Action Ou Vérité Avec Mon Crush.
Il a été fait exprès de ne pas décrire physiquement les personnages, pour que tout le monde puisse imaginer les personnes ou les physiques qui leur plaisent. Si vous navez personne en tête, il peut être conseillé avant la lecture de vous représenter un homme et une femme que vous décrirez dans votre imagination. Bonne lecture !
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Mon crush avait fini de manger elle aussi. Elle mavait invité chez elle, me promettant de me préparer un bon petit repas. Et elle navait pas menti ! Elle était bonne cuisinière, et navait pas sous-estimé ses talents en me proposant de venir chez elle. Il nous restait maintenant tout un après-midi à passer ensemble, et je comptais bien en profiter pour me rapprocher delle autant que possible. Elle me plaisait beaucoup, cétait indéniable, et javais fortement limpression que cétait réciproque. La jeune femme se leva pour aller déposer les assiettes dans lévier, et quittant ma chaise moi aussi, jen profitai pour observer discrètement son postérieur. Il était vraiment indéniable que cette fille me plaisait. Bien évidemment, je ne pensais pas quà ses formes en disant cela, son comportement, sa façon de penser, lintelligence de ses réflexions et la gentillesse qui semblait totalement naturelle chez elle mattiraient encore plus que son beau visage, ses doux cheveux ou ses courbes si plaisantes à regarder. Néanmoins, je mis de côté ces pensées quand elle me demanda, après être revenue, ce que je souhaitais faire maintenant que nous avions fini de manger. Je me permis un sourire malicieux, lui proposant :
« Un jeu ? »
Elle eut lair surprise, fronçant les sourcils. Jeus limpression quelle avait pensé à regarder la télé, peut-être allumer la Play ou sortir nous balader dans le parc, mais pas à cela. Cependant, face à mon sourire, lidée sembla lattirer, puisquelle répondit sur un ton à peu près similaire, prenant elle aussi un air joueuse :
« Et quel jeu ?
- Pourquoi pas Action-Vérité ? »
Je nétais pas tout à fait sûr de moi en proposant cela, me demandant si elle ne risquait pas de trouver cette idée immature.
« Pourquoi pas, ouais. Viens dans lcanap. »
Jhochai la tête, et allai me placer à lextrémité gauche du sofa, tandis quelle prit la droite. Je ne pouvais empêcher un début dexcitation de percer dans mon esprit tandis que je masseyais en me tournant vers elle. Elle ramena les genoux sous son menton, empêchant ses jambes de se détendre par ses bras. Nous étions au printemps, et si elle était vêtue dun mini-short en jean, elle restait malgré tout assez frileuse pour porter un pull. Quant à moi, bien moins sensible au froid, jétais en t-shirt, et je portais un jean bleu tout à fait classique. Je nosai pas laisser mes yeux se balader sur ses cuisses, et je maintenais mon regard dans le sien, alors quelle demandai :
« Qui commence ?
- Honneur aux dames. Tu peux me demander ce que tu veux, je ne suis pas pudique. »
Je ponctuai cette affirmation par un sourire confiant, tandis quelle étudiait mon visage pour savoir si je ne me vantais pas. Comme je gardais la même expression, elle reprit la parole, ayant toujours cet air joueuse qui la rendait si attirante :
« Daccord. Action ou vérité ?
- Vérité.
- Parfait. »
Elle eut un grand sourire, sembla hésiter un bref instant, puis se lança :
« Quel est ton fantasme ? »
La première réponse qui me vint fut tout simplement « Toi. ». Cependant, cela aurait été aller bien trop vite, alors je répondis dun point de vue plus global:
« La masturbation féminine. Et même lexcitation féminine, dune manière plus générale. Jadore savoir ce qui vous plaît, ce qui... provoque des réaction chez vous. Votre plaisir mattire beaucoup, en vérité. Ah, et quand je parle de masturbation, cest dune manière très globale, que la fille soit toute seule ou non. »
Je lui adressai un sourire dun air de dire « Eh oui, je suis prêt à répondre à tout, et ce dune manière très précise. » Elle semblait justement légèrement étonnée de cette réponse, mais ma franchise neut pas lair de la déranger.
