Manon 1

Le Vendredi matin, après mon aventure de la veille avec Noémie dans le toilettes de mon Lycée, je pris une résolution : d'arrêter un peu le sexe, et de me concentrer un peu sur mon travail.

J'étais en effet en Terminal, nous étions en fin d'année, et le Bac approchait. Or toute cette semaine, je n'avais fait qu'une chose : m'envoyer en l'air. J'avais couché avec Chloé ma cousine, avec Katherine, mon plan cul régulier, avec une inconnue dans le train, et enfin avec Noémie dans les toilettes. Certes c'était génial, mais je savais que ce n'était pas en sautant des jeunes filles dans les toilettes de mon Lycée ou dans les RER , que j'arriverai à passer mon Bac. Je décidais donc d'arrêter (provisoirment) le sexe, et de travailler d'avantage.

Le problème était que dans certaines matières j'étais largué, j'avais besoin de l'aide d'un autre élève pour réviser. Comme aucun garçon de ma classe n'était de bons élèves, je décidai de demander de l'aide à une des nombreuses filles de ma classe. Le problème, était que ces derniers temps, j'étais incapable de rester seul avec une belle fille sans coucher avec elle, que ce soit parce que moi je la draguais, ou parce qu'elle me draguait. Je décidai donc de demander de l'aide à une fille avec laquelle je serai sur que rien de sexuel ne pourrait arriver. Je commençai par demander à des filles laides, ou du moins pas trop sexy de m'aider à réviser, mais l'on était vendredi, et donc aucune n'était libre ce soir. Je demandais ensuite de l'aide à ma meilleure amie Laure. Certes elle était très belle, mais comme nous étions bons amis, j'étais sur que ni elle ni moi ne tenterait quoique ce soit de sexuel. Mais elle aussi refusa, car elle aussi devait sortir ce soir. Lorsque je lui expliquai mon problème, elle me dit :

"Bah va demander à Manon, elle sort pas ce soir, et elle m'a dit qu'elle aussi avait besoin d'aide. En plus, elle est en couple donc aucun risque que vous baisiez tous les deux.

.."

"Bonne idée, répondis je, merci !"

Cela paraissait être une bonne idée. Manon était une amie à moi, elle était dans ma classe, et était une élève relativement douée. Elle était certes très sexy, mais je savais que je ne serai pas tenté de coucher avec elle, car elle était en couple, et que je m'entendais bien avec son copain, Karl. J'étais donc persuadé qu'en révisant avec elle, j'allais bien travailler, et que rien de sexuel ne se passerait entre nous. Je me trompais...

Entre deux cours, j'allai voir Manon, et lui proposai que nous révisions ensemble. Elle accepta avec enthousiasme, me proposant de nous retrouver à la bibliothèque du Lycée après les cours.

Quelques heures plus tard, je me rendis donc à la bibliothèque et commençai à travailler. Elle arriva dix minutes après moi, et nous commençâmes à réviser ensemble sérieusement. Une heure passa ainsi, dans une ambiance studieuse, sans incident notable, jusqu'à ce que Manon se plaignit de la chaleur et retira sa veste. Elle était vêtue en dessous d'un débardeur bleu, au décoleté large, qui presque malgré moi attira aussitôt mon regard. Ce premier coup d'oeil vers son décoleté fut suivi par de nombreux autres. Bientôt, incapable de contrôler mon regard, je ne me limitai plus à seulement mater son décoleté, mais à la détailler entièrement, tout en essayant de passer innaperçu. Il faut dire que Manon était très belle : un beau visage, qu'encadraient de longs et soyeux cheveux blonds, des yeux d'un bleu ciel particulièrement bien mis en valeur par sa beau bronzé. Ajoutez à cela un corps parfait, mince, aggrémenté d'une poitrine généreuse, et de fesses magnifiques, et vous comprendrez que je sois soudainement aussi troublé. Fidel néanmoins à ma résolution d'arrêter pour un temps le sexe et de me concentrer sur mon BAC, je parvins à rester le plus concentré possible sur mes études. La tâche me fut d'autant plus facile que la bibliothèque n'était pas le meilleur endroit pour draguer, et aussi par le fait que Manon étant en couple, je savais que je n'avais aucune chance avec elle.
C'est donc un peu troublé, mais concentré néanmoins que je continuai de travailler avec elle.

Une heure plus tard, la bibliothèque fermait. En sortant, je me rendis compte que Manon paraissait contrariée.

