Leslie Va13

Leslie VA13 – Vacances - Avec Laure, suite

« Laure en quittant Leslie, s’est rendue à la boutique où, Ambre, la petite vendeuse ne s’attendait pas à la voir arrivée si tôt.
En rentrant dans la boutique, effectivement Ambre parue surprise, mais heureuse de voir Laure sur le pas de la porte de la boutique, il était seize heures et elle ne fermerait la boutique que dans trois heures, alors Ambre pensa qu’il leur faudrait le temps en attendant la soirée.
- Ohhh, bonjour Laure, ça me fait plaisir de te voir, mais nous avions rendez-vous chez moi.
- Oui, c’est vrai dit Laure, mais je voulais te faire une surprise et je ne pouvais attendre plus longtemps de te revoir.
- Ta franchise t’honore et me flatte, viens près de moi que je t’embrasse.
Laure est entrée dans la boutique et après avoir fermé la porte derrière elle s’est approchée d’Ambre qui lui à déposer un fougueux baiser sur les lèvres.

Elles discutèrent un moment sur la vie, leurs amours et Ambre ne cacha pas à Laure son attirance inconditionnelle pour les femmes et plus particulièrement pour les jolies femmes comme Laure, qu’elle ne manquait pas de séduire et d’emmener dans sa couche si l’opportunité se présentait.
- Voilà qui a le mérite d’être clair, dit Laure.
- En t’invitant chez moi tu pensais à une autre issue, demanda Ambre en souriant.
- Non, je me doutais bien que cela finirais ainsi, dit Laure.
- Alors nous sommes d’accord, dit Ambre, sauf que toi tu dois être bisexuelle.
- Je le suis, répondis Laure.
- Tu sais, dit Ambre, il faut que je t’explique, ma mère est devenue lesbienne après ma naissance et la séparation d’avec mon père. Durant toute ma petite enfance je n’ai été entourée que par des femmes, les amantes de ma mère ont été très gentille avec moi et très tôt je me suis tournée vers les filles. Ma première aventure je l’ai vécue avec une fille de ma classe, elle venait souvent à la maison et dormait chez moi, nous faisions couche commune et avons vécu nos premiers émois lesbiens ensemble, la découverte de nos corps, les zones sensibles et enfin le plaisir.

Puis j’ai eu des relations avec d’autres filles, je me sentais vraiment attiré par le sexe féminin, puis j’ai rencontré en gars qui avait l’air gentil, mais lorsqu’il m’a fait l’amour, il m’a fait mal, ne pensant qu’a son plaisir et définitivement je me suis tourné vers les femmes.
Laure comprenait ce que disait Ambre, les plaisirs saphiques entre jeunes filles, elle aussi avait connu cela, mais ne s’était jamais détourné des hommes, bien au contraire, mais ne refusais pas une aventure avec une femme non plus.
- C’est, alors que j’avais dix-huit ans, que ma mère a ramené une jeune femme à la maison, elle était très belle et rapidement elle s’est intéressée à moi, profitant des absences de ma mère, elle m’a draguer et séduite, puis m’a emmené dans ses bras, me faisant découvrir de nouveaux jeux et de nouveaux plaisirs, en fait elle m’a initié aux plaisirs saphiques .
- Ta mère ne l’a jamais appris, demanda Laure.
- Non jamais, leur relation n’a pas durée, mais la nôtre oui, deux ans. Elle m’a fait découvrir les plaisirs entre deux femmes avec ou sans accessoires, elle m’a aussi initié à l’anal et aux plaisirs en groupe. Je l’ai quitté quand j’ai commencé à travailler et qu’elle voulait faire de moi son esclave, son jouet sexuelle et m’offrir à ses autres conquêtes, mais j’en garde un très bon souvenir.
Laure écoutait et parfois un frisson lui parcourait le corps, d’autant plus qu’Ambre était toute proche d’elle et lui caressait le corps de ses mains expertes.
- Bon, ce n’est pas tout, parler du passé ne remplit pas une journée, je te propose de faire des essais se sous-vêtements, t’es d’accord ? Demanda Ambre.
- Pourquoi pas, répondis Laure.
- Allez-va te mettre à l’aise, toute nue que j’admire ton corps de rêve.