« Daccord.
- A moi, donc. Action ou vérité ? »
Elle sembla hésiter quelques instants, puis répondit :
« Vérité aussi.
- Daccord, alors
Je ne vais pas te demander la même chose, ce serait manquer doriginalité. Hmm
Je peux moi aussi te demander des choses un peu
? »
Je laissai ma phrase en suspens, et elle me regarda dun air de dire « Pourquoi tu crois que jai accepté de jouer à ce jeu ? ». Elle répondit malgré tout dun ton plutôt neutre :
« Oui, tu peux.
- Daccord. Dans ce cas
quelle est la couleur de tes sous-vêtements ? »
Cétait une question un peu bateau, mais il fallait bel et bien commencer quelque part. Elle me répondit sans même réfléchir, signe quelle les avait choisi avec soin.
« Ils sont blancs. Action ou vérité ?
- Encore vérité.
- Hum
as-tu déjà vu une fille se masturber devant toi, du coup ?
- Vu ? Non... pas vraiment. »
Elle sourit, se moquant de lair déçu que la réponse à cette question provoquait chez moi, et demanda :
« Pas vraiment ?
- Ah, ça cest une autre vérité. »
Je conservai mon sourire joueur alors quelle me fusillait du regard, mais elle accepta, sachant que son tour de poser la question viendrait bien assez vite.
Je demanda donc :
« Action ou vérité ?
- Vérité aussi.
- Puisque nous parlons de masturbation
Tu le fais fréquemment ? »
Elle rougit quelque peu, le rose habillant joliment ses joues. Elle hésita, puis déclara :
« Ca marrive, oui
- A quelle fréquence ?
- Ah, ça cest une autre vérité. »
Je la laissai profiter de sa petite victoire, hochant la tête en signe dacceptation.
« Action ou vérité ?
- Rien que pour tembêter, ce sera une action.
- Ah oui ? Dans ce cas, vas faire 20 pompes. Ça tapprendra. »
Je soupirai, mais mexécutai.
« Action ou vérité ?
- Action.
- Dis-moi, tu naurais pas un peu trop chaud avec ce pull ? Il faudrait peut-être penser à lenlever.
- Mais, je nai quun top en dessous.
- Et alors ? »
Je savais que cela signifiait quelle se retrouverait en débardeur face à moi, et que jaurai donc une belle vue sur sa magnifique poitrine. Et elle aussi. Jajoutai donc :
« Si tu ne veux pas le faire, je peux trouver autre chose.
- Non, daccord. »
Et elle enleva rapidement son haut, se recoiffant ensuite dun mouvement fluide, tandis que je pouvais observer son top qui, en plus dêtre particulièrement moulant, offrait une vue plongeante sur sa délicieuse gorge. Me rendant compte que jétais ouvertement en train de la mater, je fis revenir mon regard vers le sien, mais je pus découvrir dans ces yeux que cela ne lui avait pas déplu, voire peut-être même quelle avait aimé mon air appréciateur lorsque je découvrais son corps. Je nen gardais pas moins mes yeux dans les sien, alors elle me demanda, les joues rosissant légèrement :
« Action ou vérité ?
- Vérité.
- Que signifiait ce « pas vraiment » ?
- Eh bien, jai eu parfois des relations à distances, alors
Disons que nous avions parfois des discussions « intéressantes », notamment grâce à des images que nous pouvions nous envoyer.
- Oh... je vois. »
En voyant le regard vague quelle madressait, je devinai que je faisais travailler son imagination. Ne trouvant pas cette idée désagréable, je laissais à son esprit tout le loisir de vagabonder, mais elle revint bien vite à moi, clignant rapidement des yeux deux ou trois fois.
« Action ou vérité ?
-
Vérité.
- A quelle fréquence tu te masturbes ?
