Lettre À Malade

Tu es immobilisée, je ne peux même pas aller te voir. Alors je t’écris cette lettre d’amour, enfin de notre amour.
Te souviens tu il doit y avoir 50 ans quand nous nous sommes rencontrés chez ton père. Je venais voir ton beau-frère pour une sortie entre homme. Sa femme, ta sœur était là. Il refusait. Comme il avait raison. Nous nous sommes revus le lendemain en fin d’après midi quand tu sortais du lycée. Un peu timides nous n’avons fait que bavarder de rien comme souvent à nos âges. Pourtant je te voyais dans mon lit. Je désirais ton corps plein d’agréments, de charmes.
Mais le lendemain tu n’as pas refusé mes lèvres. Oh ton baiser était timide, tu ne savais pas trop. Nous nous sommes « fréquentés » deux semaines avant que tu m’autorise à caresser tes jambes, les ouvrir pour que je découvre tes trésors. Quel bonheur de caresser ton sexe mouillé. Tu en avais plus envie que moi.
Nous avons été sages disons trois semaines puisque c’est à peu près le temps que j’ai mis à te convaincre de venir chez moi. Tu avais honte d’être nue devant moi, tu me regardais bizarrement quand je bandais. Pourtant tu as dit oui quand je t’ai proposé de faire l’amour, chose pour laquelle tu ne connaissais rien sinon des photos romans. Tu m’as laissé venir sur toi, j’arrêtais juste pour mettre un préservatif (pas contre une MST, contre les bébés). Tu patientais jusqu’au moment où tu t’es ouverte en grand. Je t’ai fait ainsi l’amour pour la première fois Je ne l’ai jamais regretté. Toi non plus je crois.
C’est pendant la nuit de noce quelques semaines plus tard, que tu t’es plainte pour la première fois, juste avant de jouir. Rapidement nous avons perfectionné nos baises. Tu t’es même mise à te masturber, sur les conseils avisés d’une copine, alors que tu ne l’avais jamais fait. J’ai toujours aimé que tu te donne du plaisir solitaire.
Le soir où je t’ai proposé ma langue en bas, sur l’autre bouche, tu as accepté uniquement pour me faire plaisir, dégoutée par le principe.

Tu ignorais le plaisir que je t‘ai toujours donné en te léchant. Tu me l’as vite rendu en prenant la queue dans la bouche. Ta seule exigence était que je ne jouisse pas en toi, le sperme devait être dégoutant. Et un jour l’accident est arrivé, tu m’excitais tellement que j’ai juté par hasard là où tu ne voulais pas. Tu aurais pu cracher ma daube. Tu l’as gardée et avalée en souriant coquinement.
Et un soir juste avant que je te pénètre tu t’es refusé :
-Mets moi la au cul.
- Tu vas avoir mal.
- Mets moi la au cul.
Je n’allais pas être plus royaliste que le roi, tu voulais te faire enculer. Je l’ai fait. Tu remuais pour que j’entre à fond. Je ne voulais pas te faire mal, tu t’ouvrais largement. Je sentais la raie de tes fesses contre le pubis, c’était bon. Je ne sais comment tu as fait, tu as joui avant moi. Je te pensais calmée, comme moi, mazette ! Tu t’es branlée après deux fois. Mais que ton cul était bon. Que de bon temps nous avons passé en sodomie.
Malgré les années nous n’avons jamais cessé de nous faire l’amour. Si, pour ne raison quelconque je ne pouvais satisfaire tes besoins, tu te mettais nue, allongée, les jambes ouvertes. Ta main venait vite sur ton con béant : deux doigts pour ouvrir tes lèvres, dégager le clitoris, deux autres pour le frotter doucement. Tu fermais les yeux pendant que ton plaisir t’envahissait. A la fin te serais les cuisses en y bloquant ta main pendant que l’orgasme te dévorait..Quand j’étais présent, tu me demandais la queue pour me manger. Tu me mangeais réellement la bite en commençant par le gland. Tu le léchais comme un esquimau, je frémissais quand tu tenais ma gaule à pleine main. Tu me branlais en me suçant. Mais tu savais attendre ton moment à toi pour me faire juter sur ton ventre. Ma semence te servait de baume de beauté.
Un jour tu as découvert les vertus de la douche. Tu m’y as entrainé. Je bandais en te regardant de faire du bien avec le jet, accroupie sur le sol, le jet à deux centimètres de tes chairs.
Tu as changé la direction après un premier orgasme, ton cul y a eu droit. J’ai du, devant toi passer l’eau chaude sur ma colonne. Il fallait que je trouve la bonne hauteur : tu espionnais mes mimiques. Quand je commençais à sentir enfin le plaisir complet, tu as pris le jet pour continuer. Puis que je sois encore mieux tu m’as placé un doigt dans le cul. Cette invention était agréable. Depuis nous l’avons souvent fait, surtout quand je suis sur toi pour te baiser, tu passe ta main sur mes fesses, écartes la raie et vlan dans le mille.
Puis et arrivé le temps des godes. Il t’en a fallut deux. Tu avais pris l’habitude de jouir plusieurs fois de suite (5 était ton chiffre minimum) Normalement après t’avoir excitée, masturbée une fois, baisée longuement, avec orgasme de ta part obligatoire, des fois sodomie, tu prenant un de tes copains comme tu les appelais, tu le rentrais profondément dans la chatte, tu te baisais avec. Ensuite tu le sortais, tu le changeais de place. Ton cul l’avalait. Je regardais comment tu faisais, tu me faisais bander encore. Tu ne t’occupais pas de moi, tu prenais l’autre gode pour te baiser. Tu adorais ces doubles pénétrations. Tu me prenais dans la bouche pour avoir ta dose de semence.
Tu as même voulu au cours d’un voyage après que tu te sois satisfaite, m’enculer à mon tour. Tu m’as installé les fesses au bord du lit. La gode mouillé par ton con, tu me la mis juste dessus. Ton autre main a pris ma bite que te branlais comme tu sais si bien le faire. Et tu m’as enculé tellement gentiment, tellement bien que j’en redemande des fois.
Tu as bien trouvé le moyen de te masturber dans un restaurant : près de nous deux filles se caressaient ostensiblement. Excitée, bien que tu sois resté hétéro, tu t’es fais du bien en te moquant des voisins qui pouvaient te voir.
Je ne sais si tu comprendrais ce que j’ai écrit, j’espère même d’avoir eu peu excitée, dans ce cas essaie de te faire masturber par l’infirmière si elle a lu la lettre.

P.S. A lire par l’infirmière. Par pitié si ma femme comprend ce que j’écris, masturbez-la s’il vous plait

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!