La Saga Des Esclaves Au ... Special 300 Ème Épisode (5Ème Partie)
Lanniversaire du Marquis dEvans (5ème et dernière partie) -
Tandis que lon commence à débarrasser les assiettes, des soumises sont venues sinstaller sur les barres qui se trouvent le long des tables, soulevées en hauteur par des mâles robustes. Les soumises-chandeliers sont maintenant de plus en plus couvertes de cire bleue, qui coule en goutte à goutte formant des épaisseurs de coulées de bougies qui sétalent sur tout leur corps, tandis que la hauteur des cierges diminue au fur et à mesure de la soirée. La lumière à nouveau est tamisée, pour quun nouveau décor soit mis en place. Quatre chevaux de bois à bascule qui en réalité sont des licornes, avec une corne lumineuse de nature phallique, sont amenés au centre de la pièce. Ils sont également pourvus en lieu et place de la selle dun énorme phallus également lumineux. Quatre soumises prennent place dessus et mettent en mouvement le balancier tout en montant et descendant pour sempaler à chaque fois sur le sexe géant qui les pénètre. Lorchestre se met à jouer des musiques lascives qui marquent les rythmes des déhanchements de chacun et chacune. Les soumises se tenant aux barres ondulent avec la musique dans des positions de plus en plus osées, nhésitant pas à se rapprocher des convives en écartant les cuisses ou les fesses, se balançant presque à portée des mains qui deviennent de plus en plus téméraires ajoutant le geste au plaisir du spectacle. Certains convives nhésitant pas à se lever pour toucher de plus près ces corps nus qui dansent sous leurs yeux, glissant leurs mains dans les parties les plus intimes pour vérifier si elles sont bien humides
Plusieurs esclaves mâles ont été quant à eux munis de gode lumineux dont la base est entrée dans leur bouche, fermé par une ceinture de cuir autour de leur tête. Ils avancent à quatre pattes les uns derrière les autres se positionnant au centre de la pièce pour former deux cercles et commencent à senculer les uns les autres refermant peu à peu le cercle qui continue de tourner au rythme des pénétrations et avancées de chacun.
Les lumières bleues des guirlandes sont à nouveau allumées tandis que les lustres sont éteints
. Mais de nombreuses autres lumières sont éclairées sur les murs de la salle, toutes recouvertes de voiles qui donnent à la pièce une ambiance tamisée différente. Plusieurs spots tournant lumineux sont mis en route ainsi que des lumières laser qui dessinent sur les murs et aux plafonds autant darabesques tournoyantes presque disco, la musique augmente de plus en plus vive et joyeuse. Un grand rideau de toile qui se trouvait au fond de la salle est maintenant descendu et enlevé. Eclairée par des spots laissant apparaître la transparence, une très belle pyramide de flutes de cristal est en train de se remplir, chaque verre plein débordant sur ceux qui sont situés juste au-dessous comme autant de fontaines successives. Le liquide à bulles provient dune gigantesque bouteille de Champagne de renom, un « Salomon » (un contenant de 18 litres, ce qui équivaut à 24 bouteilles, qui pèse 43 kilos, mesure 85 cm de haut et 23 cm de diamètre à la base).
Lorchestre se met à jouer un air de Lully digne des banquets du Roi Louis-Soleil pour annoncer larrivée du gâteau. Profitant de ce temps où chacun porte le regard sur la composition qui approche, les serveurs se dépêchent de répartir les flutes remplies devant chaque convive. Le gâteau est en réalité une immense réalisation portée par quatre esclaves à bout de bras, comme sil sétait agi dune chaise à porteur mais beaucoup plus large et longue et surtout moins haute sur le dessus
.. Sur le plateau, se trouve en pâtisserie une reconstitution du Château ancestral de la famille des Evans, fait pour les murs en choux empilés telle une pièce montée dun tout autre genre et dont les décors (portes, fenêtres, linteaux, etc) sont en nougatine recouverts de ci de là de sucre pour imiter les différents détails architecturaux de la magnifique demeure. La base du gâteau imite quant à elle les allées, jardins et pelouses de la propriété jusquau mur denceinte réalisé lui aussi en nougatine et servant de cadre rigide à lensemble du chef duvre culinaire.