- Ca marrive
Assez souvent. »
Je ne répondis rien, attendant avec un regard interrogatif plus de précisions. Elle soutint quelques instants mon regard, puis, soupirant tout en rougissant de plus belle :
« Parfois une fois tous les deux jours, parfois plusieurs fois par jour... »
Elle baissa les yeux, comme si elle avait fait une confession honteuse, et je la regardais, étonné. Daprès moi, il me semblait que les filles ne le faisaient que rarement plus dune fois en une journée. Puis je me souvins que de mon côté, cétait mon quotidien, alors pourquoi ne serait-ce pas le sien ? Je ne pus mempêcher de limaginer le soir dans son lit, les mains sur son sexe, gémissant doucement en pensant à moi les yeux fermés
Mais elle coupa mes réflexions en disant :
« Action ou vérité ?
- Action, cette fois.
- Eh, mais dis moi, toi non plus tu naurais pas un peu chaud ? »
Un regard suggestif de sa part vers mon entrejambe me fit me rendre compte que javais une belle érection, et quune bosse déformait mon jean. Plongé dans linstant, je navais absolument pas fait attention au fait que cette manifestation physique serait visible, et si je voulus pendant un instant le cacher, je laissai tomber, me disant que de toute façon, elle avait déjà tout vu. Cela sembla lamuser, tandis quelle rajoutait :
« Enlève donc ton t-shirt. »
Je mexécutai sans hésiter un seul instant, nétant réellement pas pudique. Elle se permit elle aussi de poser des yeux appréciateurs sur mon torse, et je la laissais mater aussi longtemps quelle le voulait. Quand son attention me sembla plus accessible, je lui demandai :
« Action ou vérité ?
- Mhmmm
Action.
- Jaimerais que tu te mordes les lèvres dune façon
suggestive. »
Son regard se riva sur la bosse dans mon pantalon, et elle se passa lentement la langue sur les lèvres. Elle eut un sourire en voyant cette bosse sagiter, signe que je contractais involontairement mon sexe sous lexcitation. Ensuite elle se mordit la lèvre inférieure, ses dent lui faisant perdre leur couleur rose pour la remplacer par du blanc. Ce spectacle ne cessait de mémerveiller, et de faire affluer dans une partie bien particulière de mon anatomie. Il fallait aussi dire le regard que je lui lançais semblait ne pas lui déplaire du tout. Elle demanda, avec une voix encore plus chaude que dhabitude :
« Action ou vérité ?
- Vérité, pour nous calmer un peu
- Vérité ? Daccord. »
Elle se leva, se mettant de profil, bombant le torse.
« Comment tu me trouves ? »
Elle me laissa le temps de caresser son corps du regard, puis tourna un peu sur elle même pour me donner dautres points de vue. Elle avait à nouveau les joues rouges, et son sourire nindiquait quune seule chose : elle adorait notre petit jeu.
« Je crois que bandante serait tout à fait adapté à la situation
mais ce serait oublier à quel point point tu as un beau visage et à quel point jadore ton sourire. »
Elle put sentir que jétais honnête dans ma voix, ne la complimentant pas simplement pour être un beau parleur. Ses joues en rougirent dautant plus. Jeus limpression quelle voulut se jeter sur moi pour membrasser. Cependant, elle se contenta de se rasseoir plus proche de moi sur le canapé, avant de demander dun regard presque timide :
« Vraiment ?
- Bien sûr. Tu es une femme magnifique, tu le sais ? »
Pour moi, une personne de sa beauté se devait den avoir conscience. Elle baissa les yeux, comme pour me chercher une raison de mentir, puis jindiquai dun signe de la main la bosse dans mon jean. Elle suivit mon geste, et sembla accepter cette justification, en se mordant cette fois inconsciemment la lèvre. Je la sauvai de son trouble en demandant :
« Action ou vérité ?
- Hmmm
Action.
- Jai un amis qui se sent un peu à létroit dans ce jean, si tu laidais un peu à se libérer ? Cela dit, reste sage avec tes mains... »
Elle hésita, puis demanda dune voix tentatrice :
« Et pourquoi je resterais sage ?
- Eh bien, tu naurais pas envie de perdre si facilement ce jeu, non ? Moi aussi, jaimerais bien ne pas être sage
Mais cette frustration, cette douce montée en puissance de nos émotions et de nos sensations nest pas amusante ? Le premier qui abandonnera aura perdu. Tu nas pas envie de perdre ?»
