J'Ai Couché Avec Mon Patron
Je mappelle Laeti. Je mesure 1m68 pour 54 kg. Jai les cheveux châtains clairs, les yeux noisette, des lèvres assez pulpeuses. Jai une cambrure naturelle qui révèle un fessier que tous les hommes aiment à regarder ! Question poitrine je fais un 85C. On me dit très mignonne.
Je vis avec Arthur, un beau métisse de 42 ans que jai rencontré dans le cadre de mon travail. Je suis commerciale dans une entreprise de communication. Arthur était un client.
Cela fait maintenant 11 ans que nous sommes ensemble et nous avons déjà parcouru avec mon Arthur un bout de chemin sur le plan sexuel. Je nétais pas une novice à 24 ans lorsque nous nous sommes connus. Mais javais eu des expériences assez classiques avec mes précédents petits amis.
Arthur a dabord été le premier homme à savoir me faire jouir avec sa langue et cela plusieurs fois par jour ! Il prétendait ne pas se lasser de « me bouffer la chatte » et moi jadorais cela (cest toujours le cas dailleurs).
Ensuite à force de patience et de douceur, il ma appris à aimer la fellation profonde et intégrale : jai dailleurs beaucoup de mal à me passer de son sperme. Il ma appris aussi à aimer la sodomie, chose que je navais jamais pratiquée avant lui. Et ce nétait pas gagné davance compte tenu de la dimension de sa queue (19 cm de longueur pour 5 cm de diamètre !).
Jaimais tellement le sexe avec lui avec tout le plaisir quil savait me procurer que jai accepté ses demandes de repousser toujours plus loin mes limites et mes tabous. Jétais devenue accro et mon corps en demandait toujours.
Mais commençons par le commencement !
Un week-end où nous traînons au lit, Arthur me demande :
- Tu ne mas jamais parlé de tes fantasmes ?
- De quels fantasmes tu parles ? Je suis comblée avec toi. Je nai pas de fantasme particulier.
- Cest ce que tu crois ma chérie ! Mais on a tous des fantasmes.
- Comme quoi par exemple ?
- Bah jen sais rien, je ne suis pas une femme moi !
- Ben dis-moi quels sont tes fantasmes à toi, ça maidera peut-être à comprendre ta question.
- Ah daccord. Alors je me lance. Jaimerai par exemple te voir faire lamour avec une fille. Peut-être que tu as déjà expérimenté ?
- Non jamais !
- Tu naimerais pas essayer ?
- Je ne sais pas trop. Et quoi dautres ?
- Jaimerai te voir faire lamour avec un autre homme ou mieux avec plusieurs hommes.
- Et ben dis-donc ! Tu disais ça à toutes tes autres copines avant moi ?
- Non jamais. Avec toi on sentend tellement bien et sur le plan sexuel cest tellement bon que je me sens en confiance pour ten parler. Mais si ça te choque, on nen parle plus.
- Non tu as raison, cest important quon puisse se dire ce genre de chose. Jai compris maintenant ce que tu veux savoir. Alors bah moi jaimerai te voir faire lamour avec une autre femme pendant que je moccuperai de son mec.
- Ah super ! Jadore ce fantasme ! Mais tu sais ma chérie, ce que je préférerais le plus cest te voir avec dautres hommes.
- Je ne sais pas. Je ne dis pas non mais je ne me sens pas prête.
- Comment ça pas prête ?
- Bah tu me suffis. Je nai pas envie de te tromper avec un autre.
- Oui mais là tu ne me trompes pas puisque je serai avec toi.
- Je ne sais pas trop.
Nous avons encore discuté de nos autres fantasmes avant de nous doucher et nous de nous préparer à partir chez des amis qui nous avaient conviés pour un barbecue.
