Johanna La Nouvelle Employée.
Johanna la nouvelle employée.
Je mappelle Johanna, jai vingt ans, jai de longs cheveux bruns, je mesure 1 mètre 60, avec de petits seins. Je viens dêtre embauché, il y a quelques semaines dans une petite entreprise parisienne qui importe des vêtements pour les revendre sur internet.
Je suis lassistante du gérant dOlivier, un homme dun bon mètre 80, 40 ans, roux, ni beau, ni moche, je dirais plutôt quelconque, qui travaille seul dans son entreprise et qui avait besoin dune personne pour le seconder.
Olivier doit souvent sabsenter pour se rendre chez des fournisseurs ou sur des salons pour choisir sa marchandise. Lorsquil est au bureau, jai bien remarqué quil me matait discrètement du coin de lil, mais rien de plus.
Il est bientôt 17h00, je me prépare à partir, quand Olivier vient me voir et me dit : « je vais avoir besoin que tu maccompagne 2 jours sur un salon dans le sud de la France, à Nice pour être précis, ce sera bien pour toi ça te permettra de rencontrer nos fournisseurs ».
La proposition me surprend, mais je suis là que depuis quelques semaines et je ne me vois pas refuser, et après tout, Nice, il y a pire comme destination.
Le lendemain, 5 heures du matin, Olivier passe me chercher chez moi avec sa voiture, et nous voilà parti tous les 2, direction Nice. Pendant, le voyage, je sens à plusieurs reprises la main dOlivier qui confond un peu ma cuisse avec le levier de vitesse de la voiture.
Arrivée à Nice nous allons de stand en stand pour rencontrer nos fournisseurs, quelques remarques graveleuses fusent sur mon physique, cest vrai aussi que pour faire bonne impression, jai mis une jupe assez courte, Olivier lui ne se gêne pas pour me caressé régulièrement le dos, voir même un peu plus bas.
Cest tout, la journée se passe, nous allons rapidement manger dans un restaurant installé sur le salon et nous regagnons notre hôtel, il est déjà 21 heures.
Arrivée à lhôtel, Olivier me dit : « A oui au faite, jai pris quune chambre dhôtel, tu comprends, nous sommes une petite entreprise avec peu de moyen et Nice est une ville très chère ».
Je lui répondis : « comment ça une seule chambre ? »
Il rétorqua : « oui, mais ne tinquiète pas, tu prendras le grand lit et moi le lit superposé en haut ».
Arrivé dans la chambre dhôtel, je profite quil soit parti prendre sa douche sur le palier, pour enfilé ma nuisette et me glisser sous les couvertures afin quil ne me voit pas ainsi. Il faudra juste que je me lève de bonheur demain matin pour mhabiller et le tour est joué.
Quelques minutes plus tard, Olivier arrive en peignoir, le retire, et là, nu comme un ver, il me dit : « finalement le lit du haut et beaucoup trop petit, je vais plutôt dormir avec toi. Je ne sais pas toi, mais je dors toujours nu, je suis plus à laise ».
Je suis transi deffroi, je voudrais bien protester mais aucuns mots narrivent à sortir de ma bouche. Je le regarde, cest vrai que son visage est quelconque, mais son corps est plutôt avantageux, de larges épaules, un torse musclé et une belle paire de cuisse, quand à son sexe un bon 25 centimètres, garni de poils roux comme ses cheveux.
Il est vrai que je suis célibataire depuis pas mal de temps et que ma dernière relation sexuelle remonte déjà à presque 3 mois. En plus je suis encore en période dessai et mes financements ne me permettent pas de perdre cet emploi.
Olivier sapproche du lit, se glisse sous les draps à côté de moi, il éteint la lumière et commence à me caresser la cuisse. Je sens son sexe durcir au contact de mon corps. Mon cerveau me dit de sortir immédiatement de ce lit, mais mon corps lui me dit exactement le contraire. Je suis tiraillée par ce dilemme, quand Olivier soulève ma nuisette et les mets tous les deux daccord en enfournant son membre généreux dans mon fourreau.
Olivier, allongé sur moi commence des mouvements de va et viens de plus en plus rapide, au début je subis ses assauts, mais au bout dune minute, je commence à ressentir une certaine excitation, cest vrai quil a quand même un certain savoir-faire et de lexpérience, surement dû à sa maturité et à une plus grande expérience que moi du haut de mes vingt ans.
Au bout de cinq minutes, il se redressa et me dit dun ton autoritaire de patron : « met toi à 4 pattes ». Je mexécutais, sans broncher, comme paralysé par la peur. Il se mis derrière et menfourna de nouveau son sexe dans ma chatte humide dexcitation, et repris son va et viens pendant dix bonne minutes avant déjaculer dans un grand râle de plaisir et de sallonger sur mon dos pour sy endormir.
Je me sentais à la fois comblé par cet amant et honteuse et me demandais comment notre relation professionnelle allait se poursuivre après cette nuit torride.
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