Je savais que cette femme était joueuse, ce côté chez elle me plaisait beaucoup, et je sus que je ne métais pas trompé quand elle sapprocha de moi en disant :
« Daccord, tu as raison, je ne vais pas perdre si facilement. »
Et se faisant, elle sétait penchée sur moi, et ses mains sactivaient sur mon entrejambe pour déboutonner mon jean, puis abaisser ma braguette. Elle avait fait exprès de se pencher, pour que je puisse avoir une vue imprenable sur le décolleté de son débardeur. Je me permis dobserver attentivement sa magnifique poitrine, et elle put presque sentir la bosse proche de ses doigts sagiter à nouveau. Elle me dit dun ton impérieux :
« Debout. »
Et mexécutant, elle fit glisser mon jean le long de mes jambes, me retrouvant en caleçon avec une terrible érection juste devant elle. Elle dut presque se reculer pour éviter mon sexe qui sortit à la hâte du vêtement qui le comprimait. Une fois mon pantalon au sol, je dégageai mes pieds, et nous pûmes retourner sur le canapé, cette fois lun à côté de lautre. Elle me demanda alors :
« Action ou vérité ?
- Action, évidemment.
- Tu ne trouves pas que comparée à toi, je suis bien trop habillée ? Si tu maidais un peu à enlever tout ça
A moins que tu naies peur de ne pas te tenir ? »
Elle me lançant un regard plein de défi, auquel mes yeux répondirent « Pfff, trop facile. ». Je me plaçai devant elle, et lui dit :
« Lève les bras, beauté. »
Elle fut surprise par ce surnom, mais sexécuta, gardant un sourire de défi. Je plaçai donc mes mains sur ses hanches, et en attrapant son top, je le fis lentement monter le long de son corps, jusquà ce quil quitte sa peau, la laissant en soutien-gorge en dentelle blanc. Et quel soutien-gorge ! Je restai quelques instants sans bouger à découvrir cette délicieuse poitrine, avant de poser machinalement son vêtement sur le canapé. Loin dêtre gênée, elle bomba le torse, minvitant presque à ne pas toucher quavec les yeux. Mais je sus me retenir moi aussi, et mon regard revint finalement dans le sien. Nos yeux transportaient énormément démotions et de sensations : chaleur, excitation, envie de jouer, et josai même espérer trouver de lamour dans son expression. Mais elle mavait demandé de faire quelque chose, et il était de mon devoir dhomme serviable de la satisfaire. Alors mes mains vinrent sur les boutons de son mini-short, et sattelèrent à la déshabiller. Une fois sa braguette abaissée, elle se leva delle-même, me présentant son dos. Je me levai aussi, et en mapprochant delle, je dus faire attention à ne pas appuyer avec mon membre en érection contre ses fesses. Et quelles fesses ! Mais je me reconcentrai, et fis descendre son short le long de ses cuisses, découvrant ainsi quelle portait un magnifique string blanc, quelle avait fait exprès de me faire découvrir ainsi. Je restais bouche bée, luttant à la fois contre lenvie denlever son string et de lui faire lamour sur le champ, celle de toucher ces délicieuses fesses et celle de me masturber furieusement devant cette vue incroyable. Après mavoir laissé subir ce trouble pendant de longues secondes, elle commença à balancer les hanches de gauche à droite, demandant avec une voix faussement innocente :
« Quest-ce qui tarrive ? Tout va bien
? »
Elle continuait son mouvement hypnotique, et après avoir pris une profonde inspiration, je répondis :
« Tout va incroyablement bien ! Aller, va poser tes jolies fesses sur le canapé, tu ne vas pas gagner si facilement.
- Mhmm
Tant pis... »
Et nous nous rassîmes, elle sassura du regard que mon érection déformait toujours autant mon caleçon alors que je demandai à nouveau:
« Action ou vérité ?
- Mhmmm
Vérité cette fois.
- Comment tu te sens ? »
Elle fronça dabord les sourcils, puis comprit ce que je demandais :
« Jai très chaud
Mes petits tétons sont tout durs et tout sensibles sous mon soutif, dailleurs je sens le moindre mouvement du tissus
»
En disant cela, elle avait placé ses mains sous ses seins, et faisait sagiter son soutien-gorge tout en me regardant droit dans les yeux.