¤ ¤ ¤
Le lundi reprise de travail. Sur la route, je repense à notre discussion sur nos fantasmes. Je cherche une idée pour satisfaire mon homme. En arrivant au bureau et en saluant tous mes collègues, lidée qui absorbait mes pensées trouva sa solution en la personne de mon patron. Georges est un bel homme denviron 50 ans. 1m80, assez bien bâti, les cheveux sel et poivre et un sourire craquant quembellit son regard dun bleu clair. Il est fort bel homme et jamais auparavant je ne lavais vu de cette manière-là. Il a toujours été prévenant et attentionné à mon égard.
En rentrant à la maison, je prépare le dîner absorbée par cette pensée lorsque jentends Arthur rentrer. Il membrasse à pleine bouche et me murmure à loreille :
- Jai eu envie de toi toute la journée en repensant à notre discussion de dimanche !
- Ah oui ! Et bien moi aussi, jai réfléchi toute la journée à notre conversation et jai eu une idée. Mais je nose pas te la dire.
- Bah voyons. Tu sais que tu peux tout me dire.
- Tu sais concernant ton fantasme de trio avec un autre mec, je pense avoir trouvé lhomme avec jaimerai que nous le fassions.
- Ah bon ? Quelquun que je connais ?
- Oui.
- Cest qui alors ?!
- Georges
- Georges qui ?
- Bah Georges, mon patron !
- Ah oui ? Cest vrai quil est beau mec. Et puis au repas de fin dannée de ton entreprise, jai vu quil ne te quittait pas du regard !
- Oui je sais et il a toujours été courtois et respectueux envers moi. Je ne sais pas comment lamener à ça.
- Tu déjeunes toujours une fois par mois avec lui non ?
- Oui mais on parle des affaires et des dossiers en cours.
- Et bien la prochaine fois, habille toi un peu plus sexy que dhabitude, histoire dattirer son attention vers dautres horizons et vois ce que cela peut donner.
- Tu veux que je lallume en quelque sorte.
- Oui mon amour cest exactement ça. Et je tautorise à aller plus loin si affinité lors de ce déjeuner !
- Non mais ça va pas non ? Je vais tenter de le faire parler un peu sur le sujet dabord !
- Tu sais mon amour, les hommes sont des rapides. Et je pense que Georges, en patron et homme daffaires qui a plutôt bien réussi, ne doit pas être du genre à tourner autour du pot très longtemps.
- OK. Tu marques un point. Je verrai.
- Et tu me raconteras tout, OK ?
- Oui promis mon chéri.
Jai le cerveau en ébullition en pensant à notre prochain déjeuner mensuel avec Georges, qui doit avoir lieu la semaine suivante.
Excitée par cette perspective, je sollicite mon Arthur toute la semaine, mattardant à le sucer longuement chaque jour, comme si je mentrainais pour un examen ! Bon sang je suis tellement excitée !
¤ ¤ ¤
Le matin du fameux jour, je passe un peu plus de temps que dhabitude pour mhabiller. Jopte pour un chemisier gris clair avec une jupe noire qui descend juste au-dessus du genou. Je mets des dim up noirs avec un string blanc et un soutien-gorge assorti. Je me sens séduisante sans donner limpression den faire trop.
Le matin de mon arrivée au bureau, Georges me complimente discrètement sur ma tenue. A midi nous nous rendons à notre restaurant habituel, lieu qui nous sert de cadre agréable pour prendre le temps de faire un point mensuel de façon plus informel. Mais jai bien dautres idées en tête et surtout un objectif précis à atteindre.
- Bon Laeti comment vas-tu ?
- Très bien merci. Et vous Georges ?
- Bien. Désolé, nous ne nous sommes pas beaucoup vu ces dernières semaines. Mais le mois dernier a été excellent en termes de chiffres. Tu y es pour beaucoup tu sais. Et cest toujours un plaisir de déjeuner avec toi pour prendre le temps de faire le point ensemble.
- Merci Georges. Le plaisir est partagé. Japprécie ces moments déchange informel.
