Imprévu À L'Hôtel Avec Le Patron !
Lorsque lon me demanda de partir en déplacement professionnel pour aller visiter lun de nous fournisseur en Allemagne, ma première réaction fut la joie et la satisfaction. Après une année de travail, jétais enfin devenue une personne à qui lon faisait confiance dans lentreprise. Mon patron, un homme âgé de la cinquantaine et du nom de Christian, était venu me demander, un jeudi, de laccompagner pour un audit la semaine suivante. Jacceptai avec un grand intérêt.
Agée de 21 années, je mappelle Claire et je suis plutôt une fille de petite taille.
Les cheveux blonds mi-longs, jarbore un visage fin aux yeux bleu foncé. Quant aux mensurations de ma poitrine, si cela vous intéresse, je fais du 85 B.
Pour mon tout premier déplacement professionnel, il ne se déroula, bien sûr, absolument pas comme je lavais imaginé au premier abord.
Suite à la première journée de voyage, nous arrivâmes donc à lhôtel que notre entreprise nous avait réservé pour le déplacement. Il était déjà bien tard et il faisait déjà nuit. Cétait un hôtel de très bonne classe qui donnait sur la rue principale de la ville dans laquelle nous séjournions. Je suivis donc mon chef, traînant ma petite valise rose derrière moi, pour entrer dans un hall dentrée très accueillant au sol et au comptoir recouvert entièrement dun marbre brun de bonne qualité. Lorsquil nous aperçut, le réceptionniste, un homme dune trentaine dannée aux yeux bruns, éleva le regard et nous accueillit en allemand avec un aimable sourire. Mon chef Christian savança donc et annonça notre réservation. Toute la conversation se poursuivit en anglais.
Au bout de quelques minutes, après que nous ayons finalement annoncé nos noms ainsi que celle de notre entreprise et après que le réceptionniste ai cherché en vain nos chambres allouées, ce dernier se tourna vers nous dun air désolé.
La réservation quavait faite notre agent de voyage avait comporté une erreur.
-Que fait-on alors ? lui demandais-je.
- Il est plus de 22 heures, cest un peu tard pour rechercher un autre hôtel pour la nuit ! Tu ne crois pas ?
- Ca va être un peu difficile, oui ! lui répondis-je bêtement.
- Je vois bien une solution mais
- Que nous prenions la même chambre ? Linterrompis-je en voyant son air gêné.
- Oui, Claire ! Tu serais daccord ? me demanda-t-il alors.
- Euh
Jhésitai un long moment. Ben, si nous navons pas le choix !- Je crois justement que nous ne lavons plus à cette heure-là !
- Bon ben daccord ! acceptais-je finalement sans grande conviction.
Il me sourit et se retourna auprès du réceptionniste, lair satisfait. Il lui confirma alors que la seule chambre disponible ferait laffaire. Dans son dos, je triturai la poignée de ma valise, profondément gênée de savoir que je me devais de passer la nuit dans la même chambre que mon chef de groupe.
Le réceptionniste nous annonça quil nous ferait bien entendu une ristourne et sexcusa une nouvelle fois du problème rencontré avant de nous tendre la clé de la chambre. Elle portait le numéro 18. Christian la prit et minvita à le suivre jusquà lascenseur. Je saluai lemployé poliment et suivit mon chef.
La chambre était assez grande. Et comme je le craignais, elle disposait dun seul grand lit aux draps de couleur blanche et rouge. Il y avait une grande salle de bains à la porte ouverte qui laissait entrevoir une baignoire sur un fond de marbre gris. En face du lit, il y avait une télé fixée au mur et un petit bureau de bois collé contre dessous. Je déposai ma valise auprès du petit bureau et prit la chaise pour masseoir tandis que je bouillais dinquiétude.
- Je suis vraiment navré, Claire. Je le signalerai à la direction
tu peux en être sûre !
Je hochai la tête sans savoir quoi lui répondre.
- Enfin, de toutes façons, ce nest que pour une seule nuit.
Il se tût un moment puis reprit :
Tu vas prendre ta douche en premier ou bien jy vais moi !
- Allez-y, je serais peut-être plus longue que vous !
Il me sourit et me fixa dun air amical.
- Bon, si nous devons partager la même chambre, Claire , arrête plutôt ses formalités et tutoie-moi, ce sera plus simple pour nous deux.
- Très bien, lui souris-je.
