La Saga Des Esclaves Au ... Special 300 Ème Épisode (4Ème Partie)
Lanniversaire du Marquis dEvans (4 ème partie) -
Commence alors ce somptueux banquet par le service du premier plat qui est un enchantement pour les yeux que chaque invité découvre presque instantanément, car les assiettes sont déposées par les esclaves, devenus pour lheure serveur et serveuse, au même moment sur un signe de la main du Majordome, qui mène la soirée à la baguette, tel un chef dorchestre. Marie, la cuisinière a fait dans le raffinement en créant un spectacle culinaire presque D/s, il sagit de petites cailles qui ont été désossées en ne conservant que les os des pattes, puis fourrées au foie gras pour pouvoir reprendre forme avant dêtre coupées en deux ouvertes sur une assiette de faïence de Delft bleue recouverte de petites billes de gelée pour la stabilité du chef duvre. La caille ainsi positionnée ressemble presque à un corps de femme sur le dos, pattes ou jambes écartées, dont la mise en scène est complétée par des fleurs comestibles, une pensée bleue pour la tête, et trois petites fleur bleue de bourrache qui sont posées pour lune juste à lentrecuisse en clin dil impudique et pour les deux autres tenant lieu de seins dans le décor, qui est également complété par quelques très fins filets dune gelée de figue liquéfiée qui imite un collier de soumission et un bondage sur le corps de la caille ainsi servie
Le Marquis dEvans est subjugué par la finesse de la préparation, IL savait depuis longtemps que sa Marie ne manquait pas dimagination, mais visiblement elle semble sêtre surpassée, surtout que le fond vaut la forme car le mets savère délicieux pour le plaisir des palais tout comme il avait été ravissant et sensuel pour le plaisir des yeux. Un verre de Château dYqyem, un des meilleurs bordeaux blancs liquoreux accompagne ce premier plat. Une musique douce et mélodieuse est jouée par un orchestre composé desclaves musiciens jouant nus, orchestre qui se trouve au fond de la grande pièce, donnant juste un léger fond sonore pour ne pas gêner les conversations, mais permettant quand même de ne pas laisser juste les bruits des couverts en argent à manche doré à lor fin consti la seule animation sonore du repas.
Walter, ayant constaté que les convives avaient tous fini de déguster la caille bondagée, éteint les plus grandes lumières, dans une pénombre plus tamisée, le service de desserte des couverts et assiettes se fait tandis que le premier spectacle de la soirée commence. Les guirlandes bleutées sont allumées, ainsi que les esclaves-bougeoirs, dont le Marquis constate à ce moment là, que finalement elles étaient au nombre de 4, deux dans le prolongement de sa place, mais deux également en bout de chacune des deux tables évasées. De nouvelles lumières sallument au plafond, et dans la pénombre, il est encore difficile de constater ce qui se passe et quelle est lorigine de ses lumières qui descendent peu à peu pour se positionner à deux mètres du sol. Quatre soumises bondagées, en suspension, encerclées de guirlandes lumineuses autant que de cordes tiennent maintenant lieu de lustres provisoires. Le Marquis qui sait que son plafond na pas de trous, même sil est muni de plusieurs crochets qui ont déjà été utilisés par le passé, se demandent depuis combien de temps ses quatre femelles dociles étaient perchées tout là haut, attendant immobiles, suspendues par une simple corde, alors quIL ne les avait même pas vu, nayant dailleurs pas cherché à jeter un coup dil au plafond. A peine les femelles lumineuses semblent sêtre immobilisées dans leur descente, que de manière concomitante sallument de nouveaux points dans la salle à lintérieur du centre du grand M. Profitant de lobscurité et sûrement du fait que chaque invité était occupé à regarder le plafond, plusieurs esclaves mâles et femelles sont venus se positionner dans cet espace vide. Ils sont encore au sol recroquevillés attendant la musique de lorchestre pour démarrer leurs danses sensuelles.
Leur corps, éclairés par les guirlandes, renvoient des reflets or et argent mêlés aux lumières bleues des Led qui les éclairent, cest un vrai ballet de sensualités, dans lesquels chacun se déhanche de manière lascive et expressive, mêlant les corps des mâles et des femelles dans des accouplements simulés, mais aussi jouant sur des portées avec une chorégraphie digne des grands cabarets parisiens, sauf que là rien nest caché et même que lérotisme est mis à lhonneur car les danseurs nhésitent pas à sapprocher des tables dans des postures très osées, ne laissant rien cacher de leur anatomie intime, déroulés des femelles cuisses écartés, jambes levées à la verticale pour les plus souples ou en arabesques pour les autres.
