Rer Magique 5
Par chance, ni Mickaël ni moi nétions occupés ce jour là
.
Je navais pas de cours à donner, du moins juste un seul que je me suis empressé dannuler pour rester avec lui, et lui, juste un cours magistral auquel il pouvait ne pas assister
.
Après avoir fait lamour dune manière aussi intense au matin, après quil mait possédé encore plusieurs fois et dans toutes les positions possibles
Putain de mec
Après un petit déj rapidement avalé, nous nous sommes préparés pour aller faire quelque courses. Javais toujours un peu de mal à réaliser ce quil sétait passé ces dernières heures et que ce grand corps sans fin, rencontré dans le RER la veille, avait pris possession de moi, avait rempli tous mes orifices de sa puissance et de sa liqueur
Ses vêtements enfilés, avec cette bosse toujours proéminente devant lui, jétais fier de partir avec lui, dans ma ville, presque à son bras, pour effec des gestes de tous les jours, comme une « femme » avec son mari
. Fier aussi de montrer à des inconnus que mon mari avait, entre ses jambes, un instrument hors du commun
. Un instrument capable de combler sa « femme » comme peu de « femmes » peuvent lêtre
. Envie dentendre les murmures denvie se demandant comment je pouvais prendre ça en moi
.
Bien évidemment, Mickaël se comportait très naturellement, choisissant les produits, sapprochant de moi dune manière câline en me demandant mon avis, sur ce que javais envie de préparer pour lui, et complètement indifférent au comportement des autres clients.
Ca avait lair si simple pour lui
. Il semblait faire ses courses avec sa « femme » et point barre
. Heureux de voir à mes gestes que sa « femme » commençait à ladorer,
Après un regard désinvolte sur le chariot, en appuyant son corps sur le mien
.
« Bon
on a tout
on rentre ??? »
On rentre
et à peine rentré chez moi, juste le temps de poser les sacs parterre, que Mickaël sest rué sur moi et ma renversé sur la table en écartant tout
« Enfin, je nen pouvais plus
.
Je ne sais pas comment, mais en quelque secondes je lui appartenais, son énorme membre coulissait en moi et me perforait avec une force, une violence inimaginable, alors que ses lèvres couvraient mon cou de baisers
.
« Pardonne-moi
. Pardonne-moi »
Il me disait ces mots en me possédant, en me défonçant encore plus fort
. Je regardais son visage pendant quil me pilonnait et il ressemblait à celui dun fou
. Même si je commençais à mhabi à ses violents assauts, celui-ci était particulier
. Il écartait mes jambes au maximum pour me pénétrer encore plus profondément, cherchant encore plus loin, encore plus fort
.. Un vrai fauve en furie
. Son corps exsudait une odeur de mâle en rut
remplie de testostérone et de phéromones qui me rendaient encore plus fou que lui, davantage femelle soumise, offerte à son male
.
Une poussée encore plus forte que les autres, un énorme cri
. Le mâle vient de féconder sa femelle
Il a répandu sa liqueur dans le réceptacle
.
Putain de mec
.
Avec ce quil me met, jaurais du prendre des protèges slips
A savoir pour la prochaine fois
.
Pendant plus dun mois, il ma semblé vivre sur un petit nuage. Dès quil pouvait, en fonction de ses cours, Mickaël venait passer la soirée, la nuit avec moi, toujours avec cette alternance de tendresse, de câlins, mais aussi de possession de sa part, aussi violente que son désir.
Javais retenu la leçon précédente, des paquets de protège-slips plutôt épais savéraient indispensable lors de ses visites. Je nai jamais pu comprendre comment un homme pouvait générer et recharger autant de nectar en si peu de temps et le déposer aussi profondément en moi. Toujours est-il que cette merveilleuse liqueur, si suave au goût quand je lavalais, restait présente dans moi, souvent 24 heures après sa visite, et sécoulait de mon corps lentement, comme si sa présence restait en moi, même après son départ.
Il ma demandé un jour de réserver un Week-end, juste pour lui et moi, pas très loin de Paris, mais dans un endroit calme, en maison dhôte.
Deux semaines après ce moment magique, Mickaël ma demandé de me libérer un autre Week-end, mais pour rester chez moi, ensemble. Après le rituel des courses, de cette vie commune qui sinstaurait de temps en temps, cette fusion des corps avides, le dimanche soir, je lai vu sortir une bouteille de champagne fraîche
Il nétait pas sorti pour acheter uniquement des cigarettes
.. !!!
Il ma demandé mes flûtes, les a remplies, et après le « tchin » rituel, il ma annoncé quil avait décroché un stage dun an aux USA, important pour sa carrière et ses études, et quil devait partir en milieu de semaine suivante.
En quelques secondes, les images de ces semaines passées avec lui ont défilé dans mon esprit à une vitesse surprenante. Que de bonheur, que dinstants magiques et merveilleux Mickaël mavait donnés. Que ce simple regard profond dans un RER, cet « Augenblick » mavait offert
.
Je me suis jeté dans ses bras, caressant son visage, posant mes lèvres sur chacune de ses paupières
.
« Je suis fier de toi »
.
Mickaël ne mappartenait pas
. Il était à lui et à lui seul
..
Il a pris ma main, a embrassé chacun de mes doigts, a ouvert ma paume, et y a déposé un seul baiser
Un seul
.
Ce grand corps longiligne sest levé du fauteuil en face de moi, a jeté ses yeux noirs dans les miens, avec un regard
. Indéfinissable
.
Il a pris son blouson, son sac, a quitté mon appartement sans se retourner.
Cétait il y a deux ans.
A ce jour, je nai jamais revu Mickaël, je nai jamais eu la moindre nouvelle de Mickaël.
Putain de mec
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