- Que puis-je demander de plus que de déjeuner en si charmante compagnie dans un cadre agréable et par ce beau temps ?
- Euh
Vous pourriez demander beaucoup plus !
- Comme quoi par exemple ?
- Euh
Je ne sais pas. A vous de trouver Georges !
- Bien ! Jy réfléchirai ! Comment va Arthur ?
- Très bien merci. Et votre épouse, comment va-t-elle ?
- Euh. Amandine et moi sommes en instance de divorce.
- Oh ! Excusez-moi Georges, je ne voulais pas être indiscrète. Je suis désolée pour votre couple.
- Ne le sois pas Laeti. Cela fait longtemps quentre nous il ny a plus grand-chose. Je crois que cest mieux pour nous deux. Nous navons pas ds donc on va dire que cest la meilleure solution.
- En tout cas, si je peux vous aider en quoi que ce soit Georges, je le ferai avec plaisir.
- Ta présence quotidienne fait partie des bonnes choses de ma vie. Travailler avec toi est un vrai plaisir même si par moment, nous sommes tous un peu débordés. Mais les résultats des derniers mois prouvent que notre travail porte ses fruits.
- Pour moi aussi Georges, travailler à vos côtés est un réel plaisir. Si vous voulez vous changer les idées, passez boire un verre à la maison ou venez déjeuner un week-end, ça me ferait très plaisir.
- Cest très gentil Laeti. Mais je préfère quon en reste au contexte du travail ? Cela vaut mieux pour tout le monde.
- Je ne comprends pas ce que vous voulez dire Georges.
- Oh si au contraire ! Je crois que tu comprends Laeti. Je te trouve très attirante mais je ne suis pas un briseur de ménage et jai beaucoup trop de sympathie pour Arthur pour tenter quoi que ce soit avec toi. Tu serais célibataire ou bien je ne connaîtrais pas ton compagnon, je ne dis pas. Mais là cest différent.
- Japprécie votre sincérité Georges et je vous en remercie. Et confidence pour confidence, je vous trouve aussi très attirant. Et Arthur nest pas un obstacle entre nous.
- Pardon ? Là cest moi qui crains de ne pas comprendre.
- Georges. Vous me plaisez, je vous plais. Vous avez besoin de vous changer les idées et Arthur et moi aimerions
Enfin vous voyez ce que je veux dire ?
- Je crains que non.
- Rohhh ! Georges, faites un effort sil vous plaît. Cest déjà assez difficile pour moi de vous dire tout cela.
- Arthur et toi aimeriez quoi avec moi ?
- Faut vraiment que je vous fasse un dessin ?
- Oh ! Daccord ! Non pas besoin de me faire un dessin. Mais es-tu certaine quil sera daccord ? Vous en avez parlé ensemble ?
- Oui Georges. Arthur aimerait beaucoup me « partager » avec un autre homme de mon choix. Et jai terriblement envie que cet autre homme ce soit vous. Nous sommes entre adultes consentants Georges. Et de mon côté, cela ne changera rien dans notre relation professionnelle.
- Et bien Laeti ! Pffff ! Si tu le permets, jaimerai en discuter avec Arthur pour que les choses soient bien claires entre nous.
- Pas de souci. Il vous appellera ce soir ou demain soir.
Nous terminons notre déjeuner en essayant tant bien que mal de revenir à des sujets plus professionnels.
De la journée, Georges ne laisse rien transparaître dun quelconque émoi. En rentrant à la maison, jattends impatiemment Arthur pour lui raconter notre conversation dans les moindres détails.
- Mon amour, je préfère lappeler demain ou après-demain soir. Si jappelle ce soir, ça fera vraiment le mec pressé.
- Oui tu as raison. En attendant, jai très envie de toi.
Nous faisons lamour longuement et lorsquil vient dans ma bouche je jouis en imaginant quil sagit de la queue de Georges qui me déverse ainsi toute sa jouissance.