Les quatre soumises en suspension font également partie du ballet lumineux, car elles sont enlacées les unes aux autres pour être ensuite déroulées, continuant de se balancer au gré des mouvements qui leur sont imposés, simples jouets lumineux ballotés de part en part, privées de tout mouvement et de toute liberté. Le Marquis ne connaissait pas les prouesses artistiques de ses chiens dociles et de ses chiennes dévouées, et IL en est venu à penser, vu la beauté de ces corps se déplaçant avec grâce et harmonie en parfaite synchronisation entre eux et avec la musique, quil aurait pu sagir de danseurs et danseuses professionnels, étonné toutefois de lérotisme et de la sensualité que de simples intermittents du spectacle pourraient offrir dans une soirée privée. IL se dit que son cheptel naurait jamais eu le temps de préparer en quatre jours à peine depuis son départ une telle représentation, dautant plus que les préparatifs nont pas dû manquer tant en cuisine que pour toute lorganisation. (Mais le Marquis ignore que les répétitions ont commencés depuis fort longtemps en préparation de lanniversaire surprise). Peu à peu la musique ralentit et sarrête. Les vrais lustres viennent de se rallumer et les quatre soumises sont descendues à terre tandis que chacun se positionne à genoux prostrés tête au sol devant le Maître des lieux, en guise de salut.
Chaque esclave se retire à quatre pattes, à lexception de quatre mâles qui prennent dans leurs bras les quatre soumises qui avaient été installées en suspension et qui sont toujours enchevêtrées dans leur bondage de cordes et de guirlandes, se trouvent de fait dans limpossibilité de se déplacer. A peine le centre de la pièce est-il dégagé que huit mâles entrent dans la pièce, portant par groupe de quatre deux immenses plaques reposant sur des grondins de bois pour pouvoir supporter lensemble. Deux chevreuils entiers, visiblement rôtis à la broche, sont déposés sur chaque plateau. Lallusion nest pas le fait du hasard, car la bête sauvage est installée en levrette, agenouillée, avec la tête au sol. Pour compléter la scène de présentation, lanimal a été fourré de lintérieur pour conserver sa forme (sans compter le plaisir succulent de la farce qui sera par la suite servie en dégustation), mais surtout il a été bardé de lard et ficelé par un fil de cuisine tressé. Marie la cuisinière étant passé visiblement maître à son tour dans lart du bondage culinaire, car les entrelacs sont encore visibles et parfaitement symétriques et esthétiques malgré le jus de cuisson qui les a teintés largement. Du jus de cuisson a été allégrement déposé sur les gigots qui, sils ne coulent pas de cyprine féminine, sont largement dégoulinants et suggestifs. Les huit esclaves sagenouillent devant le Marquis dEvans pour lui laisser le temps dadmirer les plats ainsi préparés et les viandes qui vont être servies à tous, puis ils se lèvent, longeant chacun de leur côté la table, afin que chaque convive puisse admirer la mise en scène, mais ils se pressent ensuite de rejoindre les cuisines pour que les viandes puissent être découpées et servies avant de refroidir
Voyant quun verre de vin rouge a été servi dans chaque verre, David le compagnon du Marquis Edouard dEvans profite de cet instant de calme, pour se lever et annoncer :
- Mesdames et Messieurs, tous Amis de notre prestigieux Maître des lieux, je Vous propose de porter un premier toast à Notre hôte, Monsieur le Marquis Edouard dEvans, dont je suis le premier à vanter les mérites et les valeurs humaines dont IL sait faire preuve, même sIL reste un Maître D/s incontesté, intransigeant et exigeant.
Le Marquis Edouard dEvans se lève à son tour, immédiatement suivi par celle qui est à sa gauche, la Marquise Aurore dEvans pour ajouter.