Les quatre esclaves ont déposé le gâteau juste en face du fauteuil sur lequel trône depuis le début de la soirée, le Marquis Edouard dEvans, mais juste à la hauteur des derniers sièges afin que chacun puisse profiter pleinement du spectacle. Plusieurs esclaves se pressent autour du gâteau que chacun a pu déjà admirer dans son intégralité totalement éclairé. La lumière séteint totalement, un rideau tombe au fond que personne navait encore vraiment remarqué. Au moment où les éclairages se rallument par un savant jeu de lumière harmonisé, tandis que lorchestre entonne la musique entrainante de lhymne de la ligue des champions, les bougies fontaines étincelantes du gâteau sont toutes allumées en même temps par la multitude de petites mains desclaves qui se retirent aussitôt à quatre pattes après avoir officié. Ces premières gerbes détincelles imitent à merveille un spectacle de feu dartifice qui serait tiré à partir du château, éclairant la façade sucrée mais si bien réalisée quon pourrait croire quil sagit du vrai Château en miniature. A peine quelques secondes plus tard et avant la fin des premières étincelles, ce sont de nouvelles qui sont mises à feu en arrière-plan, donnant à lédifice un éclairage nouveau tandis que les premières finissent de séteindre. Il sagit dune roue qui tourne, projetant ses étincelles tout autour. Derrière le somptueux gâteau-château, au centre une croix de Saint-André en rotation lente sur son axe et sur laquelle une soumise a été attachée (la petite dernière du cheptel, Thaïs, mais le Marquis ne peut pas lidentifier car elle est aussi peinte couleur or avec son loup recouvert de perles sequins sur le visage la rendant identique aux autres, et elle est trop loin pour que son Maître puisse reconnaître ses formes plantureuses en mouvement).
La musique sarrête à linstant même où les dernières étincelles séteignent, comme si le chef dorchestre avait pu commander tant aux instrumentistes quaux feux des bougies. Le silence se fait pendant deux secondes, chacun ayant juste le temps de reprendre une grande bouffée dair après une apnée débahissement dadmiration devant la beauté du spectacle et en se demandant sil faut applaudir car le bouquet final vient dêtre tiré, mais tout le monde se retient attendant le feu vert qui ne peut être donné que par le Châtelain en personne. David, sest penché à cet instant-là à Son oreille, pour lui souffler dattendre car ce nest pas fini. Sans que personne ne puisse savoir par quel miracle cela se produit, puisque personne nest au centre de la pièce autour du Château en pâtisserie, louverture de plusieurs bacs de neige carbonique, positionnés tout autour du gâteau, est actionné et ceux-ci commencent à déverser leur fumée froide qui tombe en cascade depuis le gâteau pour se répandre dans toute la salle telle un immense tapis blanc qui se propage dans la direction du Maître des lieux. Le Marquis dEvans retient son souffle car IL est ébahi dune telle mise en scène qui se déroule sous ses yeux et à ses pieds, alors quun chanteur esclave à la voix très aigue entonne à cappella un air que le Castra Farinelli avait lhabitude dinterpréter. Tandis que le soliste poursuit impeccablement sa mélodie sans fausse note, cest un vrai feu dartifice qui est maintenant tiré au plus grand étonnement de chacun, car tout cela se passe à lintérieur dune pièce, haute de deux étages certes, mais à lintérieur tout de même. Et ce sont pourtant des gerbes qui montent, souvrent en corolle et retombent encore incandescentes. Les jets de feux durent jusquà 30 secondes chacun et montent presque jusquau plafond de la pièce. Le Marquis dEvans a presque attrapé les accoudoirs de son fauteuil prêt à se lever et à bondir pour faire cesser la plaisanterie afin de ne pas prendre le risque de mettre le feu à la demeure ancestrale pour un simple plaisir festif inconsidéré pour un simple anniversaire. Mais Walter le Majordome, qui avait prévu laffolement, sest approché de son patron, le Marquis dEvans, et lui murmure discrètement à loreille, sur un ton plus que rassurant :
- Faites-moi confiance, Monsieur le Marquis. Cest une entreprise de pyrotechnie que jai fait venir qui est spécialisée dans ce type de prestations, il ny a aucun risque quelque soit-il qui peut vous inquiéter. Ce sont des feux dartifice spéciaux destinés à être tirés en intérieur, cest assez inhabituel, je le conçois aisément. Et par précaution supplémentaire, jai même déjà fait détacher Votre petite chienne Thaïs, je ne suis pas sûr que Vous ayez reconnu que cétait elle la soumise qui était en train de tourner sur la croix attachée à la roue, car elle se trouvait dans le champ de retombées des gerbes de feux mais jai agi surtout à cause de la fumée des feux de Bengale qui peut être très irritante pour la gorge, mais qui ne pose aucune souci à Vos Invités car un système de dépressurisation artificielle est mis en place qui aspire la fumée vers larrière de la salle grâce à plusieurs aspirateurs. Profitez donc du spectacle en toute sécurité
Ce nest quau bout de longues minutes que le chanteur-esclave sarrête concomitamment avec le bouquet final du feu dartifice, ayant donné de toute sa voix et de ses plus belles notes sur les derniers instants en harmonie avec les jeux de lumière chatoyants. Dans la seconde, ne laissant même pas à chacun le temps de commencer à vouloir applaudir, une poursuite lumineuse dirigée et télécommandée depuis le plafond séclaire et se focalise sur le gâteau maintenant éteint, quand un bruit se fait comme un déchirement de papier, et munie dun micro accroché à son cou, une magnifique silhouette dune soumise nue jaillit, qui visiblement était vautrée dans les soubassements du gâteau-château depuis le début et elle crie avec la joie au cur « Bon Anniversaire ! » et levant les bras en lair avec un sourire radieux, tandis que lorchestre entonne lair traditionnel de cette fête annuelle. Il nen faut pas plus pour que tout le monde se lève et reprenne en cur « Bon anniversaire, Monsieur le Marquis dEvans ». Le Noble a eu le temps de reconnaître la voix de sa soumise Holly MDE quIL aperçoit maintenant les bras levés au centre même de son château-dessert. Elle a une jolie petite fleur bleue accrochée à chacun de ses tétons ainsi quà ses lèvres intimes.
