Mon Dépucelage

Mon copain m’ennuie : je l’aime beaucoup. Il veut me faire l’amour. Je suis encore vierge à 18 ans. Je ne voudrais pas qu’il me défonce, qu’il me fasse mal, que je ne sache pas lui donner ce plaisir qu’il réclame. J’ai pris ma décision : je vais me faire dépuceler. Pas par lui, mais par un autre, un vieux de 40 ans au moins un locataire du dernier étage. Il ne le sait pas encore, je vais me faire remarquer pour qu’il ait envie de moi. Je rumine mon exploit pour rencontrer mon vieux. Je suis une imbécile, je le rencontre au rez de chaussée, juste à l’entrée. Avec un beau sourire il s’arrête.
- Je voudrais vous demander un grand service.
- Quoi donc ?
- Ben, si vous pouviez me dépanner ?
C’est difficile pour une fille de demander ce que je veux à un homme qui peut être mon grand père.
- Voilà, je voudrais être femme.
Je suis idiote, il ne comprend pas ce que je veux. Si je lui touche la bite il va m’en flanquer une bonne.
- Oui, je veux qu’on me dépucèle, alors faites-le.
Je dois être rouge comme une tomate. Il éclate de rire. Il n’a pas dit non : je lui prends le bras pour le mener à l’ascenseur. Il se laisse faire comme un toutou.
Nous arrivons à son étage, il sort, je le suis. J’entre chez lui sur un coup de tête. Il n’a pas le temps de me mettre dehors, j’ai enlevé mon top. C’est lui qui est rouge. Je continu mon épluchage. C’est que j’ai envie de lui maintenant. Tant pis je suis nue, allons au bout. Il regarde les quatre poils du pubis, mes seins, mes épaules, le ventre. Je fais la pute alors que j’ignore le B A BA de la chose. Si je sais me branler, je sais branler mon copain.
Je suis contre lui, je sens son ventre contre le mien. Je l’embrasse sur la bouche : il sait embrasser, moi qui le prenais pour un vieux crouton. D’un seul coup il se rend compte que je ne reculerais pas. Il commence à bander : je sens sa queue se développer dans son pantalon. Je fais ce que je n’ai jamais fait, j’ouvre la braguette, fouille dedans trouve la queue, arrive péniblement à la sortir
J’ai été trop loin.

S’il ne veut pas de moi, j’aurais l’air fin. Nous regardons sa queue qui a des mouvements qui me plaisent, elle monte et descend sans cesse. Finalement c’est beau une bite qui bande. Je la lui prends, je commence à le masturber puisque c’est à peu près tout ce que je sais faire normalement.
Il enlève ma main, me repousse un peu. Il me prend par le cou, me rapproche de lui pour m’embrasser longuement sur la bouche. Sa langue est en moi, il sait mieux embrasser que mon copain.
- Tu veux apprendre à baiser ? Je vais te montrer. File dans la chambre.
Il accompagne son discours d’une tape sur les fesses. Je reste sur le pas de la porte, il me pousse dedans sans gentillesse. Il me pousse encore, cette fois sur le lit. Je reste étonnée de tant de manque de douceur.
Je reste couche pendant qu’il se déshabille. Sa queue ressort encore plus, elle est énorme. Non je ne veux plus, il va me défoncer la chatte .Et en plus, nu, il est beau garçon, avec de belles fesses.
Il est contre moi, il me fait coucher complètement. Sa bouche est sur la mienne. Sa langue dans la bouche fait des ravages en m’excitant. Il s’est presque couché sur moi : il prend un sein le malaxe gentiment. Il sait pelotter les filles. Et sa main oublie mes seins, elle passe sur le ventre, tout le ventre.
Il ne fouille pas la chatte, il la survole. Je m’attendais à ce qu’il vienne sur moi qu’il m’embroche. Pas du tout, il me caresse bien mieux que mon copain. Je mouille de plus en plus, je voudrais qu’il….il le fait en me caressant le clitoris avec douceur. Je gémis doucement, je prends mon pied comme jamais.
Il me masturbe longtemps, me fait jouir deux ou trois fois. J’essaie bien de lui prendre la queue qu’il me refuse je ne sais pourquoi. J’aimerais bien le branler lui aussi. Elle me plait, elle est grosse, la plus grosse que j’ai vue, je n’en ai pas vu des milliers, quoique avec internet..
Je pense qu’il fini quand il descend sa main bien plus bas. Il vient sur mon petit trou.
Là je ne veux rien, je ne demande rien. Et pourtant il caresse l’anus facilement, je m’ouvre de cet endroit inhabituel. Le plus fort est que je trouve que c’est bon. Il entre même son doigt un court instant. Il m’a fait du bien. J’arrive à retenir sa main, il la remet encore dans mon petit cul. Il va et vient, c’est bon, je me crispe en sentant un orgasme inattendu arriver. Il me fait jouir par le cul, le salop.
Il revient sur la chatte, il entre son doigt au fond de vagin, j’y suis étroite. Il vient sur moi, je le sens lourd sur moi. Sa queue enfin se loge entre mes cuisses. J’attends en fermant les dents. Je le sens juste au bord du con. Enfin il fait un léger mouvement. Il entre à pas de loup. Il entre totalement, j’ai juste eu le temps de faire un petit non d’épouvante qu’il était déjà au fond du ventre. Je sentais bien la grosseur de sa queue. C’était agréable de le sentir, agréable quand il allait et venait. Plus agréable encore quand j’ai joui.
Je venais me faire dépuceler, il me faisait jouir.
C’était il y a une vingtaine d’année. Je n’ai plus jamais joui comme cette première fois. J’attends encore un homme qui sache bien baiser. Une vielle copine me propose de me caresser, c’est bon aussi les filles dit-elle. Je n’en sais rien, elle ne me donne pas envie d’essayer.

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