi avec un mec dans sa voiture, c'était pas mon genre, mais pourquoi lui et pas moi ?
Mon téléphone se mit très vite à sonner, je le mis sur silencieux, on était sur la banquette arrière et alors qu'il m'embrassait, m'avais juste abaisser mon string et relever la jupe pour y jouer avec ses doigts...
On entendit la portière s'ouvrir et le garçon en fut sortie en deux secondes, lui passait la tête par la porte et me fit sortir, je ne sais pas si il vit ou non sur le moment que mon string était à mes chevilles mais j'étais gênée de le relever devant les gens qui arrivaient ou sortaient de la boite.
On retournait à sa voiture et il ne me dit pas un seul mot, il me déposait chez moi et partit.
Le lendemain, je lui demandais pour le voir, il acceptait et je lui expliquait ce que j'avais sur le coeur, il m'avouait ressentir quelque chose pour moi mais ne voulait pas de sérieux...
Je voulus l'embrasser mais il me repoussait, "dégoûté par l'image de la veille" ...
On continuait à se voir, c'était plus fort que nous, on sortit encore et il partit encore avec une fille, et ainsi pendant un grand nombre de soirée qui s'ensuivit !
Pourtant, on se voyait, on s'embrassait, mais rien...
Une soirée, je le vis partir avec une fille, je les rattrapais et demandait deux minutes pour lui parler.
- Va pas avec elle !
- Si, pourquoi j'irais pas ?
- Parce que ça me fais mal !
- Tu le sais qu'on ne cherche pas la même chose !
- Je sais surtout que tu es amoureux de moi !
- Et ça fais quoi ?
- Que c'est avec moi que tu veux être...
- Je veux pas de sérieux, tu le sais ...
- Emmène moi avec toi...
- Tu es saoule !
- Et alors !?
Et finalement, c'est moi qui partit avec lui, on arrivait dans la voiture et j'allais directement derrière, il arrivait et je détachais son pantalon...
Sortit son sexe, et le masturbait, lui détachais mon pantalon, l'abaissais en même temps que mon string, regardais mon entre jambe, puis me regardais dans les yeux, vint un peu jouer avec sa main dessus...
Assez pour me faire mouiller, me retirais le pantalon et le string et se mit sur moi, je sentis son sexe rentrer en moi, une fois bien dedans, il m'agrippa par les fesses et me dit :
- C'est ça que tu veux ?
En commençant à faire des va et viens, on aurait dit qu'il se sentait "obligé", il n'y avait aucun amour, rien... Il me bourrait comme si il était un robot, il finit par venir et sortit de moi, relevant mon tee shirt et laissant sa semence s'écraser sur mon ventre.
- C'est dégueulasse ! Dis-je.
- Vaux mieux là, qu'en toi ! Dit-il en s'essuyant le sexe avec un mouchoir.
Rattachant son pantalon, il me regardait, moi qui m'essuyait le ventre.
- On ne veut pas la même chose, je t'ai donné ce que tu as voulu aujourd'hui, mais j'en avais même pas envie.
- ...
On repartit dans la soirée, mais je me sentais sale... Lorsqu'il me ramena, on ne parlait pas...
Les autres soirées senchaînèrent et plusieurs fois, la scène se reproduit, c'était juste rentrer, tirer, sortir ... Comme si il avait peur de s'attacher !
Alors que cette situation me convenait pas, mais que c'était plus fort que moi, je lui demandais pour lui parler.
On se vit chez lui, et effectivement, il ne voulait pas s'attacher, c'est pour cela qu'il faisait ça ainsi...
- Tu te rends compte que tu me baises, moi, ton amie, pour qui tu as des sentiments et qui à des sentiments pour toi, comme un vulgaire trou ?
- Oui... Mais ça nous évites de s'attacher plus !
- Tu ne sais même pas comment est mon corps du coup ! Tu baises une fille dont tu n'as pas idée de comment est le corps !
- C'est mieux ainsi.
- Non ! On peut pas continuer ainsi ! Je peux pas être le trou dans lequel tu te vides... Dis-je attristée.
- Et que veux-tu qu'on fasse ? Que l'on sénerve lorsqu'on se voit l'un l'autre partir avec quelqu'un d'autre ?
- Qu'on essaie une histoire ! C'est pas compliqué !
- Non, je pense que c'est mieux que l'on arrête de faire cela.
- T'es vraiment ... Dis-je en partant vers les toilettes.
Les larmes aux yeux, assises sur le bord de la baignoire, je me sentais triste de ne pas avoir pu lui faire changer d'avis...
Je décidais de tenter le tout pour le tout, je me déshabillais complètement et repartis vers le salon.
Je me mis devant lui et ne dis rien, lui fit de grand yeux et dit :
- Waouw !
- C'est à toi, si tu le désires .
- On en à déjà parlés !
- Alors, je te propose un truc.
- Quoi ?
- Dernière fois, ici et maintenant et puis plus jamais nous ne faisons quoi que ce soit, et nous ne parlons même plus d'être en couple et fini les jalousies.
Il y eut un moment de silence et il dit :
- Ok, on fait ça... De toute manière, je saurais pas rester sans rien faire quand je te vois comme ça devant moi !