- Parfait, alors jy vais. A tout de suite
Il séclipsa en emmenant sa valise avec lui dans la salle de bains puis referma la porte. Je patientai alors son retour.
Lorsque ma douche fût faite et après mêtre préparée pour la nuit, je ressortis de la salle de bains pour trouver mon chef Christian déjà dans le lit. Il portait un t-shirt blanc et avait remonté la couverture jusquà son ventre. Il lisait un prospectus à ladresse de lentreprise que nous allions visiter le lendemain. Il se retourna et me découvrit dans mon pyjama de coton rouge comportant un simple chemisier et un pantalon qui me descendait jusquaux pieds. Je rougis de honte lorsquil me reluqua de haut en bas.
- Je pense que nous devrions nous coucher assez vite. Nous avons rendez-vous demain à 8h30 et nous devons encore prendre notre petit déjeuner avant.
- Daccord. De toute façon, je suis pour ma part, très fatiguée.
Je traînais ma valise pour la placer contre le mur puis contournais le lit à pas précipités pour glisser rapidement sous la couverture afin de ne pas trop en laisser voir de mon pyjama honteux. Il me regarda dun air perplexe.
- Par contre, Claire, je crois que je ronfle la nuit. Si cest comme ça, nhésite pas à me réveiller.
- Ça ira je pense, dis-je dun air poli. Loin de moi lidée de réveiller mon chef en pleine nuit à cause de ses nuisances sonores.
- Bon
OK.
Je minstallai ensuite en position allongée sur le matelas et rabattit loreiller sous ma tête. Je mécartai au mieux afin de ne pas trop le coller. De ma position, je sentais son déodorant masculin que je trouvai fort agréable.
- Cest bon ? Je peux éteindre ?
- Oui, cest bon !
Il se pencha alors du côté opposé et éteignit la lumière en agissant sur linterrupteur situé à proximité du lit. Puis je le sentis bouger pour senfoncer dans les draps. Je nosai bouger tandis que jentendis sa lente respiration à mes côtés dans le noir de la chambre dhôtel.
Au bout de cinq minutes, alors que je mapaisai de la situation et que je sentais doucement le sommeil menvelopper, je sentis Christian remuer dans le lit. Je devinai quil venait de se placer face à moi et je sentis sa main chaude me toucher le bras au travers de mon pyjama. En chuchotant, il mappela :
- Claire ?
- Oui !
Je sentis alors sa main se poser sur mon bras puis il se mit à passer sa paume le long de ma manche.
- Ça te dérange vraiment que nous soyons dans le même lit ?
- Euh
non ! lui répondis-je sans y croire vraiment. Tout ça pour ne pas le décevoir.
Je le sentis alors se rapprocher de moi en glissant sur le matelas. Il glissa son bras et mattrapa la main. Il avait la peau quelques peu rugueuse.
- Quest-ce que vous
Quest-ce que tu fais ? menquis-je, perplexe.
- Tu nas rien contre le petit plaisir dun homme ?
Et sans men dire davantage, il se rapprocha encore et vint plaquer le dos de ma main fine contre lui. Je sentis, surprise, en contact direct contre ma peau, le tissu de son slip ainsi que la forme déjà bien allongée de son pénis à demi-dur. Il se frotta en remuant le bassin contre ma main. Tout se passait sous les draps. Je ne trouvai les mots pour exprimer ma gêne.
- Jen ai pas pour très longtemps, Claire, je te promets.
Et en silence, il poursuivit activement à la recherche de son plaisir. Et tout cela à mes dépends.
Il glissa sa tête sur loreiller et se rapprocha toujours plus de moi.
- Est-ce que ça te gène si je glisse ta main à lintérieur de mon slip ?
- Je
hésitai-je, tandis quil sappuyait toujours plus lentrejambe contre le dos de ma main.
- Je voudrais bien que tu me masturbes, Claire ! Personne nen saura rien dans lentreprise, je te le promets. Ils ne sauront même pas que nous avons partagé le même lit.
- Daccord, lui soufflais-je alors malgré la gêne certaine quil minspirait.
- Merci.