« Et jai le bas-ventre qui narrête pas de se contracter
Je ne sais pas vraiment comment cest sous ma culotte, mais
je crois bien que tu vas aimer. »
De même, elle sétait mise à caresser son ventre, juste à la frontière de lélastique de son string. Elle se prenait maintenant pleinement au jeu, et naurait pas pu choisir de meilleurs mots ni de meilleurs gestes pour me mettre dans tous mes états. Cependant, si elle était joueuse, je létais aussi, alors je répondis :
« Je vois. On a bien mangé tout à lheure, mais tu me donnes vraiment de plus en plus faim... »
Ce fut mon tour de me lécher les lèvres dune façon suggestive, ce qui neut pas lair de la laisser de marbre. Elle passa quelques instants à imaginer ce que je laissais entendre, puis revint à notre petit jeu en me posant léternelle question :
« Action ou vérité ?
- Action.
- Daccord
Je crois que jaimerais bien avoir un massage du ventre. Tu sembles habile de tes doigts, et toutes ces contractions mont un peu tendue
Il faudrait que tu règles ce problème, tu sais.
- Si gentiment demandé, je ne peux quaccepter avec grand plaisir. Et si on allait dans ton lit ? Ce serait plus pratique pour que tu tallonges.
- Ca mva. »
En se levant, elle tendit sa main pour que je la prenne, puis memmena dun pas léger dans sa chambre, me laissant à nouveau tout le loisir de mater son incroyable postérieur sagiter alors quelle marchait devant moi. Elle alla sallonger sur son lit une place, moffrant la vue délicieuse de cette magnifique femme en sous-vêtement qui nattendait que moi pour la caresser dans son lit. Je me plaçai donc sur ses jambes, pour pouvoir lui masser le ventre sans trop me pencher. Dans ses yeux se mêlaient de lenvie et une touche dappréhension, alors que je commençais à apposer doucement mes mains sur son ventre. Je me mis alors à la caresser, découvrant avec grand plaisir le contact de ma paume et de mes doigts sur sa peau chaude et douce. Elle semblait elle aussi apprécier mes attentions, mais cela neut pas lair de la détendre pour autant : ses yeux étaient grand ouverts, rivés sur les miens (et parfois aussi sur mon sexe), tandis que je mappliquais en regardant ce que je faisais. Plusieurs fois, je laissai mes doigts sapprocher de son soutien-gorge, pour en caresser la base, à dautres moments je mapprochais dangereusement de son bas-ventre, passant presque sous lélastique de son string sans pour autant maventurer plus loin. Dans ces moments là, je la sentais retenir sa respiration, et je voyais que son ventre se contractais
Mais je continuais mes mouvements, comme si de rien nétait. Si elle comptait me faire perdre ainsi, elle se trompait, et je pense que cétait elle qui risquait de plus en plus de ne plus se contrôler dans cette situation. Pour le prouver, je lui demandai :
« Action ou vérité ?
- Je
action ?
- Entrouvre la bouche. »
Elle fit ce que je lui demandais, prévoyant ce que je ferai ensuite, et je vins me pencher sur elle pour lembrasser tendrement. Je pus goûter ses douces lèvres, et rapidement, je me rendis compte que jen voulais plus, que jattendais plus que de la simple tendresse, alors nous nous embrassâmes plus avidement, avec plus dardeur et de passion. Nos langues se rencontraient dans une danse torride, tandis que nos corps ondulaient lun sur lautre, nos sous-vêtement étant encore les seules barrières restantes face à notre excitation mutuelle. Malgré tout, la dame était habile, et alors quon mettait fin à lune de nos embrassades pour reprendre de lair, elle demanda le souffle court :
« Action, ou vérité ?
- Action.
- Déshabille moi, beau gosse.