Il tendit sa main vers moi et prit la mienne, m'amenant vers lui, je l'enjambais, j'étais sur ses genoux, ses mains sur mes fesses avant de remontées sur mes seins, des les caressées, de les serrées...
Ma main descendit à son entre jambe, détachait son pantalon, en sortit son sexe, lui m'embrassait dans le coup...
Je descendit entre ses jambes, pour une fois, je voyais son sexe à la lumière du "jour", je comprenais mieux pourquoi je le sentais bien en moi !
J'y passais ma langue tout le long, lui me regardais, ne ratais pas une miette, alors que ma langue aurais pu donner l'impression de laver son sexe, ou lécher une glace, je finis par faire le contour du gland...
Il semblait aimer ça, le rentrer peu à peu dans ma bouche, pour essayer d'y mettre le plus de son sexe dedans.
Lui, calme continuait à me regarder, moi, je continuais à me donner... Il finit par venir, surprise je retirais son sexe de ma bouche et en reçu sur tout le visage, les seins... Je le regardais, et je n'avais jamais vu une tête aussi surprise de ma vie !
Je me mis à rire aux éclats bien que la situation me plaisais pas et il me suivit, il prit des mouchoirs et m'essuyais avec douceur.
- Désolé, je n'ai pas géré là...
- Pas grave, on à bien rit ! Dis-je.
Il m'aidait à me relever et me couchait sur le divan, ses mains passaient le long de mon corps, et sa bouche vint se loger entre mes jambes...
Il commençait à faire partir sa langue dans tous les sens en même temps de sentir ses doigts en moi, il n'eut aucun mal à me faire venir !
Après quelques mois à s'envoyer en l'air, enfin, plutôt à être un trou, sans sentiments, sans préliminaires.
Je lui demandais de continuer, il continuait, avoir, bon ainsi me donnais envie qu'il n'arrête pas ! Je le sentais jouer avec mon anus, mais cela m'importait peu...
Il finit par s'arrêter, il me regardait et montait sur moi, plaçait son sexe contre le mien et l'introduisait peu à peu aider d'une main, l'autre main préférant caresser mes seins, ma joue...
Il y avait beaucoup de douceur, une fois en moi, il fit des va et viens lent, doux, m'embrassant en même temps, me caressant en même temps ! Il me laissait bien le temps de sentir son sexe en moi.
Même en m'imaginant en couple avec lui, imaginant des nuits avec... Je n'aurais jamais imaginée une tel douceur de sa part !
Moi, je me laissais allée, j'étais bien... Jusqu'au moment où j'eu un orgasme, j'en avais jamais eu de cette façon, seulement lorsqu'on me léchais... Surprise, agrippais ma main au dessus du divan et l'autre à l'arrière de l'accoudoir.
Il me regardait, attendit que je reprennes un peu mes esprits et s'y remit, quelques minutes après c'est lui qui vint en moi.
On reprenait tous les deux nos esprits, notre souffle, on s'allumait une cigarette, moi j'essuyais ce sperme qui chercher à s'évader sur son divan.
- Tu m'épates là ! Dis-je.
- Pourquoi ?
- Je ne te savais pas si doux...
- Je l'ai été parce que on à décider que c'était notre dernière fois et que je te respecte beaucoup, et tu comptes pour moi, alors autant que tu t'en souviennes en bien.
- Je vais faire une croix au plafond, tu es trop gentil !
Nos cigarettes finies, on restait quelques minutes là, à rien dire, moi je regardais son sexe, lui regardais dans le vide...
- On se rhabille ? Dis-je
Il tournait la tête vers moi, me regardait totalement, passait sa main sur sa jambe, il se remettait déjà à bandé, pas vraiment dur, mais c'était déjà pas mal...
- C'est fini, on avait dit dernière fois.
Il m'embrassait et puis me retournait, je me retrouvais les fesses vers lui et il dit :
- Oui, mais j'aimerais aller par là si je ne dois plus jamais te toucher !
A peine la phrase dite que je sentis son sexe rentrer dans ma chatte et ressortir pour aller pousser contre mon anus, me faisant me mordiller les lèvres.
Prise par les hanches me faisant pilonner, et bien que j'avais mal, j'étais ravie de voir que je lui faisais cet effet là !
- Dis, si on se met ensemble, je te laisse aller par là quand tu veux !
Il ne répondit pas et continuait à se donner à fond, il finit par se lâcher dans mon cul, il attendit un petit peu avant de sortir... Et sortit essoufflé.
Moi je pris un mouchoir et fit en sorte de ne pas en mettre partout...
Il vint me faire un bisou sur le front et me dit :
- Tu es génial, tu rendras quelqu'un qui te mérites plus que moi heureuse !
Je ne répondis pas, ce n'est pas ce que je voulais entendre...
Après être partie prendre une douche, m'habiller, je partis... Fin de la semaine, on repris nos habitudes de sortir, mais il ne se passait plus rien.
Lui emmenait la plupart du temps des filles dans la voiture, moi je fulminais mais ne disais rien, je tentais à mon tour de pouvoir à nouveau regarder quelqu'un d'autres.
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