- Je lève donc mon verre rempli de mon beaujolais favori car je tiens à Vous remercier tous, vous qui êtes si présent dans mon cur, oui, Vous remercier dêtre venu partager avec moi ce vrai moment de bonheur quest mon anniversaire. Je dois avouer que je vais de surprises en surprises depuis mon retour au Château en fin de journée et que je suis ravi de ce qui a été préparé en mon absence, pensant que la suite de la soirée ne pourra être que dans le même esprit. Je salue tous ceux de ma maisonnée qui ont de près ou de loin organisé cette réception. Comme tout ceci sest fait presque à mon insu, mais pas vraiment puisque javais laissé carte blanche, je ne vais citer personne à cet instant, mais je pense à tous et à certains en particulier qui se reconnaîtront bien.
Tous les convives se lèvent à leur tour, tendant leur verre plein dun rouge clair et lumineux et dune voix commune, ils annoncent :
- A Monsieur le Marquis Edouard dEvans. A son anniversaire !
Les personnes sétant à nouveau rassises, les assiettes tièdes sont servies, un service de Gien bleu foncé sur lesquels chacun découvre la nouvelle composition préparée par Marie, la cuisinière. Sur un lit de sauce onctueuse, vers le haut deux petites masses de purée de pommes de terre vitelotte (de couleur violacée) ont été pressées en forme de demie-sphère, imitant deux seins fortement comprimés gorgés de sang, sur lesquels ont été déposés deux longs haricots verts réunis à chaque bout par un lien de ciboulette et au centre duquel est inséré une petite noisette blonde émondée (sans peau). Lallusion aux baguettes chinoises qui sont souvent utilisées en D/s pour pincer les mamelons ou le clitoris est dautant plus flagrante quun troisième décor est posé sur le bas du grand morceau de viande qui se trouve au centre de lassiette. Une grande boule de farce se trouve au sommet de lassiette, et de part et dautre, quatre petits bâtonnets en croix de feuilletés de légumes. De lart de mêler le suggestif et le plaisir du goût une fois de plus, car les deux chevreuils tués par le garde-chasse du Marquis ont une chair tendre et savoureuse, ayant été rôtis au feu de bois après avoir tourné sur la broche, régulièrement nappés de sauce.
Les bruits des couverts à nouveau se mêlent aux conversations qui deviennent de plus en plus crues car le vin a fini par délayer de plus en plus les langues. Plusieurs Invités ont déjà éjaculés sous la table, et ils ne se gênent même plus à cette heure-là de la soirée pour exprimer leurs râles jouissifs. Le Marquis quant à lui qui était resté un spectateur passif voulant profiter de chaque instant de la soirée, pensant plus à satisfaire Ses Amis quIL recevait, quà son propre plaisir commence à sentir sa Queue qui est soudain en train de gonfler et de durcir. IL sagite sur sa chaise pris par lexcitation qui le gagne mais voulant garder la maitrise et le contrôle pour linstant devant ses invités et en particulier ses deux voisins de table, IL ne trouve pas dautre chose à faire que de tendre les jambes en avant. Mais quelle nest pas sa surprise de sapercevoir que la place nest pas totalement libre
et que sous la table et à lendroit de la pointe du M, dont IL avait cru que cela navait quune fonction décorative, au moins deux personnes sont enfermés depuis le début du repas dont IL est en train de sentir et didentifier les deux masses corporelles, et que par ailleurs la pointe de la table est telle que lespace est clos tant sur les côtés que sur le devant, étant lui-même assis dans une petite échancrure de la table, donc totalement invisible de toutes parts en dessous de la table. Dun geste des pieds, IL fait signe aux deux personnes de sapprocher et leur fait comprendre dun geste de la main furtif glissé sous la table subrepticement quils peuvent ouvrir sa braguette, sortir son pénis encore plus dur et excité par la situation particulièrement insolite et néanmoins discrète en apparence. IL na pas besoin dinsister plus pour se faire lécher par deux bouches expertes, dont IL imagine assez facilement aux gestes et douceurs différentes quIL ressent quil y a sous la table un mâle et une femelle. IL continue à déguster son plat, gardant une parfaite maîtrise de son apparence extérieure, mais profitant dun plaisir grandissant qui à force de coups de langues voluptueuses finit par faire gicler sa semence dans la bouche de lun des deux. La femelle sous la table qui na pas eu la chance de profiter du nectar sempresse de lécher la Queue de son Maître pour le nettoyer avant de refermer délicatement la braguette du pantalon comme si de rien nétait. Le Marquis caresse le corps de ses deux esclaves de quelques mouvements de jambe pour leur faire comprendre quIL a été content de leur divine fellation menée de concert
(A suivre
)
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