- Avec grand plaisir... »
Je me reculai pour la laisser se redresser, et quand elle me présenta son buste, je fis passer mes mains sur son ventre, ses hanches puis sur son dos jusquà ce que mes doigts atteignent finalement ce qui attachait son soutien-gorge. Alors, dun mouvement fluide, je le dégrafai, libérant ainsi sa poitrine. Je fis ensuite glisser les bretelles de ses épaules le long de ses bras, et elle se retrouva elle aussi torse nu face à moi. Je faillis me jeter sur elle, pour goûter à ses petits tétons tout durs qui me regardaient, pour prendre à pleine mains ses beaux seins, mais javais une action à terminer, et le perspective de la mener à bien me retint tant bien que mal. Elle avait évidemment saisi mon intention, et sembla presque déçue que je ne me laisse pas aller, tout en étant impatiente à lidée que je lui fasse perdre le dernier rempart entre sa chatte et moi. Elle quitta donc le lit, se mettant debout, et je la suivis bien vite, avant de poser à nouveau mes mains sur ses hanches, juste au niveau de son string. Je lui adressai un regard qui demandait « Es-tu sûre? », mais à celui quelle me renvoyait, il était clair que la question ne se posait même pas. Alors, gardant mon regard dans le sien, je fis doucement descendre son sous-vêtement, la dénudant totalement sous mes doigts. Quand jeus fini mon uvre, elle fit deux pas pour se débarrasser totalement de cet ennuyant morceau de tissus, puis vint coller son corps nu contre le mien, mon sexe appuyant sur son ventre. Nos lèvres se rencontrèrent avec toujours plus de passion, et je mautorisai à caresser son dos nu, voire même à descendre plus bas, partant à la rencontre de ses belles fesses, bien chaudes et rondes. Inconsciemment, elle pressait son bassin contre le mien, ma bite en érection frottant contre nos deux ventres. Latmosphère était brûlante, et nous étouffions mutuellement sous la puissance de notre excitation. Mais cet échauffement de nos esprits provenait dun jeu, quaucun de nous ne voulait perdre. Cest pourquoi, entre deux baiser, je lui demandai :
« Action ou vérité ?
- Action.
- Enlève mon caleçon. »
Je neus pas beaucoup à attendre avant que mon sexe ne soit fièrement dressé dans sa direction, et je sus quelle aussi navait quune seule envie : celle de se jeter dessus, de le prendre dans ses mains, dans sa bouche, ou même encore dans un endroit bien plus intime. Mais elle fut elle aussi capable de se retenir, et revint membrasser avec ferveur, prenant mon visage entre ses mains. Elle sarrêta néanmoins après plusieurs minutes pour chuchoter à mon oreille :
« Action ou vérité ?
- Action.
- Cest lheure du dessert, mon coquin
»
Elle me quitta pour aller se placer sur le lit. Elle écarta les jambes, mouvrant entièrement laccès à sa petite fleur. Et elle ajouta dune voix qui me fit perdre la tête :
« Moi cest ça mon fantasme
Viens donc goûter cette petite chatte tout prête pour toi. »
Le temps de cligner des yeux, javais la tête entre ses jambes. Entre ses cuisses, son parfum se mélangeait avec celui de son sexe, une enivrante odeur féminine qui me fit totalement perdre le contrôle. Dun grand coup de langue, je rentrai en contact avec ses lèvres trempées, et je savourai avidement le goût de ses fluides intimes. Cependant, je ne marrêtai pas à cette légère touche de sel, et je vins entourer lintégralité de sa fente avec ma bouche, avant de laisser ma langue lexplorer à sa guise. Mon amante commença à gémir sous mes bons soins, contractant ses doigts inconsciemment dans mes cheveux. Je commençai par passer ma langue sur le moindre centimètre de sa peau. Peu à peu, ses grosses lèvres comme ses petites lèvres lavaient rencontrée, et attendaient toutes son retour. Une fois que son sexe ne fut plus uniquement trempée de sa cyprine, mais aussi de ma salive, je changeai de façon de faire. Je plaçai mes lèvres autour de son bouton de plaisir, puis vins le titiller de bout de la langue. Sa réaction fut immédiate, elle eut une sorte de spasme et se mit à gémir de plus belle. Après quelques instants, je laissai ma langue se reposer, en me mettant à sucer son clito plutôt quà le lécher. Cela eut lair de lui plaire, du moins était-ce ce que les ondulations involontaires de son bassin et les sons quelle émettait laissaient comprendre. Sentant quelle était de plus en plus proche de la jouissance, son corps brûlant de désir étant particulièrement sensible et prêt à un grand plaisir, ma langue sactiva à nouveau sur son bouton gorgé de sang