¤ ¤ ¤
Le lendemain soir, Arthur appelle Georges sur son portable :
- Bonsoir Georges. Cest Arthur.
- Bonsoir Arthur. Comment allez-vous ?
- Bien je vous remercie. Et vous ? Je ne vous dérange pas ? davant-hier avec Laeti.
- Non pas du tout. Je suppose que vous mappelez suite à mon déjeuner davant-hier avec Laeti ?
- Oui en effet. Êtes-vous intéressé ?
- Jignore ce que Laeti a pu vous dire mais javoue être gêné par rapport à vous.
- Ne le soyez pas Georges. Laeti vous trouve très à son goût et nous recherchions une personne susceptible de nous convenir pour une
rencontre de confiance.
- Oui je comprends. Je dois vous avouer que Laeti me plaît beaucoup mais je voulais massurer quil ny avait aucun malentendu avec vous Arthur.
- Cest normal je comprends aussi. Vous avez des questions à me poser peut-être ?
- Oui dabord que recherchez-vous dans un trio ?
- Georges, jadore voir Laeti avec un autre homme. Je suis très candauliste. Mais comme nous débutons, je préfère laisser à Laeti le choix de son 2ème partenaire. Mais jaime aussi participer bien entendu.
- Oui naturellement. Quaime-t-elle en particulier ?
- Pour vous dire franchement, après avoir joui sous un bon cunni, elle sait se lâcher.
- Pas de tabou ?
- Non aucun si ce nest tout ce qui touche au scato, zoo et autre crado.
- Pas de souci. Ça ne mattire pas du tout non plus. Elle aime les rapports assez hard ?
- Elle aime quon la fesse quand elle baise. Elle aime aussi les mots crus.
- Ce sera sa première double alors ?
- Oui, si elle accepte. On verra le moment venu !
- Pardonnez mon indiscrétion mais je pense quil vaut mieux connaître les limites avant, elle pratique la sodomie ?
- Oh que oui ! Elle adore !
- Je men réjouis Arthur ! Elle accepterait quon éjacule sur elle ?
- Venant de moi mille fois oui. Venant dun autre, à voir
- Très bien. Merci de votre franchise.
- Bon si vous avez dautres questions, je vous laisse mon numéro.
- OK je note.
- Quand seriez-vous disponible ?
- Dabord est-ce quon peut se tutoyer Arthur ? Je trouve que cest plus facile de parler de ce genre de chose lorsquon se tutoie.
- Tout à fait daccord avec toi Georges. Tu es dispo ce samedi ? Midi ou soir, comme tu veux.
- Et si je vous invitais tous les deux au restaurant, cest un lieu convivial où lon pourra discuter tranquillement et poursuivre chez vous ou chez moi non ?
- Nous paierons notre déjeuner, ça me gêne daccepter comme cela. Sinon oui samedi midi ?
- Plutôt samedi soir. On dit 20 heures. Voici ladresse du restaurant.
- OK merci Georges. A samedi.
¤ ¤ ¤
Le samedi suivant, nous nous rendons sur le lieu convenu. Un restaurant au cadre assez moderne mais à lambiance feutrée, idéale pour un dîner « en amoureux ». Je porte pour loccasion un débardeur blanc transparent avec une jupe noire assez courte mais très classe, talon haut, des porte-jarretelles noirs avec bas assortis et sur linsistance dArthur, pas de soutien-gorge ni string. Avant lui, jamais je naurais osé sortir sans sous-vêtements. Mais il a su à force de patience, dinsistance et surtout dexcitation mutuelle, me faire apprécier cela. Et comme à chaque fois que nous sortons ensemble, particulièrement lorsque je mhabille assez sexy, je me sens aussi dhumeur très coquine. Je me sens bien et je suis très excitée.