Il se remit en position allongé sur le dos tout en ne lâchant pas ma main de la sienne. Il se replaça à son aise et je le sentis lever mon bras avant de le déposer délicatement sur son torse. Puis il le fit descendre et mes doigts se glissèrent sous lélastique de son slip quil avait soulevé pour maccueillir. Je sentis dabord son gland, bien gonflé sous lenvie quil ressentait. Puis il me fit glisser sur lui, jusquau fond, et ma paume se retrouva contre sa verge tendue. Elle était brûlante de son envie. Il relâcha lélastique de son slip qui claqua, enfermant ma main à lintérieur, tout contre son sexe, comme un piège. Jenveloppai alors mes doigts et sans plus réfléchir, je me mis à le caresser. Javais tout juste 21 ans alors que lui devait bien avoir plus de la cinquantaine. Mais il semblait se détendre sous mon contact qui lui paraissait tant agréable. Je le masturbais directement dans son slip.
Je lentendis gémir dans le noir, tandis quil relâcha mon bras et se laissa faire.
- Claire, cest agréable ce que tu fais
cest bien
continue.
Il gémit à nouveau alors que je le sentais se tortiller toujours plus sous les draps.
- Mais
vous êtes mariés, Christian ? Javais repris sans le vouloir mon vouvoiement.
- Oui, mais tu fais ça mieux que ma femme, continue encore
Je sentais au bout de mes doigts ses gros testicules tandis que ma paume, enroulée autour de son gros membre, faisait son travail. Malgré mes gestes quelques peu s, je sentais néanmoins le désir sinsinuer en moi. Le contact avec un pénis bien redressé dans lobscurité dune chambre dhôtel me donnait une envie indescriptible qui minondait de chaleur. Je me relevai donc de mon oreiller et la main gauche toujours dans son sous-vêtement, jécartai les draps. Dans la pénombre, je le vis me regarder quelques peu étonné mais il garda le silence, déjà satisfait de la situation.
Jécartai alors son slip, faisant ressortir son long sexe à lair libre et je me penchai timidement sur lui. Du bout des doigts, je redressai le gros pénis qui me faisait envie. Je savais quil me fixait dans la pénombre. Je me courbai alors, et du bout des lèvres, chercha le gland apparent. Je le trouvai et, toujours avec une envie certaine, je le gratifiai de cinq baisers saliveux avant de le fourrer dans ma bouche étroite.
-Aaaah
. lentendis-je gémir empreint dun plaisir coupable.
Je commençai alors à le sucer. Le bout de son gland, malgré ma salive déposée avait un petit goût acide, sans doute dû à son passage aux toilettes avant de venir se coucher.
Mais cétait bon ! Cétait délicieux que de ressentir un gros sexe brûlant contre ma langue. Je lovai mes lèvres autour de lui et entreprit ma lente fellation.
- Claire, je ten demandais pas tant, mais continue
.
Je le sentis mattr de sa main droite mon crâne et ma chevelure. Il désirait ressentir les mouvements de ma tête tandis que je mactivais le long de son pénis tendu comme un pieu. Je faisais glisser la moitié de la longueur de son membre dans ma bouche, et je lentendis, à de nombreuses reprises, gémir de plus en plus fort, suite au bonheur que ma bouche lui procurait.
- Laisse-moi allumer la lumière, Claire ! Je veux te voir me sucer ! Je veux rêver en te regardant faire !
Il se contorsionna alors que je faisais des efforts pour le conserver en bouche puis la lumière principale de la chambre salluma. Il se replaça à son aise, légèrement rehaussé sur son oreiller, et me contempla, sa grosse queue dans ma bouche déformée.
Il me sourit.
- Allez suce ! Ne tarrête pas, tu fais ça si bien
Il me fixait avec passion. Ma chevelure blonde penchée sur lui. Son slip rouge était baissé à mi-cuisse et je me retrouvai nez à nez avec ses poils pubiens de couleur noire et légèrement odorants. Je repris alors la fellation que javais commencée dans lobscurité. Il ferma les yeux, et poussa une nouvelle fois un petit cri de plaisir.
Il éleva encore la main pour me caresser les cheveux pendant que je remuai de haut en bas la tête sur lui et que je salivai bien sur son sexe bandant.
Soudain , il mattrapa par le front et me fis marrêter.
-Claire, attends, je voulais te demander avant de jouir
-Quoi ?
Je me redressai, quittant ainsi son pénis qui retomba sur son ventre, toujours bien tendu, et le fixait dans les yeux, me rendant compte que javais presque oublié que cétait mon patron.
-Tu
Tu me laisserais me glisser entre tes fesses ?
-Je vous demande pardon ?
-Je voudrais me placer dans ton cul
Je le regardai, surprise
-Pou
pourquoi ? balbutiai-je.