Laure obéit et se dirigea vers les cabines d’essayage et se mit nue.
Ambre la regarda avec envie, mais se ravisa de ne pas lui sauter dessus car de toutes façons ce n’était que partie remise, ce soir Laure finirait dans son lit.
Ambre passa pour commencer un ensemble jaune à Laure, composé d’un brésilien jaune avec son soutien-gorge. Laure mit l’ensemble, se mira un instant dans la glace, puis se retourna aux yeux de sa future amante, enfin de son amante puisqu’elles s’étaient déjà donnée ensemble du plaisir.
- Mais tu es superbe ! Le jaune va très bien avec la couleur de tes cheveux et celle de ta peau bronzée. Et ce soutif supporte bien ta poitrine. Tu es à croquer. On va essayer autre chose…
Ambre lui passa successivement un ensemble rose violacé, puis un noir, et un autre orangé. À chaque fois, Ambre ne tarissait pas d’éloges pour le corps de Laure, et passait ses mains sur les bonnets gonflés ou le haut des cuisses mis en valeur par des tangas, les brésiliens ou les strings, allant même parfois caresser le pubis de Laure.
Séduite par les compliments, Laure se laissait aller aux caresses légères d’Ambre, ressentant avec une certaine gêne les bouts de ses seins se tendre et son sexe s’humidifier un peu.
Ambre ne fut pas dupe des réactions du corps de Laure et lui dit :
- Tu me parais très sensible, ce soir tu vas aimer…
Pour enfoncer le clou, Ambre insista pour que Laure enfile un string ficelle, et, même si elle le retira rapidement, cela participa activement à l’humidité de son intimité.
La vendeuse s’aperçut de sa gêne.
- Ne t’inquiètes pas, c’est normal. Certaines personnes sont très sensibles aux strings et à la ficelle qui agace leur intimité, les faisant mouiller comme des folles et toi, comme moi d’ailleurs, nous sommes de celles-là.
Comme pour prouver ses dires Ambre s’approcha de Laure et prenant sa main elle la posa sur son pubis après avoir relevé sa jupe, en disant :
- Tu vois je porte un string ficelle et je suis trempée, mais peut-être que ce n’est que toi qui me fait cet effet…
En effet, Laure put constater du bout des doigts l’humidité de l’intimité d’Ambre.
- Tu sens, dit Ambre, je mouille déjà pour toi. Tiens maintenant, essaye plutôt cela.

Ambre tendait maintenant un soutien-gorge rouge à Laure, et l’aida à le mettre non sans oublier de caresser les seins de Laure, puis elle l’aida à se ceindre les reins du porte-jarretelles assorti et aussi pour enfiler des bas noirs.
Laure sentait les mains masser ses cuisses en faisant remonter les bas. Ambre avait la tête presque contre son sexe, et Laure percevait tout l’érotisme de la situation. Enfin, la vendeuse finit d’agripper les bas au porte-jarretelles et elle plaça Laure face au miroir.
Laure se vit indécente dans le miroir, le pubis nu habillée de sous-vêtement rouge qui lui donnait un air d’allumeuse
- Tu es vraiment magnifique, Laure. Une vraie déesse, avec le string ce sera mieux.
Ambre jouait ouvertement avec Laure, qui n’était pas dupe, mais se laissait aller dans l’érotisme où la conduisait Ambre.
Laure passa aussitôt le string qu’Ambre venait de lui passer et se trouva encore plus belle ainsi parée.
- Oh, attends, il faut que je t’arrange un peu.
Mais le string était mal mis, étrangement. Ambre lissa l’entrejambe en tissu et se colla contre elle. Laure sentait son souffle sur son cou, son regard sur ses seins, ses lèvres près de son oreille. Soudain, une décharge la parcourut alors qu’un doigt agile entrait en elle, dans sa vulve par derrière.
- Laisses-toi faire, ma douce, laisses-moi te faire plaisir.
Le doigt bougeait doucement en elle, et Laure ne savait que faire. Ambre s’était mise à lui lécher l’oreille alors que son autre main s’était glissée dans le soutien-gorge, venant assaillir ses seins. Peu à peu, Laure se pencha vers l’avant, s’appuyant sur le miroir, les fesses relevées. Un deuxième doigt entra en elle et elle gémit.
- Attends, chuchota Laure.
- Chut, ne dis rien…
La main quitta le string, mais y revint aussitôt par-devant, facilitant l’accès aux doigts inquisiteurs. S’adonnant toute entière aux caresses, Laure ferma les yeux et laissa le plaisir l’envahir et la faire gémir.
Elle ressentait au plus profond d’elle les deux doigts qui fouillaient son intimité, redessinant les parois de son intimité. Mais recevoir le plaisir sans en donner la gênait. Les yeux toujours fermés, elle se représenta mentalement Ambre derrière elle, ses longs cheveux bruns, son visage ovale, ses épaules fines, ses grands bras, sa haute taille, ses jambes à perte de vue, sa jupe courte en tulle rose quasi-transparente, à travers laquelle on distinguait les contours de son string, son haut assorti qui laissait entrevoir les aréoles sombres de ses seins…
Laure gémit encore une fois et passa sa langue sur ses lèvres. Puis, elle tendit le bras en arrière et ses doigts remontèrent la cuisse de Laure, écartant le voile de la jupe. Bientôt, ses doigts tâtèrent un tissu différent et constatèrent l’humidité de l’entrejambe de Laure, qui retint son souffle.
Lorsque Laure poussa un doigt sous le string, la vendeuse poussa un petit cri et joua de son bassin pour l’aider à s’enfoncer en elle. Laure accéléra le rythme de sa masturbation, sans pour autant oser mettre un second doigt. Laure se pencha sur elle et lui lécha la colonne vertébrale.
- Tu me rends folle, ma chérie, vas-y plus fort.
Laure ouvrit les yeux et vit la main d’Ambre quitter son sein pour venir écarter son string rose, facilitant l’accès au second doigt de Laure. Elles gémirent ensemble, mais Laure se figea lorsque la porte du magasin s’ouvrit… »

A suivre…