Georges, en homme éduqué est arrivé avant nous et se levant de table à notre arrivée me tend la main. A sa surprise, je lui fais la bise et dans un sourire collégial nous décidons de nous tutoyer. Nous discutons beaucoup, dînons bien et buvons plus que de raison. Vers 22h30, nous quittons le restaurant et nous décidons daller boire un dernier verre dans un pub proche du domicile de Georges. Il ny a pas trop de monde à cette heure et nous trouvons facilement un coin tranquille et discret au fond de la salle. Nous commandons nos consommations. Je décide durant ce laps de temps dattente de briser la glace afin de nous mettre dans lambiance. Jembrasse Arthur langoureusement. Il répond à mon baiser en me caressant dune main la cuisse. De ma main libre, je cherche Georges et tombe sur sa cuisse. Je remonte lentement ma main le long de sa cuisse et commence lentement à le caresser au travers de son pantalon. Arthur relâche son étreinte pour morienter doucement vers Georges qui nous observe en souriant.
- Viens Georges. Jai très envie de tes lèvres.
Et je lembrasse à pleine bouche, faisant tournoyer ma langue tout en continuant à caresser sa queue qui commence à bien durcir au travers de son pantalon. Nous continuons ainsi à nous bécoter comme des lycéens tout en sirotant nos boissons. Nous sommes bien échauffés et il est temps de nous retrouver dans un lieu un peu plus intime.
Lappartement duplex de Georges est très grand est bien agencé. Nous nous affalons sur son immense canapé pendant quil nous prépare nos rafraîchissements. Une fois tous installés (moi entre les deux hommes), je pose ma main directement sur leur entrejambes et désinhibée par lalcool, je me lâche :
- Jai envie dêtre bien baisée ce soir mes amours. Mais dabord jai envie de vos queues.
Mes deux amants ne se font pas prier.
- Pfff ! Arthur ! Je vois que tu es bien équipé !
- Tu es pas mal non plus mon cher Georges. Laeti comment le trouve tu ?
Sans répondre, je me penche vers la bite de Georges déjà bien raide. Elle a en effet une belle dimension (je pense environ 16 à 17 cm). Je le suce avec douceur, y mettant beaucoup de désir et petit à petit je parviens à le prendre complètement en bouche.
- Oh ! Laeti ! Tu suces divinement bien ! Mmmmm
Pendant ce temps-là, Arthur ôte ma jupe et défait mon chemisier.
- Oh Laeti ! Javais remarqué que tu ne portais pas de soutif mais tu ne portes pas de culotte ?
- Non Georges. Quand on sort ensemble, jaime que ma salope soit immédiatement disponible
-
- Oh pardon, je te choque en traitant Laeti de salope ? Excuse-moi mais ne sois pas choqué. Elle aime quon la traite comme elle est. Hein ma chérie ?
- Oui, jadore être salope. Et avec toi Georges jai envie dêtre un belle salope que tu pourras baiser comme bon te semble. Ohhhhhh !
Arthur sest penché sur ma chatte trempée et commence à me lécher comme il sait si bien le faire. Je suce Georges de plus en plus fort et profondément. Il pose ses mains sur mes cheveux et commence à imprimer le rythme qui lui convient. Mon dieu que cest bon de se faire baiser la bouche et lécher la chatte en même temps. Je sens monter la jouissance sous leffet de la queue de Georges et surtout de la langue experte de mon homme.
- Mmpfffff ! Je vais jouir dis-je
Ohhhh je jouiiiiiis ! criais-je
- Arghhhhh Laeti je vais jouir aussi
- Ahhhhh ! Viens dans ma bouche, je veux ta semence Georges.
Et Georges sous leffet de ma fellation profonde me déverse de gros flots au fond de mon gosier. Je manque de m.
- Ohhhhh cest tellement bon. Georges quest-ce que tu mas envoyé. Jadore ta semence.
- Et tu avales dès le premier soir petite salope ? dit Georges
- Jaime ta semence Georges. Et oui, javale tout. Cest bien la preuve que je suis une salope, pas vrai ? Tu as aimé venir dans la bouche de ta salope ?