Profitant du fait que tous les regards étaient focalisés sur le feu dartifice, mais aussi du manque de luminosité au centre de la pièce encore recouvert par le restant du tapis de neige carbonique qui se dissipe que peu à peu, tous les esclaves du cheptel rampant au plus près du sol se sont tous regroupés au centre du grand M, arrivant de toutes parts du Château et des cuisines qui sont abandonnées pendant quelques minutes. Il ne reste sûrement pas grand âme qui vive dans le reste de limmense demeure. Parallèlement, tous les domestiques, serviteurs et gardiens du Château sont entrés derrière Marie la cuisinière rayonnante et entonnent tous à la suite des convives un troisième « Bon anniversaire, Monsieur le Marquis dEvans » très collectif. Le Châtelain est étonné du nombre de voix, car IL ne savait pas quIL entretenait autant de personnel, mais IL comprend mieux quand IL aperçoit de loin dans la masse des visages, ceux danciens partis depuis à la retraite et ceux dautres qui avaient quitté son service souvent pour des raisons familiales pour suivre un conjoint. IL comprend aussi que Marie a dû sonner le grand rassemblement, pour se faire aider du mieux possible et que nombreux ont été ceux qui ont répondu favorablement à lappel pour se trouver là ce soir pour lever un verre à la santé de leur patron ou ancien patron, ce qui lui fait vraiment chaud au cur. La lumière se fait à nouveau dans la pièce, et au centre du grand M, chacun baisse enfin les yeux apercevant tous les esclaves mâles et femelles du Marquis dEvans, prosternés qui entonnent dune même voix un quatrième « Bon anniversaire, Maître ».
Le Marquis dEvans a du mal à contenir son émotion tant les choses se sont orchestrées sans lui laisser même le temps de respirer allant de surprises en surprises, lui qui était rentré pour un simple anniversaire en petit comité restreint autour dune bonne table entre amis très intimes. IL reste toutefois étonné du nombre de postérieurs quIL aperçoit, car IL ne lui faut pas longtemps pour comprendre quIL y a là ses pieds bien plus que le nombre de chiens et chiennes qui font partie de son cheptel et qui restent à demeure sous son joug au château, IL comprend donc quils sont tous venus, y compris ceux qui lui sont soumis de manière moins permanente, ayant choisi de maintenir une vie vanille indépendante, mais aussi ceux qui travaillent au quotidien dans lEntreprise et les différentes sociétés dirigées par le Marquis dEvans alliant relation de subordination professionnelle et relation de soumission D/s, ce qui nest pas le cas de tout le personnel mais dune bonne partie dentre eux, car la soumission au Grand Patron, Maître et Marquis de surcroît, sest presque propagée par contagion au sein des services et des équipes
. Le Marquis dEvans se lève et applaudit en répétant avec émotion des « Merci, Merci, Merci » inclinant très légèrement la tête pour montrer sa satisfaction. Pendant ce temps-là, les assiettes desserts dorées à lor fin, comportant toutes une petite part du gâteau-Château ont été servis à chaque convive
Le Marquis att sa flute de cristal remplie du meilleur champagne, la lève en direction de tous, se tournant de part en part pour essayer de noublier personne.
- En bien, Merci encore à tous, que vous soyez Dominants ou dominés, membres de mon personnel ou anciennement. Il me semble aussi dune grande évidence de remercier très sincèrement mon fidèle Walter qui a organisé tout cela et bien entendu Marie, notre si compétente cuisinière pour ce somptueux repas et gâteau
A la santé de tous, Chères Amies et Chers Amis, oui à vous tous aussi qui avez organisé cette merveilleuse soirée. Je ne peux trinquer avec vous tous individuellement, mais vous êtes chacun et chacune dans mon cur et dans mes pensées en cet instant et pour longtemps. Savourons le dessert maintenant, mais en espérant que je ne verrai jamais de mon vivant, et pas plus mes héritiers successifs, le vrai château de mes ancêtres se faire dévorer par quiconque après sêtre fait démanteler pierre après pierre comme ce gâteau que jai trouvé si sublime à regarder mais quIL me tarde de goûter maintenant... Je Vous dirais bien avec un vrai jeu de mots maintenant que cest la fin (faim) « Que la fête commence ! », mais ce nest pas complètement faux car la nuit est à Nous. Mon château Vous est ouvert. Que chacun se sente libre daller où bon lui semble, pour profiter des plaisirs de la chair, et que le champagne coule à flot tout autant que le sperme et la cyprine de nos jouissances... Et si orgies, il doit y avoir et bien quelles soient des plus perverses !
(A suivre
)
NOTA : Les suites de ce récit, contant les orgies D/s au château de la soirée et nuit d'anniversaire, suivront le numérotage des autres épisodes à venir -
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!