tandis que que je continuais de laspirer dans ma bouche. Leffet que je souhaitais ne fut pas long à arriver : elle serra tellement les cuisses autour de ma tête que je naurais pu méchapper si je lavais voulu, et les gémissement ressemblèrent de plus en plus à des cris, jusquà-ce que tout son corps et son esprit se perdent dans un orgasme qui semblait particulièrement puissant, étant donné ses expressions de plaisir et les spasmes qui agitaient tout son corps. Je continuai mes mouvements avec toujours plus de passion pendant de longues secondes, ma tête dans létau de ses cuisses et de ses bras, jusquà ce quelle lâche peu à peu son emprise et que son corps cesse de sagiter. Sachant quelle deviendrait particulièrement sensible après cet orgasme, je ralentis puis arrêtai mon cunnilingus, relevant la tête pour lobserver. Nous étions tous deux essoufflés, reprenant notre respiration en rythme, nos corps nus se couvrant peu à peu de sueur dans ce moment torride. Jadorais lodeur de sexualité qui embaumait la pièce, et mon pieux, dur comme fer, attendait lui aussi son tour. Entre ses jambes, javais oublié notre jeu sans même en avoir conscience, et soit elle décida de profiter de sa victoire, soit elle ny pensait plus elle non plus. Cest une voix essoufflée et un regard fiévreux de désir qui me dit :
« Tes doué, putain
A mon tour, maintenant. »
Elle commença dabord par se pencher, attrapant une capote dans sa table de chevet, puis vint vers moi, qui étais assis sur mes genoux. Je ne répondis rien, attendant de voir ce quelle voulait faire, et une fois quelle fut à ma hauteur, elle se pencha comme pour mieux voir mon pénis, et y plaça ses deux mains. Je tressaillis sous son contact, et elle releva le regard vers moi :
« Comment tu fais pour tenir aussi longtemps ? Cest la première fois que je vois ça
- Tu te souviens, quand je te disais que tu étais bandante ? »
Elle rougit sous se compliment, et cette délicieuse femme nue, les joues roses devant moi me fit à nouveau perdre le contrôle. Je lembrassai presque avec violence, sans pour autant lui faire mal, et elle me rendit le baiser avec la même intensité. Tandis que ses doigts restaient inactifs sur mon sexe, je me permis de poser les miens sur ses seins, les soupesant, appuyant dessus avec mes doigts, pour en prendre réellement la mesure. Elle aimait cela, et cambra le torse pour men rendre laccès plus pratique. Jallai aussi titiller ses tétons, qui pointaient comme jamais, et qui semblaient très sensibles, puisquelle recommençait à gémir alors que nous nous embrassions. Nous restâmes ainsi plusieurs minutes, jusquau moment où je me mis à pincer ses deux tétons à la fois, sans lui faire mal, mais assez fort pour lui provoquer des sortes de spasmes, comme si elle était traversée par de petits chocs électriques. Alors elle quitta ma bouche, chuchotant :
« Je vais te monter, mon ptit coquin. »
Elle me fit ce qui ressemblait fortement à une prise de judo pour que nous inversion nos places, je me retrouvais alors sur le dos, le long du lit. Elle était sur les genoux, et me regardant de haut, elle se mordit la lèvre en regardant ma bite fièrement dressée pour elle. Elle ouvrit donc la capote, la plaça habilement sur mon sexe, puis vint à quatre patte se placer juste au dessus de moi. Je restai silencieux, subjugué par cette habileté, cette grâce féline qui semblait totalement naturelle chez cette femme. Je revins à moi quand elle plaça lentrée chaude et mouillée de sa chatte au dessus de mon sexe. Saidant de sa main, elle frotta mon gland contre son entrée, pour que nous puissions tous deux nous habi quelque peu à lautre. Puis elle se laissa tomber sur ma bite, étant assez lubrifiée de salive et de cyprine pour sempaler sur moi sans problème. Nous eûmes un gémissement de concert alors que jatteignais le fond de son intimité, et elle déclara dune voix torride :
« Putain ce quelle est bonne
»
Elle me sentit me contracter à cette déclaration, et son sexe qui avait goûté une fois à la pénétration voulut y goûter à nouveau. Elle leva donc ses hanches, quittant presque ma bite, puis se laissa à nouveau tomber, nous faisant encore gémir en même temps. Elle le fit une troisième fois, ajoutant :
« Oh mon Dieu... »
Puis accéléra le mouvement, dansant habilement sur mon pieux, donnant à nos corps en ébullition de délicieuses sensations qui nous faisaient tous deux perdre la tête. Mais mon esprit saccrocha à une idée, et je ne pus mempêcher de lexprimer :
« Je taime
Je taime !