- Oh Laeti. Tu es une merveilleuse salope. Et tu es la reine de la pipe intégrale ! Jamais ma femme ne mavait fait une chose pareille !
- Oh Georges ! Ce sera quand tu veux et où tu veux désormais !
- Wouah ! Quand je veux où je veux ? Arthur, tu es daccord ?
- Totalement daccord Georges ! Tout ce que je te demanderai, cest que vous ne me cachiez rien. Jaccepte à une seule condition, cest que vous menvoyez des photos ou vidéos à chaque fois. On est bien daccord ?
- Bien sûr mon amour. En attendant allonge-toi, je veux sentir ta grosse queue dans ma petite chatte. Et toi Georges, viens ici que je te remette en forme.
- Ohhhhh que tu es gros et dure mon amour ! dis-je en mempalant lentement sur la queue dArthur.
- Oh ! Que tu es trempée petite salope. Tu minondes la queue.
Je reprends la belle bite de Georges en bouche pendant quArthur accélère le rythme de ses pénétrations qui deviennent de plus en plus profondes, tout comme ma fellation. Georges ne tarde pas à retrouver la forme.
- Arthur ma dit que tu adorais la sodomie Laeti ?
- Oh que oui Georges !
- Laisse-moi te prendre par derrière alors.
- Ah non ! Je nai jamais fait ça à deux en même temps. Vous allez me déchirer.
Arthur mimmobilise alors fermement par les hanches, sa bite profondément ancrée dans mon vagin tandis que Georges me doigte lanus pour préparer son entrée.
- Non je vous en prie arrêtez. Vous allez me faire mal. Ça ne rentrera pas ! Non arrêteeeeeeeeez ! Arghhhhh ! Vous me faites mal ! Nooooon ! Ooooohhhhh ! Salauuuuuds ! Arghhhhh ! Vous me déchireeeeez !
- Tu vois ma Laeti, les bonnes salopes se font prendre par tous les trous en même temps. Tu es une belle salope, mais si tu veux être une vraie salope, il va falloir quon remette ça avec un autre mec dit Georges.
- Tu as raison Georges ! Elle a son premier degré de salope mais elle a encore du chemin à parcourir renchérit Arthur.
- Oumpffff, vous êtes vraiment des salauds !
Je sens que la douleur laisse place peu à peu à un plaisir profond. Mes deux amants me liment en rythme, à tour de rôle. Leur mouvement synchronisé me donne limpression quils se sont entrainés ensemble !
- Putain Arthur, quelle chance tu as davoir une femme pareille ! Son cul est divin ! Je sens que je ne vais pas me tenir longtemps !
- Moi non plus Georges je vais pas tenir longtemps ! soupire Arthur.
Ils menvoient alors leur sauce quasi en même temps, minondant la chatte et le cul dune quantité énorme de sperme. Je savais que mon homme a une éjaculation extrêmement abondant (ce que jadore par-dessus tout) mais je suis surprise par la quantité que Georges est encore capable de menvoyer dans mon fondement. Je jouis alors à mon tour comme jamais !
- Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh mon dieuuuuuuuuuu ! Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhh !
Jamais je nai ressenti une telle sensation : jouir en étant totalement remplie est un plaisir incomparable !
Il nous faut quelques instants pour reprendre notre souffle. Jembrasse tour à tour mes deux amants.
- Merci mes amours ! Vous mavez faite jouir comme jamais. Que cétait bon, mon dieu !
- Laeti, si tu veux te rafraîchir, je vais te montrer la salle de bain me dit Georges.
-
¤ ¤ ¤
En prenant congé de Georges, je lembrasse langoureusement :
- Merci Georges. Cétait divin. Tu baises comme un dieu. Jespère quon remettra ça bientôt. Et on noublie pas notre promesse faite à Arthur !
¤ ¤ ¤
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