-Cest lun de mes fantasmes. Ma femme ne me laisse pas le faire
-
-Tu sais, si tu ne veux pas
-Euh
A cause de la fellation, mon désir sétait épanoui. Et même si mon esprit me refusait cette pratique immonde, mon corps trembla à savoir que je pouvais me faire baiser ce soir-là. Et même si cela devait passer par la sodomie.
-Oui, répondis-je finalement, dune petite voix.
-De quoi, oui ?
-Je veux bien
-Mais, las-tu déjà fait ?
Je secouai la tête, éhontée de ce manque dexpérience.
-Moi non plus
alors je vais faire ça du mieux que je peux.
Toujours penchée sur lui avec son slip baissée, je donnai un dernier baiser à son sexe dur et basculait pour mallonger sur le ventre à coté de mon patron. Satisfait, il se redressa à son tour puis enleva dune main son slip pour le lancer sur le sol de la chambre. Il vint se placer derrière moi.
-Merci Claire !
Il avança sa main pour me caresser lépaule gentiment et recoiffer un peu ma chevelure désordonnée.
-Encore une fois, reprit-il, je ne le dirai à personne. Il se pencha sur moi et membrassa gentiment sur la joue. Jétais prête à me faire enculer par lui et il en était parfaitement satisfait.
Il glissa ensuite ses doigts tout le long de ma colonne vertébrale, puis sarrêta sur mes fesses rebondies. Javais honte de mon pyjama de coton de gamine.
-Je peux te baisser le pantalon ?
-Oui, Christian, allez-y !
Et je le sentis enfouir ses doigts sous lélastique de chaque côté de ma taille, puis tirer le tissu sur mes cuisses, découvrant ainsi ma culotte bleu ciel et mes fesses rebondies. Je le sentis sasseoir sur mes mollets et en tournant la tête, le découvrit se masturbant dune main rapide en regardant mon arrière train. Puis il vint de nouveau à moi pour tirer ma culotte en arrière. Je soulevai mon bassin afin de laider dans sa démarche tandis que je mouillai en sachant que je me découvrais devant un homme avec beaucoup plus dexpérience que moi.
Tout en se tenant le sexe, il mécarta les fesses de son autre main et se pencha sur moi. Etonnée, je sentis son nez sinsinuer entre mes formes et sa langue venir me chatouiller le cul.
Je me détendis aussitôt, le corps inondé de frissons électriques. Jappuyai mon visage contre loreiller à la douce odeur de lessive de lhôtel pour réfréner mon envie de crier de plaisir.
-Je vais essayer de te détendre, sinon je pense que tu auras mal
-Je sais
-Et puis cest un plaisir de te manger le cul.
Je souriais bien quil ne pouvait absolument pas le voir. Il reprit sa démarche. Je sentais sa langue baveuse glisser sur mon cul étroit et descendre parfois sur ma chatte humide pour récolter la cyprine qui filtrait au travers de mes grandes lèvres intimes. Puis il me renifla avec délectation tandis que je me sentais profondément honteuse dexposer mes odeurs à mon patron. Je ressentis alors un long doigt saventurer contre moi avant de le découvrir me massant mes muscles anaux. Puis Christian chercha à entrer le bout de son ongle, ce quil parvint à faire au bout dune longue minute. Je tremblai sur le lit tandis que ma chatte dégoulinante imprégnait le drap de mon fluide brûlant. Javais envie de me faire enculer. Javais envie de me faire bourrer le cul par mon patron ! Là ! Directement dans lhôtel qui recevait notre voyage daffaires. Je ne me sentais plus ! Et enfin, après avoir réussi à enfoncer un second doigt dans mes entrailles, je sentis sa main séloigner tandis quil remonta sur moi. Il plaça une main en appui sur le matelas à mes côtés, puis me domina de toute sa carrure directement dans mon dos. Il plia ses muscles et vint finalement placer son pénis pendant entre mes fesses. Avec des mouvements saccadés pour rechercher lentrée, il cala son gland contre mon anus inexpérimenté.
-Nous y voilà, Claire. Tu me donnes toujours lautorisation ?
-Oui
Oui ! Enculez-moi !
-Oh, oh, comment tu y vas
Et tout en se crispant, il se tortilla et je le sentis me forcer le cul avec le bout de son gland. Je fermai les yeux et me concentrait sur lengin chaud qui était sur le point de sinfiltrer entre mes fesses. Il poussa, il poussa, mais ny parvint pas.
-Bon sang, jura-t-il.