- Moi aussi, putain, je taime ! »
Et elle se pencha sur moi, ses cheveux formant un rideaux autour de nos deux visages, pour membrasser tandis que son bas-ventre ne quittait pas mon sexe pour autant. Jen profitai pour memparer de ses seins, et nous naurions pas pu être plus connectés lun à lautre quen faisant lamour avec passion en ce moment précis. Cela dit, je sentais la jouissance arriver après tant dexcitation, alors je le lui indiquai :
« Je vais jouir ! »
Et elle prit ma main dans la sienne pour la placer sur son clitoris, mindiquant par ses gestes daccélérer son plaisir.
« Attends moi mon beau. »
Je mactivai donc sur son petit bouton, ce qui la fit repartir en arrière dans une expression de plaisir, et tandis que mon pénis stimulait tout lintérieur de son vagin, mes doigts titillaient son clito, ce qui devait lui provoquer un mélange insoutenable de sensations. Je sentis son intérieur se contracter sur mon sexe, preuve que son orgasme était proche lui aussi. Je fis de mon mieux pour tenir jusquà-ce que je sente quelle parte, me lâchant moi aussi. Elle ne perdit pas le rythme, et cest un orgasme des plus puissants qui nous envoya tous les deux directement au septième ciel. Nos corps hurlaient, se contractaient et jouissaient ensemble, lun à cause de lautre dans cet instant de partage magique. Mon cerveau, se noyant dans le plaisir, ne put que se concentrer sur une seule chose : à quel point jaimais cette femme, à quel point je la trouvais magnifique et admirable, à quel point jétais heureux que nous passions cet instant intime ensemble. Puis, alors que le plaisir sévanouissait peu à peu, nous laissant tous deux couverts de sueur et le souffle court, elle se laissa presque tomber sur mon torse, pour reprendre sa respiration en même temps que moi. Mon membre maintenant mou était encore à lintérieur delle, mais je ne men inquiétais pas, tout ce qui mimportait était dadmirer cette beauté qui respirait, toute chaude contre moi. Je caressai ses cheveux, et elle tourna son joli visage vers moi. Nous nous embrassâmes, cette fois avec une très grande tendresse, notre doux baiser prouvant ce que criaient nos esprits : Je taime. Javais envie de le répéter sans cesse, de le lui hurler. Jétais amoureux delle bien avant que nous ne fassions lamour, et je pouvais enfin laisser cette émotion vraiment sexprimer, mes lèvres contre les siennes. Nous ne pûmes cependant pas tenir ce baiser éternellement, lair venant à manquer, et tandis que nous respirions, elle me précisa ce qui était maintenant une évidence.
« Je taime.
- Moi aussi, je taime, je taime depuis longtemps. »
En prononçant ceci, je caressai encore son visage, tandis quelle vint à nouveau apposer ses lèvres sur les miennes. Nous restâmes longtemps ainsi, à nous reposer lun contre lautre, à nous embrasser et à nous dire de doux mots damour. Il y eut encore des caresses, plus douces et plus chastes, et à un moment, elle mapprit :
« Jai gagné. »
Cest seulement à cet instant que je le réalisai, et je ne pouvais pas nier sa victoire. Cependant, je la mis à nouveau au défi :
« Alors cest moi qui gagnerai, la prochaine fois. »
Elle madressa un regard coquin, sachant quà lavenir, nos tempéraments joueurs nous donneraient bien des situations frustrantes, terriblement excitantes, qui nous offriraient certainement un plaisir immense.
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