"Ca va pas ? Lui demandai – je"
"Si, si, ça va. C'est juste que j'angoisse un peu pour le Bac. Je trouve qu'il y a encore plein de trucs que je sais pas. En plus je me suis disputé avec mon mec tout à l'heure..."

"Oh dis je. Tu veux qu'on en parle ?"

"Non, c'est bon, tu peux pas trop m'aider."

"Oui... Par contre si t'angoisses vraiment pour le Bac, je peux t'aider à réviser une autre fois si tu veux !"

"Ca te dirait de venir chez moi pour réviser encore ? Comme ça je serai vraiment tranquille, en plus mes parents ne sont pas là, alors on sera pas dérangé..."

"Heu oui si tu veux."

Je me sentais à nouveau un peu troublé. L'idée de me retrouver seul avec elle dans sa maison, me dérangeait un peu. Mais je me rassurai bien vite, me disant que même si Manon s'était disputée avec son copain cela ne la précipiterait pas ment dans mes bras. Persuadé donc que tout irait bien, et que je tiendrai ma résolution, je suivis Manon jusque chez elle.

Une fois dans sa maison, nous dinâmes rapidement, puis nous montâmes dans sa chambre afin de réviser. Nous instalâmes à son bureau, et nous travaillâmes ainsi pendant près d'une heure. Tout allait très bien, jusqu'à ce que son portable sonna. Elle ne répondit pas, se contentant de raccrocher directement.

"C'est ton copain ? Lui demandai je."

"Oui, mais j'ai pas envie de lui parler."

"Ca va pas entre vous ?"

"Si, mais aujourd'hui il m'a énervée..."

"Si je peux aider..."

"En fait, je crois que oui, tu peux."

"Ah et comment ?"

"Comme ça dit elle, en m'embrassant."

Surpris, et sentant le plaisir monter dangereusement en moi, je tentai de la repousser, mais elle m'aggripa le cou et m'attira contre elle.
Je voulus lui résister, et tentai de reculer, mais je tombai de ma chaise, l'entraînant avec moi dans ma chute, nous nous écrasâmes tous les deux sur le sol, elle sur moi. Profitant de la situation, Manon me maintint cloué au sol et m'embrassa fiévreusement. J'avais de plus en plus de mal à lui résister, et je compris que je ne tiendrai pas longtemps. Je devais la ramener à la raison au plus vite, sans quoi son copain serait bientôt cocu...

"Arrête Manon ! Criai je en dégageant ma bouche."

Surprise elle arrêta de m'embrasser, mais resta sur moi. Je tenais néanmoins ma chance de l'empêcher de faire une grosse bêtise, je la saisis.

"Tu peux pas faire ça, continuai je, tu peux pas t'envoyer en l'air avec un autre juste parce que tu t'es disputée avec ton copain !"

"Ecoute, je vois bien que t'en crèves d'envie, alors laisse toi aller !"

Je décidai d'être franc.

"Manon, t'es très belle, et tu me plaîs beaucoup, mais je peux pas faire ça à ton mec ! Je l'ai déjà vu, il est sympa !"

"Peut être, mais il m'a pris la tête. Je l'aime, mais là ce soir j'ai envie de me défouler, surtout qu'entre nous ça va pas fort au lit, il me satisfait pas trop... Si ça peut t'aider dis toi que tu sauves notre couple en baisant avec moi !"

Je ne savais pas trop quoi répondre, surtout que l'envie de la baiser se faisait de plus en plus pressante. Voyant que j'étais déchiré entre mon envie et mes principes, elle rajouta :

"C'est mon couple, mon copain, et mon choix. Je suis assez grande pour dire ce dont j'ai envie, et je te dis que là ce soir, j'ai envie de toi..."