Il glissa de nouveau une paume entre mes formes et rentra de nouveau un doigt pour ouvrir le passage puis se reprit. Il poussa de nouveau avec son gland puis à bout de force saffala sur moi.
-Ça ne veut pas rentrer, souffla-t-il ! Tu as le cul trop serré
-Essayez encore !
Son torse demeurant appuyé contre mon dos, je devais supporter lensemble de son poids. Mais il se reprit lentrejambe et fort de cette position dominante me chercha entre les fesses. Quand il meut trouvé, il appuya sa queue dressée comme un bâton et enfin réussit à me pénétrer au prix dun effort certain. Je sursautai alors de douleur.
-Aiieee !
-Pardon, sexcusa-t-il. Cest que je ne sais pas faire !
Mais limportant était quil était finalement en moi. Son gland bien glissé dans mon cul.
-Je suis dedans, Claire, tu me laisses continuer ?
Je hochai la tête, serrant mon coussin de toutes mes forces sous la douleur puis il me remercia, saffala encore sur moi et enfin se mit à me besogner en remuant le bassin contre moi. Jécartai les jambes pour atténuer la douleur mais ma culotte, tendue entre mes cuisses, me gênait. Il enroula ses bras autour de moi, attrapa mes seins entre ses paumes et se mit à me sodomiser de plus en plus vite, se faisait fi de ce que je ressentais.
-Cest trop bon, Claire ! Cest serré, cest chaud
. Laisse-moi te baiser.
Je métonnais des paroles de mon chef, mais je compris que sous le plaisir, les mots pouvaient sécouler comme de leau.
-Oh cest bon de bourrer le cul dune femme. Merci, Claire, merci !
Il me lâcha un sein et glissa sa main contre mon ventre puis posa un doigt contre ma fente humide. Il me tripota la chatte tandis quil mécartelait le cul de son gros pénis. Javais mal mais je ressentais bien entendu le plaisir de recevoir une telle chose entre mes fesses. Je lentendis finalement commencer à respirer difficilement, avec saccades. Il nen pouvait plus de me besogner comme un forcené. Je ne bougeai pas et le lit tremblait dans tous les sens tellement il mettait de lardeur à la tâche.
-Claire, tu me laisses éjaculer dans ton cul.
Je pivotai le visage et lui demandai néanmoins.
-Il ny a pas de danger ?
-Non, pas du tout !
-Vous en êtes sûr ?
-Oui ! Alors, tu me laisses faire ? Je suis sur le point de jouir ! Tu te nettoieras le cul après si ne tu veux pas de mon sperme en toi
mais sil te plait
-je
-Claire, laisse-moi éjaculer dans tes fesses
-Ok.
Et tout en le sentant heureux de ma réponse, il mattrapa par la taille afin de me soulever par le bassin et le pyjama toujours baissé, il me bourra de tout son soûl à tel point quil me fit avancer sur le matelas tandis que jétais à genoux dans ses bras. Il se mit alors à grogner dans mon oreille, enfouissant son visage dans ma chevelure de soleil et je sentis un liquide brûlant exploser comme un geyser en moi.
Il était en train déjaculer dans mon cul. Non seulement je me faisais enculer par mon patron mais je recevais encore sa semence chaude en moi, et ce même sil était marié depuis un long moment.
Il se plaqua trois ou quatre fois violemment contre moi pour accompagner ses giclées de sperme frais puis me susurrait avec délectation quil navait jamais ressenti un tel plaisir avec sa femme. Je laccueillis en moi en gémissant également, car ma chatte brûlante était en train dexploser à son tour de plaisir. Emboîtés tous les deux sur le lit de lhôtel dAllemagne, presque 1 heure passée à lhorloge, nous prenions notre pied entre patron et employée.
Finalement, il se tarit puis me relâcha tandis que je tombai, recroquevillée sur le matelas. Il maccompagna puis demeura un instant fourré en moi avant de sextirper tout honteux de mes fesses.
-Merde, je suis désolé, Claire
-Ça va, pas de problème.
-Vas vite te laver, jai un peu honte de savoir que tu gardes mon sperme en toi.
-Ne vous inquiétez pas, ça ne risque rien !
Et je remontai ma culotte et mon pyjama sous son il étonné tandis quil avait pris un mouchoir en papier pour sessuyer le bout de son sexe souillé.
Je me glissai de nouveau sous les draps, son sperme frais en moi, avec un mal au cul incroyable pour ma première sodomie.
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