Sans me laisser le temps de répondre, elle m'embrassa de nouveaux, mettant un terme à notre conversation. Avant que je n'eus le temps de protester, elle m'embrassa au cou, et massa mon sexe avec sa main. Des frissons de plaisir me parcoururent le corps, et je rendis les armes. Cessant de lui résister, je la soulevai et la plaquai à son tour sur le sol.
Je retirai mon t-shirt, et elle me lécha longuement le torse, puis je lui retirai son débardeur, et la replaquai au sol en lui tenant les mains, avant d'explorer tout son superbe au coprs avec ma bouche. Du bas de son ventre à sa bouche, en passant par ses épaules, et par (évidemment) ses seins encore retenus par son soutif, je ne laissais pas un centimètre carré de peau non embrassé. Je sentais que chez elle comme chez moi l'envie devenait intense, délicieusement insuportable, nous faisant trembler de désir elle et moi. Exacerbée par une longue attente, et par la sensation de faire quelque chose de mal, l'envie nous rendait fous l'un comme l'autre. Décidé à la soulager un peu, je lui retirai son jean, puis sa culotte, et entrepris de lui faire un cuni d'enfer, qui la laissa toute gémissante et toute tremblante de plaisir. Après ça, les choses devinrent sauvages, je retirai mon pantalon et mon caleçon, et la pénétrai. Je la baisai ainsi en missionnaire, pendant 10 longues délicieuses et chaudes minutes. Elle me griffait le dos en gémissant et en se tortillant de plaisir, tanids que moi je la baisais de plus en plus fort et de plus en plus vite, tout en lui massant ses gros seins. Ses gémissements devenaient de plus en plus sacadés, à mesure que la vitesse et la violence de mes coups de reins augmenatait. Puis, je voulus l'entraîner sur le lit, mais elle me retint. Elle semblait apprécier de faire l'amour ainsi, à même le sol comme une bête sauvage. Elle m'attira contre elle, et reprit le dessus, me plaquant au sol, puis elle m'enfourcha et entrepris des mouvements de vas et viens qui me firent vite perdre pied et râler de plaisir. Cédant à l'ivresse qui s'emparait de nous deux, Manon accéléra le rythme de ses attaques, à tel point que ma vue se brouilla, et que mes râles de plaisir devinrent des cris, puis des hurlements. Elle continua néanmoins, jusqu'à ce que je crus mourir tant le plaisir qu'elle m'infligeait était grand. Mon délicieux calvaire dura un bon quart d'heure, jusqu'à ce que soudain Manon poussa un cri plus fort que les autres, et s'effondra sur moi, toute tremblante d'extase : elle venait d'avoir un orgasme.

Je repris alors les choses en main, la mis à quatte pattes sur le sol, et la pris en levrette. Pris à mon tour par la folie de l'instant, je la baisais le plus sauvagement possible, allant et venant en elle à une vitesse folle. Je la tenais par les hanches,et j'allais et venais en elle de plus en plus vite, la bourrrant de coups de reins tous plus violents les uns que les autres, tout en luttant de plus en plus désespérément contre la vague de plaisir qui montait en moi, qui me faisait littéralement perdre la tête et risquait de me faire jouir. Manon elle pendant ce temps prenait son pied sans retenue, hurlant son plaisir d'être ainsi démontée, se tordant de plaisir sous mes assauts répétés. En l'espace d'une dizaine de mintues, elle eut plusieurs orgasmes qui à chaque fois la faisait s'écrouler tremblante de plaisir sur le sol. Insatiable, elle se relevait à chaque fois, et le pilonnage reprenait. Je la baisais ainsi encore et encore pendant de longues minutes, jusqu'à ce que je ne puis plus me retenir. Nous eûmes un dernier orgamse ensemble, qui nous laissa écroulés sur le sol, épuisés, haletants, et ivres de plaisir.

Une heure plus tard, après m'être remis, je me rhabillai.

"Tu t'en vas ? Me demanda Manon."

"Oui, répondis je, il faut bien que je rentre chez moi. C'était génial !"

"C'est sur ! Répondit elle avec enthousiasme, on remettra ça à ma prochaine dispute avec mon copain !"

"Si tu veux... répondis je un peu gêné"

"Oh oui je le veux, ça me défoulera bien, et comme ça je lui pardonnerai plus facilement !"

Après avoir dit aurevoir à Manon, je rentrai chez moi, en me sentant un peu coupable, mais également heureux de la formidable aventure que je venais de vivre.

Lorsque j'arrivai chez moi, ma mère ne s'inquiéta pas de me voir rentrer tard, elle m'annonça néanmoins une bonne nouvelle : ma cousine Chloé venait passer le week end chez nous. Ce que ma mère ignorait, c'est que la dernière fois que Chloé et moi nous étions vus, nous avions eu une formidable partie de jambes en l'air ueuse...

Ainsi, avec ma cousine Chloé qui venait à la maison, ma résolution de travailler plus et de baiser moins allait partir en fumée ce week end...

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